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Critiques de Alejandro Palomas (402)
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Le petit garçon qui voulait être Mary Poppins

Je n’aime pas Mary Poppins, je n’aime pas les livres que tout le monde aime, je n’aime pas les livres dans lesquels l’auteur fait parler les enfants, et encore moins ceux qui ont un faux mystère qu’on découvre dès le début. Cela n’explique donc pas du tout pourquoi, moi aussi, j’ai succombé à cette histoire. Rédigée par chapitre prenant un point de vue différent (le jeune garçon, l’institutrice, etc.), c’est encore plus agaçant pour moi quand on n’avance pas à la même vitesse de découverte que les personnages. Et pourtant, ça non plus cela ne m’a pas freiné.



Savoir le fin mot de l’histoire dès le début ? Tant pis, je voulais savoir comment la résolution du problème allait apparaître. D’ailleurs, je n’ai pas été déçue, cette petite fabulette se résout parfaitement bien, suffisemment émouvant pour avoir la petite larme à l’oeil, mais pas de façon fermée pour qu’on puisse encore imaginer.



Je peux vous raconter aussi les sentiments qui m’ont traversée, avec au début l’impression de tomber dans un livre sans intérêt, puis un livre « facile », puis un grand mélodrame. Mais voilà, je ne sais pas comment a fait l’auteur, mais j’ai dévoré ce livre, et j’y ai pris un grand plaisir.



Donc oui, vous l’avez vu partout, oui c’est un peu étrange comme titre, et oui l’histoire n’est pas forcément remplie de suprise. Mais ça fonctionne parfaitement, et je vous l’assure : ce livre devrait être lu encore un peu plus qu’il ne l’est déjà, parce que c’est un livre qui fait croire en l’humain, et, en ce moment, c’est bien de ça dont on a besoin !
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Le petit garçon qui voulait être Mary Poppins

Le petit garçon qui voulait être Mary Poppins est un roman chorale. Tour à tour on écoute Guille, son père, sa maîtresse d'école et la psychologue scolaire. On écoute leur point de vue sur Guille. Guille qui souffre de l'absence de sa mère, mais encore plus de la tristesse et du désespoir de son père. Car Guille est un enfant mature, qui a grandi plus vite qu'il n'aurait dû. Alors Guille se réfugie derrière Mary Poppins qui lui rappelle sa maman et le rassure dans son quotidien. Car Mary Poppins est une magicienne de la vie. Avec elle, même la pluie pourrait se transformer en soleil.



J'ai beaucoup aimé ce roman, du titre, à la couverture poétique ornée de papillons multicolores, La plume d'Alejandro Paloma est simple mais entraînante. Les mots sont touchants. On tourne les pages, et on avale les quelques 220 pages. Pour ma part, j'ai lu ce court roman en une petite soirée. Je ne pouvais pas attendre pour connaître la fin.



Ma rencontre avec Guille a été un moment plein d'émotions. Sa joie de vivre, sa maturité malgré la situation, son insouciance et son humour sont une belle leçon de vie. J'ai refermé le roman les larmes aux yeux.



En bref, le petit garçon qui voulait être Mary Poppins est un petit livre bouleversant. Une sorte de conte moderne qui mêle tendresse et sensibilité, gravité et pudeur : la magie de l'enfance et la réalité de la vie.
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Tout sur mon chien

Le parallèle sur les relations entre humains et animaux est bien

décrit et touchant. On rit, on est emus et pleins de tendresse pour ce chien et cette mère. L'univers de Palomas me parle par sa finesse et sa drôlerie, puis parce qu'il décrit très bien le ressenti face à la vieillesse de ses parents pour trouver sa place d'enfant qui devient le parent.
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Une mère

J’avais entendu du bien de cet ouvrage sur la toile et ainsi que dans quelques revues… Je me suis donc lancée… Or, quoi de mieux de découvrir une maman la semaine de la fête des mères ? Adeptes de magie ou d’action, passez votre chemin, car le récit met en scène un repas de famille qui ne se passe pas comme prévu. Fernando alias « Fer », sa mère, sa sœur et sa compagne, son autre sœur, son oncle ainsi que les chiens se retrouvent à table. Il est temps pour eux de faire un point sur le passé, de discuter de tout et de rien et d’aborder l’avenir… Les personnages dissimulent tous des cicatrices du passé et vont le faire découvrir au lecteur à travers les discussions ou des chapitres flash-back permettant de mieux comprendre… Cette longue soirée permet aux non-dits d’éclater et à certaines vérités rongeant le ventre de sortir. C’est un véritable feu d’artifice émotionnel auquel on assiste à travers le regard de Fer : les personnages rient, se disputent, crachent leur ressenti et se dévoilent. Seul un personnage reste en retrait : Amalia, cette mère qui semble un peu ingénue ou dans son monde… Les échanges gravitent autour d’elle, mais elle ne semble rien avoir d’exceptionnel… Et pourtant…



J’ai beaucoup aimé les thématiques abordées ainsi que cette ambiance familiale qui me rappelle certains repas de famille… En revanche, je dois avouer avoir eu énormément de mal à rentrer dans le livre au début. J’ai bien dû mettre une centaine de pages avant d’être vraiment dedans. Le début est très long et les personnages sont assez nombreux, ce qui peut perdre le lecteur… Par ailleurs, je n’ai pas retrouvé le côté « déjanté » dont fait allusion la couverture. Certes, certains passages ou répliques ne manquent pas d’humour, toutefois les thèmes abordés dans la soirée ont pris plus de place que l’ambiance festive… En fait, je m’attendais à quelque chose de plus joyeux… Cela ne m’a pas empêché d’apprécier l’ouvrage pour autant. Si vous aimez les ambiances familiales avec les secrets qui éclatent, ce roman devrait vous conquérir.


Lien : https://lespagesquitournent...
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Le petit garçon qui voulait être Mary Poppins

Dès que j'ai vu ce livre dans ma médiathèque préférée, j'ai sauté dessus ! Et j'ai bien fait.

Le titre est intrigant et diablement attirant. Sa lecture a été un vrai plaisir, une véritable immersion, dans une atmosphère assez proche d'un huis clos psychologique, sur un sujet douloureux : l'absence d'une mère.

Le lecteur se retrouve tour à tour dans la tête de plusieurs personnages et notamment de Guille, ce garçon peu ordinaire, au sens de la répartie réjouissante, et Marie, qui suit le garçon lors de séances de psychologie à l'école.

Dès le début, le lecteur sent une tension, un quelque chose qui ne colle pas dans la vie de ce jeune garçon, plein de vie et d'imagination et fervent admirateur de Mary Poppins. J'ai compris dès le début ce qui s'était passé, mais là n'est pas l'intérêt du livre.

Son intérêt réside dans la façon dont l'auteur amène les personnages à cheminer, face à l'indicible.



L'écriture est sans fioriture, humaine et sensible. Les dialogues sont particulièrement réalistes. Les personnages sont très attachants et très crédibles.



La dernière page tournée, j'ai voulu rester quelques instants dans cette bulle d'intimité, dans cet univers de fantaisie et d'amour, où le livre m'avait conduit.



En bref, j'ai été séduite par ce roman qui ne ressemble à aucun autre.
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Le petit garçon qui voulait être Mary Poppins

Guille (Guillermo) est un petit garçon différent, solitaire, intelligent, fragile, naïf, extrêmement sensible avec une rare maturité

À la question de sa maîtresse que veux-tu faire quand tu seras grand ? "Moi, je voudrais être Mary Poppins", la phrase magique devrait arranger tant de problèmes (Supercalifragilisticexpialidocious)

Dans ce roman vous y retrouverez l'amour, le rêve, l'amitié, l'imaginaire, la différence et le manque. Roman bouleversant
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Le petit garçon qui voulait être Mary Poppins

Ce livre était dans ma Pal depuis un certain temps, j'ai enfin pu me le procurer et quelle claque ! Quel roman !



On fait la connaissance de Guille diminutif de Guillermo un petit garçon, intelligent, émouvant, sensible et fragile à la fois et qui aime considérablement Mary Poppins.



Sous une plume pleine de tendresse, je me suis laissée bercer par la narration d'ALEJANDRO PALOMAS qui nous entraine dans un roman choral plein de poésie et d'humanité.



Il explore le monde délicat de l'enfance et de l'imaginaire.



Ce roman m'a fait sourire, m'a fait mal et aussi pleurer.



ALEJANDRO PALOMAS aborde les thèmes de l'enfance, du deuil, du mariage forcé avec brio.

J'ai eu moi aussi envie -comme Maria- de serrer Guille contre moi, et qu'il m'enveloppe moi aussi de son odeur.



Vous l'avez compris, ce roman est un réel coup de cœur, ne passez pas à côté !
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Le petit garçon qui voulait être Mary Poppins

J ai beaucoup aimé ce livre très original de part l histoire

Le titre m avait beaucoup intrigué et les critiques m ont donné envie de le lire

Je me suis beaucoup attachée à ce gamin dont on comprend l histoire au fur et à mesure de la lecture de ce roman

Je ne vous raconterez pas l histoire ce serait dévoiler "son secret"

J ai découvert cet auteur et j ai envie de continuer ma decouverte
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Le petit garçon qui voulait être Mary Poppins



J'ai toujours aimé la littérature jeunesse, peut-être encore plus aujourd'hui, avec le recul de mon regard d'adulte qui a gardé pas mal de petits bouts d'enfance dans le coeur.



Alors je n'ai pas résisté à ce livre, avec ce titre, et cette couverture qui évoque magnifiquement l'imaginaire.



Guillermo est un garçon sensible, tranquille et enjoué. Sa seule amie est Nazia, une petite pakistanaise, mise à l'écart par ses camarades pour sa différence. Tout comme Guille, qui préfère Mary Poppins au foot et à tout ce qui intéresse les enfants de son âge.



C'est son institutrice qui, la première, sent bien que derrière cette passion peu ordinaire vouée à Mary Poppins, se cache quelque chose de plus profond.



Dans cette histoire somme toute très simple, il y a une maman absente, partie loin.



Un père aimant, bougon, triste, qui ne comprend pas la sensibilité de son fils, sensibilité qu'il tente maladroitement d'ignorer.



Et au milieu, il y a Guille, qui a sur le coeur un poids bien lourd à porter, et qui a trouvé dans l'imaginaire une façon de croire en une réalité plus belle. C'est ce qui fait le charme de l'histoire, pour ma part.J'ai bien aimé les chapitres à hauteur d'enfant, d'une simplicité désarmante.

La foi du petit garçon en Mary Poppins est d'autant plus touchante lorsque l'on comprend ce qui le motive.



Dans le puzzle de la vie de Guille, que tente de rassembler la psychologue scolaire, vous trouverez aussi des dessins, des avions, des sirènes, un coffre aux trésors. De l'innocence, de la bienveillance et tant d'espoir dans un mot magique.



En bref, c'est une histoire plus grave et plus complexe qu'il n'y paraît de prime abord, avec une fin émouvante... Un beau et tendre moment de lecture, quoi.



Et puis voilà.















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Le petit garçon qui voulait être Mary Poppins

Derrière le sourire d'un enfant peuvent se cacher d'étranges vérités.



Des livres que j'ai aimé, il y en a eu pas mal depuis le début de l'année, mais je n'en ai dévoré aucun (à part Sauveur et fils) comme j'ai dévoré Le petit garçon qui voulait être Mary Poppins.



Celui-ci je vais vous recommander de l'acheter (mais vraiment, achetez-le) pour le lire et le relire et le conserver longtemps auprès de vous. C'est un livre bourré de bienveillance, d'émotions et de poésie. Un livre qui montre la partie cachée de l'iceberg quand les drames frappent certaines familles. Qui explique que les choses sont parfois plus complexes qu'elles n'en ont l'air. Qu'avec un peu de patience, d'intelligence et d'ingéniosité, en.prenant le temps d'oberver les gens, on peut leu rendre la main et les aider à surmonter leurs problèmes.



Guill vit seul avec son père. Après une journée ordinaire en classe, la maîtresse prend conscience de sa bizarrerie et de son obsession pour Mary Poppins. Inquiète et sentant que quelque chose d'autre se cache sous la surface, elle décide, avec l'accord de son père, de lui faire voir une conseillère d'orientation.



À travers dessins, lettres et révélations intimes et passionnantes, les séances de Guill et Maria vont alors révéler petit à petit les blessures cachées et la vérité sur des événements passés.



Le récit de Guill se dévore. Il est incroyablement bien rythmé. Le point fort, ce sont les chapitres courts qui n'alourdissent pas la lecture et surtout les différents points de vue très bien représentés qui apportent une vraie touche de réalisme et de légèreté dès qu'il est question de Guill. C'est raconté avec la voix bien reconnaissable de chacun des personnages, de telle manière qu'il m'a été impossible de décrocher avant d'arriver à la fin.



Même si on devine le dénouement de l'intrigue, on se laisse totalement emporter par le récit. C'est tout le talent de l'auteur qui retient l'attention de son lecteur grâce à la construction passionnante de son histoire.



C'est vraiment un bon bouquin qui vous embarque et ne vous lache plus. Les révélations sont distillées avec soin, l'auteur développe peu à peu chaque intrigue, on a besoin de tourner les pages pour comprendre ce qui s'est passé dans la vie de Guill et ce qui l'a conduit à vouloir être Mary Poppins. L'histoire de son amie Nazia ajoute un intérêt supplémentaire et les deux fils s'entremêlent sans jamais se gêner.



C'est beau, c'est tendre, c'est simple et ça sonne juste. Et puis c'est particulièrement émouvant.



Alejandro Palomas a su donner une voix pleine de sagesse à ce petit garçon si spécial.



Merci à Masse Critique et aux éditions du Cherche Midi pour ce beau cadeau.
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Le petit garçon qui voulait être Mary Poppins

Guille, 9 ans, est un jeune garçon doux et rêveur, qui adore les comédies musicales et Mary Poppins. Sonia, son enseignante, un peu interloquée par cette passion surprenante pour un enfant de cet âge, décide de l'envoyer converser avec Maria, la conseillère d'orientation de l'établissement, avec l’accord de son père, un homme plutôt taciturne. Au fil de ses rendez vous avec la psychologue scolaire, par la parole et le dessin ,Guille va dévoiler des pans entiers de sa vie...Un beau roman choral, émouvant et d'une grande tendresse. L'auteur déborde de bienveillance pour ses personnages, qu'il sait rendre vivants et attachants. L'histoire est racontée à hauteur d'enfant, ce qui ajoute une touche de réalité à ce beau texte. Une chouette lecture ! Bravo également à l'éditeur pour cette couverture magnifique, très attrayante, et encore merci à ce dernier et à Netgalley pour l'envoi de ce joli récit très poétique. #LePetitGarconEtMaryPoppins #NetGalleyFrance
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Une mère

J'ai particulièrement savouré la première moitié de ce roman dédié à la famille, la fratrie et la loyauté. Un humour parfois décalé, légèrement sarcastique, survole le récit de Fernando (Fer pour les intimes) qui, à l'occasion d'un repas de fin d'année, met la table au dévoilement de secrets familiaux longtemps enfouis. La mère, fantasque mais aussi profondément éprise de ses enfants : Silvia l'aînée intransigeante, la douce et forte Emma et Fer, toujours présent aux autres. Sans oublier l'oncle Eduardo qui réserve bien des surprises. Le ton mélo des dernières pages m'a moins plu mais somme toute, une très belle lecture enveloppante pour mieux comprendre la dynamique familiale.
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Une mère

Une histoire pleine de couleurs, d'émotions, de tendresse et d'amour. Et pourtant un passé douloureux et profondément triste pour chacun des membres de cette famille. Bien souvent un réveillon ou un simple repas en famille devient un "règlement de compte à Ok Corral", chacun y va de sa petite pique, de sa critique qui blesse. C'est le genre de repas que l'on craint et pourtant on continue à s'y rendre, en se disant que "cette fois-ci" ça ira.



Pour notre narrateur Fernando, c'est pareil, tout comme pour sa terrible et attendrissante maman - Amalia - elle est le centre névralgique de cette petite famille. Il faut dire qu'Amalia, qui a déjà un certain âge, est une petite dame vraiment étonnante. Elle vit dans son monde "martien" comme disent ses enfants. Mais il ne faut pas s'y fier, derrière ses loufoqueries, Amalia a tout compris, elle SAIT. Elle connaît les souffrances de ses trois enfants: Sylvia, Emma et Fernando. Elle sait, elle voit mais n'a pas toujours les mots pour apaiser les douleurs, alors elle gaffe, va souvent mettre les pieds dans le plat et va se mettre aussi dans des situations assez particulières.



Lors de ce repas, les langues se délient: ça pique, ça blesse, ça crie, ça pleure. Fernando nous contera tout au long du repas, le passé de chacun. On va comprendre la hargne et la rancoeur de Sylvia, l'aînée de la fraterie qui s'est toujours occupée de tous. Qu'on craint mais qu'on appelle à la rescousse au moindre problème. Elle est le roc sur lequel chacun va s'appuyer. Mais derrière cette dure et cruelle carapace se cache une terrible souffrance, une douloureuse perte, un vide. On découvrira aussi Emma et ses deux faces. La A du genre "je vais bien, tout va bien" et la B, la vraie Emma, celle que l'on a perdu au moment du terrible drame de sa vie. Fernando nous expliquera sa vie à lui aussi, ses peurs, ses doutes. Il y aura aussi Olga, la pièce "rapportée" et tonton Eduardo, le frère d'Amalia, véritable dandy globe-trotteur.





Auprès de chaque convive, on va s'attendrir, on va beaucoup rire et pleurer. Je suis passée du rire aux larmes tout au long de cette sublime lecture. La scène de la vidéo de Sindy et d'Eduardo était jouissive au possible, quel pure délice. Celle d'Emma assise à la terrasse d'un café est bouleversante. Le moment où l'on découvre comment de la pétillante Sylvia on en arrive à la Sylvia aigrie est traumatisant. Chacun a terriblement souffert, chacun a changé par la force des choses pour pouvoir survivre et non vivre.



Une magnifique histoire avec des personnages attachants, touchants. C'est beau, c'est plein de tendresse, les mots sont parfois dures à dire au sein d'une famille et cela laisse place à beaucoup d'incompréhension, de jugement. Mais lorsqu'on s'efforce d'ouvrir son coeur, on peut à nouveau avoir de l'espoir et on peut enfin avancer.
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Le petit garçon qui voulait être Mary Poppins

Guille est un petit garçon sensible qui rêve de Mary Poppins ; son papa n'approuve pas et préfèrerai qu'il fasse du rugby comme les autres petits garçons, sa maitresse le trouve trop rêveur et la psychologue scolaire décèle quelque chose qui ne va pas mais quoi ?

Guille porte un secret bien trop lourd pour lui sans même en avoir conscience. C'est tendre, bouleversant parfois mais sans pathos ; j'ai beaucoup aimé cette histoire qui a été traitée avec beaucoup de délicatesse, je vous encourage à la lire.
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Le petit garçon qui voulait être Mary Poppins

Le petit garçon qui voulait être Mary Poppins est un roman très beau et très touchant.



Guille est un petit garçon qui semble heureux, il vit avec son père qui semble un peu dépassé et il est fan de Mary Poppins. Son institutrice perçoit pourtant une tristesse, un certain mal-être chez ce petit garçon. Elle l'envoie donc chez sa collègue psychologue. Lors de leur première séance, la psy ne voit pas quoi que ce soit d'inquiétant chez lui, elle trouve même qu'il semble plutôt heureux et que son imagination est débordante. Mais au fil de leurs rendez-vous, le petit garçon s'ouvre peu à peu.



Comme d'habitude, je suis bouleversée par l'écriture de Palomas, sa manière de décrire ses personnages, sa fine psychologie, son humour. Le roman commence tout doucement et petit à petit, on sent que quelque chose cloche, on ressent un certain malaise face à certaines scènes. L'auteur nous narre une histoire forte, celle d'un fils et de son père, meurtris, ne sachant comment se dire les choses, mais s'aimant plus que tout. La scène finale entre le père et le fils m'a tiré les larmes, j'étais très émue.



Un petit roman bien émouvant.
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Le petit garçon qui voulait être Mary Poppins

J'ai toujours aimé Mary Poppins, peut être parce qu'elle m'aide à garder mon âme d'enfant qui en vieillissant s'éloigne. Je regarde le film chaque fois qu'il passe à la télé, quand j'ai quelque chose de difficile à dire je me répète que c'est le morceau de sucre qui aide la médecine à couler. Donc ce titre ne pouvait que m'attirer. Alors oui comme dit dans d'autres critiques c'est lacrymal, c'est simple certains diront simplet, facile. Mais moi j'y ai lu un conte de fée moderne. Une histoire d'Amour celui avec un grand A, celui de l'humain. Celui des enfants qui jouent à on dirait qu'on... Va être heureux, s'aimer, se comprendre sans distinction de races de religions. On dirait qu'on va être humaniste.
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Le petit garçon qui voulait être Mary Poppins

Étrange ce titre de roman et dès les premières lignes, s’installe une histoire magique, pleine de bon sentiment. On est pris par le rythme des personnages à chaque chapitre. La tension monte jusqu’au spectacle de l’école ou Guillermo 9 ans va jouer et composer le rêve de sa vie Mary Poppins ! Conte et mystère ... de la belle magie.
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Le petit garçon qui voulait être Mary Poppins

L'histoire d'un petit garçon débordant d'imagination, et qui adore Mary Poppins, l'histoire d'un père un peu bougon, et qui vit seul avec ce fils un peu trop rêveur et un peu trop sensible, l'histoire d'une instit qui s'inquiète pour un de ses jeunes élèves, l'histoire d'une psychologue scolaire à qui on envoie ce petit garçon qu'elle souhaite comprendre...quel mystère ce cache derrière tout ça ?



"La puissance de l'imaginaire"



Un début surprenant, déstabilisant même car on chemine tout doucement dans l'univers si particulier de Guillermo, ce petit garçon souriant et attachant. On sait que quelque chose cloche, on sent bien confusément que quelque chose n'est pas à sa place, qu'il manque un élément essentiel sans arriver à mettre exactement le doigt dessus... jusqu'au moment où l'on comprend enfin...



Véritable ovni littéraire, c'est une histoire magnifique, bouleversante, qui a su me toucher en plein cœur et qui m'a fait verser quelques larmes. Ce petit bonhomme m'a remué les tripes !
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Le petit garçon qui voulait être Mary Poppins

Guille est un petit garçon de 9 ans un peu particulier. Débordant d'imagination, il vit souvent dans ses rêves et croit dur comme fer que Mary Poppins existe vraiment. Son institutrice est troublée par le comportement de ce petit garçon. Elle demande à la psychologue scolaire Maria de le rencontrer. Au fil des échanges entre Guille et Maria se dessine l'histoire de Guille et de ses relations avec son père.



C'est une jolie histoire avec un personnage d'enfant très touchant. On a vraiment envie de connaitre son histoire. Le récit alterne entre le point de vue de Guille et celui de Maria, il est rythmé et d'une écriture agréable. Un bon moment de lecture.
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Le petit garçon qui voulait être Mary Poppins

Il y a des livres qui nous marquent sans trop savoir pourquoi. Celui là en fait partie, c'est un coup de coeur. La sensibilité et l'imaginaire de cet enfant m'ont touché. Un événement difficile qu'un père et un fils essaient de traverser. Tout ça raconté de manière poétique, livre bien écrit que je relirai avec plaisir.

Merci à l'auteur pour ce moment d'émotion.
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