Il serait inadmissible que dans la communauté française de demain, les héros de la campagne de libération [de 1942-44], descendants des glorieux tirailleurs [algériens] qui à l'Alma [en 1854] , à Solférino [en 1859], à Wissembourg [en 1870], à Verdun [en 1916] et devant la ligne Maginot [en 1940] versèrent leur sang pour la France continuent à être traités en Français auxiliaires.