Alexandra Bracken

Un premier tome très sympathique qui met en place les bases d'un monde fouillé et intéressant. Les personnages sont attachants et l'histoire va crescendo, un peu longue à démarrer mais qui s'accélère petit à petit pour arriver à un final qui nous fait attendre la suite avec impatience.

Ravie d'être enfin arrivée à la fin de cette trilogie..

Je l'ai trouvée longue, épuisante, brouillonne. Il y a soit trop d'informations en même temps, soit pas assez. Soit trop d'actions, soit trop de lenteurs. Trop de personnages, mais peu sont importants. Il n'y a aucun équilibre, c'est trop ou pas assez, selon les chapitres.

L'histoire promettait pourtant d'être prenante, une dystopie jeunesse parmi un ras de marée d'autres, mais elle avait de quoi s'en distinguer. Mais l'écriture gâche tout : c'est flou, mal écrit, l'ambiance que voulait l'auteur n'est pas du tout retransmise, c'est chaotique.

Plus facile à oublier qu'à lire, et temps mieux.

Une dystopie intéressante, où les enfants sont livrés à eux-mêmes pour survivre et où ils doivent vivre avec leur nouveau pouvoir, apprendre à les apprivoiser, à les maîtriser et à s'en servir à bon escient. L'héroïne, Ruby, est constamment confrontée au bien et au mal et doit apprendre à se faire confiance. Les 3 tomes nous tiennent en haleine et on peut dire qu'Alexandra Braken nous offre une vraie fin.

Je me suis lancée sur cette nouvelle lecture sans vraiment savoir où je mettais les pieds. Enfin presque !



Dès le début, nous sommes entrainés dans l’action avec Tamsin. Je dois admettre que j’ai mis quelques chapitres avant de véritablement me faire embarquer. Parce qu’on rentre directement dans l’histoire et l’univers sans en connaitre encore les tenants et aboutissants. Par exemple, au début, j’ai eu du mal à savoir qui était Nash aux yeux de l’héroïne. Sans spoiler, il s’agit de son tuteur à Cabell et elle, c’est écrit dans le résumé en plus.



Son frère subit une terrible malédiction depuis qu’il est petit. En essayant de trouver un moyen de la briser, leur tuteur disparait du jour au lendemain les laissant totalement démunis. Tamsin va donc être la seule à pourvoir à leur besoin et survie. Le souci, c’est que dans un monde régi par la magie, Tamsin n’en possède aucune. Cependant, cela ne l’empêche pas de faire partie d’une guilde et de se démener pour ne pas être à la traine.



Ce début introduit progressivement le lore et les personnages. En plus de Tamsin et Cabell, nous rencontrons Emrys Dye, le bookboyfriend potentiel de l’histoire. Alors je préviens d’entrée de jeu, la romance est très légère et ne fait pas l’histoire. Tant mieux j’ai envie de dire. En avançant dans le récit, je me suis rendu compte qu’on était une nouvelle fois parti sur les mythes arthuriens et Avalon ! Cela ne m’a pas déplu, au contraire. En essayant de retrouver leur tuteur, Tamsin et Cabell vont devoir s’allier au mystérieux et prétentieux Emrys (je lui ai trouvé des airs de Drago Malefoy) et d’une sorcière sans convent, Neve. Tous ont le même but : retrouver l’anneau de dissimulation. J’ai aimé suivre leurs aventures et déboires qui vont les conduire sur l’île d’Avalon. Là-bas, ils ne rendaient pas compte sur quoi ils allaient tomber.



Sans trop en révéler, parce que je ne veux pas spoiler les différentes surprises, j’ai adoré ce premier tome que je trouve bien construit. Tamsin est une héroïne avec laquelle je me suis attachée. Elle n’est pas exempte de défaut, mais elle fait tout pour celui qu’elle considère comme sa seule famille. C’est un personnage fort avec des failles terribles. D’ailleurs, elle n’aime pas trop parler d’elle ou de son passé avant sa rencontre avec Nash. Elle lui en veut tout en ayant besoin de lui. Tout comme Cabell avec lequel elle s’attache énormément. Puis, il y a les personnes avec lesquelles Tamsin va s’allier. Emrys, je ne sais que penser de lui hormis le fait qu’il semble avoir beaucoup souffert aussi. Quant à Neve, impossible de ne pas l’apprécier.



L’intrigue est palpitante d’un bout à l’autre et très bien ficelée. Après, il ne faut pas s’attendre à un truc exceptionnel, mais ça se lit très bien et j’ai été happée jusqu’au bout. Que dire de cette fin de malade qui se termine sur un sacré cliffhanger et qui donne envie d’avoir la suite ? Mais je sais qu’il va falloir patienter.



Je ressors de cette lecture assez enthousiaste. J’ai apprécié l’intrigue, les personnages et je dois reconnaitre que j’aime beaucoup la plume d’Alexandra Bracken. Je serai au rendez-vous avec la suite à n’en pas douter.
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Une lecture malheureusement assez décevante dans l'ensemble.

J'ai beaucoup aimé le principe, cela m'a fait penser à du Hunger Games façon mythologie grecque.

Malheureusement il y a beaucoup trop de longueurs dans le récit.

Il faut dire que ce livre fait presque 700 pages, mais j'ai parfois ressenti l'impression que les personnages tournaient en rond.



On tarde également à connaître le passé de Lore, ce qui rend la compréhension de l'Agôn et de ses choix assez compliquée au début.



Je ne me suis également pas spécialement attachée au personnage principal. Finalement mes protagonistes préférés furent Miles et Van qui forment un beau duo.



Il y avait de l'action oui, mais parfois sans grand intérêt, surtout qu'on se doute que les personnages vont s'en sortir à chaque fois.



Je dirai donc que j'ai beaucoup aimé le concept et l'univers dans lequel évoluent les personnages, mais je n'ai pas été énormément emballée par l'intrigue qui traîne un peu trop à mon goût.

Adorant la mythologie grecque, ce roman était parfait de ce point de vue. Nous avons des noms de divinités qui sont plutôt courantes (vu le nombre qu'il existe, cela aurait pu être plus complexe !) donc la base est faite. Ensuite, Alexandra Bracken construit tout le reste : Les divintés se sont rebellés face à leur père, Zeus. Pour les punir, tous les septs ans, pendant sept jours, les Âgon sont organisés. Cela signifie que ces divinités devienent mortelles et sont chassées par les mortels. Au fil des siècles, cela a pris une telle tournure que cela n'est pas un moment de plaisir pour tout le monde ...





Notre protagoniste, Mélora, alias Lore, est une survivante. Toute sa famille a été tuée et bien que la vengeance aurait pu lui être portée sur un plateau d'argent, elle a préféré fuir tout ça. Si pendant quelques temps, cela fonctionne, on sait que le passé revient toujours au galop. Pour Lore, c'est plutôt la déesse Athéna qui débarque devant chez elle, grièvement blessée, lui demandant son aide ... De nature plutôt solitaire, elle peut compter sur son ami et colocataire, Miles. Elle va devoir retrouver Castor, son ami d'enfance, qui a gardé ce quotidien particulier. Nous aurons également Van, le cousin de Castor et on peut dire que cette équipe de choc marquera les esprits.

Ensemble, ils vont tenter de mettre fin à tout ce rituel morbide, mais le nouveau dieu Arès va leur donner du fil à retordre.





L'Âgon étant lancé et le centre de cette histoire, l'action ne manque pas. Il y a toujours une attaque à contrer ou un plan à préparer. Cela ne laisse pas trop de temps aux personnages pour souffler, mais dans ces rares moments, nous pouvons avoir des discussions très intéressantes, mais bien trop peu nombreuses pour approfondir une construction en cours pour Lore qui renoue avec son passé pour pouvoir pardonner. C'est le seul point qui pêche un peu, à mon goût.

Là où j'ai aussi rencontré quelques difficultés, c'était dans la compréhension de qui est qui côté divinités. Les mortels ayant pu tuer les dieux prenant leur place, il y a beaucoup de rappel en disant "l'originel" "le nouveau Arès" "la déesse tuée lors du dernier Âgon", certains noms sont donc plutôt à comprendre comme un titre dont la seule façon de l'avoir, c'est d'avoir tué le précédent. Cela paraît tout bête, mais une fois qu'on comprend ça, c'est plus facile de suivre les discussions.





J'ai quand même mis plusieurs jours à le lire, n'étant pas dans un bon endroit pour le lire en ayant toute ma concentration. Je pense que je le relirais quand le bon moment se présentera pour voir tout ce que j'ai pu louper, mais dans son ensemble, ce fût un très bon moment de lecture. Aucun regret de l'avoir pris et lu sans attendre ☺
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Au départ, je m'étais interdite de lire ce quatrième tome, qui n'était pas indispensable selon moi pour la conclusion de cette saga. Mais Darkest Minds, après ma lecture du troisième tome, s'est révélée être une de mes sagas préférées et j'ai rapidement voulu me replonger dans l'univers.

Ce n'est pas du tout une déception comme l'ont pu être d'autres hors-série ou préquels. Non, c'est une surprise.

On ne se retrouve donc, d'une part, pas avec les mêmes personnages, mais pas non plus au même endroit ni au même moment. Je n'avais pas réellement saisi la chose, alors je me suis retrouvée assez démunie, lorsque je suis tombée avec Zu, alors que cela faisait plusieurs années que les camps avaient été détruits. Déjà, c'est dur, comme pour Hunger Games, de se dire que la lutté est terminée. Que Ruby et Liam ont droit à leur fin heureuse.

Les camps ont beau être détruits, les adolescents Psi sont toujours autant surveillés, voire mal traités. Encore une fois, c'est dur de se dire que le combat de Ruby n'a pas totalement porté ses fruits...

Zu est donc aux mains du gouvernement, et n'a plus rien de la petite de l'époque. La voir ainsi modelée n'est pas vraiment agréable.

Certains évènements vont la projeter dans de réels problèmes, mais aussi aux côtés de Roman et Priyanka, qui ma foi, rivalisent presque avec les personnages des trois premiers tomes.

Pendant une grande partie du roman, ils sont en cavale, délivrent des gens, se rapprochent, et même si ça n'a pas été aussi génial que dans les tomes précédents, c'était fort sympathique.

Et, vers la dernière partie du livre, nous retrouvons nos deux personnages préférés : Ruby et Liam. Et ma désillusion s'aggrave. Non, ils n'ont pas eu droit à leur fin heureuse, à vrai dire ils se disputent plus qu'autre chose et Ruby a fini par partir, plongeant Liam dans une angoisse sans précédent. C'est dur de voir que Ruby n'a toujours pas chassé ses démons.

Nos amis s'embarquent alors dans une périlleuse mission pour sauver Ruby, qui s'est encore fourrée dans le pétrin toute seule, n'arrivant pas à demander de l'aide.

Les dernières pages m'ont redonné espoir mais je ne suis vraiment pas sûre que Liam et Ruby resteront éternellement ensemble et ça fait vraiment mal de se dire ça...

Pour être honnête, j'ai vraiment lu ce livre pour retrouver Liam et Ruby, je ne me suis alors pas vraiment concentrée sur les autres personnages. Je n'ai, à ce jour, qu'une hâte : relire la trilogie !

A V I S L E C T U R E ✨ L O R E

Alexandra Bracken - réécriture - mythologie grecque - ⭐️⭐️✨



Plus j’y pense et plus je sais que cette lecture ne restera pas dans ma mémoire à ma grande déception.

Pourtant, tous les ingrédients étaient réunis pour avoir une très bonne lecture :

- One shot

- Mythologie grecque

- Grands jeux dans NY



✨✨✨



🏛️ Ici, on suit Lore qui vit à NY un peu comme une recluse. Et pour cause, sa famille a été décimée lors des précédents jeux. Ceux-ci sont organisés chaque année sous forme d’une grande chasse et ont été créés par Zeus pour punir ses enfants.

Durant cette chasse, les Grandes Familles qui trouveraient une des divinités issues de la mythologie grecque et la tuerait, prendrait ses pouvoirs et « l’immortalité ».



✨✨✨



🏺Moi on me dit des jeux, je pense à Hunger Games et aussi à Red Rising pour le côté chasse. De ce côté là il y avait de l’action mais j’ai trouvé les scènes un peu confuses et parfois difficiles à suivre. Sur les jeux en eux-mêmes je m’attendais à une compétition, des défis, une traque mortelle mais je n’ai pas vu grand chose de tout cela 😅



J’ai eu un peu la même sensation sur le fonctionnement des familles, des lignées ou des pouvoirs récupérés par les mortels.



✨✨✨



🏛️ Pour les personnages je ne me suis pas tellement attachée à eux même si j’ai eu une préférence pour Miles. Malgré toutes les choses qui leur sont arrivées il leur a manqué un peu d’humanité 🥲



🏺En bref, j’ai été un peu frustrée par le worldbuilding qui a été pour moi trop confus et même si je suis allée jusqu’au bout de ce livre j’ai commencé à lire en diagonale quand je suis arrivée aux 3/4 🥲



Il y avait beaucoup de potentiel mais malheureusement ça ne l’a pas fait pour moi j’avais peut-être un peu trop d’attente sur le côté Hunger Games/Percy Jackson 🤷🏻‍♀️

Un "jeu" de compétition de survie avec un petit goût de mythologie grecque, voici de quoi passer un bon long moment avec ses 629 pages !



Il faut déjà avoir bien en tête qu'il s'agît d'un roman YA. Donc il faut le prendre pour ce qu'il est et non pas s'attendre a un thriller, avec des dieux qui s'entretuent à tout va et des détails bien sanglants. Une fois cette case bien prise en compte, c'est un régal.



Le récit est fluide, sans trop de temps mort. J'ai aimé rester dans le présent à supposer toute seule l'enfance de Lore en fonction des détails que l'on nous donne au fil des pages et d'avoir certaines révélations avec des chapitres flashback qu'à partir de 500 pages. Ce qui nous laisse quand même encore un bon paquets de pages pour le dénouement et les réponses auxquelles d'ailleurs, je ne m'attendais pas du tout !



Jusqu'à ce cap des fameuses révélations, j'ai suivi l’histoire avec fougue, tout s'enchaine. Mais alors passé ce cap... On va de révélations en révélations et j'ai fini le livre sans le lâcher.



Petit bémol qui pour moi n'en été pas un. Les connaissances au niveaux de la mythologie ne servent à rien. Et ne vous attendez pas à apprendre beaucoup à ce niveau là. Nous avons quelques référence sur qui est le dieu de quoi et qui est de la famille que qui... pas plus... Mais encore une fois, nous sommes dans du YA fantaisie. Sinon il aurait fallu un bonne grosse trilogie pour rentrer plus dans les détails de nos amis (ou pas) les dieux.






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J'ai choisi cette lecture par intérêt pour la mythologie grecque et le côté un Hunger Games/Divergente que laissait espérer le résumé en quatrième de couverture.

Finalement, je suis déçue, au moins pour 4 raisons :

1) Je n'ai d'abord pas aimé les choix d'écriture et de narration de l'autrice : la mise en place est très longue (j'ai failli abandonné plusieurs fois dans la première moitié du roman); l'histoire avance par à-coups, et le lecteur sent bien qu'il y a quelque chose de bancal, qu'il en sait moins que l'héroïne : en effet, l'autrice livre les informations pour comprendre l'histoire au compte-goutte dans la première partie et dans la deuxième partie avec des chapitres flashback; tout arrive trop tard par rapport à la situation qu'ils expliquent... Si bien que souvent, l'héroïne s'engage dans des actions dont le lecteur apprend ensuite que dès le début elles étaient vouées à l'échec parce que quelque chose dans le passé y ferait obstacle, ce qui rend finalement une partie des péripéties évitables, sans sens et sans intérêt...

2) Aussi étrange que cela puisse paraître, j'ai trouvé que le cadre mythologique ne collait pas avec l'histoire. Ok, les efforts faits pour expliquer les équipements militaires grecs avec le vocabulaire scientifique donnent du cachet au roman, un "vernis", mais je pense que finalement l'histoire aurait mieux fonctionné avec une simple histoire de rivalité entre plusieurs familles pour le contrôle de la ville, par exemple. La mythologie n'apporte rien et n'est qu'un décor de fond, mal utilisée. Je n'ai pas réussi à retrouver dans les personnages décrits ici les dieux et déesses de la mythologie grecque que j'ai longuement étudiée. Les combattants des familles m'ont plus fait penser à une secte qu'autre chose, l'héroïne et ses amis inclus, prisonniers d'un système de leur plein grès, capables d'en voir les défauts et leur conditionnement mais y cédant à tout va. Les scènes de batailles/combats sont loin du grandiose et paraissent parfois impossibles...

3) Je n'ai pas trouvé les personnages attachants ni originaux. On retrouve dans ce groupe les figures classiques d'un roman young adult contemporain... Tout cela est très attendu, très convenu : l'héroïne malgré elle, la romance avec celui qui était rejeté de tous qui est devenu un être à part, le copain qui ne vient pas du même milieu mais qui se retrouve indispensable (un moldu chez les dieux), l'histoire gay, ... Rien d'original, des comportements et des réactions qui paraissent peu crédibles parfois ... avec des dialogues aussi peu intéressants que ceux de mes collégiens ...

4) Enfin, ce qui a beaucoup diminué mon envie de lire, ce sont les fautes innombrables de français : orthographe, grammaire dont la concordance des temps, mots manquants, mauvais usage des pronoms, tournure des phrases étranges etc. Il y a même des fautes d'orthographe sur le prénom des protagonistes !

Je suis allée au bout en me disant que peut-être la fin donnerait plus de panache à tout cela, mais finalement même pas ! C'est expédié en deux mouvements ...

En Bref : bof bof.

Zeus est en colère contre neuf de ses Dieux et les a condamné à redevenir mortels pendant sept jours tous les sept ans, dans une bataille qui a lieu à New York, et au cours de laquelle ils peuvent perdre leur vie et être remplacés par des mortels qui prendront leurs pouvoirs. Leurs familles respectives, organisées en armées, sont là pour les soutenir.

Histoire plutôt compliquée, qui mêle mythologie grecque et Fantasy. L’histoire de base était peut être intéressante mais c’est devenu tellement compliqué dès le milieu du livre que j’ai eu grand peine à le terminer.

À réserver aux passionné.es de Fantasy et de jeu vidéo.

Les références à la mythologie grecque sont au finales très peu présentes et j'ai trouvé la fin hyper décevante, notamment parce qu'il y a eu plusieurs plot twist sur un personnage dont le caractère était par conséquent juste absurde et inconstant



Pour du YA fantasy c'est pas le pire, y a de l'action, des rebondissements, des morts. Beaucoup de morts. (Mais du coup t'en as un peu rien à faire des morts. )



Il est très beau, dans une bibliothèque c'est la classe mais vu que je l'ai lu en ebook, j'avais pas la beauté du livre pour compenser ses manquements.



Il se lit quand même vite et facilement. Mais cette fin... Bref, vous l'aurez compris, on est loin du coup de cœur.

Coup de ❤



Je l'ai tellement aimé que je l'ai fini en a peine 24h ! Et pourtant c'est une jolie brique de 629 pages.



J'ai adoré la façon dont la mythologie grecque est utilisé pour l'histoire. Non seulement avec les dieux mais aussi avec des héros tels que Persée, Méduse,... On sent que tout est recherché et réfléchi. On a pas besoin de connaître la mythologie d'ailleurs pour lire le roman car tout est bien expliqué et on ne peut pas se perdre.



Lore est un personnage auquel on s'attache très vite. Elle a des valeurs auxquelles elle tient mais aussi des amis pour qui elle ferait tout. Comment ne pas s'attacher à elle ? Tout comme Castor, le vilain petit canard, tout aussi touchant que Lore, il va nous épater au fil du roman (par contre pourquoi ce nom ?! 😅).



L'histoire est un peu lente au début afin de lancer l'univers mais une fois les premières actions qui arrivent, tout s'enchaîne jusqu'à la fin. Cela ne m'a pas dérangé car il y a des pauses où les personnages discutent et parlent de stratégie ou de mythologie.



Attention ce roman est quand même bien sanglant mais j'espère que vous vous en êtes rendu compte en lisant le résumé. D'ailleurs il y a beaucoup d'avertissement de contenu mis au debut du livre, personnellement rien ne m'a choqué et cela rend le livre plus adulte et plus réaliste.



C'est un one-shot donc on apprécie aussi que l'histoire ne soit pas tirée en longueur même si l'Autriche pourrait très bien sortir d'autres romans dans cet univers. Au moins le livre à une vrai fin.



Et puis le livre en lui-même est juste à tomber ! @desaxus a fait un boulot de dingue dessus. Je pense que c'est un des plus beaux que j'ai chez moi. La texture est super agréable aussi au toucher.



Ce qui est sûr c'est que je vais m'intéresser aux autres livres de l'autrice !

Après avoir vu le film, j'étais curieuse de commencer ce premier tome de Darkest Minds !

Dans un futur proche, les enfants sont frappés par un virus d'origine inconnu. Ceux qui survivent miraculeusement à ce virus en reviennent... différents. Dotés de pouvoirs psychiques, souvent incontrôlables. Par peur, les adultes et le gouvernement enferment les enfants et adolescents survivants dans des camps, où ils sont classés par couleurs, selon leur dangerosité. Il y a du moins dangereux au plus dangereux : les verts (à l'intelligence sur-développés), les bleus (contrôle la matière), les jaunes (contrôlent l'électricité), les oranges (infiltrent les cerveaux) et enfin les rouges (les destructeurs)....

Avec ce premier tome de Darkest Minds, nous allons suivre Ruby, une jeune fille qui a été envoyée dans le camp alors qu'elle n'avait que 10 ans, et qui va y passer environ 6 ans. Elle a réussit à passer entre les mailles du filet et à se faire classer comme verte, alors qu'elle appartient à la catégorie des oranges. Elle va réussir à se fondre dans la masse pendant des années, toujours à redouter d'être découverte. Les verts et bleus sont classés comme les moins dangereux, et sont laissés relativement tranquilles. Mais les jaunes, oranges et rouges disparaissent peu à peu... Jusqu'au jour où Ruby semble être sur le point d'être découverte, et parvient à s'échapper du camp, grâce à une aide qui semble tomber du ciel. A l'extérieur, elle va vite faire la connaissance de trois autres jeunes : Liam, Chubs et Zu. Ils sont à la recherche d'un adolescent, un orange, qui serait parvenu à rassembler des jeunes pour lutter contre les adultes, et Ruby va se joindre à eux dans l'espoir qu'il parvienne à l'aider à contrôler son pouvoir.

Rébellion n'est pas forcément particulièrement novateur dans le domaine de la jeunesse ou de la dystopie, mais cela reste un premier tome que j'ai pris plaisir à lire, et que j'ai hâte de poursuivre avec les volumes suivants !



(Voir mon avis complet sur mon blog.)
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Etta et Nicholas sont toujours à la recherche de l'astrolabe. Ils espérent trouver une solution pour mettre une fin à la guerre qui oppose les différentes familles pour le contrôle des passages temporels et l'influence sur la chronologie.



De nombreux personnages restent dans la danse comme la ténébreuse Sophia, la mystérieuse Rose ou encore le terrible patriarche. De nouveaux pions vont s'y ajouter avec notamment les Tsuga, mais aussi les Ombres et la Belladone.



Qui va gagner à ce jeu de dupes ? Quels sont les vrais enjeux ?



Nos deux héros, souvent naïfs, vont devoir affronter de terribles épreuves pour espérer dessiner le monde tel qu'ils le souhaitent...



Une belle aventure qui se termine en deux tomes et qui croise des événements historiques avec les sentiments. Le lecteur appréciera la complexité des personnages et le tissage subtil de l'intrigue.



A découvrir !
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La libraire qui me l'a conseillé m'avait dit que pour elle c'est un des meilleur livre qu'elle n'ai jamais lu, ce qui m'a poussé à l'acheter. Ainsi que la splendide couverture.

Au début, je n'étais pas beaucoup emballer car les premiers chapitres sont flous, lents, et les personnages ne font pas partis de ceux qu'on aiment immédiatement.

Malgré ça, l'action principale apparait rapidement et mon personnage préféré également: Nicholas. L'histoire d'amour entre deux des personnages est magnifiquement impossible, se qui en fait son charme. En effet, Etta et Nicholas viennent d'époques différentes. Je ne vous en dit pas plus.

Lecture que je conseille vraiment.

Passenger est l’une des sorties de cette année qui me faisait le plus envie. Ayant adoré la première saga de l’auteure, Les Insoumis – que je suis en train de relire -, j’avais hâte de voir si Alexandra Bracken parviendrait à se renouveler et à innover. Il va s’en dire que le pari est réussi et, mieux encore, elle m’offre mon premier coup de cœur de cette année.



J’ai absolument tout adoré de ce roman, à commencer par l’univers créé par l’auteure, aussi émerveillant qu’enchanteur. Pourtant, au préalable, l’idée n’avait pas l’air tellement novatrice, mais j’ai été pris au piège par ces merveilleux et périlleux voyages dans le temps et l’espace. À l’aide d’une multitude de descriptions, que j’ai apprécié lire et relire, j’ai littéralement voyagé au cours de cette lecture. Beaucoup de contrés lointaines sont présentées au lecteur, créant un dépaysement total et incroyable. De chapitre en chapitre, j’ai traversé de grandes métropoles, en passant par quelques autres paysages magnifiques et hostiles. Par conséquent les pages n’ont cessé de défiler et ce, à une vitesse incroyable. Ce véritable page-turner me laissait toujours avide de plus lorsque je devais le refermer. De plus, la mythologie des Voyageurs est, elle aussi, épatante. Plus je progressais dans l’histoire, plus celle-ci se dévoilait complexe, intrigante et époustouflante. Il y avait bien longtemps qu’un univers ne m’avait pas autant transcendé par sa richesse, et je dois dire que ça fait du bien. Ce roman est une vraie claque et j’ai aimé laisser mon esprit le mettre en scène à sa guise. C’est pourquoi je dirais que ce roman ne se lit pas, il se vit ! Je regrette seulement que sa première partie soit aussi courte car j’aurais voulu passer plus de temps au sein de la piraterie…



Cet engouement ne serait d’ailleurs rien sans les merveilleux personnages qui peuplent ce premier volet. J’ai vraiment apprécié découvrir notre héroïne, Etta, désemparée par la découverte de ses origines et de son destin. Présentée comme une prodige du violon au caractère souple, elle se dévoile au fil de l’histoire bien plus téméraire et sûre d’elle qu’elle n’y parait. Je l’ai vraiment trouvé attachante et pleine d’humour. Déterminée à mener à bien sa quête, elle n’hésitera pas à foncer tête baissée quitte à se mettre dans le pétrin. Cette impulsivité est totalement entraînante et permet au lecteur de se plonger corps et âme dans ce merveilleux périple.

Au contraire de ce personnage, notre jeune futur capitaine, Nicholas, se dévoile bien plus mature et réfléchi que sa nouvelle partenaire. Derrière son tempérament calme et pondéré se cachent d’importants secrets qui le rendent fortement sympathique une fois dévoilés. Quant à la relation qu’ils entretiendront, celle-ci évoluera de manière assez prévisible et ajoutera un brin de romance à la magie de cet univers. À l’inverse de quelques avis, j’ai été totalement touché et convaincu par cette idylle intemporelle. Car malgré le décalage des siècles qui les séparent, notre duo parviendra à surmonter ses différences. Ce décalage apporte d’ailleurs quelques situations assez drôles à lire, et offrent au lecteur quelques moments de répit dans cette incroyable course contre la montre.



En ce qui concerne la plume d’Alanxdra Bracken, je l’ai trouvé un nouvelle fois remarquable. Avec cette nouvelle saga, elle offre au lecteur une nouvelle facette de son énorme talent. J’ai d’ailleurs vraiment été surpris par l’évolution de son style. Habitué à sa plume assez directe et sans détour, presque rebelle, j’ai été agréablement surpris et épaté ! Sans pour autant manquer de rythme et d’intensité, c’est avec une extrême douceur que l’auteure nous conte sa folle aventure. Elle parvient avec aisance et simplicité à innover totalement. À des années lumières de sa précédente oeuvre, Passenger est un incroyable renouvellement. Comme beaucoup de récits du genre, d’importantes révélations sont dévoilées et d’énormes retournements de situation peuplent cet ouvrage. Par conséquent, et au vu de la fin outrageusement ouverte, je n’ai guère d’autre choix que de continuer mon périple au sein des Voyageurs. Ainsi, je me lance avec une certaine motivation dans la lecture en VO du second tome, Wayfarer.



Pour faire simple, Passenger est un véritable coup de cœur. Ce premier tome m’a complètement transporté dans son univers enchanteur et je l’ai littéralement dévoré. Alexandra Bracken innove et se renouvelle totalement avec cette nouvelle saga au rythme intensif et addictif. Pris au piège dans les couloirs du temps, je ne peux que vous recommander cette lecture !
Lien : http://plumebleuee.com/2017/..

J’avais vraiment beaucoup aimé les deux premiers tomes de cette série et cela faisait un petit moment que le tome 3 m’attendait. J’ai donc eu du mal au tout début à me remettre en tête les derniers évènements car le livre ne possède aucun résumé, et ce sera au final mon seul bémol.



Alexandra Bracken a su une fois de plus emmener ses personnages là où l’on ne les attendait pas. Ruby a pris de l’assurance quand à ses pouvoirs surnaturels mais pas sur son rôle majeur dans la rébellion. Elle se retrouve en plus coincée entre son amoureux Liam et son ami Cole, tous les deux frères mais avec une vision très différente du mouvement auquel ils appartiennent. On retrouve tous les personnages secondaires auxquels on s’était attaché, Chubs, Vita et Zu notamment.



Il est très intéressant, en plus des scènes d’action, de voir qu’un but commun ne suffit pas à mettre les gens d’accord. Certains veulent utiliser la violence, d’autres prônent des idées moins dangereuses et s’appuient sur des moyens technologiques. Chacun cherche à rallier le plus de monde à son avis. Tout cela dans un contexte de guerre civile. C’est vraiment bien fait et facilement compréhensible pour des adolescents.



La fin est elle aussi bien trouvée, plutôt optimiste mais réaliste tout de même. Elle conclut d’une jolie façon une très belle série qui me restera en mémoire au même titre que Hunger Games ou Divergente.
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Dans ce monde du futur, les enfants ont tous été atteints par un virus qui les décime et donne aux survivants des pouvoirs paranormaux plus ou moins puissants. Effrayés par leurs enfants, les parents et le gouvernement enferment les rescapés dans des camps où il sont étudiés en fonction du code couleur de leur danger potentiel (de vert à rouge). Ruby, 16 ans, fait partie de ces ados enfermés mais un jour, une jeune médecin l'aide à s'échapper et c'est le début d'une odyssée mouvementée à travers les États-Unis, en compagnie d'autres fugitifs...



Le scénario proposé me paraissait pourtant alléchant mais j'arrête ma lecture à la moitié, déçue par l'intrigue brouillonne dont je ne vois pas bien où elle me mène. Certes, il y a de l'action (souvent très violente), des personnages assez bien campés, du suspense mais je n'accroche pas du tout à ce road-movie (pourtant j'aime ça) tellement long à démarrer que j'abandonne. Je sais que ce roman marchera très fort auprès des ados mais pour ma part, je n'y trouve pas mon compte.

Depuis que je suis petite, j'ai toujours été fascinée par les mythologies grecque et romaine. Lire Lore était pour moi une évidence, puisqu'il me permettait de replonger dans cet univers.



Comment résumer un livre de quasi 700 pages en quelques lignes...



Lore est une jeune New yorkaise qui, bercée par les mythes de ces ancêtres, a tout perdu lors de l'Agón précédent. Tiraillée entre la vengeance, et la volonté de fuir cette chasse septennale, elle lutte contre son passé et les - nombreux ennemis - qui se dressent sur son chemin.

Elle peut néanmoins compter sur des amis fidèles, Castor, Van et Miles, mais aussi sur un allié de taille : la déesse Athéna.

Ensemble, ils feront pour arrêter Ire, le nouvel Arès.



J'ai adoré ce livre, le rythme est soutenu et la lecture est fluide. Pas besoin d'être un expert en mythologie grecque pour apprécier les clins d'oeil sur les différents héros et leurs descendants.