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Critiques de Ielenna (180)
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Persona, tome 1 : La Capitale de lumière

Alors, avant de commencer cette critique, je remercie Babélio et les éditions Hachette pour l’envoi de ce roman !

Il faut savoir que lorsque Babélio m'a proposé de recevoir ce roman en échange d'une critique, j'ai lu le résumé et je savais que ça n'allait pas être un coup de cœur mais je pensais que cela pouvait toujours être une bonne lecture, sauf que j'en ressors assez mitigée.



Déjà, les points positif du romain reposent en grande partie sur l’univers.

Il est incroyable, très bien construit et développé. On est vraiment immergé dedans et c’est super original !



Sauf que, même si dans les romans de fantasy c’est toujours important de prendre le temps nécessaire pour planter le décor, je trouve que ça a pris un peu trop de temps dans ce récit là : à part vers la fin, il n’y a vraiment pas beaucoup d’action, ça rend le récit monotone et il m’est arrivé de m’ennuyer tellement il ne se passait rien d’intéressant.



Ensuite, pour rester sur les aspects du roman que j’ai moins aimé, les points de vue m'ont pas mal dérangée aussi. Parce que là, même si Andrea est le personnage principal, on s’y attache pas du tout.

Déjà, le fait que ce soit écrit à la troisième personne n’est pas super pour s’attacher à un protagoniste, et ceci additionné au fait qu'il y ait pas mal de points de vue différents de personnages qu'on ne voit que rarement, j'ai trouvé ça très perturbant.

Personnellement, je ne me suis attaché à aucun des personnages, ce qui est quand même bien triste, et qui rendait ma lecture encore plus longue.



Si on reste sur les protagonistes, un point que j’ai par contre beaucoup aimé, c’est la manière d’aborder la question de son identité. Les questions qu’Andréa se pose sont assez touchantes et véridiques : si tu peux changer d’apparence et de caractère à loisir, qui es-tu réellement ? Ou sont tes véritables pensées parmi celles de tes rôles ?

J’ai aussi aimé la sensibilité d’Isidore (qui est d’ailleurs peut être un des seuls personnage que j’ai apprécié), son caractère est très bien construit et touchant, en quelque sorte.

Néanmoins, à part lui, je ne suis pas arrivée à apprécier les autres personnages et il m’est arrivé assez souvent de m’ennuyer.



Quant à la narration, je l’ai trouvé très immersive mais il faut consacrer quand même pas mal de temps au roman pour être complètement plongé dedans, car la plume n’est pas non plus super fluide.



Pour conclure, j’ai été quand même un peu déçue parce que je me suis un peu ennuyée pendant ma lecture, en dépit de l’univers qui est très complet.
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Les chroniques des fleurs d'opale, tome 1.1..

Une histoire avec des Dieux, qui ont des descendants dans chacune des races présentes et la déesse Dorina qui marque un être de son choix. Le conflit entre humains et Neltiads est le point de départ de l’intrigue. L’opposition entre eux, se joue à peu de choses, au point qu’on a du mal à cerner le pourquoi. En effet, les Neltiads ne se distinguent que par des yeux violets, des tatouages sur les avant-bras.



L’histoire assez classique, d’une jeune Neltiads, différente de son propre peuple, puisqu’elle n’a qu’une marque sur le front et dont la famille a été massacrée. Elle trouve refuge dans un monastère, où l’origine de son tatouage va se révéler et la désigner comme incarnation terrestre de la déesse Dorina. De par sa nature, elle sera cloîtrée, pendant 11 ans, pour éviter d’attirer l’attention. Elle y reçoit une éducation religieuse, très stricte tout en devenant érudite.



Vous sentez venir le truc ? Le mouton qu’on engraisse pour le mener à l’abattoir…



La première centaine de page se lit avec plaisir pour découvrir l’intrigue et le monde construit. Tout bascule lorsque Diphtil, Astiran (son ami d’enfance : oui, elle n’a pas le droit de sortir, mais elle arrive à s’en faire un), son frère Naid (qu’elle croyait mort, mais qui ne l’est plus) et Yasalyn, mercenaire à la solde du prêtre du monastère, qui doit la ramener, car ses pouvoirs vont survenir à sa majorité et l’empereur du Royaume d’Edenor veut se les accaparer…



Je vous ai parlé du mouton qu’on engraissait…



Malheureusement, l’auteur m’a perdu, lorsque la romance a fait son entrée. Un amour naissant, idéalisé, niais. Et notre petite héroïne, qui était attachante, devient chiante au possible avec des scènes dignes de Barbara Cartland, emplies de clichés et sans aucune finesse. Elle a beau avoir grandi dans un monastère pendant 11 ans, on ne pourra pas me faire avaler qu’elle a zappé les 11 ans qu’elle a vécu libre au sein de sa famille. Le personnage que l’auteur a construit dans cette partie, n’a rien à voir avec une femme forte, c’est une personne anesthésiée, naïve, prude et sans intérêt.



Une fois qu’on « digère » notre répugnance à la romance, on est face à des personnages assez caricaturaux.



Certaines incohérences sont assez déplaisantes pour les relever, Naid 19 ans ? Guerrier, fort comme un taureau. Yasalyn, 17 ans, bombasse plantureuse, prostituée de son état et mercenaire à ses heures perdues ???



Deux personnalités aussi complexes ne peuvent être aussi jeunes, même si nous sommes dans la fantasy, il faut un minimum de cohérence. Leur psychologie a été finement travaillée et leur présence a rehaussé le niveau de l’intrigue ! Même leur amourette belle, torturée, est adulte… Donc moins niaise.



Dans l’ensemble, cette lecture a été en dents de scie. Parfois, plaisante, parfois horripilante…



La romance est tellement présente que l’intrigue n’existe plus. Au détriment des questions soulevées par l’univers imaginé.



En gros, c’est mignon, souvent niais… Heureusement que l’auteur a réussi à rebondir en relançant vers la fin, une intrigue mal exploitée.



Ce que j’ai le plus apprécié dans ma lecture, c’est le vocabulaire utilisé par l’auteur, une belle plume travaillée et utilisant un langage soutenu, mais qui parfois se voit entaché de mots familiers, qui arrivent comme un cheveu sur la soupe...



L'auteur aurait dû faire concourir son livre sans la catégorie Romance qui aurait été plus appropriée.
Lien : https://julitlesmots.com/201..
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Persona, tome 1 : La Capitale de lumière

Pour commencer, gros coup de cœur pour la cover ! Elle est superbe et reflète parfaitement l'ambiance antique du roman !



Dans cette histoire l'autrice nous transporte dans un monde original dans lequel les personnes touchées par la lumière ont un Don. Certains peuvent entendre le moindre petit son, d'autres ont la capacité d'apaiser les émotions ou encore de voir l'avenir... Les enfants dotés de pouvoirs sont enfermés dans des Officia et leur Dons sont mit au service des plus offrants. À 18 ans, ils ont le choix de se marier et se libérer de leur Don ou dans le cas contraire, ils rejoignent le Culte de la Lumière.



Ici nous allons suivre Andrea, un persona, c'est à dire qu'il peut changer d'apparence grâce à ses masques. Lui et ses amis vont être recrutés par la mystérieuse Madame Desideria pour une mission d'infiltration au palais.



Ce livre m'a beaucoup plu pour pleins de raisons ! Tout d'abord, j'ai adoré l'univers antique dans lequel on évolue. On a peu de description mais on arrive sans mal à visualiser les scènes et les lieux. C'était une lecture très immersive ! J'ai également apprécié les thèmes abordés : La différence, l'acceptation de soi, la quête d'identité, l'autisme, la notion de liberté etc...



Mais le gros point fort de ce roman est pour moi la diversité de ces personnages ! Chacun est unique, ils ont tous une personnalité bien distincte. Il est impossible de ne pas s'identifier au moins à l'un d'eux ! Ils sont tous attachants mais j'ai un petit coup de cœur pour Isidore car je me reconnais un peu en lui ! J'ai aussi adoré Pax, une petite fille de l'official que Andrea à prit sous son aile. Elle est adorable et leur amitié est attendrissante.



À mon grand regret Pax n'est pas très présente dans ce premier tome mais elle le sera bien plus dans le suivant ! Je suis impatiente dans savoir plus sur son Don qui reste un mystère !



La première moitié du roman est plutôt lente, mais rien de dérangeant car l'autrice pose bien les bases de son histoire, explique les différents Dons et nous présente ses personnages. Une fois l'action lancée, le récit est rythmé et c'est un veritable page turner !



Très hâte de lire la suite et de découvrir un peu plus l'univers de Ielenna !
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Persona, tome 1 : La Capitale de lumière

Ça y’est, je suis enfin parvenue à finir ce premier tome ! Dix jours, c'était long, surtout qu’à chaque fois, je m’impatientais de pouvoir me plonger à nouveau dedans. Ma lenteur de lecture n’a rien à voir avec le contenu de ce livre, pour tout vous dire. En effet, je suis tombée malade et à cause de mes montées de fièvre, j'avais les yeux trop douloureux pour pouvoir ne serait-ce que lire une seule page… Je me suis évidemment rattrapée dès que je me suis sentie mieux ! Et pour cause, ce livre est juste splendide ! Il aborde tellement de sujets qui sont, en quelque sorte, d’actualité depuis un moment. Les inégalités, les complots des gens haut placés au détriment des plus petits et notamment les préjugés quant à ceux qui n’entrent pas dans les cases prédéfinies par ceux qui les ont établis. Andrea est un personnage aux multiples facettes, il a un don exceptionnel et pourtant, c'est quelqu’un tout en compassion, en empathie et en positivité. Ces amis ont, eux aussi, leurs traits de caractère et d’intelligence particuliers. L’esprit d’équipe, de famille et d’unité sont très présents dans ce tome et ils sont particulièrement bien décrits. C’est donc sans surprise que je suis satisfaite d’avoir la suite à portée de main afin de pouvoir poursuivre mon aventure livresque en compagnie de ces protagonistes talentueux entourés de paysages magnifiques et passionnants ! Comme vous avez pu le constater, c’est un nouveau coup de cœur livresque pour moi.
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Persona, tome 1 : La Capitale de lumière

La force de ce récit réside surtout dans la particularité de ses intervenants. Tous dotés d'une personnalité originale, on se retrouve embarqués dans une aventure avant tout humaine, agrémentée de magie, et auréolée de secrets à découvrir. Ce premier tome est émouvant, trépidant, amusant, mais laisse aussi envisager une suite excitante.
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Les chroniques des fleurs d'opale, tome 1.1..

Je suis vraiment désolé pour cet avis qui ne sera pas positif bien que cette lecture me donnait tellement envie depuis si longtemps. Je n'avais pas lu les avis avant de me lancer, mais je vous conseille de le faire. J'aurai été le feuilleter avant de le prendre si j'avais su.



Nous sommes dans un monde qui mêle des dieux, des créatures et différents peuples... Diphtil est une jeune fille du peuple de l'air étant sauvée en territoire ennemi grâce au symbole qu'elle arbore sur le front, suite à l'attaque de son village. Elle serait la cinquième fille de la Déesse Aveugle.



Séquestrée dans un monastère et manipulée par le prêtre Sarïn voulant la livrer au roi quand ses pouvoirs arriverons, un frère décide de la libèrer et se propose d'être son compagnon de fuite.



L'univers semble riche, il y a d'excellentes idées, mais je n'ai pas terminé le roman... Mon avis ne sera donc pas complet ! Je n'adhère pas au style trop soutenu de l'écriture, ça ne me semble pas du tout naturel. Il y a énormément de forme de style dans ce que j'ai pu lire et ça me gêne un peu. Par contre le fait que ce soit une Diphtil adulte qui raconte sa propre histoire est assez sympa ! Et la couverture est sublime &#xNaN;



Aussi, quand j'ai vu dans les avis que la romance prenait le dessus, alors j'ai laissé tomber. Je pensais que c'était une saga d'aventure fantasy avant tout. De plus, le rythme est plutôt lent dans la première moitié et ça me freine un peu pour lire la suite.



Donc ce livre n'est juste pas fait pour moi, mais il convient très bien à beaucoup de personnes. Les avis sont soit excellent soit plutôt orientés comme le mien, à vous de vous forger votre propre opinion.
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Persona, tome 1 : La Capitale de lumière

Persona, c’est le don d’Andrea dans la cité de Lux, ce monde où la lumière vous touche et vous offre des capacités. Les enfants touchés sont craints, limités dans leur liberté et loués pour leur service selon leurs dons. Le tout nous offre un roman de fantasy version antiquité qui aborde des thématiques variées (quête d’identité, différence…)



J’ai eu quelques difficultés à rédiger ce retour de lecture car ma lecture de “Persona” n’est pas forcément mitigée mais n’a pas été non plus exceptionnelle. L’univers est intéressant, la mythologie de ce monde est chouette (et m’avait d’ailleurs donné envie de lire ce roman), j’ai aimé que l’histoire se déroule dans l’Antiquité, et les personnages apportent des choses très intéressantes, notamment des sujets, mais ne marquent pas autant qu’attendu. Bref, une histoire prenante et bien ficelée qui manque de pas grand chose pour être un gros coup de cœur.



Un univers riche

Dans ce monde la religion est basée sur la Lumière. Si elle vous a ignoré ou si elle vous a touché vous êtes comme marqués et rejetés par la société. Dans le premier cas cela donne des personnes qui ne savent pas prendre de décisions seules, qui n’ont pas d’émotions etc. Dans le second cas vous avez de la Lumière en vous, ce qui vous donne des capacités particulières.

J’ai beaucoup aimé découvrir l’univers de “Persona”, leur religion, les pouvoirs, les particularités des contrées etc. le tout dans une ambiance Antique. Et cette idée de la Lumière qui vous touche ou pas peut entraîner de jolis débats. On juge toutes ces personnes et on les range dans une case précise et limitée de la société uniquement parce que la lumière les a ignorées ou touchées.



Des thématiques intéressantes via les personnages

Le personnage d’Andrea, notre personnage principal et le persona, est gender fluid de par son don de Persona. Il est asexuel, aromantique, et passe d’un genre à l’autre sans être ni l’un ni l’autre. Il peut devenir qui il veut, un personnage inventé ou une personne réelle, et adopter sa personnalité et sa manière d’être. J’aurai peut-être aimé que les pouvoirs soient plus développés, dont celui d’Andrea.

Les personnages secondaires sont eux aussi intéressants. Thisbé, persuadée qu’elle a un don qui ne sert pas à grand chose, cherche désespérément un partenaire. Parce qu’elle est romantique ? Pas du tout, parce qu’elle a presque 18 ans et que sa seule porte de sortie est de se marier et de renoncer à son don. Elle apprend à dépasser ses préjugés… entre autre.

Evander est le romantique de cette histoire. Il espère trouver quelqu’un, se marier et fonder une famille. Il manque de confiance en lui, fait des vannes pour compenser etc. Et celui d’Isidore aborde la thématique de l’autisme.

Toutes les thématiques abordées (l’identité, l’acceptation, la différence et sa force, les préjugés, l’amour…) le sont avec beaucoup de bienveillance.



Le conseil de la bibliothécaire : “Persona” s’adresse aux grands adolescents à partir de 14 ans (environ). Avis aux amateurs de fantasy. Et si vous voulez lire un autre roman de fantasy qui se déroule dans une période ressemblant à l’Antiquité, je vous conseille le dyptique : L’empire des femmes.
Lien : https://journaldunebibliothe..
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Persona, tome 1 : La Capitale de lumière

J'ai beaucoup apprécié ma lecture de ce premier tome de Persona. Le décor et l'univers sont magnifiques et la peinture faite par l'autrice a réussi à me plonger dedans.

J'ai eu l'impression ( et cela n'engage que moi) de retrouver une ambiance similaire à une saga que j'ai lu et adoré il y a quelques années, qui est la Passe Miroir de Christelle Dabos, tout en étant évidemment différente, et c'est quelque chose que j'ai également apprécié.



Les personnages sont attachants, et j'ai aimé les parts de gris de chacun et chacune.

Andrea est un personnage principal très réussi, Isidore est très intéressant, Pax est intriguante, Desideria est complexe, etc, etc, et j'ai hâte de retrouver les aventures que nous réserve la suite de la saga.
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Persona, tome 1 : La Capitale de lumière

L'autrice nous propulse dans un univers proche de la Rome antique où les enfants touchés par la lumière développent des dons et sont envoyés dans des officiums. Ces derniers leur permettent d'apprendre à maîtriser ces dons, qui par la suite sont monnayés. J'ai senti que le rythme montait progressivement en puissance avec un début assez lent qui nous permet d'appréhender au mieux l'univers riche et passionnant, ainsi que ses personnages.



Parmi eux, nous allons suivre principalement le point de vue d'Andrea, une personne qui peut changer d'apparence. A travers lui, on aborde le thème de la quête d'identité car à force d'emprunter diverses apparences, Andrea est influencé par celles-ci et ne sait plus vraiment qui il est. C'était une excellente idée mais c'est à double tranchant car à côté ça, il a tellement de facettes que j'ai eu du mal à le cerner. C'est d'ailleurs ce qui m'a empêché de m'attacher totalement à lui. Pourtant, j'ai apprécié ses valeurs et la découverte de son passé plutôt difficile. Sa relation avec la petite Pax est également trop chou !

Les personnages secondaires ne sont pas en reste car ils ont des pouvoirs originaux, peu vus en fantasy. De plus, chacun d'entre eux n'est ni tout noir ni tout blanc. Finalement chacun suit son propre objectif et c'est ce qui nous les rend plus proches, plus humains. Par exemple, il y a Thisbé que j'ai trouvé dans un premier temps égoïste mais qui a soif de liberté, ou encore Dame Desideria qui ne fait pas toujours les bons choix malgré ses intentions louables...



Pour conclure, j'ai passé un très agréable moment avec ce premier tome dont la fin laisse présager une suite plus mouvementée, que j'ai hâte de lire !
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Persona, tome 1 : La Capitale de lumière

En ce lundi, je vous présente un roman jeunesse : Persona – La capitale de la lumière.



Cependant, sachez que mon ressenti sur cette lecture n’est pas un avis littéraire. Je le chronique aujourd’hui puisque je l’ai reçu dans le cadre Masse Critique Babelio, mais je ne l’ai pas savouré, je me suis presque forcée à lire. Non pas que le roman ne m’intéressait pas, non, simplement mon esprit était ailleurs. Alors si je respecte aujourd’hui mon engagement temporel de chroniqueuse, je souhaite relire ce livre magnifique pour m’imprégner de son histoire et de partager avec vous ce qu’il me donnera.



***Première impression***

Quel livre magnifique !!! Avant même de le lire, la couverture lumineuse invite le lecteur à se questionner : faudra-t-il rester caché pour franchir, après un temps de réflexion dans cette allée arborée aux colonnes dignes de l’architecture romaine, les marches du temple “du soleil”.



Ouvrez-le, il est aussi somptueux sur toutes les pages : ce livre imprimé est décoré d’enluminures (numériques, certes). Du bleu et des dorures, rien que pour la couverture ? Bien sûr que non, mais c’est le premier contact avec l’ouvrage et ce fut une magnifique expérience.



***L’enfance méprisée***

Un peu comme les masques, ce bouquin a une face cachée. Nous entrons dans l’aventure pour faire connaissance avec le paysage de cette histoire : Dans le monde de Lux, les enfants qui ont été touchés par la Lumière développent des pouvoirs singuliers. Mais, loin d’être admirés, ces êtres exceptionnels sont craints et méprisés par le reste de la société.



Les enfants vivent dans leur Officium où ils apprennent à maitriser leur Don. Ils sont au service du Culte de la Lumière qui proposent leurs services aux plus fortunés. Méprisés mais exploités, Andrea, Evander et Thisbé sont amis. Souvent, ils se questionnent sur leur avenir : À leurs dix-huit ans, un terrible choix s’offre à eux : se marier et abandonner leur Don précieux, ou rejoindre le Culte de la Lumière, faisant ainsi une croix sur leur liberté.



Au cours de leurs “missions”, ils découvrent la vie en dehors de l’Officium, pour beaucoup, c’est une routine, jusqu’au jour où Dame Desideria fait son entrée avec une mystérieuse demande, une mission pour Andrea, Evander et Thisbé.



***La quête d’identité***

L’adolescence se caractérise par le fait d’être une période réservée à la réflexion sur soi. L’adolescent se demande qui il est et ce qu’il peut faire dans la vie. La recherche d’identité à l’adolescence est assurément l’une des tâches les plus importantes du cycle de la vie, et c’est la principale pendant cette période spécifique.



Andrea a toujours porté un masque, adoptant une nouvelle apparence et un nouveau rôle au gré des demandes du royaume. Plus qu’un Don, c’est sa seconde nature : Andrea est Persona. Adolescent, son souhait est d’être libre tout en conservant sa magie mais sait-il qui il est réellement ? Doté d’une forte empathie, le Persona est caméléon : il est le monde mais que connait-il de lui-même ?



Une thématique saisissante, n’est ce pas ?



***lucem affere***

Avez-vous planché sur les thèmes latins dans votre jeunesse ? Ce n’est pas mon cas puisque ma préférence fut la découverte du Grec ancien. Cependant, curieuse pathologique, j’ai noté trop de références à Rome pour laisser passer les formulations des personnages.



Lumière de la vie : lucem afferre — (Cicéron), secourir, sauver, rendre à la vie.



Dans ce roman, la lumière s’impose dans un décor où l’architecture de Rome ne peut échapper au lecteur, l‘originalité de la sculpture romaine m’a interpellée par la prégnance des statues. Voilà une œuvre que j’offrirais volontiers. En attendant, il intègre la Bibliothèque Nomade tant il est intéressant pour nos groupes de lecture.



Une lecture est un plaisir à partager avec les plus jeunes, pourquoi ne pas relever quelques points culturels ?



***La force de l’amitié***

La richesse de Persona en fait un livre aux entrées multiples dont l’une parlera à tous les lecteurs : la force de l’amitié chez nos jeunes personnages. La fonction de l’amitié est essentielle pour les jeunes, à tout âge, car elle apporte une sécurité affective dont ils ont besoin pour se construire. A l’adolescence, l’amitié a un impact important sur l’estime de soi : avoir un ami nourrit cette estime de soi et permet de mieux se connaitre.



Dans ses remerciements, la romancière n’oublie pas ceux qui, au cabinet d’ergothérapie, l’obligent à penser en dehors des cases de notre société. Certains d’entres eux ont inspiré les personnages transposés dans un monde imaginaire. Ainsi, la fantasy a une vraie fonction thérapeutique, tout comme les contes de fées qui vont permettre à l’enfant de faire des apprentissages de la vie et d’apprivoiser et d’affronter toutes ses peurs, aussi vieilles que l’humanité.



Laissez-vous guider par Andrea, Evander et Thisbé.



Quelle est ma conclusion ? Un roman fantasy bien écrit et qui se lit aisément. Andrea, Evander et Thisbé sont embarqués dans une aventure qui pourrait changer le cours de leur vie, mais ils connaissent aussi la trahison, la désillusion et un incroyable rebondissement dans les dernières pages. Tous les ingrédients ont été soigneusement choisis pour le plaisir du lecteur imaginatif.



Le livre I s’achève, mais l’aventure continue en septembre 2023 avec la Citadelle Sainte.

Je remercie très sincèrement Pierre Krause, qui m’a fait parvenir cet ouvrage dans le cadre de l’opération Masse Critique privilégiée. Je suis touchée par votre confiance renouvelée.


Lien : https://lescrinsdubarde.net/..
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Persona, tome 1 : La Capitale de lumière

Bonsoir à tous;



PERSONA TOME 1

LA CAPITALE DE LUMIÈRE



dans le cadre d'une masse critique organisée par Babelio.com , j'ai été choisi afin de faire un retour de lecture concernant "Persona" de l'autrice Ielenna

J'ai été très heureuse, d'autant plus que c'est un retour extrêmement positif.

Pour vous parler franchement, ne me fiant qu'aux couvertures pour mes achats, je serai certainement passée à côté de cette pépite littéraire. C'est un tort, mais je trouve que les quatrièmes de couverture en disent tellement trop.



Bref, heureusement, "Persona" s'est ouvert à moi.



Je m'attendais à lire un roman un peu jeunesse, un peu gentillet va-t-on dire. Un peu "c'est toujours pareil".

Mais pas du tout, certes nous sommes dans le "Young Adult" mais c'est tellement bien narré, et tellement bien décrit qu'on ne s'en rend pas compte.

Les personnages sont très attachants, nous ne pouvons que les apprécier.

Et tous, sans exceptions.

Je n'ai pas de préférences particulières, contrairement à d'autres livres que j'ai lus, je les apprécie tous.

Souvent, nous prenons parties pour les gentils ou les méchants, mais là il s'agit d'aller au-delà des préjugés, de combattre ses idéaux.

Il faut se laisser transporter par les sentiments de chacun, par leurs histoires et leurs diverses personnalités.

L'autrice maîtrise totalement ses personnages, et je vous assure que je suis vraiment très attachée à eux. À tel point que déjà en cours de lecture, je me demandais quand allait sortir la suite.

Sachez également qu'en lisant ce roman, vous constaterez que Ielenna nous parle d'inclusion sociale et qu'elle combat pour cette cause.

Tout le monde doit être accepté. Peu importe ses orientations, ses handicapes...Je ressens dans ce texte des combats rudement menés. Comme un coup de gueule, comme une volonté de vouloir faire avancer les gens et les choses.

J'ai été concerné par "Persona" ayant moi-même des personnes autour de moi avec certaines particularités. (qui font d'elles des gens magnifiques, je précise). J'ai donc pris cette histoire personnellement. Et c'est avec ravissement que l'auteure décrit sans fioritures un handicap en particulier, sans le nommer, mais que nous reconnaissons tout de suite. Elle le décrit avec tellement de bienveillance.

Comme certains auteurs elle fera de cet handicap, une force, un atout et je la remercie pour ça.





J'ai fortement apprécié les créations fantastiques (dons, pouvoirs et diverses autres choses). J'ai trouvé ça très original, et super bien trouvé.



La narration est exquise, les mots sont très bien choisis. Vraiment faites moi confiance tout est bon dans cet ouvrage.

Pourtant comme vous le savez je suis une lectrice difficile à contenter, donc mon retour est 100% honnête.

Je ne me suis pas du tout ennuyée au contraire, j'en redemande.



Je vous souhaite de découvrir rapidement ce bijou ainsi que Faos et ses contrées.

J'attends avec grande impatience septembre 2023 pour la suite, je serai l'une des premières à l'acheter.



Bonne soirée à tous,



Charlène
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Persona, tome 1 : La Capitale de lumière

C'est l'histoire d'Andrea 17 ans. Il vit avec d'autres enfants dans une officia. Ces enfants possèdent des dons. Andrea à le don de persona. Il peut créer des masques. Il peut être des hommes ou des femmes. Ils sont loués pour des missions selon le don que les personnes ont besoins. Un jour, Andrea et deux de ses camarades sont embauchés pour une périlleuse mission. Dame Desideria a pour idée de kidnapper le fiancé de la princesse Éloïse. Andrea et ses camarades, vont-ils y arriver ?

J'ai beaucoup aimé le livre. L'auteure a une écriture fluide. Je trouve qu' Andrea et Pax sont des personnages attachants. J'ai beaucoup aimé la relation entre Andrea et Pax. Andrea est comme un grand frère et il a pris sous son aile Pax. Andrea et ses deux camarades étaient unis mais la mission les à encore plu liés les uns aux autres. Dame Desideria et Andrea ont beaucoup discuté ensemble. Desideria fait confiance à Andrea. Elle trouve qu'Andrea à une certaine sensibilité un peu comme Isidore. J'ai beaucoup aimé le clin d'œil fait au livre La passeuse de mots d'A.J.Twice que j'ai lu. J'ai trouvé ça amusant. J'ai hâte de lire la suite des aventures d'Andrea et de ses amis. Le livre parle d'entraide, d'amitié, de mariage et de don.

Je remercie Babelio et les éditions Hachette Roman pour la découverte de ce livre.

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Les chroniques des fleurs d'opale, tome 1.2..

--- Et me voilà déçue… ---



Lorsque j’ai terminé la première partie, j’ignorais encore si j’allais poursuivre ma lecture, car je n’étais vraiment pas convaincue. Néanmoins, l’intrigue abordait un nouveau tournant vers la fin, qui me semblait intéressant. De ce fait, je me suis laissé tenter…



Hélas, l’auteure a choisi de faire machine arrière ; la direction empruntée n’était donc qu’une illusion. De plus, j’ai eu beaucoup de mal à me réhabituer au style pompeux de Diphtil, celle-ci étant la narratrice de l’histoire. Bref, les débuts ne m’ont pas franchement emballée.



--- Une overdose de romance ---



Force est de constater que je ne partage pas le penchant de Ielenna pour la romance. En effet, comme je m’y attendais, cette dernière est largement retombée dans ses travers. L’histoire tourne donc essentiellement autour des relations amoureuses que nouent les différents personnages, voire même de leurs relations sexuelles. Pas vraiment ma tasse de thé !



De plus, ces épisodes étaient pour la plupart niais ou totalement improbables. Je vous donne un exemple : lors d’une fête organisée, Diphtil se lance inexplicablement dans un concours de séduction face à une femme qu’elle jalouse. Le but ? Aguicher un homme de toutes les façons possibles devant un large public. Puéril, vous en conviendrez !



--- Un concentré de clichés ---



Ils sont très nombreux concernant la romance, mais je ne reviendrai pas sur ce point, car d’autres aspects du livre sont également impactés. Cela n’est guère étonnant, en fin de compte, puisqu’il s’agit de high fantasy. Néanmoins… que de stéréotypes : une héroïne élue des dieux et promise à un très grand avenir – celui de sauver son peuple ! -, des personnages toujours forts et courageux, capables de tout endurer, un démon en guise d’antagoniste, une lutte sans merci pour le vaincre, etc. Alors oui, j’aime la fantasy, mais lorsqu’un roman réunit tous les clichés du genre, il est difficile pour moi de garder mon calme.



Seul point positif : l’univers, dont l’originalité ne fait aucun doute. Certes, l’utilisation des dieux et des déesses est récurrente dans les littératures de l’imaginaire, mais Ielanna est parvenue à sortir des sentiers battus.



--- Beaucoup de pages pour pas grand-chose ---



Je pense sincèrement que ce premier tome aurait pu tenir en un seul volume, à condition de supprimer les éléments superflus, et tout particulièrement les épisodes romantiques. Car, après plus de 200 pages, j’avais l’impression que nos héros en étaient toujours au même stade.



Mais dans ce cas, pourquoi avoir poursuivi ma lecture ? En vérité, je me pose encore la question ! J’avais d’ailleurs l’intention d’abandonner après le premier tiers du roman, et puis… je suis tombée sur un chapitre plus passionnant que les autres, relatant les passés respectifs de Naid et de Yasalyn. Bref, j’ai eu envie de connaître la suite.



Mal m’en a pris ; j’ai autant détesté le début que la fin du livre. En effet, passé le combat final que j’ai trouvé trop facile, l’auteure s’attarde une fois de trop sur les relations entre ses personnages, et ce fut d’un mièvre affligeant !



--- Je renonce à la suite ---



C’est décidé, je ne lirai pas le tome 2. Pourtant, je reste convaincue que cette histoire aurait pu être très bonne, quoique classique. Mais l’intrigue s’est perdue dans les clichés et les facilités et Ielenna n’exploite pas tout son potentiel. Le récit emprunte d’ailleurs de multiples chemins, sans jamais aboutir, ou si peu. Dommage, vraiment !
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Les chroniques des fleurs d'opale, tome 1.1..

J'’avais repéré ce roman sur Ulule et avais hésité à participer à son financement. Après la lecture de ce premier tome, je suis plus que ravie de m’en être abstenue. Je ne vais pas tourner autour du pot, que cette lecture fut laborieuse et frustrante, et c’est dommage, car il y avait du potentiel ! Maintes fois, j’ai été tentée d’éteindre ma liseuse et d’abandonner ma lecture. Ce n’est que l’engagement de lire tous les titres de la présélection faite en qualité de membre du jury qui m’a permis de tenir.



Je vais commencer par le gros problème de ce roman pour moi : le style d’écriture. Si vous me suivez régulièrement, vous savez probablement que les belles plumes, les longues phrases et l’occurrence de mots peu usités me ravissent. Mais malheureusement, la juxtaposition de mots rares et l’utilisation de nombreuses métaphores ne m’ont pas convaincue ici, car l’ensemble manque cruellement de fluidité et de spontanéité. Et je ne parle pas des mots parfois employés à mauvais escient… L’auteure a, en outre, voulu faire parler son héroïne comme une érudite, mais on tombe dans l’excès avec cette impression que tout est exagéré et surjoué, ce qui rend l’histoire pesante et, pour ma part, peu agréable à lire. C’est dommage, car on peut proposer aux lecteurs un style étudié et riche tout en veillant à rendre les propos fluides et plaisants…



J’aime les belles plumes, mais j’aime surtout les auteurs qui se montrent naturels dans leurs écrits et qui ne semblent pas chercher à coller à des schémas ou à un style de littérature…. Or ici, je n’ai pas pu m’empêcher d’avoir le sentiment de lire un exercice de style qui s’étend sur des centaines de pages. La lourdeur des phrases, en plus de plomber la narration, se fait ressentir jusque dans les dialogues qui en deviennent irritants, l’héroïne se prenant pour une dramaturge. Je sais que la jeune fille a été élevée dans un monastère, mais elle a quand même vécu onze ans dans sa famille et puis, le moine qui s’est occupé d’elle et qui est vraisemblablement encore plus érudit qu’elle ne parle pas comme elle le fait. En bref, rien n’explique pour moi la manière de parler de Diphtil si ce n’est éventuellement une manière de souligner sa suffisance et son plaisir à s’écouter…



Malgré ces points qui m’ont donné du fil à retordre, je dois dire que j’ai commencé à accrocher à l’intrigue dans les 150 dernières pages où j’ai eu le sentiment que la narration et les dialogues gagnaient en spontanéité et en fluidité. L’autrice a ainsi réussi à éveiller mon intérêt grâce à des rebondissements et à une certaine tension. Cela n’a pas rattrapé les débuts laborieux, mais ça m’a quand même permis de finir l’histoire sur une note bien moins négative. Je dois même avouer que l’auteure a su très agréablement me surprendre lors des derniers chapitres notamment avec un événement traumatisant vécu par l’un des personnages et auquel je ne m’attendais pas. J’avais bien senti poindre le danger, mais je n’aurais jamais pensé que l’autrice oserait s’aventurer aussi loin dans l’horreur.



Même chose pour un départ inattendu que j’espère non-définitif… Oui, car si j’ai levé les yeux au ciel une bonne partie de ma lecture, j’ai fini par m’attacher à certains personnages, ou du moins, à leur souhaiter un minimum de bonheur. La fin, à cet égard, pose un certain nombre de questions qui ont attisé ma curiosité. Je ne pense pas lire la suite, sauf si quelqu’un m’assure que le style d’écriture a gagné en fluidité, mais si vous avez cédé aux sirènes de la deuxième partie de ce premier tome, je serais curieuse d’en connaître les grandes lignes (enfin, en message privé histoire de ne pas spoiler les autres lecteurs).



Au-delà de la dernière partie où réside, pour moi, le principal intérêt de cette lecture, j’ai également beaucoup apprécié la mythologie mise en place par l’autrice avec, entre autres, une prophétie qui changera pour le meilleur, et surtout pour le pire, le destin de notre héroïne. J’ai aimé découvrir les différents dieux, mais c’est surtout le formidable bestiaire qu’elle nous propose qui a su me conquérir. Moi qui adore les créatures en tout genre, j’ai été plus que comblée et j’aurais adoré que le roman soit parsemé de quelques illustrations afin de les mettre en valeur. Quoi qu’il en soit, on sent que l’univers est riche et très bien pensé et qu’aucun détail n’est laissé de côté. D’ailleurs, je ne doute pas du travail de fourmi réalisé par l’autrice pour rendre le tout cohérent et immersif.



Il y a aussi quelques moments de vie et de convivialité, des conversations entre amis ou entre amoureux qui ont apporté cette spontanéité qui a tant fait défaut à la narration et à certains dialogues. À travers les échanges, parfois amicaux parfois plus frontaux, on apprend à mieux connaître les personnages, leurs forces et leurs faiblesses. Si l’héroïne m’a agacée une grande partie du roman, j’ai beaucoup apprécié Yasalyn au point de regretter que le livre ne lui soit pas consacré. Ce personnage n’est pas exempt de défauts (une personnalité peu crédible au regard de son âge, une coquille qui se brise dès les premiers émois amoureux…), mais il présente cette complexité prompte à stimuler l’imagination et l’intérêt des lecteurs. Dès le début, cette jeune femme dégage une aura de danger et de mystère qui la rend intéressante surtout si on la compare à l’exaspérante et naïve Diphtil. Ses dialogues intérieurs empreints d’une grande violence, son refus de s’attacher, son insolence cachant une certaine fragilité, sont tout autant d’éléments qui donnent envie de briser sa carapace pour découvrir ses plus sombres secrets. Et puis, avec deux révélations la concernant dont l’une se révèle particulièrement fracassante, on peut dire que l’auteure a su soigner son personnage ! Je ne peux pas en dire plus, mais la situation finale dans laquelle elle se trouve m’a semblé cruelle et tellement injuste…



Amateurs de romance, vous allez être ravis puisque les relations amoureuses sont une part importante du livre. Si c’est quelque chose qui, en général, m’exaspère, ici cela ne m’a pas gênée. Il faut dire que le style de narration m’avait tellement agacée et blasée que même des licornes dansant un moonwalk ne m’auraient pas dérangée outre mesure. Et puis, je vais même avouer avoir trouvé l’une des deux romances particulièrement touchante. Les deux amoureux ont vécu des choses difficiles, et c’est, d’une certaine manière, dans les bras l’un de l’autre qu’ils vont apprendre à accepter leurs émotions et leurs failles. En nous évitant des passages un peu trop fleur bleue, j’ai trouvé que l’autrice nous offrait une romance un peu plus mature que ce qu’on peut trouver dans certains livres. Je reconnais néanmoins que l’autre couple du livre est d’une mièvrerie sans nom.



À noter que sont proposés deux bonus en fin d’ouvrage : une scène du livre vue du point de vue d’un autre personnage et une histoire assez émouvante que je vous laisserai le plaisir de découvrir.



En conclusion, ce premier tome, malgré une sublime couverture et de bonnes idées, n’est pas un roman qui a su me convaincre. La faute à un style d’écriture qui, par l’abus de figures stylistiques et d’un vocabulaire parfois pompeux sans raison, rend la lecture quelque peu laborieuse. Si, pour vous, la fluidité de la plume est un critère primordial dans le choix d’une lecture, je pense que vous pouvez passer votre chemin… Par contre, si vous êtes en quête d’une histoire à l’univers extrêmement riche et détaillé, je vous invite à vous laisser tenter. Mais avant, je vous conseillerais peut-être de feuilleter un extrait du roman… N’hésitez pas non plus à aller lire d’autres avis que le mien, car vous rencontrerez sur le net de nombreuses personnes ayant apprécié la plume de l’autrice. N’oublions pas que comme tout avis, le mien est subjectif et que ce n’est pas parce que ce livre m’a déplu qu’il ne vous fera pas vivre mille émotions.
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Les chroniques des fleurs d'opale, tome 1.1..

Bon, il est vrai que pour ce livre, je triche un peu, étant donné que je l'avais déjà lu bien avant sa sortie, car j'ai eu la chance de le corriger. Néanmoins, il me tenait à cœur de le relire en tant que lectrice et pas avec mes yeux de bêta. Et je dois dire que c'est un pari réussi, car j'ai découvert d'une autre manière cet univers.



Diphtil n'est pas une humaine. C'est une Neltiad. Un être détesté des humain. Le jour où son village se fait attaquer par ces humains, sa vie prend un tournant décisif. Séparée de son petit frère, elle trouve refuge dans un monastère. Très vite cataloguée comme une déesse, elle sera choyée, mais surtout enfermée dans une prison dorée, dont elle n'a pas le droit de sortir. Cependant, le Destin est le seul décideur d'une vie, et pour celle de Diphtil, il en a une idée bien précise...



Je ne vous cache pas que Diphtil m'a, à plusieurs reprises, agacée avec sa façon de parler, avec ses mots compliqués et son éducation de prêtresse. Néanmoins, il faut dire que c'est aussi un trait de caractère qui nous permet de s'attacher à elle et de mieux la comprendre. Oui, c'est un peu paradoxal, mais pourtant, c'est bel et bien la vérité. Sa naïveté, sa non connaissance du monde, font d'elle une personne attachante malgré tout. Une enfant qui grandit à peine, en quelques sortes, alors qu'elle est une belle jeune femme.



Réfractaire à sortir de sa cage dorée, elle finira par accepter, mais surtout découvrir un monde qu'elle pensait différent et hostile. Bien évidemment, ce n'est pas le monde des bisounours, et de ce côté-là, l'auteure nous le fait bien comprendre néanmoins, elle va découvrir qu'elle peut compter sur des gens, qu'elle peut faire confiance.



Durant ce périple, elle est accompagnée d'Astiran, le seul humain pour qui elle a réellement de l'affection et qu'elle a connu pendant ses années au temple. Un réel lien d'affection est né entre eux, et même s'il est vrai que parfois Diphtil peut être agaçante à tergiverser, il n'en est pas moins que c'est un duo attachant. Astiran est un jeune homme prêt à tout pour protéger son amie. Il est dévoué, loyal et intelligent.



Ensuite, nous avons évidemment Naid ! Le petit frère retrouvé et qui est venu la sauver du monastère. Lui, c'est un peu le petit frère dont tout le monde rêve. Il aime profondément sa sœur, c'est un fait qui n'est plus à prouver, néanmoins, il a aussi un caractère de cochon. Et pas des moindres ! Mais si d'habitude ce genre de caractère peut agacer, ici, je l'ai trouvé terriblement touchant et même drôle. Il grogne tout le temps, n'est jamais content, mais on peut dire que ça met un peu d'ambiance pour le voyage !



Je vous parlerai bien de tous les personnages que nous croisons, mais ce serait vous gâcher la découverte, croyez-moi. Certains en valent vraiment le détour. Pour ce qui est de l'intrigue, il est vrai que cette première partie a parfois des moments assez longs. Ils traînent souvent en longueur, et un peu plus d'action ne m'aurait pas dérangée. Néanmoins, c'est un tome introductif, et il fallait bien faire découvrir l'univers. Certains bouleversements sont cependant à prévoir, surtout à la fin. La particularité de cette histoire, c'est que l'auteure ne chouchoute pas ses personnages. Elle leur fait vivre des atrocités, rendant ainsi me récit beaucoup plus réaliste. ​



​En résumé, voilà un premier tome qui pose les bases d'un univers très complexe et complet à la fois. Si parfois le roman a quelques faiblesses et des passages un peu longs, les personnages riches et variés nous permettent d'apprendre encore plus toutes les subtilités de l'univers.
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Persona, tome 1 : La Capitale de lumière

Si j'ai pu loupé la vague sur ses romans Les chroniques des fleurs d'opale, je n'ai pas loupé la sortie de cette nouvelle série ☺ La période gréco-romaine m'a toujours passionnée et c'est dans ce décor que l'on part à l'aventure !



Dans cet univers, la place hiérarchique est primordiale, mais il y a aussi un point qui rencontre en compte : Celles et ceux qui sont touchés par la Lumière possèdent un Don. Malheureusement, ils sont craints et enfermés à l'Officium où ils apprendront à utiliser leur Don et qui sera mis au plus offrand pour des missions. C'est dans cet endroit que nous rencontrons Andrea, un jeune homme ayant le don de Persona, ce qui signifie qu'il peut mettre des "masques" et prendre l'apparence d'une autre personne. Cela va attirer une noble, Desideria, qui va offrir une mission au jeune homme, ainsi qu'à deux de ses amis : Evander et Thisbé. Nos trois comparses vont donc accéder à des privilèges qu'ils n'avaient pas jusque là, mais ils vont surtout devoir redoubler d'ingéniosité pour aller au bout de la mission ...





L'immersion dans cet univers se fait directement, nous avons des explications principales sur les dons de chacun, on ressent bien le mépris pour ceux qui ont le don, ce qui amène à une grosse empathie dès le début. Andrea, Evander et Thisbé sont différents, mais se complètent à merveilles. Ils vont avoir besoin de ce soutien mutuel pour bien des raisons ! La mission qui leur est imposée n'est pas sans conséquences : Desideria souhaite mettre un terme au mariage princier qui se prépare entre la princesse Eloïse et son mystérieux fiancé. Je trouve que, d'emblée, il est délicat de se poser pour l'un ou l'autre des partis. Est-ce que notre trio s'embarque du bon côté, des gentils ? Puisque que Desideria ne semble pas mauvaise. Mais les conséquences de ce cafouillage iront bien loin pour eux ... Est-ce donc un mal pour un bien ?

Bien entendu, il faudra lire pour bien comprendre les termes, bien cerner tous les personnages et pouvoir se faire son propre avis.





J'avoue ne pas du tout avoir anticipé ce qui allait se passer et c'est une excellente chose ! J'ai savourer ma lecture, j'ai admirer l'évolution des personnages, mais surtout, j'ai adoré les messages qu'ils diffusent. Par exemple, Thisbé, une jeune femme de couleur qui demande à plusieurs reprises comment s'imposer dans cette société. Evander qui tente de cacher ses sentiments car il a l'image du beau gosse invincible, mais surtout Andrea qui met en avant les différentes personnalités qu'il peut prendre, sans pouvoir se décrire réellement.

Nous avons également des personnages qui pourraient être décrits comme secondaires, mais qui ont tous une part importante dans l'histoire. Que ce soit de suite, comme Melchior pour la princesse Eloïse, ou qui aura son importance plus tard, comme la petite Pax ♥





Ce premier tome est proche du coup de coeur, il m'a beaucoup entraîné, mais cette fin me donne encore plus envie de plonger dans le tome 2 ! Heureusement, le fait d'avoir attendu me permet de ne pas trop traîner entre les deux ☺ On se retrouve donc bientôt pour la suite !


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Persona, tome 1 : La Capitale de lumière

Dans le monde de Lux, certains enfants semblent dotés de capacités spéciales. Ils rejoignent alors l’Officium, où ils apprennent à maitriser leur Don. C’est là qu’Andrea, Evander et Thisbé se sont rencontrés et se sont liés d’amitié. Désormais au service du Culte de la Lumière durant leur apprentissage, bien que méprisés par le reste de la société, ils accomplissent diverses missions qui leurs sont confiées par le royaume. Jusqu’au jour où Dame Desideria vient les recruter tous les trois pour une mission plus « spéciale » que les autres…



J’ai été très agréablement surprise ! Je ne m’attendais pas à un univers aussi abouti, riche en détails et très bien exploité, sans pour autant être trop complexe non plus. La prise en main a été assez rapide, ce qui est un gros plus quand on découvre un nouvel imaginaire, et l’autrice nous embarque aisément dans son monde qui s’inspire de l’Antiquité. Et, en grande amoureuse du monde antique, je ne pouvais que craquer.



Le cadre de l’histoire a été un véritable coup de coeur. Ce mélange entre Antiquité et fantastique est une vraie réussite, et l’autrice a su rendre tout cela aussi fluide qu’addictif. Les pages se tournent toutes seules pendant que les évènements s’enchainent sans aucun temps morts, et l’autrice n’oublie pas pour autant de continuer à distiller quelques éléments de son univers pour que le lecteur continue d’en apprendre plus encore tout au long de l’histoire. C’est parfaitement rythmé et équilibré, et c’est ce qui rend ce premier tome aussi formidable.



J’ai un gros faible pour les personnages contrastés, ni bons, ni mauvais, mais toujours un peu des deux, et j’ai adoré retrouver cet élément ici. Le fait qu’Andrea soit Persona, une capacité qui lui permet d’endosser n’importe quelle identité, apparence, personnalité au gré de ses envies – et missions – était vraiment très intéressant. Sauf qu‘Andrea ne sait pas lui-même qui il est réellement. Véritable caméléon, lui qui est épris de liberté semble prisonnier de son Don, et j’avais beaucoup de mal à le cerner. J’ai également beaucoup aimé les spécificités des autres personnages, principaux comme secondaires, mais je n’ai pas réussi à m’attacher à un seul d’entre eux.



En définitive, j’ai beaucoup aimé l’univers imaginé par Ielenna dans cette série. Les pouvoirs mis en avant ici sont assez originaux, et j’ai adoré tout le questionnement tacite qu’il y a autour d’eux. Par contre, je regrette vraiment de ne pas avoir réussi à m’attacher aux personnages, qui ont des personnalités difficiles à saisir et assez fuyantes. Mais la fin, bien que prévisible, laisse présager une suite à la hauteur de l’univers développé dans ce premier tome. J’ai hâte de pouvoir m’y replonger !
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Persona, tome 1 : La Capitale de lumière

Je remercie beaucoup Babelio pour l’envoi de ce roman que je n’étais pas sur de m’acheter de mon cote!



Et finalement….un véritable coup de cœur qui a mis fin à ma panne de lecture!



On découvre un univers riche, bien développé. On suit un groupe de jeunes gens avec des dons, qui ont été placés dans des « centres » pour être loués pour leurs facultés.



Ils sont très attachants, leur situation et la considération de la population à leur égard ne laisse pas de marbre.



En effet, la population est divisée en plusieurs catégories: ceux qui on été touchés pas la lumière (qui pourront soit exercer leur don soit se marier et renoncer à leur don), ceux qui ont été ignorés (qui finissent esclaves le plus souvent) et enfin ceux qui ont été vus par la lumière.



La thématique de « caste », cette sorte de « ségrégation » fait réfléchir et ne peut que soutenir la lutte de nos personnages.



J’ai adoré l’intrigue, l’action, la tension montant crescendo au fur et à mesure de l’avancée du roman…et ce fut haletant!



J’ai hâte de retrouver nos personnages dans le tome 2!



Foncez lire ce livre!



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Persona, tome 1 : La Capitale de lumière

Avec ce roman Persona, Ielenna propose au lecteur d'embarquer pour une aventure fantasy rafraîchissante, drôle, aux personnages attachants.



A Faos, il existe trois sortes d'individus : ceux qui ont été ignorés par la Lumière (les Eluminati), ceux qui ont été reconnus par la Lumière, et ceux qui ont été touchés par la Lumière. Les membres de cette troisième catégorie développent des dons de diverses natures. Bien que cette magie les rendent puissants, ils sont prisonniers d'une société au service du Culte de Lumière.

Les enfants Touchés vivent enfermés dans un Officium, ils y apprennent à manier leurs pouvoirs et, à partir de 12 ans peuvent se voir attribuer des contrats. À leur majorité, ils peuvent faire le choix de se marier et renoncer à leur don, ou bien, sont contraints de rejoindre les rangs du Culte.

Andrea, Evander et Thisbé, enfants de l'Officium Ouest, sont mandatés pour une mission bien étrange, dirigée par Dame Desideria. Une occasion de bouleverser leur destin ?



J'ai globalement apprécié cette lecture, rythmée et fluide. Adaptée pour un roman jeunesse, elle offre un bon divertissement.



Le premier point fort réside dans l'immersion et l'ambiance. On s'éloigne du décor (souvent utilisé en fantasy) du médiéval fantastique, et on se rapproche de la Rome antique, avec ses colonnades et ses statues. L'immersion est parachevée par un vocabulaire latin qui ravira les etymologistes.



J'ai également été séduite par le système de magie, simple de compréhension, et plutôt original.



Enfin, la force du récit repose en grande partie sur ses personnages attachants (notamment Andréa et son empathie). L'autrice se sert de leurs histoires, de leurs rêves, de leurs craintes et de leurs personnalités pour diffuser certains messages :

- famille et amitié (Pax, Isidore)

- différence et tolérance (Pyrame),

- quête identitaire et quête du genre (Andréa),

- destinée et liberté (Thisbé).

Le roman évoque également des thèmes sociétaux, qui mériteraient d'être plus développés, notamment :

- les inégalités sociales,

- le rapport entre le pouvoir et la religion.



En conclusion, j'ai passé un agréable moment avec ce tome 1 Persona, la capitale de la Lumière. Facile à lire, rythmé, il correspond parfaitement au public jeunesse. Les thèmes abordés, notamment toutes les difficultés qui apparaissent à l'adolescence (intégration à un groupe social, quête identitaire etc) sont en cohérence avec le public visé. Pour ma part, je pense que j'aurais apprécié un peu plus de suspens, ou de complexité dans l'intrigue - mais cela reste une très bonne lecture. Je remercie l'équipe Babelio qui m'a permis de participer à l'opération masse critique.



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Persona, tome 1 : La Capitale de lumière

Gros coup de cœur pour ce roman lumineux !



J'ai vraiment adoré mon expérience de lecture avec ce livre : je n'en dirai donc que du bien. Si vous cherchez un avis nuancé, passez votre chemin XD



En tant que latiniste, l'univers m'a plu dès le début ! Je lis beaucoup de fantasy et elle est le plus souvent inspirée de l'époque médiévale : quel rafraichissement de déambuler en sandales avec les personnages dans un univers de colonnes et statues de marbre ! L'antiquité est ici très bien dépeinte et revisitée pour un monde qu'on prend plaisir à découvrir. Les nombreux mots en latin contribuent habilement à l'immersion.



Le système de magie m'a aussi directement plu ! Des pouvoirs originaux, qui nécessitent réflexion et stratégie dans leur utilisation et qui possèdent de nombreuses contraintes. La magie est d'ailleurs étroitement liée à l'organisation socio-économique et religieuse de cet univers : de quoi forger un monde cohérent et complexe.



Ceux qui m'ont directement emportée dans leur histoire ont aussi leur belle part de mérite ! J'ai apprécié le caractère nuancé des personnages : aucun n'est tout noir ou tout blanc, chacun agit selon ses besoins, ses aspirations et selon sa propre vision de ce qui est bien ou mal. Les antagonistes ont donc aussi leurs raisons, et certains nous sont même attachants.

Ceux que nous suivons particulièrement sont des adolescents coincés malgré eux dans un système à cause de leur pouvoir. Il est aisé de s'identifier à eux, à leurs doutes concernant le futur et à leur amitié indéfectible. J'ai beaucoup aimé Andrea : sa capacité d'empathie et son don de pouvoir se transformer en différents personnages en font un personnage agréable et drôle à suivre. Gros coup de cœur aussi pour Thisbé, Pax et Isidore.



Pas de perso principal badass, élu de la prophétie, pas de gros combat à mort sur fond de musique épique, mais des gens qui souhaitent survivre dans un monde qui les rejette. L'intrigue pourrait en paraître appauvrie. Et pourtant on ne s'ennuie pas une seconde entre les changements de point de vue, les missions périlleuses et les passages qui font éclater de rire.



Bref, je vais arrêter ici mes dithyrambes car si vous n'êtes pas convaincu.es à ce stade, je ne sais vraiment pas quoi dire de plus pour vous faire acheter ce bouquin XD Quoique... C'est une lecture à la fois lumineuse par son univers, mais aussi par ses thèmes : un appel à la bienveillance, à l'empathie, à l'acceptation de la différence et une très belle démonstration d'amour sous différentes formes et d'espoir. J'ai très hâte de découvrir la suite en septembre !
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