Ce sont les exigences sans cesse croissantes de la vie actuelle qui nous ont donné ces mœurs relâchées. Inutile de nous révolter, nous n’y changerons rien…
La haine doit se mesurer aux torts causés.
On n’est pas toujours maître de soi et il est difficile de dominer la révolte qui vous saisit lors d’une déception pareille…
Le divorce n’est pas un déshonneur ! C’est un malheur qui atteint toutes les classes de la société, si bien qu’il semble entré dans les mœurs… et somme toute, il est préférable aux scandaleuses trahisons des ménages mal assortis.
Pour qu’un homme soit vraiment le père d’un enfant, il faut qu’il en ait assumé toutes les charges. Sinon, il n’est rien… rien qu’un passant… et cela ne crée ni des liens, ni des droits !
Les sexes, égaux devant le travail aussi bien que devant le plaisir, n’avaient plus de devoirs vis-à-vis l’un de l’autre.
La Russie, revenue d’ailleurs de cette première utopie, a remis le mariage en honneur et s’est efforcée de faire comprendre aux hommes que le vrai bonheur consiste à créer un foyer et à en accepter les charges.
Il est des phrases qui équivalent à des coups de poignard
C’est quand on est malheureux que la présence des autres vous semble consolante !
Le feu, c’est quasiment un mal universel ; ça intéresse tout le monde et tout le monde s’en affole.
Le génie, la gloire, sont autrement supérieurs au snobisme…