Ludwig Revolution, tome 1

Ce qui peut-être dit, peut être dit clairement ; et ce dont on ne peut parler, il faut le passer sous silence.

Le prince resta seul et il vécut heureux longtemps, très longtemps.

- Sache qu’il y a une salle de torture dans le sous-sol de mes appartements. Alors, avoue… Pourquoi tu hantes le château de ronces ?

Il est très sérieux, le prince est sans pitié, il va vraiment la torturer. Entre nous, il ne dit pas ça pour la menacer, il va vraiment le faire… Il faudra qu’elle parle… Et vite !

- Je déteste particulièrement les garçons qui ne s'attachent qu'à l'apparence sans regarder la beauté intérieure !

- Très bien, comme ça on est quitte... Moi, je déteste les filles qui frappent avant qu'on ait eu le temps de s'expliquer...

Il l'embrassa tendrement et...
À ce moment-là, le charme fut rompu...
Et le temps repris ses droits.
Ils vécurent heureux...
Jusqu'à ce que la mort les sépare.

J'ai reconnu au premier coup d’œil la vénus dont m'avait parlé les villageois. Ces seins (dignes de Mégumi*)... Euh, je veut dire... cette Beauté, cette classe..."

*Mégumi est le nom d'une idole japonaise à très forte poitrine.

- C'est du harcèlement sexuel que de faire remarquer les faiblesses physiques d"une fille, dans ce pays ?
- C'est pareil dans le monde entier !

Pour la première fois de ma vie... Je me suis mise à me détester, car j'ai réalisé toute la cruauté des épines de mes ronces.

Rouge comme le sang...
Blanche comme la neige...
Et le cœur aussi noir que les ténèbres...

[Au moment où le prince posa les yeux.... Sur la belle princesse blanche, éclairée par une faible lumière... Il tomba instantanément amoureux d'elle.]
- Pourquoi vous m'avez pas dit plus tôt que c'était une bombe à gros seins? Viens avec moi, ma tendre promise.