Alex Alice

Je n'aime pas du tout les bandes dessinées. C'est trop court pour moi et je ne suis pas sensible au dessin.



Mais dans ma recherche d'un cadeau pour un amateur de bande dessinée, j'ai demandé conseil à ma libraire et ai emprunté et lu cet opus afin de l'offrir éventuellement.



Bien m'en a pris! J'ai beaucoup aimé! Les dessins sont magnifiques, l'histoire -jeunesse- est rythmée (bien que simple) et j'ai beaucoup aimé l'ambiance steampunk - jules verne - sur fond de royaume de Bavière.



Aussitôt donnée à lire à mes enfants!

Le Château des Etoiles, et les Chimères de Vénus sont de très belles lectures, de très bons divertissements dont il serait fort dommage de se passer.
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L'aventure se poursuit à mon plus grand bonheur. Cette fois notre petite équipe débarque sur mars et se trouve confrontée à une autre civilisation avec ses propres contradictions. C'est graphiquement très réussi et le scénario emporté sa dose de poésie. Avec ce tome, une nouvelle fois l'imagination est au pouvoir. L'histoire est excellente, je me régale chaque fois.

Cette série est un must.

J'ai une nouvelle fois adoré cet album de la série du chateau dans les étoiles qui pour une bonne partie se déroule en Bretagne. Les dessins, le découpage et la mise en couleur sont vraiment excellent. Le scénario toujours aussi imaginatif. Cette fois, c'est mars qui est l'objet des convoitises des puissances européennes.

J'avais laissé passé cet album et les suivants jusqu'ici bien que la couverture et la mise en couleur m'aient toujours attiré. Finalement, je me suis lancé et je ne l'ai pas regretté. J'aime beaucoup l'univers de l'auteur : à la frontière entre du Jules Verne et avec une pointe de Miyazaki.

Cet histoire nous ramène à la fin du XIXème siècle mais avec une dimension streampunk qui permet d'aller dans une douce fantasy. Les personnages sont à la recherche de l'éther : source d'énergie fantastique. Les dessins sont vraiment excellents, d'une grande beauté. On croise ici ou là des figures historiques comme Sissi ou encore Louis II de Bavière et Bismarck.

Je crois que je vais devenir accroc de cette série.

Autant j'avais adoré les premiers tomes, autant je me rends compte que j'ai de plus en plus de mal à accrocher à cette série. On part trop loin, on s'éloigne, et pour une base narratrice qui aurait dû être si simple, ça ne fait que me perdre davantage. C'est moins addictif, moins poignant.



Alors ça reste plaisant à lire, et malgré tout les illustrations magnifiques aident forcément les choses, mais à voir comment les choses évoluent dans les volumes suivants...

Les articles du secrétaire de rédaction, Alexis-Nicolas de la Vitche sont toujours aussi intéressants. Il enrichit nos voyages vers les étoiles et l'espace.
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Agréable surprise que de découvrir la dix-septième gazette du "Château de étoiles" dans la boite aux lettres, en rentrant le soir, la veille de sa sortie en librairie.



Le récit reprend 7 mois après les derniers évènements du précédent numéro. Une ellipse qui permet de déployer la première exposition interplanétaire à Paris, en 1875. Par conséquent, Paris n'aura définitivement plus le même visage puisque nous sommes 3 ans avant la création du Palais du Trocadéro (dont le lieu est mentionné en tant que "pavillon") et 14 ans avant la construction de la Tour Eiffel. L'occasion pour Alex Alice de déployer toute son imagination pour un Paris alternatif avec notamment le pavillon de Vénus et sa gigantesque statue, dont la structure est attribuée à Gustave Eiffel. L'auteur profite d'une page centrale dépliable pour nous offrir deux vues panoramiques de cet évènement parisien. Des dessins magnifiques à l'image de celui de la couverture (que l'on retrouve intégré dans le récit).



L'histoire consiste en l'organisation du sauvetage de la princesse de Mars tout en tentant de rallier les grands dirigeants de la Terre à la cause de ce peuple opprimé. Un plan, doublé d'un pari audacieux, s'élabore au fur et à mesure. Sa mise en œuvre fera l'objet d'une prochaine gazette.



En parallèle, l'histoire d'Hélène, sur les traces d'Aurélien, s'offre un épisode supplémentaire puisque la conclusion devait survenir à l'occasion de ce numéro mais se transforme en cinquième partie sur six.



En refermant cette gazette, l'enthousiasme pour cette saga et son format original ne dépérit pas. Je répondrai donc encore présent au prochain rendez-vous.

1868 - un groupe d'explorateurs un peu fous cherchent de l'éther. Pour cela ils utilisent une montgolfière : Claire arrive à 12900 mètres d'altitude et le détecteur trouve de l'éther! Mais un accident se produit et la montgolfière s'écrase : Archibald et son fils Séraphin se retrouvent seuls.

Un an plus tard, le jeune garçon est pourtant toujours obsédé par l'éther et rêve de ses propriétés. Archibald a repris son travail d'ingénieur jusqu'à l'arrivée d'une lettre étrange : une sorte de convocation pour récupérer le carnet de bord de Claire. Direction la Bavière et le roi Ludwig!

Mais un moteur à éther signifierait un grand pouvoir pour celui qui le possède et celui-ci attire donc les convoitises.

Une grande aventure s'annonce pour le deuxième tome lorsque le roi est obligé de s'enfuir à bord de l'éthernef !

Avec une série aussi courte, seulement 3 tomes, l'auteur est obligé de mettre les bouchées doubles dans ce tome du milieu et il le fait avec panache !



Si vous avez aimé le tome 1, vous aimerez ce tome 2 encore plus épique qui manie avec talent les mythes nordiques autour d'Odin et de sa famille. Les références sont riches et parfaitement intégrées à une trame narrative énergique qui se veut épique.



On est cependant dans un titre à la mise en forme très classique pour une BD de ce type. Je n'ai pas ressenti de surprise ni dans le déroulé de l'histoire, qui suit son court, comme lors de toute quête héroïque, ni dans la mise en scène graphique, où les nombreuses ellipses pour faire avancer l'histoire, figent un peu celle-ci pour quelqu'un habitué à la narration cinématographique des mangas. Ainsi même si j'ai à nouveau passé un très beau moment de lecture, je suis quand même un peu restée sur ma faim. J'aurais aimé retrouver quelque chose de plus surprenant, de plus détonnant.



Heureusement les aventures de Siegfried et de Mime ont su contenter mes envies de récit aventureux. Les suivre dans leur périple qui début enfin est intéressant, car l'auteur varie les lieux et les actions. Les deux s'entendent toujours aussi bien, ce qui donne lieu à de jolies chicaneries. Le tout se déroule dans un univers toujours plus que bercé par la mythologie nordique. L'épisode de la Sorcière est magique, c'est le cas de le dire. L'auteur joue à merveille sur les différente temporalité autour de Siegfried et de la Valkyrie pour nous pondre une histoire vraiment poignante. Cependant, je trouve les enjeux un peu légers. Tuer le dragon, ok, mais après ? J'espère que l'auteur aura pensé à proposer plus et autre chose, mais je crains qu'en un tome il manque de temps...



Cette lecture de la suite de Siegfried reste une lecture vraiment plaisante, car j'aime le trait d'Alex Alice et l'univers qu'il a choisi d'exploiter et qu'il maîtrise plutôt bien dans son médium de prédilection. Cependant cela reste un peu trop classique pour moi et j'aurais aimé ressentir le petit truc en plus que je ressens quand je lis son titre en cours.
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J'avais repéré cette BD en librairie il y a presque deux ans, attirée par le dessin soigné et le design super sympa. Quand j'ai vu qu'ils étaient à la médiathèque, j'en ai profité pour enfin découvrir cette série SF jeunesse.

Ces deux tomes m'ont fait passer un agréable moment de lecture aux côtés de personnages inspirants et rêveurs. Ce que j'ai préféré reste l'aspect graphique de la BD. C'est un peu le sentiment que j'ai avec certaines BD : graphiquement, ça peut être splendide, mais quand on vient au scénario… ça a tendance à se casser la gueule (surtout vers le milieu-fin). Et j'ai retrouvé un peu ça avec le Château des étoiles. L'intrigue reste très sympa, pleine d'aventures, de science, de culture, d'histoire, de géographie… je me mets à la place d'un enfant/ado qui lirait ces BD et je me dis que ça représenterait un moment aussi ludique qu'instructif ! L'avancée est progressive, logique. Mais à partir de la moitié du T2… ben j'ai décroché. Je n'ai pas du tout été convaincue par l'aspect plus métaphysique et mystique-chelou. Pour une BD où on me servait de la ref scientifique à chaque page, j'ai été déroutée et un peu déçue de la tournure. Surtout avec le roi-inutile-insupportable qui se la joue empereur des étoiles alors que c'est un oin-oin maniaque antipathique au possible. J'ai encore moins aimé ce personnage au prétendu "méchant" tant qu'il est adulé et admiré alors qu'il… ne fait strictement rien ?

Je trouve dommage d'avoir mis ce personnage sur un piédestal alors qu'à côté les enfants sont au cœur du récit et des progressions scénaristiques. Je ne me suis pourtant attachée réellement à aucun personnage. J'imagine qu'il faudrait que je lise la suite pour vraiment m'intéresser à eux.

Je conclus sur une note plus positive avec le dessin qui est tout bonnement superbe. Les couleurs sont très belles, les planches s'adaptent au contenu textuel et informationnel. De ce côté-là, c'est vraiment quali.


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Séraphin, Sophie et Hans sont de retour sur Terre, cachés dans un petit village breton, dans un manoir en bord de falaise pour continuer les travaux sur le moteur à l'éthérite et réfléchir à la localisation du père de Séraphin. Une seule possibilité : Mars. Mais les troupes impériales prussiennes s'emmêlent une fois encore et le danger rôde même dans un coin reculé.

Comme dans les tomes précédents, les graphiques épurés et la colorisation pastel m'a complètement transportée. Le rythme est soutenu, les informations techniques sur les développements de l'éthérite sont passionnantes et certaines planches sont sublimes (la serre dans le vaisseau notamment).

Hâte de découvrir ce que cache la planète rouge, la dernière planche est saisissante et laisse plein d'interrogations en suspens. Une BD à découvrir pour les amateurs d'aventure d'inspiration vernienne, de steampunk et d'aventures spatiales.

Venez (re)découvrir cette très belle série. Après avoir refermé ce tome 2, il nous tarde d'attendre la sortie du prochain tome.
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Il nous propose de très belles pages. Il glisse un peu d'humour avec les facéties de Mime. Le lecteur en a pour son argent. Venez (re)découvrir cette très belle série. Après avoir refermé ce tome 2, il nous tarde d'attendre la sortie du prochain tome.
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Un numéro qui renoue avec l’action alors que Séraphin rencontre l’empereur. Les rebondissements nombreux, la révélation sur la situation en Haute-Auvergne (testée depuis plusieurs gazettes) participent d’un engouement certain pour la sortie de la prochaine gazette.



L’épisode 4 des « Chimères de Vénus » se poursuit. C’est plutôt sympathique mais de moindre envergure forcément par rapport à la série mère. La fuite du poète amant est un périple continu dans la jungle préhistorique de Vénus. L’arrivée d’Hélène offre un contraste via l’implantation des prémices de la civilisation dans ce monde hostile. Un supplément du supplément ne serait pas de trop. Mais là encore, le dernier chapitre se laisse désirer…

Et de 15 ! Notre groupe de héros atterri quelques années plus tard sur notre bonne vieille planète bleue. Rapidement, la mission consistant à gagner l’empereur Napoléon III à leur cause prend le dessus et les aventuriers se réunissent à Paris pour s’organiser et s’enquérir de nouvelles fraîches.



L’exotisme se fait plus temporel avec un Paris d’un autre temps, bien qu’imaginaire du fait de l’uchronie. Un des points marquants est l’introduction du journaliste J.D. Jusqu’à présent, seuls ses articles nous étaient proposés dans la gazette, avec ceux d’autres de ses comparses. Cette fois, le personnage prend part à l’aventure directement sous nos yeux.



Le format gazette est toujours aussi pertinent et parfaitement exploité pour suivre les deux feuilletons d’Alex Alice. On en redemande toujours !

J'ai trouvé ce tome meilleur que le précédent, même si l'histoire prend une tournure un peu trop éloignée du point initial à mon goût. Ainsi, on découvre la vie sur Mars, et sur ses habitants, et ça devient assez déstabilisant. Les illusions, la description des martiaux... Ok, c'est intéressant. D'un côté, il y a une ambiance et une atmosphère qui ressortent bien, et le récit est prenant. De l'autre, je commence déjà à regretter les débuts de la série, où on gardait un peu plus les pieds sur Terre. L'exploration des différentes planètes et astres, que ce soit la lune, ou maintenant Mars, ça me convainc que moyennement.

Pour moi pas le meilleur tome jusqu'à présent, on part vite sur d'autres choses, et la succession des événements semblait un peu brouillon.



Quant au déroulement de l'histoire en tant que tel, je l'ai trouvé moins intéressant que les deux tomes précédents, peu d'action, et une trop grande partie est sur le voyage dans l'espace, sans réel avancement dans le fil rouge, c'est dommage. Ce tome apparaît donc un peu comme une transition, avant le prochain, qui j'espère sera meilleur !

L’aventure sur Mars touche, provisoirement, à sa fin. Nos héros, parvenus au pôle et à ses surprises, doivent poursuivre leur mission sur un terrain plus familier.



Alex Alice nous émerveille avec ses panoramas grandioses. Le récit s’expédie un peu rapidement, format oblige, c’est dommage. L’ensemble captive toujours.



Pour la mini-série des « Chimères de Vénus », un panel de nouveaux personnages est introduit. Ce n’est qu’une fois parvenus sur la planète que l’histoire démarrera vraisemblablement. En attendant, les articles journalistiques tissent toujours plus un contexte profond et large de cet univers.

J'ai totalement adoré, tant au niveau des illustrations, qu'à l'histoire et à l'univers. C'est coloré, et les machines volantes, comme ça, ça me fait rêver.



Couplé avec une part de science, et une quête scientifique basé sur un drame familial, on part sur une BD d'aventure vraiment hors du commun, et pour le moment ça s'y prête plutôt bien.



Un bon tome introducteur qui donne vraiment envie d'en savoir plus.