Le chirurgien se pencha sur la plaie béante. La balle tirée par le Russe était là, à quelques millimètres de l'aorte miraculeusement épargnée. Puis son regard se porta sur l'autre patient, celui qui avait dû céder sa place au général Von Wadecker. Il agonisait lentement sur sa civière...
tin rapide mais douloureux combat se déroula dans l'esprit du docteur Schwartz. D'un côté, ce chef d'armée que les soldats avaient baptisé « le boucher de Smolensk ". Guéri, ...
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