Citations sur Les seigneurs des runes, Tome 5 : Les fils du Chêne (9)
Nous sommes nés pour la guerre et le sang,
Comme nos pères un millénaire avant.
Sonnent les cors, frappent les épées !
Vers le chagrin ou la gloire, allez
Ses cheveux d'ébène tombaient sur une épaule nue et dans son décolleté .Chacune de ses courbes, depuis son cou jusqu'à ses cuisses en passant par sa poitrine et son ventre ,oblitérait la raison de Stalker et l'emplissait de désirs reptiliens.
Le moment venu d'étriper quelqu'un, inutile de se lamenter, de proférer des menaces ou de s'excuser - il faut juste agir vite et sans bruit.
Les enfants observent le monde avec un regard pas encore blasé. Ainsi peuvent ils tout voir.
Nous ne faisons pas la guerre par amour du combat. Nous la faisons pour susciter le désespoir et forcer l'ennemi à se rendre, afin de pouvoir exercer notre volonté sur lui.
Si vous déformez suffisamment un enfant, il deviendra un adulte tordu et il le restera.
Nul homme n'est aussi fort que l'amour d'une mère pour son enfant.
Les manants manipulent les choses. Les forgerons travaillent le métal, les fermiers cultivent la terre. C'est ainsi qu'ils gagnent leur vie. Mais l'art d'un seigneur est bien plus complexe et délicat : il doit manipuler les gens.
- Tu es mien, siffla le vent. Tu me serviras. Bien que le désir de justice brûle en ton coeur, tes plus nobles espoirs deviendront le combustible qui alimentera le feu du désespoir au sein de l'humanité. Ce que tu t'efforceras de bâtir, tombera en cendre. La guerre te suivra à chacun de tes pas pour le restant de tes jours, et même quand le monde applaudira le carnage que tu auras perpétré, tu sauras que chacune de tes victoires est en réalité la mienne. Ainsi, je te scelle jusqu'à la fin des temps.