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Citations sur Wanda (23)

On ne réalise tout l'amour que l'on porte aux autres que le jour où ils disparaissent.
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la mort, il la souhaite presque, comme on aspire à la délivrance.
La prudence n'est plus de mise quand le cœur et l'esprit, tous deux impuissants, ne sont que le siège de tourments qui rongent chaque seconde de votre vie.
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"ce n'est pas ça la vie ! Je l'ai compris tardivement, mais profiter de l'existence, c'est oser, c'est faire des choix, quitte à se tromper. Maintenant que je suis à l'aube de mon déclin, je veux maîtriser mes choix, je veux être responsable, seul, sans contraintes."
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Je ne suis pourtant pas si différente, j’ai mal, ce n’est pas pareil. Mal quand ma mère me repousse et m’accuse de tous ses malheurs, mal que mon père soit toujours absent, et que lorsqu’il rentre il me parle à peine. Marre qu’aucun garçon ne s’intéresse à moi et qu’aucune fille ne me trouve digne d’amitié. Une pestiférée, c’est ce que je suis... Une pestiférée, solitaire au-dedans, et ignorée au-dehors.
C’est vrai que je ne suis pas comme eux, et c’est tant mieux ! Ils me gavent tous. Ils sont débiles avec leurs téléphones portables, à crâner avec leurs fringues de marque, à se vautrer devant des émissions au QI d’une moule. Ils ont des chaussures à bandes, à bandes de crétins ignares, oui !
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Ne pas exister pour ce que l'on est, mais pour ce que les autres désirent que tu sois. De nombreuses personnes connaissent cela, ils vibrent à l'ombre de leur mari, de leur frère aîné, de leur idole, sans jamais se révéler, se découvrir, sans jamais vivre par eux-mêmes. Ce n'est pas ça la vie !
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Aujourd'hui, alors que ma treizième année se profile, la douleur et la peine font partie de moi. Je les trimbales comme des amies maudites. Elles m'ont endurcie à force de mordiller mon âme, je me demande si je n'apprécie pas leur présence.
En ce moment, la semaine, ma mère est plutôt calme, elle passe des heures sur sa tablette à jouer, un verre à la main, ou devant la télé. De temps à autre, elle m'adresse un sourire ou un mot gentil, comme pour gommer les méchancetés débitées les heures précédentes.
C'est sa technique; elle noircit mon cœur en gravant ses horreurs au burin et elle tente de les effacer avec une éponge comme on lave une ardoise. Mille fois elle y a sculpté ses reproches infâmes. A force, l'ardoise s'encrasse, et laisse en filigrane des marques inaltérables.
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Tout devient mécanique, sans aucun sens ni intérêt, le temps n'est plus qu'un ennemi où chaque seconde est assassine.
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Regarde au fond de moi, là où je me cache, regarde-moi sans masque ni maquillage. Tu y verras mes lâchetés, mon être à nu. Tu y apercevras mes doutes, mes erreurs, mes mensonges et mes traîtrises. Tu auras peur quand tu verras mon âme
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Il est des matins où l’on a dormi si profondément que l’on doute de l’endroit où l’on se trouve. Les yeux toujours clos, on hésite, on tâtonne, déboussolé, perdu dans cet inconnu cotonneux. On se réveille, comme amputé de la réalité qui nous tend les bras. Il est des matins, plus rares, où le rayon de soleil qui lèche notre visage éclaire un sourire, signe que la nuit fut douce et réparatrice. Puis, il y a ceux, plus fréquents, où l’on s’engouffre sous la couette, refusant la cruelle lumière du jour. Ce matin, le réveil ne ressemble à aucun de ceux-là ; la tête me tourne sans que j’aie entrouvert les paupières. Une sensation de vide abyssal dans la poitrine en est le prélude. Je frissonne, la brume d’un matin d’automne nappe mon esprit engourdi, je ne parviens pas à me lever. Je prends une inspiration profonde, j’expire lentement, cherchant à reprendre contact avec la réalité...
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Tu te construis doucement, mais comment grandir si tes fondations ne sont que des ruines ?
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