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Citations de Blutch (125)


Attention à ce que vous dites, Lucky Luke...

Une libération avant le procès et la condamnation, ça s'appelle une évasion.
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-Otto! Ce gosse vient de plonger la tête dans le bocal de caramels rouges qualité supérieure!
-Ceux à 1dollar les 100 gr?!!
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"Le cinématographe incite à la paresse intellectuelle et morale...Son public est aussi passif que les veaux qui regardent passer les trains...C'est un spectacle avilissant, à peine digne du pétomane de foire, et encore...en moins drôle !"
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Je viens d’avoir le président. Il a été formel : « L’humanité ne passera pas une année supplémentaire sans son Nouveau Nouveau Testament ».
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Dans son grand âge, Victor Hugo se levait la nuit et sortait… Il sortait pour se rendre dans les quartiers chauds de la capitale qu’il arpentait de long en large. Naturellement, il ne montait jamais avec l’une de ces dames… Non, s’il se donnait cette peine, c’était pour se montrer. Il voulait que le peuple de la nuit le voie et reconnaisse en lui le prestigieux homme de lettres qu’il était. Il désirait offrir à la pègre une vision grandeur nature du génie français. Ce génie prodigieux qu’il incarnait pleinement. Et rien qu’en le voyant passer devant eux, qu’ils ressentent confusément au tréfonds de leur âme perdue le besoin de devenir meilleurs. Bref, il voulait les inspirer. Pour les sauver, ma petite ! Ne serait-ce qu’un minimum !
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- En réalité, l'intransigeance maternelle ne fait qu'attiser notre passion pour Rahan qui du coup s'enrichit du sulfureux des lectures clandestines.
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Une cheval qui parle ? Il ne manquerait plus que ça !
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Tu sais ce que ça me fait d’être avec toi, Dagmar ? C’est comme d’être dans un parc d’attractions fermé pour l’hiver, où tout est silencieux et calme. Les manèges, les montagnes russes et les autos tamponneuses sont dans l’expectative. Et vlan ! Il suffit que tu m’embrasses dans le cou pour que les lumières s’allument. Que les stands s’ouvrent. Que la roue de la chance se mette à tourner. Que les visiteurs affluent. Que les manèges se remplissent. Que les machines à pop-corn débordent. Que le train des montagnes russes remonte la pente. Et que des feux d’artifice explosent au-dessus de la ville. Et nous n’en sommes encore qu’au divan.
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Festival à Marciac - C’est toujours pareil ! Dès qu’on fait un truc qui m’intéresse, tu fais la gueule !
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Je n’ai pas de mérite, sinon celui d’aimer.
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- Tiens, j’y pense ! Si on te donnait le choix… en quoi aimerais-tu être réincarné ?
- En rouleau de scotch.
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Je suis comme un vieux jouet. Je reste au fond de la boîte et je regarde les autres passer.
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- Farrah Fawcett sortit de ma vie le jour où j'ai lu dans Paris Match qu'elle était mariée avec Lee Majors, l'homme qui valait trois milliards.
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- Ton papa et moi avons travaillé ensemble. Je peux même affirmer que nous somme bon amis.
- Ça vous arrive souvent de faire sauter la maison de vos amis ?
- Je suis d'un naturel exubérant.
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_ Tu n'aimes pas les enfants, Lucky Luke ?
_ Pas trop, non.
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1991, évocation – Vues de très loin à la télévision, des lumières vertes dans le ciel d’une capitale arabe. L’hiver à Paris. Un chanteur romantique meurt seul, rue de Verneuil. Et l’été, ce musicien qu’on aimait sur la scène, debout sur ses pauvres jambes. C’est la dernière fois pour lui ici. Si nous, on ne le sait pas encore, lui doit s’ne douter. On retient son souffle tant il semble que la moindre brise peut l’emporter. Il scintille comme un Noël sur les Grands Boulevards. Le cocktail extravagant d’un mauvais garçon, d’un chef indien et d’une très vieille femme. Ce soir, aux anciens abattoirs de la ville, 40 ans de partenaires sont convoqués. Les anciens, jeunes défilent, soulignant un peu plus la solitude du vieux musicien. Dans trois mois, il sera mort.
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Je ne sais pas pourquoi je te raconte cette horrible histoire. Peut-être parce nous souffrons du même démon, et cette histoire nous appartient, tout comme nous lui appartenons.
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C’est au sujet, ô grand sachem, du travail que j’ai commencé sur la musique du jazz, il y a bien des lunes. Il s’agit maintenant de rassembler tout ce matériel en un volume présentable. […] C’est une chance mais aussi une responsabilité. […] Le livre en question doit réunir en recueil les histoires en une page que je faisais pour Jazzman, un journal de blancs. […] Au départ, je me sentais indomptable. Prêt pour mille histoires, et voilà qu’au bout de trente-six lunes, je tombe à genoux sur le sentier. Épuisé, lessivé et pire encore. Je suis écœuré, chef. Écœuré du jazz. Depuis quinze – vingt ans, j’en ai tellement convoité, acheté, accumulé, acheté, que je suis devenu une espèce de spécialiste. C’est ma vie et je tenais mon rôle, mais aujourd’hui (ne me demandez pas pourquoi) dès que je mets un CD dans le lecteur, c’est moi que je vois, c’est moi que j’entends. Moi. Moi dans un miroir. Coltrane, c’est moi ! Miles Davis, c’est moi ! Mingus, c’est moi ! et tous les autres, les grands, les petits ! Moi moi encore moi ! Je tourne en rond. Je ressasse. Il ne faut pas trop se fréquenter soi-même. Faudrait pouvoir s’oublier. […] Seulement voilà il y a ce livre. Tenez, les premières histoires 1991 et Créole Orchestra, le brave qui les a dessinées ces pages n’existe plus. Et moi qui vous parle aujourd’hui suis aussi éloigné de ce brave que peut l’être la capitale du grand-père blanc de la réserve misérable où nous croupissons. […] Ce livre est un mensonge Chef ! Que dois-je faire ?
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Vous avez l’air de sortir d’une vieille bande dessinée.
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Incartade. La femme est un caprice ; Incartade est son parfum.
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Régis Franc est connu pour sa BD sociale ..........?............. je sais ça vole pas haut

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