Vanyda

Ce tome est, pour moi, le meilleur de la trilogie. Valentine se retrouve, devient plus indépendante, apprend à s'ouvrir au monde et élargie son cercle d'amis. Un des personnages qui m'ont le plus plu : Melvin. J'adore son humour et sa façon d'être, si naturelle. L'histoire d'amour entre Charles et Valentine et très belle, très touchante et arrive vraiment au bon moment de l'histoire. J'ai beaucoup aimé et je le conseille !

Une jolie bande dessinée axée sur la recherche des origines de l'héroïne et de son ami. Finalement c'est son identité qu'elle va trouver au fil des pages. Un joli moment de lecture. Toutefois j'ai trouvé certains passages plutôt longs.

Ce livre vous fera chaud au coeur :)

Entre la BD et le manga, ce livre est un espoir d'amour à chaque page. Les dessins sont beaux, les personnages attachants et les émotions passent. Je termine ce livre avec la frustration de devoir attendre pour trouver le tome 2

Fan de la trilogie autour de Valentine et de "L'immeuble d'en face", j'ai été un peu moins emballée par les ouvrages suivants ("Entre ici et ailleurs" et "Un petit goût de noisette"). C'est encore le cas ici. Les dessins restent comme à chaque fois superbes : poétiques, ils cernent en quelques traits très justes le caractère, les émotions et hésitations des personnages. Par contre, j'ai trouvé les histoires assez inégales, certains personnages ont un petit côté "déjà vu" et parlent d'eux-même de façon parfois peu naturelle, un chouïa caricaturale. La lecture d cet opus reste un bon moment mais il est beaucoup moins prenant, moins touchant que les premiers titres cités.

Comme pour le tome 1, le lecteur découvre des histoires d’amour entre personnages variés, certains ont déjà été croisé dans le tome 1 et quelques uns sont nouveaux…

Une vieille dame se remarie après 40 ans de veuvage, des rencontres sur internet, un premier baiser échangé sur un banc, deux enfants jouant dans un parc, des rencontres inattendues, des retrouvailles… Les histoires se mêlent et se croisent.

C’est léger, tendre parfois drôle ou plus douloureux… C’est plein d’humanité, de poésie et de délicatesse…

C’est toujours aussi savoureux… et sur la quatrième de couverture, un tome 3 est prévu…
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Les dessins sont magnifiques, c’est mélange de styles manga et aquarelle. Cette BD nous raconte plusieurs courtes histoires autour de 12 personnages, des histoires de rencontres, des histoires d’amour en tout genre.

Corentin jongle dans la rue. Lorsque sa balle tombe, Éléonore, sa jeune voisine la lui rend. Un regard tendre s’échange entre eux. Ils se recroiseront et passeront du temps ensemble… Grâce à Erasmus et ses voyages autour du monde, Manon a fait de très belles rencontres comme Luisito ou Esteban. Une soirée complice entre eux et c’est l’occasion de revenir sur leurs souvenirs…

Barnabé est un peu solitaire, il trouve dans sa boîte aux lettres un colis destiné à Éléonore, sa voisine. C’est l’occasion de l’inviter à prendre un verre !

Il est question d’amour caché, d’amour raté, d’amour retrouvé… de rencontres inattendus, d’instants suspendus, de regards tendres…

Au fil des pages, le lecteur découvre que ces personnages ont tous des liens entre eux, des liens de parenté, de voisinage ou amicaux… les destins se mêlent et s’entrecroisent.

Cet album, tout en poésie, en subtilité et en douceur, raconte toutes les couleurs de la vie. Les histoires sont émouvantes, touchantes et parfois surprenantes.

Il y a une suite que j’ai lu également cet été, à suivre…
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Une retranscription réussie de la poésie si particulière de l'adolescence ...

La vie dans l’immeuble n’a pas beaucoup changé, Louis, Claire, Rémi, Béatrice et les autres sont toujours présents. J’attendais de lire ce second tome avec impatience puisque la fin du premier laissait le lecteur sur une fin mystérieuse. J’ai quelques réponses supplémentaires à mes questions mais j’attends le dernier tome afin d’avoir le dénouement final.



Ce tome m’a un peu moins convaincu que le premier, j’ai trouvé la moitié du livre assez long mais à la seconde moitié, tout s’est accéléré, avec des annonces et des événements inattendus. Mon petit cœur balance pour deux personnages dans cet opus, Rémi, un petit garçon et Gipsy, le chien.



C’est une petite saga rafraîchissante et sans prise de tête que j’aime lire quand je n’ai pas le moral. J’ai hâte de lire le dernier tome, j’attends de nombreuses réponses à mes questions et de nombreux rebondissements.
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C’est avec plaisir et tendresse que nous retrouvons tous ces personnages que nous avons appris à aimer au fil des tomes. Ces personnages aux particularités diverses délivrent des messages de tolérance et d’amitiés sincères.
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Je ne me souviens plus comment j'ai découvert les BD de Vanyda, mais depuis ce jour, j'ai hâte de découvrir ses œuvres.

Dans ce tome, nous retrouvons de courtes histoires d'amour, comme des anecdotes, des tranches de vie parsemées ici et là.

Dans ce tome, le monde artistique et littéraire est présent avec comme personnage une auteure et une dessinatrice.

Ce que j'aime c'est que chaque personnage a un physique différent, une personnalité différente.

Ces récits sont fidèles à la vie sentimentale.

J'apprécie également les retours en arrière et retrouver avec plaisir l'ambiance des années 90, par exemple.

Bref, j'apprécie toujours autant les illustrations toutes en douceur.

En attendant patiemment le tome 3 :) je pense relire le tome 1.

Frustré, désespéré, insouciant... cette BD nous fait chavirer d'un sentiment à l'autre à travers des rencontres amoureuses.

J'ai aimé les allers-retours entre les personnages, me permettant de revenir en arrière dans l'histoire. Attribuer une couleur à chaque personnage est une très bonne idée, chaque histoire est considérée comme un instant unique propre à un personnage et teintée de sentiments particuliers.

La mise en couleurs est sublime.

J'ai découvert l'univers de l'auteur en lisant le tome 2 de cette série ( oui je sais, c'est pas logique de commencer par le deuxième ^^).

Et j'avais bien aimé les graphismes et la poésie qui se dégageait de ces petites histoires d'amour.



Je n'ai pas retrouvé ce plaisir avec celui-ci. Je l'ai lu sans trop d'intérêt, je l'ai trouvé quelconque.

Dans cet immeuble vit trois familles : une mère célibataire, un couple assez distant et deux amoureux qui entrent à peine dans l’âge adulte. Ils vivent tous à des étages différents et pourtant, leurs histoires sont reliées les unes aux autres.



C’est une petite bande-dessinée qui retrace le quotidien de plusieurs foyers. Il y a cette maman qui élève seule son fils et dont le second bébé est en route. C’est une femme très attachante et son histoire, que l’on connaît à la fin, m’a vraiment émue. C’est un bout de femme plein d’amour qui veut le bonheur des personnes qu’elle aime. À l’étage du dessus vivent Jacky et Fabienne. C’est un couple assez distant et froid dans le déni de leur situation, pourtant le lecteur sait parfaitement ce qu’il se passe au sein de leur ménage. Et au dernier étage se trouve Louis et Claire, ces jeunes amoureux qui découvrent la vie à deux, le premier véritable amour et leurs fantaisies de jeunesse. Ils sont très attachants et je pense que l’on peut rapidement s’identifier à eux, du moins je me suis reconnue ayant à peu près le même âge qu’eux, des idées farfelues et des comportements enfantins comme Claire.



Je souhaitais une lecture légère et sans prise de tête, c’est pour cela que je me suis dirigée vers cette trilogie de Vanyda. Je souhaitais découvrir d’autres titres de cette autrice mais également être surprise. Je me suis posée la question suivante : comment le quotidien de familles peut-il être intéressant à lire ? Une fois de plus, Vanyda m’a impressionné. Il est vrai que l’on suit la routine de ces familles mais plus les pages défilent plus le suspense se met en place et les révélations éclosent. La fin m’a impressionné et j’ai hâte de lire la suite que je garde pour des moments où le moral est en bas. C’est une jolie lecture douce et tendre, avec des hauts et des bas dans la vie des personnages mais l’ambiance est si chaleureuse que ce premier tome m’a redonné le sourire.
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Un roman graphique rempli de petites histoires autour de l'amour ❤



Toutes ne m'ont pas plu de la même façon. Quelques unes n'étaient pas à mon goût...Je n'ai pas réussi à y trouver du sens ou de l'intérêt.

Mais pour la majorité j'y ai trouvé une bonne dose de douceur et de bonne humeur, avec même un goût de trop peu !



Chapeau pour le choix des couleurs qui participent pleinement au plaisir de cette lecture.

Pour un roman graphique, j'ai trouvé très sympa à lire et regarder. Il y avait un message très fort qui me parle d'ailleurs. Je suis métisse aussi comme l'héroïne Coralie.

Sur le ton de l'humour et contemporain, Vanyda nous raconte en image et en parole les aventures amoureuses et la quête d'identité de Coralie 28 ans.

J'ai le tome 2 je crois dans ma pal. Donc pour un prochain challenge babelio je sais quelle auteure lire.

Affaire à suivre.

J'ai beaucoup aimé les petites histoires illustrés de Vanyda, j'ai hâte de découvrir les autres. C'est ma deuxième lectures illustrées, et je suis surprise de me rendre compte que j'aime beaucoup cela.

J'aime bien ces BD où il est question d'immeuble, d'étages, de gens, de vies qui se croisent, qui s'interpellent, ces tranches de vie de tous les jours qui ressemblent un peu à la notre, nos histoires, nos rencontres, nos arrêts devant l'ascenseur que l'on attend et où, bien souvent; nous parlons de la pluie et du beau temps.

Ici, trois étages, un couple de jeunes, un couple de plus âgés avec un gros chien et une maman seule avec un garçon, enceinte.

A force de se croiser ils vont pénétrer dans les intimités des uns et des autres, échanger, s'inquiéter de leurs santés, du bébé à naître, le transport à la maternité, etc.

Ce n'est pas désagréable, bien au contraire : lecture plaisante. Jolis dessins de Vanyda, ligne claire, noir et blanc. Quelques pages sans dialogue que l'on suit bien, les dessins étant suffisamment expressifs.

Seul problème pour moi, comme j'ai lu l'intégrale de plus de 500 pages en une seule fois, c'était plus que roboratif, difficile à digérer, mais bon j'y suis arrivé et c'est de ma faute et non celle de l'album!
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« Qui peut dire où commence et où finit l’amour ? »



Ils s’appellent Corentin, Manon, Benoît ou Barnabé. Il se croisent, se ratent et parfois s’aiment peut-être un peu. Ils cherchent ce petit goût d’absolu, cette lumière d’enfance qui se cache derrière le quotidien. Ce petit goût de noisette …



Vanyda, dans ce recueil, tout plein de poésie et de sincérité, raconte ces êtres modernes et attachants qui se cherchent et se fuient tout à tour. Jeunes adultes qui virevoltent entre premiers émois, parties de jambes en l’air ou prémisses du grand amour qu’on passera une vie à tenter de retrouver.



Tout en finesse, tout en pudeur, j’ai découvert un univers qui m’a a complètement chaviré le cœur. Guimauves au piment doux. Clichés d’amoureux pas si transis.



Dans cette série graphique qui se composera de trois tomes au final, le lecteur croise, perd et retrouve, au fil des pages, des personnages contemporains et libres. Une certaine image de la jeunesse, de l’amour. A mi-chemin du manga et du roman graphique, chaque trait de crayon est une élégance, chaque personnage, un pote à nous.



Comme dans un bon vieux de film de Lelouch, on se fait balader par les rencontres, les souvenirs et les coups de foudre. Et je suis bel et bien tombé amoureux de cette belle galerie de héros quotidiens.



J’ai aimé cette façon de parfois en dire très peu, tout en exprimant beaucoup. On s’attache à ces êtres de papier qui disparaissent à la page suivante, pour finalement les retrouver plus loin. Le lecteur raccroche les wagons, s’émerveille beaucoup aussi de cette jolie simplicité, de cette pure vérité des émotions, qu’elles soient balbutiantes ou irrémédiablement ancrées dans le ventre de ces personnages.



L’idée d’offrir à chaque courte histoire une couleur qui prédomine donne à l’ensemble une belle cohérence, un sublime écrin.



L’amour, la vie. Le cœur, les sourires. Les couleurs, le noir.



Laissez-vous guider par ces dessins au trait plein de vie qui fera battre un peu plus fort votre petit cœur. Qui vous fera sûrement sourire aussi. Qui va réussir à un peu vous émouvoir, j’en suis certain.



Vous garderez longtemps dans la bouche, dans le cœur, ce petit goût de noisette inimitable …

Avec un coup de crayon simple, mais soigné, Vanyda nous dépeint avec justesse le quotidien un peu long, un peu ennuyant, d’une adolescente renfermée. Valentine représente très finement ces adolescentes timides qui n’osent pas parler en groupe et semblent passer à côté de leur vie. Elle passe du temps avec ses copines, rit avec elles, fume et boit à leurs côtés, mais semble davantage spectatrice de leurs délires.



Pour appuyer ce sentiment de décalage entre elle et ses copines, cette impression que sa vie se déroule lentement sans qu’elle n’ait aucun impact dessus, le rythme est lent et l’histoire assez contemplative. Vanyda enchaîne les cases sans texte, parfois quasiment identiques, et confie, finalement, très peu de texte à son personnage principal. Elle préfère donner la parole à ses copines tout aussi bavardes que différentes, tandis que Valentine, elle, continue d’observer.



Celle que je ne suis pas est une oeuvre qui décrit avec un réalisme impressionnant l’adolescence et la période de transition où les jeunes filles se cherchent encore. Criante de sincérité, cette petite bande dessinée en noir et blanc vous réserve un véritable plongeon dans le passé qui vous rappellera vos propres années au lycée.
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