Thorgal, tome 2 : L'île des mers gelées

Un vrai Viking n'abandonne jamais !

p.5.

- Ces aigles ! Ils… me font peur !
- Que dis-tu là, Solveig ! Regarde comme ils sont nobles et beaux. Ne sont-ils pas le vrai symbole de la liberté ?

Adieu, dernier enfant des étoiles ! (p.47)

Le pâle soleil arctique éclairait d'une lumière sans joie les côtes déchiquetées de l'île... (p.26)

Regarde, Bjorn. Qu'y a-t-il de plus beau qu'un oiseau libre qui vole vers le ciel? (p.8)

Assez ! Si vous avez été ennemis, soyez frères aujourd'hui. Vous avez tous les deux la chance d'être en vie, et nous, nous avons la chance de vous avoir recueillis....

« Pars, maintenant, Thorgal Aegirsson, remonte vers le soleil puisque le destin aura voulu que tu ne sois qu’un homme parmi les hommes. » (p. 47)

Tu es enfin venu, mais tu es venu trop tard.

Quand il s'arrêta devant l'immense coupole, il sut étrangement les gestes à accomplir, comme si ceux-ci jaillissaient du fond de souvenirs oubliés. (p.42)

On voit que tu ne connais pas les dominants, Bjorn. Que vos dieux nous protègent... ce jour pourrait bien être votre dernier. (p.33)