Le premier volume de la trilogie des romans Bakemonogatari de NisiOisiN arrive en France le 15 mai 2019.
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Au lieu d’un endroit où mourir, cherche un endroit où vivre.
Ce n'est peut-être pas qu'on fait des efforts pour réaliser nos rêves mais qu'on fait l'effort de rêver pour pouvoir faire des efforts.
Une solution qui rende tout le monde malheureux, ça, c'est dans mes cordes ! En bref, un moyen de répartir équitablement les retombées de tout ce cirque. Personne n'aura ce qu'il veut. Tout le monde sera malheureux. Mais... malheureux ensemble. Les torts seront divisés, rationnés et partagés. Sans que personne ne soit forcé de tous les endosser.
- On dit que les mots ont une vie propre ! Là où il n'y a rien, un simple mot peut donner naissance à quelque chose.
- Un peu comme les médisances qui peuvent avoir une incidence concrète. Un genre de malédiction, en un sens... On lance une rumeur, elle enfle, et cause des dommages.
Celle qui m’a le plus maltraitée, c’est moi-même.
Moi, j’aime l’argent. Pourquoi ? Parce que l’argent se substitue à tout. C’est un joker universel qui remplace n’importe quel bien. Il peut acheter des objets, des vies, des gens, des esprits… même le bonheur ou les rêves…
« Qui maudit quelqu’un finira dans la tombe avec lui », dit un proverbe. Maudire et être maudit, c’est la même action, en fin de compte. Un orifice à double sens qui relie la victime à son bourreau.
Je sais aussi que secourir quelqu’un sans le faire pour lui, ce n’est rien d’autre qu’un poison. Et qu’au bout du compte, ça ne rend service à personne.
- M'est avis que le coupable pourrait bien être une chimère du nom de "Grolourdo" !
- G... "Grolourdo" ? C'est quoi encore ce truc ? Où est-ce qu'il se planque ?
- On l'appelle aussi " Le roi des benêts". Un relou si long à la détente qu'on peut carrément le qualifier "d'anomalie" !
- Ah bon ? Mais de qui vous parlez, à la fin ?
J’ai conscience de te demander l’impossible. Je n’ignore ni l’angoisse, ni la souffrance qu’on peut ressentir quand on attend quelqu’un sans savoir s’il va revenir un jour. Mais je voudrais que toi, au moins, tu sois là pour moi. Je n’ai qu’une hâte, discuter encore de tout et de rien avec toi.