Je ne vais pas faire l'affront de faire un résumé de ce monument de la SF, mais qui veut commencer Star Wars commence par ce tome (ou le film, peu importe).



Ce tome suit très près le film original, il y a seulement quelques scènes ajoutées, mais vraiment très peu.



Ce fut un plaisir de retrouver cet univers et ces personnages, dès le début on sent le scepticisme de Z-6PO, la relation avec R2, la volonté de Luke de faire autre chose de fermier, la détermination de Leia, la nonchalance de Yan, les mystères de Kenobi...



En bref j'ai passé un super moment, et le format livre a un ajout, car on a plus le ressenti de certains personnages à quelques moments.

L'écriture est fluide, simple. Cela se lit facilement.



J'ai évidemment la suite, que je lirais bientôt.

Excellent sur le fond. La forme laisse à désirer. Le livre est indispensable pour comprendre les tenants politiques de la première trilogie de Star wars. Son titre est trompeur, cet ouvrage porte surtout sur Palpatine. Plaeguis est sous exploité et même sa fin ne semble pas crédible. En bref, c’est un assemblage de petits textes explicatifs sur les motivations de Palpatine, des Siths, de la force et du fonctionnement politique de la république.

J'avais très envie de lire ce livre et d'en savoir davantage sur Dark Plagueis de maître de Dark Sidious. Il y a beaucoup de détails dans ce livre et c'est ce qui fait sa force mais aussi sa faiblesse. On y découvre au début Dark Plagueis en tant qu'apprenti avec son maitre Dark Tenebrous et puis rapidement le livre se centre sur Dark Plagueis en tant que maitre avec Palpatine/Dark Sidious comme apprenti. Ce roman est une parfaite introduction à l'épisode 1, il nous explique comment on en arrive aux événements du début du film. On y découvre les plans et les machinations des deux sith pour prendre le pouvoir petit à petit afin de s'emparer de la république. Il y a par contre beaucoup de longueurs et de passages inintéressants qui font que l'on s'ennuie un peu au fil du livre.



Au final ce livre fait tout de même partie des incontournables qu'il faut avoir lu pour qui aime l'univers Star Wars.

J'ai bien aimé. Or, il est préférable de le lire avant d'écouter le film. Puisqu'il s'agit véritablement mot pour mot ou presque de ce qui est représenté dans le film... Ça devient alors répétitif et on connait la suite.



Toutefois, excepté ce fait, j'ai apprécié l'aspect psychologique qui nous ai donné dans l'écriture. À l'écran, ce ne peut pas toujours être représenté avec exactitude. Avec les mots, l'on arrive à bien comprendre les sentiments des personnages et j'ai plus précisément aimé les points de vue d'Anakin et Qui-Gon. L'on pouvait bien ressentir leurs émotions.



J'aime beaucoup ce premier livre qui est en quelque sorte l'introduction à l'univers et aux personnages dont Anakin qui, comme nous le savons tous, deviendra grand. Dans tous les sens du terme. Ici, il a 9 ans, mais il est déjà très intelligent et conscient. Il tombe véritablement sous le charme de Padmé malgré son jeune âge et on peut ressentir qu'il possède une vieille âme sage. Du moins, presque.



J'ai rigolé lorsque Jar Jar Binks prénommait Obi-wan '' Obi-one'' ou ''Obi-un''.



J'ai aimé les petites querelles entre Obi-wan et son maître Qui-Gon. D'ailleurs, j'apprécie beaucoup plus le personnage d'obi-wan en écrit puisque l'on possède également son point de vue psychologique et je trouve qu'il ressort grandement.

Je dois dire que, cette conclusion est très triste. L'histoire d'Anakin est désolante et ça m'est impossible de ne ressentir aucune compassion pour ce personnage. C'est profondément ressentis dans le jeux des acteurs et dans les dialogues.



Énormément décevant également pour la perte totale d'Anakin. De sa mère, à Padmé, à Obi-Wan et à lui-même. Tout. Il a tout perdu. Et pour quelle raison? Parce qu'il voulait plus, parce qu'il n'avait jamais assez, ça l'a pourtant mené à ne plus rien avoir. Parce qu'il était contrôlé par sa vanité, son arrogance. Jeune il était pourtant pour devenir aussi puissant en un rien de temps. Jeune il était pourtant pour que sa vie entière ne se détermine de la sorte.



Palpatine savait qu'Anakin était fébrile et il en a profité pour jouer dans son esprit affaiblie et le faire tomber du mauvais côté. Palpatine possède cette énorme responsabilité dans la création de Darth Vador et ce n'est pas Obi-wan qui méritait d'être détesté par celui-ci, c'aurait dû être ce terrible Chancelier qui lui a tout enlevé en le manipulant.



Je me sens désolée pour Obi-wan. Parce qu'il a véritablement perdu un ami, un frère, un fils. Il l'aimait, ça oui. Aillant lu le livre, je peux mieux comprendre les émotions à l'égard de celui-ci et c'est si dommage.



Anakin était celui qui allait rétablir l'équilibre dans la force, c'était ce que disaient les Jedi. Pourtant, jamais ils ne lui ont laissé la possibilité d'en faire autant. Ils se méfiaient tant de lui qu'ils ont inconsciemment porté Anakin à se tourner vers Palpatine. Les jedi ont une responsabilité dans sa tombée, le comportement natif d'Anakin en a une autre, l'influence de Palpatine encore une autre. L'amour, en a-t-il également une place dans cette destiné ? Si Anakin ne serait pas tombé amoureux, n'aurait-il pas voulu devenir plus puissant pour sauver Padmé? Si Padmé ne serait pas tombée enceinte, ne serait-elle pas morte à l'accouchement? Tant de souffrance, tant de participation, tant de désespoir. C'est obscur, oui, obscure est cette finale.



Quel gaspillage pour cet Anakin Skywalker. Il était le plus gentil des petits garçons qui pouvait exister, le plus ambitieux des jedi qui pouvait exister, et le voilà dépourvu de toute moralité, de tout ce qu'il aimait et de ceux qui l'ont aimé. Destiné à de grandes choses, pour finir comme cela? Je suis chamboulée, scandalisée, outrée.



Il y a un côté que j'apprécie du côté obscur chez Kylo Ren, pour une simple raison : jamais nous ne voyons Kylo Ren d-e-v-e-n-i-r méchant. L'on le voit immédiatement en tant que mauvais, brièvement son histoire est raconté, mais pas autant que celle de Skywalker qui est raconté sur un laps de 14 ans. Tant de signes sont démontrés, de sous-entendus. Tant de bien l'on voit de lui, d'espoir. C'est difficile de l'imaginer devenir ce monstre, mais vraiment. Je ne veux simplement pas le voir ainsi, l'imaginer aussi vil. Je ne cesse de l'imaginer bon, remplis de courage, un héros.



Darth Vador n'est pas Anakin Skywalker. Pas pour moi. Je dirai comme Padmé, je dirais comme Luke. Il y a encore du bon en lui. Il s'est perdu, il n'a jamais voulu ça.



Et il passa le reste de sa vie à penser qu'il a tué Padmé, par les dires de Palpatine... Alors que c'est faux. Imaginez devoir vivre avec ce mensonge, n'en n'aillant pas conscience, vous croyez avoir tué l'être que vous aimiez le plus au monde.

Passé le sentiment de douce nostalgie qui s'impose à tout fan de Star Wars en retrouvant les héros de la trilogie originale, il faut admettre que le texte pâtit d'un style qui alterne entre le correct et le carrément moyen, peut-être pas aidé par une traduction qui paraît souvent assez approximative (en tout cas dans cette édition de 1992 aux Presses de la Cité).



La lecture demeure néanmoins agréable, notamment grâce à des personnages vraiment intéressants, à commencer par Thrawn, le principal antagoniste, et la mystérieuse Mara Jade. Surtout, le scénario s'avère très convaincant et parvient à nous tenir en haleine jusqu'à sa conclusion. Il constitue une suite bien plus cohérente et crédible que ce que nous aura malheureusement offert Disney bien des années plus tard.

Roman souvent cite parmis les meilleurs de l’univers étendu (ancien), l’œuvre de James Luceno souffre le chaud et le froid. Tout d’abord il est (comme beaucoup trop de romans récents) trop long. L’intrigue se délite dans des palabres parfois intéressantes mais souvent un brin ennuyeuse. Le bouquin se propose d’ailleurs de nous parler de Dark Plagueis mais, en réalité, il se centre surtout sur l’inévitable Palpatine. Ce-dernier devient la star du roman et, après une centaine de pages (les meilleures), le livre ne parle plus que de lui et de ses manigances pour s’imposer comme le chef suprême, le grand Seigneur Noir des Sith. Dooku et Dark Maul interviennent également, faisant largement le lien entre ce bouquin et la prélogie de Lucas (en particulier la « Menace fantôme »).

DARK PLAGUEIS démarre pourtant de belle manière et, durant son premier tiers, justifie les éloges de la plupart des chroniqueurs. Hélas, ensuite, le lecteur doit se contenter d’un ventre mou bien longuet qui occupe près de…300 pages ! Intrigues, blabla politiques et manipulations sont au programme. Le problème est qu’on sait déjà où tout cela nous mène et qu’on se demande si ça valait vraiment la peine de détailler en long et en large la manière dont Palpatine accède au pouvoir suprême. Heureusement les derniers chapitres redressent la barre et relance l’intérêt du lecteur.

Est-ce suffisant ? Sans doute pas. Plus condensé, moins verbeux, DARK PLAGUEIS aurait effectivement pu s’imposer parmi les plus belles réussites de l’univers littéraire « Star Wars ». En l’état il s’agit d’un roman beaucoup trop long et dispersé qui offre cependant quelques scènes intéressantes dans un ensemble qui tire souvent à la ligne, au point qu’on finit par survoler certains chapitres. Entre les pages et les pages consacrées au midi-chloriens, les pages et les pages sur la « règle des deux » et, surtout, les pages et les pages sur la manière dont Palpatine s’empare du pouvoir, le tout finit par tourner sévèrement en rond.

Dommage car certains moments du roman sont suffisamment réussis pour satisfaire le fan de « Star Wars » et permettent, malgré tout, d’arriver au bout de ce pavé (à condition de survoler les parties les plus soporifiques).

DARK PLAGUEIS n’est donc pas vraiment un mauvais bouquin, juste un livre qui oublie un peu trop vite le personnage de Plagueis pour se centrer sur Palpatine au risque de retrouver les défauts de « l’épisode 1 » : on connait la fin alors est-ce la peine de consacrer autant de temps au chemin, surtout lorsque celui-ci n’est pas spécialement passionnant ?


Lien : http://hellrick.over-blog.co..

Ce livre est une façon de redécouvrir le film l'épisode 1 la menace fantôme avec des détails en plus et 1 ou 2 scènes supplémentaires. La lecture est agréable, on découvre plus en profondeur les personnages, leurs doutes, leurs joies.

J'ai du mal cependant à savoir si j'ai apprécié le livre par nostalgie du film que j'avais beaucoup aimé et ou à cause du fait que j'adore l'univers Star Wars.