Edith

Un scénario qui nous fait voyager dans un fabuleux jardin au milieu d'une cour d'immeuble.

Un récit librement adaptée d'un roman qui nous transporte dans un monde simple, joyeux et à travers les yeux d'un enfant qui est coincé en vacances chez son oncle. On partage avec lui son émerveillement, sa joie et ses questionnements sur ce jardin et ses habitants.

"Il n'y a plus de temps!"



Angleterre, années 1950? C'est le début des vacances mais Tom doit passer les deux prochaines semaines en quarantaine chez son oncle et sa tante. Son frère a la rougeole. 

Sans camarade de jeu, il s'ennuie ferme dans l'appartement de cet immeuble.

Une nuit, à minuit, l'horloge du hall, sonne treize coups. Tom descend les escaliers et ouvre la porte qui donne habituellement sur la petite cour triste et grise de derrière. A sa place, un magnifique jardin se déploie à perte de vue! Il y rencontre une petite fille, Hatty...



Le jardin de minuit est l'adaptation d'un classique anglais de 1958 : Tom's midnight garden de Philippa Pearce, que je ne connaissais pas. 

J'ai aimé découvrir cette histoire dans une adaptation au dessin rond et coloré. Le jardin est un réel enchantement, on aimerait y déambuler avec Tom et Hatty. 

La BD d'Edith est tirée d'un des trois romans de Marie Desplechin parus à l' École des loisirs.

Chacun des romans présente des jeunes héroïnes dans des milieux différents.

Dans ce cas, Séraphine est pauvre, jolie, orpheline née aux lendemains des jours de la Commune qui a tué tant de pauvres gens révoltés contre le pouvoir.

L'histoire se passe à Montmartre en 1884. On y voit le début de la construction de la basilique.

La BD raconte le parcours de Séraphine tirée de la plus noire des misères par le père Sarrault qui paie une pension à Jeanne,une dame respectée mais très dure afin d'élever la petite. Elle vit de couture.

Il lui append à lire. Jeanne lui apprend à coudre.

Séraphine déteste coudre et va rendre visite à l'arbre de Sainte Rita avec sa tante Charlotte, une courtisane, pour rencontrer un autre destin.

Elle va continuer son chemin chez un couple de cabaretiers.

Ils sont honnêtes mais il faut travailler.

Séraphine découvre le monde des miséreux auquel elle a échappé et se prend de pitié pour un tout petit garçon qu'elle veut sauver de cette extrême pauvreté.

J'ose espérer que le roman de Marie Desplechin est moins ennuyeux que la bande dessinée qui comporte de très belles illustrations, sauf les personnages qui ont des visages un peu inexpressifs ou durs.

Le fond de l'histoire a de la valeur , surtout pour la personnalité de Séraphine, pour le cadre historique aussi.

Certaines illustrations sont réussies comme celle de l'arbre aux demandes à sainte Rita ou la représentation du père Sarrault ou le visage de Séraphine.

J'aurais aimé que cette adaptation graphique soit plus vivante, moins figée.

C’est une adaptation du roman jeunesse d’Emilie Desvaux. Elle a reçu le prix Pépites du Salon de Montreuil en 2015.

J’ai bien apprécié cette BD poétique où les héros voyagent dans le temps, construisant une belle amitié autour d’un fabuleux jardin. Un subtil mélange de mystère et d’émotions avec un graphisme classique et des contrastes de couleurs réussis. Un conte tout public sur l’amitié, le temps qui passe, l’importance des rêves d’enfant et le pouvoir de l’imaginaire, que je vous recommande de découvrir.
Lien : https://asia4ever2.wordpress..

(LE JARDIN DU TEMPS)



Cette BD écrite par Philippa Pearce est un "banguer"(quelque chose de

dingue) en terme histoire !

C'est l'histoire d un jeune garçons prénommer Tom qui est parti en

quarantaine chez sa tante et son oncle car il a attraper rougeole. Mais

arrivée dans cette immeuble ou habite sa tante et son oncle il a étais

préoccuper par un horloge et une pote qui mener au poubelle mais ils

ont de ne pas y touchais. Mais un jour il décida de désobéir a sa tante et

son oncle et ouvra la porte a ne pas ouvrir et il vivat une aventure et

une rencontre exceptionnelle.



Ce livre ma plus car il y avait du mystère de suspense et de la surprise, je

recommande ce livre au fan de BD qui aiment les aventure et le effet de

surprise.et pour ce qui préféré les roman il y en as.



Je trouve cette BD excellente !

Le jardin de minuit "Un voyage dans le temps"

L'époque historique se déroule au 20ème, un été pendant les vacances Tom Long est contraint de passer l'été chez son oncle Allan et sa tante Gwen.

Car son petit frère Peter à la rougeole et pour éviter qu'il l'attrape aussi.

L'appartement de son oncle et sa tante se situe en plein cœur de ville avec une petite cour a l’extérieur il partage l’immeuble avec madame Bartholomée une dame âgée qui habite au rez de chaussez. Tom s'installe sa nouvelle chambre. A peine arrivée l'ennuie le rattrape sans son frère le temps et long.

Cette nuit-la ne s'est pas dérouler comme toutes les nuits l'horloge a sonner 13 coups. Tom entendit cela il descendit les escaliers et ouvris une et vis un immense jardin avec une grande verrière et une magnifique orangerie. C'est également ici que vie une famille. Depuis que Tom a découvert le jardin il y retourne tous les soirs après les 13 coups. Et observe la famille qui y vie car il ne pas voir Tom.

Puis un soir il découvrit une petite fille qui est la seul à le voir depuis il vivent tout les deux des aventures incroyable dans le temps quelle mystère vivront t'ils.

Ce livre permet de s'évader dans le temps de voyage dans cette univers.

Je recommande se livre pour se qui aiment les aventures l'intrigue.

La citation que j'ai aimé c'est le passage à la fin ou Tom retrouve Harriet pour boire un thé.

La vie de Séraphine a bien mal commencé. Elle est née à l’hospice d’une mère mourante et aurait fini à l’orphelinat sans la bienveillance d’un vieux curé. Seulement voilà, les nonnes ne peuvent pas la garder. Que faire sinon prier Sainte Rita, patronne des causes désespérées ? Il faut croire que le père Sarrault a l’oreille de la sainte car celle-ci leur a vite envoyé une solution en la personne de Charlotte, la tante de l’enfant.

Ainsi, Séraphine grandit à Montmartre en cette fin de XIXe siècle, sous la protection d’un curé, d’une tante prostituée et de la couturière revêche à qui on l’a confiée. Mais Séraphine a bien d’autres aspirations que de bâtir des chemises et poser des boutonnières. Et puis elle est curieuse… Elle aimerait savoir qui étaient ses parents et ce que c’est que cette « Commune » que les adultes autour d’elle n‘évoquent qu’à demi-mot, éludant dès qu’elle ose poser une question. Alors, pourquoi ne pas s’en remettre une fois de plus à la sainte sous la protection de laquelle sa tragique naissance l’a placée ?

Cette BD est adaptée d’un roman jeunesse de Marie Desplechin que je n’ai pas lu, mais je pense y remédier un jour. J’ai beaucoup aimé Séraphine, jeune fille vive au caractère affirmé. Elle se montre aussi pragmatique qu’idéaliste, ce qui donne un intéressant contraste à son caractère, et change sans le savoir le monde autour d’elle. Par amour pour cette enfant, des gens qui ne se seraient jamais fréquentés en temps normal finissent par s’allier, ce qui est particulièrement émouvant, en plus de nous permettre un tour d’horizon de différentes classes sociales de l’époque.

Au-delà de l’histoire personnelle de la fillette, il y a celle de Montmartre et de ses habitants, celle de la Commune et de la plaie béante qu’elle a laissé. Tout cela est raconté de manière aussi pudique que touchante et m’a fait monter les larmes aux yeux plusieurs fois.

Cette BD est destinée à un jeune public, mais peut être appréciée à tout âge. Elle m’a donné envie de découvrir le roman.
Lien : https://livropathe.blogspot...

Je suis plutôt mitigée pour cette bd. Les illustrations sont belles, c'est bien écrit, le sujet est intéressant, mais je me suis un peu ennuyée...

Il est vrai que ce n'est pas un sujet qui me passionne en général. J'espérais donc que cette bd puisse me faire changer d'avis et ça n'a pas été le cas.

J'avais le roman dans ma pal et je ne pense pas que je le lirai.

Séraphine. Les filles du siècle.

Marie DESPLECHIN



Paris, butte Montmartre.

1885.

Les parisiens sont affaiblis par la commune et le sacré coeur est en construction comme un rappel constant.

C’est dans ce décor que vit Séraphine (Fifi) qui a 13 ans habite chez Jeanne (une sorte de nourrice un peu brutale), veuve et couturière qui va initier Fifi aux travaux d’aiguilles.

Il faut remercier Jeanne d’avoir accepté de s’occuper de Fifi puisque sa mère est morte en couche et son père disparu.

Le premier a avoir sauvé la vie du Fifi c’est le père Jules Sarrault puisqu’il l’a confié aux soeurs juste après sa naissance.

Et Charlotte bien sûr, sa tante prostituée qui lui rend parfois visite et lui laisse entrevoir une autre facette de la vie.

C’est donc dans ce Paris-village que se déroule le quotidien de cette fillette entre pauvreté, petits boulots, famine, portraitistes et croyances.

La seule croyance de Fifi c’est Sainte Rita à qui elle confie toutes ses prières, tout ses espoirs d’une vie autre que couturière…et il semble que cette dernière l’écoute.

Encore un joli tome de cette série « Les filles du siècle ». Le côté historique de la commune, de Louise Michel et des parisiens des années 1880 est très intéressant.

L’écriture est agréable et cette pauvre enfant attendrissante par son espièglerie et sa naïveté.

Je recommande cette série qui s’adresse autant au public jeunesse qu’au public adulte.

Club N°55 : BD non sélectionnée

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D'habitude la mise en contexte veut rendre un contenu intéressant mais là, c'est l'inverse.



L'histoire est plutôt sympa mais l'anecdote de la magnétiseuse est franchement vide de sens.



Gwen

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Malgré un dessin doux au style travaillé, je ne retiendrai pas cette histoire.



MR

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Je me rends compte qu'après une dizaine de jours, cette lecture ne m'a pas laissé de souvenirs particuliers.



Une BD qui n'est donc pas inoubliable.



JF

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L'auteure a été chez une magnétiseuse pour trouver l'inspiration, elle aurait tout aussi bien pu fixer un Krisprolls pendant 6 heures, le résultat aurait été aussi captivant.



Un récit sans grand intérêt, pour des visuels qui ne sont pas désagréables, et au final une BD absolument dispensable qu'on ne recommandera pas, même aux amateurs de Krisprolls.



Greg

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Séraphine est une jeune fille de 13 ans, née quelques mois après la Commune de Paris. Orpheline, elle a été recueillie par le Père Sarrault et est protégée de loin en loin par sa tante qui la confie à une veuve un peu rude (mais pas mauvaise) auprès de qui Séraphine apprend la couture.

Mais Séraphine ne veut pas devenir couturière et elle voudrait qu'on lui explique qui étaient ses parents.



Très attachante cette petite Séraphine ! Et le dessin d'Édith est chaleureux et envoûtant. On vit à Montmartre avec elle ! Destinée à un public adolescent, cette BD se lit avec bonheur, même quand on ne l'est plus depuis longtemps... Personnellement, ça me donne envie de lire le roman de Marie Desplechin.

Un titre incroyable !

J’imaginais Les Hauts de Hurlevent comme un roman sur un lieu énigmatique.

Le récit se déroule bien dans un espace limité entre Trushcross Grange et Hurlevent, mais Emily Brontë s’attache avant tout aux relations entre les personnages façon tragédie grecque.

Publié en 1847, le roman est d’une grande modernité et la traduction très actuelle de Frédéric Delebecque a presque un siècle.

Une saga cauchemardesque dans laquelle la limite de la cruauté ne semble jamais atteinte.

Quelle maîtrise pour une autrice qui n’avait pas trente ans.

Je connaissais déjà l’histoire pour avoir lu le roman dont elle est adaptée, même si je n’en avais quasi aucun souvenir, mais même si ça n’avait pas été le cas, l’intrigue est assez prévisible.



C’est une belle histoire, bien racontée, avec de chouettes dessins qui correspondent bien aux thèmes abordés et à l’aspect onirique de l’intrigue. Le travail pour différencier le réel des aventures de Tom dans le jardin est réussi, ça fonctionne bien.



Très bonne lecture, je recommande, mais ça reste une adaptation d’un classique de la littérature jeunesse pas forcément très palpitant ou original.
Lien : https://bienvenueducotedeche..

Certaines personnes s'inventent une vie, d'autres imaginent leurs vies antérieures. Et c'est un concept absolument fascinant qu'explore l'autrice dans cette bd originale.



D'une simple vision de magnétiseuse, la voilà qui déroule le récit fictif de son ancienne vie, celle d'un pécheur suédois, d'abord enfant malingre puis homme sans envergure, amateur de femme et d'alcool. Son ancien moi n'était décidément pas un homme respectable mais Edith parvient à nous conter sa vie avec talent et humanité.



J'ai aussi beaucoup apprécié son trait fin et délicat, et l'utilisation de couleurs douces qui font écho à la lumière éthérée des pays du nord. C'est donc un récit inhabituel qui fait d'un ancien soi banal, le personnage principal d'une aventure passée.



Ne me manque plus qu'a connaître l'adresse de sa magnétiseuse pour connaître mes anciennes incarnations à moi aussi!

Paris, fin du 19ème siècle. Les habitants de la Butte Montmartre essaient de vivre et d'échapper à la misère, ravalant leur frustration suite à la chute de la Commune, une révolution pleine d'idéal qui a été écrasée par l'armée. Au fil de ses aventures, Séraphine apprendra qui étaient ses parents disparus et fera de belles rencontres. Une héroïne super attachante !

Club N°50 : BD non sélectionnée mais achetée sur le budget jeunesse

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Avec une peinture sociale et politique de la fin du XIX, récit prenant d'une orpheline déterminée et éprise de liberté.



Wild57

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Edith au dessin.



On se laisse prendre aux aventures de cette jeune fille.



Éléphant

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Lien : https://mediatheque.lannion...

Passé antérieur



Dans une vie antérieure, Edith, l’autrice de l’album aurait été un pêcheur coureur de jupon, mort assassiné par un mari jaloux.



Ce biais narratif est indéniablement l’un des charmes de cet album au titre fleuve qui nous immerge dans la Suède du XVIIIe siècle, dérivant la rudesse du climat et la misère qui était le quotidien d’Edin Björnsson, enfant frêle et fragile qui allait s’abandonner à la torpeur après avoir perdu la seule femme qu’il ait vraiment aimé…



Porté par le trait sensible et délicat d’Edith, ce récit âpre, touchant et poétique s’avère fascinant et l’on ne peut qu’admirer le travail graphique et scénaristique de cette autrice qui construit, au fil de ses albums, une œuvre aussi singulière qu’envoûtante…


Lien : http://sdimag.fr/index.php?r..

Décidément les livres de Marie Desplechin, qu'ils soient en roman ou adaptés en bande dessinée, ils sont géniaux !

J'ai beaucoup aimé cette histoire qui finit par réunir pleins de personnages autour d'une petite fille atypique et son histoire ! Cela m'a donné envie de acheter les autres livres de la série en romans.

Au début j’étais sceptique car je n’aime pas du tout la couverture 👀 en revanche j’ai été agréable surprise par l’intérieur. Déjà, le titre annonçait la couleur 🤣 Il y a de l’humour dans les dialogues et j’ai adhéré au style du dessin ! La fin est assez improbable et ça va avec le reste du récit. On est dans des tons bleus-gris tout du long et je trouve que ça colle très bien avec les paysages décrits. J’ai vraiment fait une chouette découverte avec ce graphique, que je vous recommande donc 🫶🏻
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"Séraphine" se déroule en 1885 à Montmartre. Le récit suit la vie de Séraphine, une jeune fille de treize ans qui est pauvre. Elle n'a pour protection qu'un vieux curé, une tante prostituée et une veuve ronchon. Cependant, Séraphine ne veut pas devenir nonne car elle est trop insolente, et elle ne veut pas non plus devenir couturière car elle désire parler et voir du monde.



Séraphine rêve d'une vie libre et sans misère. Elle espère même qu'un jour Dieu sera une femme. Pour l'instant, elle décide de se tourner vers sainte Rita, la patronne des causes désespérées, afin de trouver une solution pour atteindre sa vie idéale.



La bd met en avant le désir de Séraphine de vivre une vie différente de celles qui sont traditionnellement proposées aux femmes de son époque.