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Citations sur Les Chroniques de Durdane, tome 3 : Asutra ! (13)

La vérité détruit bien des illusions.
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Quand ils voulaient communiquer, tous se servaient de son plutôt que de lumière, du contact ou de l’odeur, et ce, pour des raisons simples et universelles. Le son d’infiltrait dans un endroit donné et l’emplissait ; le son pouvait être produit avec un minimum de dépense en énergie ; le son était infiniment flexible.
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Les ahulphes supérieurs disposent de quatre odeurs signifiant la convivialité, l’hostilité, et deux variétés d’excitation inconnues de la race humaine. Les innombrables races d’ahulphes inférieurs n’émettent que l’hostilité et un parfum attirant. Il arrive que la mentalité de l’ahulphe présente des ressemblances avec l’intelligence humaine, mais cette similitude est trompeuse et les tentatives pour s’entendre avec les ahulphes sur une base de raisonnement humain n’aboutissent qu’à des déconvenues. Par exemple, l’ahulphe ne comprend pas que l’on puisse travailler pour de l’argent, malgré tous les soins qu’on peut mettre à lui expliquer la chose.
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Une symbolique devait pouvoir exister dans cet ensemble confus de dimensions, de formes et de proportions, pensa-t-il ; une civilisation technologique ne peut se concevoir sans la maîtrise d’un minimum d’abstractions.
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Qu’est-ce qui est préférable : une soumission bon marché ou une indépendance coûteuse ?
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Vous êtes jeunes ; vous avez des espérances. Elles s’envoleront l’une après l’autre et plus rien ne restera que le fait pur et simple d’être en vie. Vous découvrirez alors la valeur transcendante de la simple existence !
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Finalement les trois soleils boulèrent vers le zénith et le brouillard commença à se dissiper , tourbillonnant et s'effilochant , laissant apparaître des étendues irrégulières de terre et de fleuve .
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Etzwane réfléchit quelques minutes, puis s'en fut trouver Karazan.
- Quelques-uns de vos hommes s'apprêtaient à me tuer.
Karazan se contenta de hocher lourdement la tête et de faire tournoyer sa lanière.
- Pour quelle raison ?
Il sembla un moment que Karazan n'allait pas répondre. Puis, avec un effort perceptible, il déclara :
- Il n'y a aucune raison particulière. Ils veulent tuer quelqu'un, et ils vous ont choisi. C'est une sorte de jeu.
- Je ne tiens pas à y participer, répliqua Etzwane d'une voix ferme. Ils n'ont qu'à jouer avec un des leurs. Ordonnez-leur de me laisser en paix.
Karazan eut un haussement d'épaules nonchalant.
- Cela ne fait pas une grosse différence.
- Pour vous, peut-être pas. Pour moi, il y en a une considérable.
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Lorsque deux races issues d’environnement aussi différents que ceux de l’homme et de l’asutra, la communication ou la sympathie peuvent-ils s’établir ? Une tolérance fondée sur le dégoût mutuel à la rigueur, mais de la coopération, jamais.
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Il descendit à la salle commune, pour trouver Frolitz en conversation avec Fontenay. Frolitz se leva d’un bond et étreignit Etzwane. « Eh bien, mon garçon ! Il y a des mois que je ne vous ai vu et j’apprends que vous avez vécu une aventure picaresque ! Vous avez toujours été porté aux marottes et donquichotteries ! Mais maintenant vous voilà et avec l’air – comment dirais-je ? – plein d’étrange science. Quelle musique avez-vous jouée ? »
Etzwane rit. « J’ai commencé à apprendre une Grande Geste de quatorze mille chants mais n’en ai assimilé à fond qu’une vingtaine. »
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