Quand je suis sorti de l’avion à Mexico City, je me souviens avoir eu l’impression de respirer l’antre d’un cendrier à plein poumons, tant l’air de la capitale était chaud, moite et pollué. Luiz, mon guide et traducteur, était venus me chercher à l’aéroport,
et à peine arrivé, il m’emmenait voir un match de catch mexicain, à mon grand désespoir. Impossible de rentrer à l’intérieur sans déposer mes boitiers dans un casier à peine sécurisé. Hors de question. Et...
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