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Dans ce manga, le héros est un jeune lycéen brillant mais insouciant. Il doit cependant faire un choix d'orientation et contre toute attente se découvre une passion pour le dessin.
J'ai d'abord eu beaucoup de mal avec le personnage qui me paraissait très antipathique mais finalement sa nouvelle passion le rend plus humain. le manga aborde vraiment assez en détail certaines techniques de dessin et on se demande si le héros va réussir dans cette voie. J'ai donc bien envie de lire la suite!
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Yatora se conforme aux attente de ses parents : pour sa mère il est un lycéen brillant qui projette des études supérieures socialement reconnues, pour son père il est un joyeux fêtard qui sait profiter des nuits passées avec ses amis hommes à boire en regardant des matchs de foot. Tout autre comportement est dévalué. Jusqu'alors indifférent aux cours d'Arts plastiques qui n'ont aucune utilité sociale selon lui, à la faveur d'un concours de circonstance il va découvrir ce qui se passe dans le club encadré par sa professeuse. Quelque chose s'ouvre en lui et le transforme...
La thématique de ce manga est très originale car elle bouscule beaucoup de préjugés : les garçons ne doivent pas ressentir d'émotions, se pencher sur leurs sentiments, l'art n'a pas d'utilité sociale donc pas d'intérêt, les garçons ne peuvent pas s'intéresser aux arts plastiques, les arts plastiques ne nécessitent pas d'études poussées.
On assiste avec intérêt à l'évolution du personnage qui découvre tout de l'univers de la peinture, du dessin, de la sculpture, de la photographie et on apprend au passage la dimension technique de chaque art auquel se confronte Yatora. La transmission des connaissances et des techniques est bien mise en valeur tant par son enseignante que ses carmarades.
A lire, à lire, à lire !
La professeuse documentaliste de cdicollegeguisthau
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Un manga super intéressant et très décomplexant qui décortique l'art sous toutes ses formes. On y parle aussi de quête d'identité et de relations aux autres. Et de comment assumer ses choix et ses passions. Autant pour les artistes en devenir que pour les amateurs d'une passion abandonnée. Un livre qui donne envie de dessiner et surtout vous fait croire que vous en êtes capable !
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Un manga ayant pour thématique centrale l'art… c'est assez rare pour le mentionner ici et être tout de suite intrigué ! J'avais terriblement envie de le lire depuis la parution du premier tome mais je m'étais faite violence pour attendre un peu, notamment la parution du second tome car je savais que cette nouvelle série me plairait.

On suit le personnage de Yataro, lycéen à qui tout sourit dans la vie : il a d'excellentes notes qui vont lui permettre de pouvoir aller dans une prestigieuse université par la suite. Mais le jeune homme ne ressent qu'un énorme vide en lui, et ne sait pas quoi faire de son avenir, jusqu'au jour où il découvre un tableau peint par une étudiante de la classe d'art. Il se mettra alors en tête d'entrer dans une école de Beaux-Arts publics, pour soulager ses parents des frais de scolarité.

On s'attache tout de suite au personnage de Yatora, qui peut bien représenter tous ces adolescents qui ne savent pas quoi faire de leur vie à la sortie du lycée et qui peinent à trouver leur voie. Mais il représente surtout tous ceux qui se trouvent une passion, et qui se jettent à corps perdu dans celle-ci malgré les nombreux obstacles qui jonchent leur parcours. Yatora doit tout apprendre de cet univers qu'il découvre, il le sait, mais il ne se laisse pas abattre pour autant.

Il recevra l'aide de quelques professeurs, notamment de sa professeure de classe d'art, mais aussi et surtout il se fera de nouveau amis dont Yuka, personnage trans, avec laquelle il passe son temps à se chamailler. Yuka est le genre de personnages exubérants et attachant à la fois, dont j'espère pouvoir suivre l'évolution pendant un certains temps encore.

Cette série met donc en avant le monde de l'art, et plus particulièrement celui de la peinture, avec finesse et passion. On y découvre des techniques de peinture, mais aussi les oeuvres reproduite par le mangaka de grands noms de la peinture japonaise. Pour une personne qui, comme moi, n'y connait absolument rien, c'est une belle entrée dans cet univers particulier et, par certains égards, élitiste.

Blue Period est un titre qui ne laisse pas indifférent sur lequel il est intéressant de s'attarder, que l'on novice ou amateur d'art. C'est un titre passionnant dont j'attend le prochain tome avec une grandes impatience !
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Nous retrouvons Yatora un jeune lycéen sans ambitions ni passions particulières. Il est du genre à suivre le mouvement des autres en mettant en retrait ses opinions profondes.

Il est facile de s'identifier à Yatora, comme beaucoup d'entre nous, il se cherche et ne sais pas vers quelle orientation scolaire se tourner. Étant en première sans passions particulières, il ne rêve qu'à s'ouvrir le maximum de portes pour réussir son avenir. Mais n'étant attirer par rien, le choix s'annonce cornélien.

C'est par hasard qu'il découvre une oeuvre qui va changer sa vie et la vision qu'il a de lui et du monde qui l'entoure, on le voit s'ouvrir peu a peu à cet univers inconnu pour lui qui ne représentais à ses yeux qu'un gouffre sans fond ni avenir, et il va se retrouver pour la première fois avec l'envie de se dépasser et de se donner à fond pour une toute nouvelle passion qui lui tien à coeur "L'art"

Pika nous offre cette fois-ci, une oeuvre qui sort du lot par delà son thème "le monde de l'art". C'est un univers très riche et vaste ce qui peux en rebuter plus d'un, mais le sujet est très bien expliqué et abouti. Il est donc très facile de comprendre toutes les suptibilités du thème de l'art et de plonger les yeux fermés dans ce manga qui s'annonce très prometteur pour la suite
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Avec ma sensibilité pour tout ce qui a trait à l'art, j'attendais avec impatience de découvrir Blue Period, le dernier seinen de Pika, qui a été vendu à grand renfort de pub à ce sujet. J'en avais entendu le plus grand bien, je m'attendais donc à être soufflée. Mais si j'ai beaucoup aimé ma lecture, ce ne fut pas un coup de coeur.

Tsubasa Yamaguchi est une jeune autrice de manga qui s'est fait connaitre dans les années 2010. Blue Period est son premier gros succès, toujours en cours au Japon avec 9 tomes à ce jour. le titre publié dans Afternoon, un magazine dont j'aime la qualité des seinens qui y sont proposés, a déjà remporté de très beaux pris avec le Prix manga Taishô en 2020 et le Prix du manga Kôdansha en 2020 également, sans parler de sa sélection pour le Prix culturel Osamu Tezuka la même année. C'est plutôt gage de qualité.

Dans ce seinen aux couvertures qui claquent et attrapent l'oeil d'emblée, il est question d'un jeune ado japonais typique, qui vivote un peu dans la vie, cherchant à avoir des bonnes notes pour faire plaisir à ses parents et pouvoir entrer dans une fac publique puisqu'ils ne pourront pas lui payer autre chose. Yatora, de son petit nom, aime passer du temps avec ses amis et étudier, mais au final, il n'a aucune passion dans la vie. Jusqu'au jour où il tombe littéralement nez à nez avec le tableau de Mori, élève du club d'art du lycée. Il reste alors figé sur place comme frappé par la foudre.

Blue Period est ainsi le récit d'une rencontre, celle d'un jeune lycéen qui s'ennuie avec ce qui va devenir sa passion. Souvent, dans les mangas abordant ce genre de thème, on est frappé pour la force de cette passion, mais ici ce n'est pas le cas. L'autrice a décidé de nous décrire un cheminement plus long. Si on y perd en force d'attraction primaire, on y gagne en réalisme. J'ai été un brin déçu à cause de la première raison, mais la seconde m'a séduite, alors je suis partagée.

De plus, la mangaka fait le choix de mettre en scène un héros qui n'est pas forcément attachant au premier abord. Yatora est un ado lambda avec tous les défauts que ça implique. Il est superficiel au début, assez pédant vis-à-vis des autres, et a des réflexions sur la vie digne d'un ado de son âge, ce qui peut agacer. C'est dans sa découverte de cette future passion qu'il devient intéressant et gagne de l'épaisseur tout comme son trait. On découvre alors un garçon peu sûr de lui, qui veut avant tout faire plaisir mais qui n'est pas si bien que ça dans ses baskets. On est touché par sa fragilité quand on le voit si flatté des compliments qu'il reçoit sur quelque chose qui vient vraiment de lui. Mais surtout on assiste déjà à une lente évolution vers un personnage plus mature et nuancé qu'au début, qui risque de moins porter de jugement à l'emporte pièce. C'est bien vu.

Autour de lui, nous retrouvons la figure classique de la prof, figure d'autorité dont les longs discours explicatifs sur l'art m'ont souvent semblé un peu lourd et indigeste, mais qui a le don pour frapper juste et savoir tirer les élèves vers le haut en s'adaptant à celui en face d'elle. Il y a également la "madone", figure que l'on retrouve parfois dans les shonens et seinens et qui revêt toujours la même douceur et autorité. Mori est parfaite dans ce rôle et j'espère qu'elle ne va pas nous quitter trop tôt. Il y a bien sûr, le trublion, représenté ici par le pétillant Yuka ou Ryûji, c'est selon, qui aime se travestir. J'espère que ce ne sera pas seulement un élément comique et qu'il y aura un vrai développement autour de l'attitude qu'il adopte, parce que si c'est juste pour nous montrer que certains artistes ont une personnalité haute en couleur, je serai déçue. Enfin, apparait dans les dernières pages le rival, celui qui motivera le héros à s'améliorer, je pense, un jeune génie assez impressionnant mais un peu archétypal, lui aussi, dans sa froideur maladroite. On a donc un joli panel de personnages secondaires pour graviter autour du héros et peut-être former une jolie bande autour de lui.

Le titre se lit très facilement. Les chapitres s'enchaînent rapidement et il y a déjà une belle évolution dans ce premier tome, de la rencontre du héros avec l'art, à son intégration au club d'art, en passant par son entraînement ou ses décisions d'orientation et ses questionnements personnels. La narration est assez dynamiques si on occulte ces passages un peu trop denses où on nous explique comment fonctionne telle ou telle technique. Il y a un vrai sentiment d'allant et de stimulation saine entre les personnages. J'ai d'ailleurs beaucoup aimé le dernier ressort scénaristique à ce sujet même s'il est fort classique. On sent que l'autrice utilise des dynamiques déjà éculées mais parfaites pour insuffler encore plus de vie dans son titre.

Elle interroge de plus sur des questions centrales telles que l'orientation très tôt finalement des jeunes qui sont encore en recherche d'une identité, sur la place de l'art dans la vie : passion ou possible carrière. Elle interroge sur la question des apparences mais aussi sur nos relations aux autres. Enfin, elle questionne sur notre rapport à l'art, comment on le perçoit, comment il peut nous chambouler ou pas, comment c'est plus un pan de celui-ci qui nous parle qu'un autre, etc. C'est très riche et ce sont vraiment les parties qui m'ont fait vibrer et que je souhaite voir développer par la suite.

Du côté des dessins, je suis globalement restée sur ma faim. J'ai beaucoup aimé le choix, dans ce projet, de faire intervenir un grand nombre d'assistants pour qu'ils dessinent pour de vrais les oeuvres réalisées par chacun des personnages croisés. le choix d'attribuer un plus un assistant à un personnage ou à un type de production me plaît. En revanche en dehors de ces moments-là, je n'ai pas été frappée par les dessins ou les compositions de la mangaka principale : Tsubasa Yamaguchi. Elle a au contraire un trait, certes de qualité, mais tout à fait banal dans la production seinen actuelle sans rien qui la démarque vraiment. C'est beau mais assez lisse. Les seuls moments qui se démarquent pour moi sont ceux où son personnage principal "plonge" dans les paysages qu'il souhaite représenter, là vraiment ça frappe. Mais pour le reste, c'est très banal et il y a bien d'autres mangakas qui se démarquent plus. Alors, je suis un peu déçue de voir dans un titre sur l'art une autrice qui ne se démarque pas vraiment.

Le premier tome de Blue Period est ainsi une belle mise en bouche, appétissante et prometteuse mais à laquelle il manque encore un peu de corps et de densité. Nous sommes pour le moment avec quelque chose d'assez lisse en dehors de quelques rares moments de fulgurances. Je m'attendais à être plus frappée aussi bien du point de vue de l'histoire - j'ai été plus soufflée par la passion de Dai pour la saxo ou de Mori pour l'escalade lors des premiers tomes de Blue Giant et d'Ascension par exemple - que des dessins, mais sûrement que j'en attendais trop ^^! Cela reste tout de même un très bon début et j'ai vraiment envie de suivre la suite des aventures de Yatora et sa découverte de l'univers de l'Art.
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Comme vous pouvez le voir, j'ai classé ce manga comme éducatif. C'est parce que, à mon avis, vous pouvez apprendre les bases de l'art (le dessin et la peinture) à travers l'histoire. J'ai trouvé cela très intéressant et j'ai appris quelques trucs grâce à ce manga. Mon principal problème avec Blue Period est le fait que l'auteur se concentre trop sur l'art et pas assez sur les personnages. Nous savons d'après le résumé que Yatora est considéré comme un délinquant et un type populaire dans son lycée mais nous ne le suivons jamais dans sa journée et ne pouvons donc pas le déduire par nous-même, juste un peu au début. C'est aussi le cas pour tous les autres personnages, nous ne les voyons qu'en cours d'art et ne savons rien de leur passé/histoire. En d'autres termes, il y a un manque de développement pour les personnages. À part cela, j'ai trouvé les dessins vraiment jolis, totalement mon style et donc très appréciable. de plus, l'intrigue est prometteuse. Yatora suit sa passion et fait tout ce qu'il peut pour réussir. Je pense que c'est un état d'esprit important et c'est pourquoi je recommande ce manga principalement aux adolescents (pas que évidemment) ; il faut croire en ses rêves. En tout cas, j'ai bien envie de savoir comment cela va se passer pour lui dans la suite donc à voir le tome 2.

3/5
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À la lecture du résumé je ne savais pas à quoi m'attendre, cependant je trouvais la thématique particulièrement intriguante. Et, comme je m'y attendais, ce seinen sort du lot ! Il m'a convaincu, tant par ses qualités graphiques que narratives.

Le trait du mangaka est magnifique, à la fois précis et expressif, c'est un vrai plaisir visuel ! L'intrigue est bien ficelée et les personnages sont atypiques et profonds. le récit met en scène une grande diversité de personnages et aborde beaucoup de questions intrinsèques à leur âge avec beaucoup de psychologie, chose que j'ai vraiment apprécié !

Le jeune lycéen Yatora excelle dans tout ce qu'il entreprend mais il ne sait pas ce qu'il veut faire et ne possède pas de véritable passion ou de but particulier. Pour autant, sa rencontre avec des élèves en atelier d'art et avec la professeur qui le supervise vont lui permettre de trouver dans la peinture une manière de s'exprimer et de s'investir dans quelque chose qu'il aime et qui donnera du sens à sa vie.

En effet, Yatora va se retrouver totalement absorber par ce que lui procure l'art, à tel point qu'il choisira de s'orienter dans cette branche pour la poursuite de ses études. le voilà donc lancé dans un projet pour le moins conséquent : celui d'apprendre toutes les bases de la peinture et de s'entraîner afin d'intégrer la très réputée université des arts de Tokyo !

Ce premier tome pose les préludes de l'intrigue et nous délivre également les premières "leçons de peinture". J'ai particulièrement apprécié la manière dont l'auteur aborde la thématique de l'art. Bien loin de s'ennuyer avec ce sujet, le récit nous donnerait plutôt envie de prendre un pinceau et de se lancer ! Entre perspectives, colorisation, techniques et multiples exercices, Yartora n'en est qu'au début de son apprentissage et il ne fait aucun doute que le chemin jusqu'à son but ultime sera long et fastidieux. Il me tarde de le voir évoluer et surmonter toutes les étapes qui l'attendent !
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Je remercie les Éditions Pika pour l'envoi de cette lecture. Wow… ce manga c'est une claque, c'est clairement une magnifique découverte ! Première lecture de 2021 qui me bluff autant !

Yatora est un lycéen comme un autre, il sort régulièrement, il est dans les meilleurs élèves de sa classe, mais il n'a pas d'ambition particulière. Lui, il souhaite intégrer une des meilleures facs du Japon, afin de s'assurer un avenir confortable.

Pourtant, un jour, il va tomber par hasard sur le tableau peint par une camarade de classe en cours d'art plastique. Il va directement être bouleversé par cette oeuvre. Cela va limite devenir une obsession, au point qu'il va se découvrir une passion pour l'art. Une passion tellement dévorante, qu'il se met en tête de tout faire pour intégrer l'école d'art de Geidai.

Ce manga est vraiment magnifique ! On y parle ici de passion qui nous dévore. Je pense que toute personne vivant à fond une passion ne pourra qu'adorer cette lecture ! Ici, on va parler d'une des écoles d'art les plus réputées du Japon : Geida. C'est une des rares écoles d'art qui ne soient pas privés et qui a donc des tarifs abordables. Mais c'est par conséquent, une des plus sélectives…

Pour vous donner un exemple, la talentueuse Kamome Shirahaha, la mangaka de l'atelier des sorciers, est sortie diplômer de cette école.

Ce qui est génial dans ce manga, c'est qu'en plus de nous proposer une superbe histoire avec un personnage principal vraiment très attachant, on y découvre également les diverses techniques, comme celle des ombres, des perspectives, etc.

Le plus fou la dedans ? C'est que les oeuvres qu'on retrouve dedans, ont été fait par plusieurs élèves de Geidai et des connaissances du mangaka pour les illustrer. Ce qui fait de ce manga un vrai recueil d'artiste à lui seul !

Ce que j'ai vraiment adoré, c'est qu'ici, le mangaka nous pousse à nous questionner. On est amené à faire plusieurs réflexions vis-à-vis de l'art. Comme par exemple, l'art est-il uniquement une question de talent ?

En bref, c'est un super manga. On y parle d'art, de passion, on y apprend des choses, on y découvre des oeuvres d'artistes inconnues, on se questionne. Ce manga est vraiment sublime et je vous le recommande ! J'espère que vous passerez avec ce titre un aussi bon moment de lecture que moi ! 😉
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Avis 1] Blue period est écrit et dessiné par Tsubasa Yamaguchi. Ce manga raconte l'histoire de Yatora qui est un garçon qui n'a pas d'ambition mais qui un jour, grâce au tableau peint par une jeune fille, découvre l'art .
Ce livre est très passionnant, l'histoire est captivante car on se plonge vite dans le livre et on se met vite dans la peau du garçon : à la fin du tome 1 on a envie de lire le deuxième tome directement . A travers le personnage de Yatora, nous découvrons que les études artistiques sont souvent dénigrées et qu'elles sont extrêmement dures. Je trouve que l'histoire est bien racontée et qu'elle n'est pas trop longue à lire.

Avis 2] "Blue Period" est un manga qui se distingue par son exploration profonde de la passion artistique et de l'auto-découverte. le premier tome offre une plongée captivante dans le monde de l'art, suivant le parcours du protagoniste, Yatora, alors qu'il découvre sa passion pour la peinture et poursuit son rêve d'intégrer une prestigieuse école d'art. L'histoire est riche en émotions, offrant des moments de doute, d'inspiration et de croissance personnelle qui résonnent avec les lecteurs. Les illustrations sont magnifiquement réalisées capturant la beauté de l'art et ajoutant une dimension visuelle immersive à l'histoire. de plus, les personnages sont bien développés et chacun apporte sa propre perspective sur l'art et la vie enrichissant ainsi le récit. Cependant, certains pourraient trouver que le rythme est un peu lent, car le manga prend le temps d'explorer les dilemmes et les défis auxquels Yatora est confronté dans sa quête artistique. Malgré cela le premier tome de "Blue Period" est une lecture enrichissante et inspirante pour ceux qui s'intéressent à l'art et à la recherche de soi.

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