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Citations sur Promenez-vous dans les bois... (30)

Les enfants de cinq ans peuvent se montrer d'une cruauté inimaginable. Ils disent des horreurs qu'un adulte n'oserait pas, se permettent des des commentaires désobligeants sur le physique, la famille, la façon de parler, l'odeur corporelle, les tenues vestimentaires. Si un collègue se laissait aller à proférer de telles remarques au bureau, il serait réprimandé pour harcèlement moral. ( p 130 )
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Je n'aime pas que les gens fourrent leur nez dans mes affaires alors je présume que les autres ressentent la même chose. Cependant, il semblerait que parfois ils aient envie de s'épancher, et dans ce cas on passe pour un individu froid et bizarre à refuser leurs confidences. ... / ... Le problème, c'est que le lendemain, celui qui s'est livré vous en veut presque systématiquement de l'avoir vu nu et sans défense. ( p 172 )
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« Ne bougez pas, dit-elle. Vous êtes blessée à la tête.
- Nora, je murmure.
- Vous voulez qu’on appelle Nora ? Qui est Nora ?
- Moi… Mon nom.
- Très bien, Nora. Essayez de vous détendre. Vous ne sentirez rien. »
Pourtant j’ai mal. Tout est douloureux.
Que s’est-il passé ?
Qu’ai-je fait ?
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Le cerveau ne se rappelle pas avec précision. Il raconte des histoires. Il remplit les blancs et transforme ces fantasmes en souvenir.
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On aurait tendance à croire que les gens vont faire preuve de prudence et ne pas déballer leurs secrets à un écrivain. On pourrait penser qu'ils savent que nous sommes avant tout des vautours, qui nous délectons des restes d'histoires sordides et de querelles oubliées que nous recyclons dans nos romans - créant ainsi des réincarnations de leurs personnalités revêtus d'un nouveau costume macabre
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Les enfants de cinq ans peuvent se montrer d'une cruauté inimaginable. Ils disent des horreurs qu'un adulte n'oserait pas, se permettent des commentaires désobligeants sur le physique, la famille, la façon de parler, l'odeur corporelle, les tenues vestimentaires.
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Je n'aime pas être passagère. La conduite, c'est comme le karaoké, quand c'est toi, c'est formidable, quand c'est les autres, c'est gênant ou inquiétant.
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Je suis blessée, je souffre. Je porte une chemise d'hôpital qui s'ouvre dans le dos et j'ai perdu ma dignité en même temps que tout le reste. Ne me touche pas, espèce de connard condescendant. Je veux rentrer chez moi.
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Ca ne ressemblait pas à une résidence secondaire - toutes les maisons de vacances dans lesquelles j'avais séjourné abritaient une étagère chargé de Dan Brown et d'Agatha Christie écornés.
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Je ne dis jamais de gros mots, sauf avec Nina. Elle produit cet effet-là sur moi, comme si, en sa présence, mon charretier intérieur ne demandait qu'à sortir et à jurer.
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