Alexandra Bracken

On rentre très vite dans l'histoire. Le personnage principal Lore prend beaucoup de place. Les personnages secondaires demandent à être plus détaillés.

Malgré des répétitions et certaines traductions qui ne veulent rien dire, je me suis laissée embarquée dans l'histoire.



J ai beaucoup appris sur la mythologie, retrouver tous les dieux et déesses ont apporté un plus à l'histoire.

Comme beaucoup, j'ai été attirée par l'empreinte mythologique du roman. J'ai été bercée par les Percy Jackson, je me devais donc de lire Lore.



Quelle déception!

- sur le fond, c'est extrêmement léger et j'ai dû relire certains passages car je ne comprenais pas l'enchaînement de de quelques scènes. de plus, certains choix réalisés par les personnages sont incohérents. Enfin, que dire de la fin, décevante et incompréhensible ;

- j'ai trouvé le roman mal écrit (ou mal traduit), avec des expressions parfois risibles utilisées par les personnages et des descriptions de scène d'action absolument irréalistes.



C'est un livre qui a bien fini par me convaincre que les bons romans sur la méthodologie grecque sont de plus en plus rares. Pour du qualitatif, lisez David Gemmel !

[Lu en anglais]

J'avais depuis quelques temps ce livre en tête, sans me résoudre à l'entamer. Un peu échaudée par ma lecture de Circé sans doute...

Mais en cherchant un livre se déroulant à New York (car je m'apprêtais à passer mes vacances à New York) je me suis décidée à me lancer dans cette lecture. Et bien m'en a pris !

L'intrigue est un peu complexe au début, mais on se sent vite embarqué par les personnages, et le rythme effréné de l'histoire.

Tous les 7 ans, 9 dieux Grecs prennent forme humaine pendant 7 jours : ils deviennent mortels. Ce jeu fatal à la Hunger Games, l'Agon, est une punition établie par Zeus. Et les familles des descendants des héros grecs, tels Persée, Hercule ou encore Achille se mettent alors en chasse pour tenter de voler leurs pouvoirs aux Dieux.

Mais il y a 7 ans, Lore a perdu ses parents et ses soeurs lors du précédent Agon. Et elle est bien décidée à ne plus prendre part à toutes ces machinations macabres. Pourtant, lorsque l'Agon démarre, à New York, sa ville natale, elle se retrouve nez à nez avec Castor, son meilleur ami qu'elle pensait mort, et se voit contrainte de passer un pacte avec la déesse Athena, contre toute logique du jeu.

Manipulations, jeux de pouvoir, un brin de romance, pas mal de violence aussi, des trahisons, des réconciliations, tout concourt à faire de ce roman un très bon livre. Encore une fois, je ne suis pas déçue par Alexandra Bracken !

Je vais faire court, aujourd’hui (ouais, bizarrement j’ai moins de choses à dire quand ça va 🙈).

C’était bien. Pas le gros coup de cœur, mais une histoire sympa et bien rythmée, sur fond de mélange de chasse à l’homme (enfin, aux dieux) et de mythologie grecque. J’ai beaucoup apprécié les personnages, particulièrement Lore, à la fois attachante et badass, même si je regrette que sur ce point on n’en prenne pas un peu plus plein les yeux, comme le promettait la scène d’ouverture. Elle porte ce récit avec force, mais j’aurais apprécié de la voir casser des dents un peu plus souvent.

Le dénouement est un peu attendu, mais pas décevant. Je l’ai trouvé en adéquation avec le reste de l’histoire.

Voilà, en résumé pas de grosse surprise mais un roman qui reste très sympa et tient la plupart de ses promesses.

J'avais acheté ce roman à la suite du film et n'avais pas du tout accroché ! Je le trouvais ennuyeux, long...Bref, j'avais arrêté cette lecture depuis belle lurette.

Puis Jai acheté "Lore" du même auteur, par pur hasard et j'ai voulu me replonger dans cet univers qui m'avait laissée sceptique.

Eh bien je ne regrette pas cette décision !



La plume est fluide, haletante et agréable. Les chapitres se dévorent et filent à toute vitesse. La qualité est très bonne : nous avons des descriptions ni trop courtes, ni trop longues, un pitch excellent et une jolie romance.

Les personnages sont tellement différents les uns des autres, autant sur le plan physique que moral. Ce son tous des adolescents adorables avec quelques cicatrices. Tous ont su me toucher en plein cœur.

Si on ne tombe pas sous leur charme, on les déteste. On préférerait qu'ils meurent...

Ce roman nous livre toute sortes d'émotions et de rebondissements.

L'héroïne peut parfois agacer tant elle est naïve et parfois, immature. Mais au fond, on l'adore.

En bref : j'ai adoré et je le recommande fortement à celles et ceux qui aiment les bouquins sur des adolescents livrés à eux-mêmes, une romance, du post-apocalyptique et des pouvoirs...Tout simplement incroyable !

Ne nous mentons pas ; la couverture attire. Sobre, avec cette jeune fille de marbre, sauf son oeil qui nous fixe, calme.

Après elle ; le résumé. Long et alléchant, un mélange de policier, de mythologie grecque et d'amitié. Et pour une fois, nous devons souligner le fait que le style d'écriture se rapporte assez à celui du livre ; vous ne serez pas choqués dès la première page.

Je ne vais pas faire de résumé, vous l'avez sûrement déjà lu. Bref.

Dès les premières pages du livre, nous entrons dans un monde mélangeant les traditions mythologiques et de la violence. Nous entrons dans un monde sans pitié, où l'honneur et la renommée de la lignée comptent plus que tout.

Les personnages sont attachants, chacun est parfaitement détaillé, nous les comprenons et les apprécions, pour d'autres : une haine va se former à leur encontre. Ils ont tous un caractère propre à eux et ne tombent pas dans les clichés. Le personnage principal n'est pas agaçant, c'est une héroïne forte qui à su me captiver dès le premier chapitre. Elle ne cessera de vous étonner au fil des pages.

Le style d'écriture est envoûtant, sans être doté de trop de fioritures. Il est simple, ce n'est en effet, pas de la grande littérature mais il a son mérite.

La longueur du livre n'est qu'une apparence, il se lit TRÈS rapidement, goulûment je dois dire.

L'histoire en elle même est incroyable ! Originale, haletante et intéressante... L'idée en elle-même me fait m'interroger sur la vision de l'honneur et de la mort.

Pour ma part, ce fut une lecture très agréable ; j'ai souvent hurlé et pesté... J'avoue, j'ai jeté une fois le livre sur mon lit tellement je n'en pouvais plus !

C'est une lecture simple, agréable, intéressante qui nous transporte VRAIMENT dans un autre monde. Elle est idéale pour se sortir de la tête une mauvaise journée. Et puis la couverture est magnifique ; alors d'office, votre bibliothèque vous remerciera.

Ahaha, je ne vois pas ce que vous attendez...

Je ne résiste pas à la mythologie grecque. Du coup, quand l’éditeur a présenté Lore, je n’ai pas hésité à le précommander. Après sa sortie, les coups de cœur ont été nombreux, du coup je m’attendais vraiment à quelque chose d’épique. Qu’en est-il ?



Lore est orpheline et s’est retranchée dans le monde de la normalité. Au départ, elle nous est présentée comme une héroïne badass, qui sait se battre. On ne peut pas lui enlever cette qualité. Pour autant, elle a ses moments de faiblesse et s’apitoie sur son sort. Avec ce qu’elle a vécu, on ne peut pas vraiment le lui reprocher. Par contre, j’ai vraiment eu l’impression qu’elle était ballottée en tous sens au gré des événements, qu’elle ne maîtrisait rien, c’était assez déstabilisant et au final, elle ne fait qu’empirer des situations déjà critiques (gestion de la colère : 0 pointé). Du coup, je ne l’ai pas détestée, mais elle ne figurera pas non plus dans ma liste d’héroïnes préférées.



Castor, maintenant. Je l’ai beaucoup apprécié et j’ai limite regretté de ne pas le voir plus. Il est touchant, son passé n’y est pas pour rien, il apporte une note dramatique supplémentaire. Lui, on peut dire qu’il est fidèle à ceux qu’il aime.



Côté romance, c’est du young adult, ne vous attendez pas à grand-chose, c’est assez vite expédié et on voit ça venir dès le départ. Il n’empêche que ça fait du bien une histoire où le côté fleur bleue ne prend pas le pas sur le reste. Pour autant, j’avoue que j’aurais aimé vibrer davantage, tourner les pages avec la peur de voir les personnages être séparés à jamais.



L’histoire est… comment dire. L’idée de base est géniale. Un mélange de Percy Jackson et Hunger Games, voilà comment le livre a été présenté et, pour une fois, c’est juste. Sauf que dès les premières pages, j’ai eu du mal à entrer dans l’histoire, je ne comprenais pas pourquoi Zeus punissait les dieux originels, mais qu’au XXIème siècle, ceux qui ont réussi à s’élever soient eux aussi traqués durant l’Agôn. Je pensais avoir mal compris, mais on obtient la confirmation longtemps après. J’avoue que ça a un peu réduit mon enthousiasme d’emblée. Et si seulement, il n’y avait que ça. Lore est tellement baladée par les autres personnages avec des mensonges, lancée sur de fausses pistes qu’on y croit en même temps qu’elle. Alors, OK, je suis friande des retournements de situation, mais à un moment, l’accumulation de mensonges donne juste l’impression de semer des incohérences, on se perd un peu.



À part ça, on part sur pas mal de scènes d’action, des flashbacks que j’ai beaucoup appréciés. Grâce à eux, on en apprend plus sur les personnages et ce qu’ils peuvent ressentir.



Autre petit point, les avertissements en début de livre. À part deux ou trois scènes assez gores, pour moi, ils induisent en erreur. En les lisant, je m’attendais à une histoire sanglante, dérangeante… Au final, c’est du young adult, quoi, ni plus ni moins.



Enfin bref, comme ça, on dirait que je n’ai pas trop aimé ma lecture et c’est vrai que ça n’a pas été le coup de cœur auquel je m’attendais, mais j’ai pris plaisir à lire ce livre. On ne s’ennuie pas et malgré quelques défauts, on est happé par cet univers.
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One shot (à priori) d'Alexandra Bracken, l'auteur de l'excellente trilogie Les Insoumis.

J'ai apprécié ce roman mais probablement moins que si je l'avais lu à une autre période. J'étais très fatiguée et s'endormir sur son livre au bout de quelques pages gâche un peu l'ensemble... J'aurais peut-être été jusqu'au coup de coeur sinon.

Malgré tout, j'ai trouvé le livre très bon : le concept de base mélangeant Hunger games et la mythologie grecque est bien exploité, le système décrit est précis, bien imaginé... et assez révoltant. Lore est à la fois l'héroïne et celle qui a "trahi" le système en refusant d'y participer.

Le rythme est soutenu avec une alternance entre présent et passé, au moment du précédent Agon. Les personnages sont plutôt attachants sans être caricaturaux.

J'ai quand même eu une impression de lenteur, mais est-ce dû au roman ou à mon état lors de cette lecture, difficile à dire !



Plutôt pour adultes et ados à partir de 12-13 ans (certaines descriptions sont quand même assez rudes... )
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J'aime beaucoup tout ce qui touche à l'histoire et à la mythologie, c'est donc avec enthousiasme que je me suis plongé dans cette lecture.



Et, je n'ai pas été déçue. Ce récit est plein d'action, et nous y sommes plongés dès le début.



Le fait que la mythologie soit combinée aux temps modernes, que les combats soient tous à l'épée ou autres armes blanches mais qu'ils utilisent aussi des moyens de notre époque pour se cacher où se déplacer rend le récit très original.



La mythologie est au seconde plan mais c'est en même temps le cœur de l'intrigue, avec des révélations et des retournements de situation vraiment inattendu.



Le personnage de Lore est incroyable. C'est une personnages féminin fort, courageux, et qui défend ses valeurs coûte que coûte.



J'ai beaucoup aimé les personnages secondaires, qui méritent beaucoup plus d'attention, et j'aurais aimé en apprendre plus sur eux, tel que Miles ou Héro qui sont, a mon goût, peu développé.



J'ai été un peu déçue par la fin, que j'ai trouvé trop facile, trop happy end.. je m'attendais a quelque chose d'un peu plus tragique je pense.



Mais cela ne gâche en rien les bons moments que j'ai passé durant cette lecture, et je suis très contente des échanges avec les filles pendant cette lecture commune.



J'ai jamais vu un groupe avec un avis aussi différent au sujet d'un livre en lecture commune, et c'était vraiment génial !

Neuf dieux du panthéon ont défié Zeux une fois de trop et ils ont été condamné il y a des centaines d’années à subir l’Agôn tous les 7 ans: transformés en mortels, ils sont pourchassés pendant 7 jours par des humains qui veulent s’approprier leurs pouvoirs. Ces chasseurs sont répartis en lignées descendantes des grands héros de la mythologie dont celle de Persée. Lore en est la dernière survivante et a fui ce monde violent impitoyable, mais il va venir frapper à sa porte sous la forme d’un ami d’enfance qu’elle croyait mort et d’une déesse gravement blessée, Athéna.



L’univers m’a beaucoup, comme je m’y attendais et est bien construit. Je suis très bon public pour tout ce qui concerne la mythologie (toutes les mythologies) et la punition cruelle des dieux par Zeus me semble totalement cohérente avec les mythes existant. De plus, il y a une certaine logique dans les derniers dieux survivants tout comme ceux qui sont partis en premier. Les différentes lignées de chasseurs sont aussi peu à peu expliquées avec une identité propre à chacune et des règles très précises pour le massacre. Ce microcosme, qui vit encore selon des règles inventé il y a des centaines d’années est profondément sexiste, et Lore, ainsi que toutes les femmes de ces lignées doivent subir ce joug, tout en apprenant dès l’enfance à glorifier les chasseurs.



Au fil de cette semaine sanglante, le récit prend un ton très sombre avec beaucoup de violences et de terribles flash-backs. Certains protagonistes sont pourris jusqu’à la moelle et des mentions de viols/pédophilie sont présentes. Soyez prévenus si ce sont des sujets qui sont difficiles pour vous.



La narration alterne entre le présent et différents flash-backs dans la mémoire de Lore ce qui donne un rythme entrainant. Les péripéties s’enchaînent sans pause avec des alliances qui se nouent, de nombreux complots à dénouer et des trahisons douloureuses. Grâce à ce rythme et au style fluide de la traduction, j’ai lu les quelques 628 pages de ce petit pavé très rapidement.



Pourtant et surement en partie à cause de cet enchaînement rapide d’action, j’ai eu beaucoup de mal à m’attacher aux personnages. Ils ont tous une histoire et des caractéristiques creusés, mais j’ai eu cette impression d’être détachée pendant la majorité du roman. J’ai trouvé les rebondissements bien trouvés et bien articulés tout comme je pense que Lore est un personnage intéressant qui allie force et courage tout en ayant un besoin profond de reconnaissance. L’exploration de son passé et de celui des différents protagonistes qui gravitent autour d’elle m’a plu, mais je suis restée en retrait de ma lecture et n’ai pas été émue la plupart du temps.



Les romances sont quant à elles transparentes et apportent peu à l’histoire, même si je préfère celle des personnages secondaires (Miles) à la principale.



De plus, j’ai trouvé la fin décevante. Elle résout plusieurs arcs narratifs d’une façon qui m’a plu, mais elle reste très ouvertes sur certains points, ce que je n’aime pas du tout.



Cette lecture a été distrayante (c’est un véritable page-turner), mais il m’a manqué quelque chose pour être impliquée totalement dans le récit. L’univers est bien construit, les personnages aussi mais le rythme et le style de l’histoire m’ont empêchée d’être aussi séduite par ce roman que je l’aurais souhaité. Je recommande ce récit si vous aimez les histoires pleines d’action et de trahisons, mêlant mythologie grecque et modernité en espérant que le récit vous happera plus que moi.
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Tous les sept ans, durant l’Âgon, les grandes maisons grecques, descendantes d’héros prestigieux de la mythologie, s’affrontent et partent à la chasse des divinités grecques qui, durant une semaine, deviennent mortelles pour avoir oser défier Zeus il y a de cela des millénaires. Si un mortel tue un dieu, il s’empare alors de son pouvoir et de son immortalité et en fait, également, profiter sa maison.



De nos jours, il ne reste que peu de dieux originels, la plupart d’entre eux ayant été tués et absorbés par l’un des membres d’une maison. Lore, quant à elle, a fui ce monde pour lequel elle était prête à tout durant sa jeunesse, sa famille ayant été brutalement assassinée lors du dernier Âgon. Désormais seule représentante de la lignée Persée, elle est restée éloignée de cet univers durant ces sept dernières années. Mais, alors que l’Âgon recommence, son passé va revenir frapper à sa porte…



Mon ressenti sur ce livre est assez indescriptible. J’ai tout adoré, que ce soient les personnages, l’univers, l’intégration de la mythologie grecque et la revisite, tout bonnement exceptionnelle, qu’en fait Alexandra Bracken. Sincèrement, ce monde est très spécifique, et l’autrice l’a tellement enrichi qu’il n’y a pas grand chose à redire. J’ai été ébahie sur bien des points, et j’ai été autant menée en bateau que l’héroïne. Les révélations m’ont scotchées, je ne les avais pas du tout vues venir, et j’ai adoré ça ! Sans oublier Lore, qui est une héroïne loin d’être parfaite, aveuglée à la fois par le désir de venger sa famille, mais aussi celui de quitter définitivement le monde horrible qu’elle idéalisait enfant.



Et, pourtant, j’ai bien bloqué sur ce livre. Surement à cause de toute la complexité, justement, de ce monde, car il m’a fallu beaucoup, beaucoup de temps pour comprendre le fonctionnement de l’Âgon, mais aussi le système régissant les maisons (et qui représentaient qui). Sachant que j’ai déjà, de base, un gros bagage concernant la mythologie grecque, pourtant cela ne m’a pas empêchée d’être mal à l’aise durant une grande partie de l’histoire.



Malgré tout, j’ai adoré. Même si la prise en main a été très délicate, l’univers que met en place Alexandra Bracken ici est tout simplement époustouflant. Cette histoire ne ressemble à aucune autre, et c’était tout aussi prenant qu’haletant. J’ai adoré la façon dont l’autrice m’a menée en bateau, et j’ai été surprise plus d’une fois par les révélations qui y sont faites. Une jolie surprise !
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Cela faisait trèèèès longtemps que j’avais ce roman dans ma PAL et je n’avais pas pris le temps de le lire vu le nombre élevé de dystopies lues il est vrai que j’avais été un peu lassée. Mais là c’était l’occasion de le sortir vu que l’adaptation cinématographique arrive le 8 août sur les grands écrans et la bande annonce est plutôt alléchante.



Je me suis donc lancée dans le roman que j’ai dévoré en quelques jours à peine tellement il est génial ! On rentre tout de suite dans l’histoire avec Ruby qui se retrouve dans un camp suite à la peur engendrée par les jeunes qui sont vivants et qui ont des pouvoirs psychiques. Une partie de la population de jeunes a été décimée à cause d’un virus et l’autre partie a développé des facultés spécifiques. Ils sont alors répartis selon leur “couleurs” qui représentent leur pouvoir les jaune rouge et orange étant les plus dangereux. Ruby a vécu dans ce camp pendant 6 ans jusqu’au jour où on lui a donné l’opportunité de sortir. Elle sait depuis le début qu’elle est son pouvoir, sa couleur, et elle cherche à le cacher à tout prix car elle a bien remarqué ce qui advenait de ces trois couleurs dangereuses. En plus, elle voit bien qu’elle ne contrôle rien et qu’elle “blesse” les gens autour d’elle. Elle n’a donc aucune confiance et même quand elle croise trois jeunes sur la route, qu’elle sympathise avec eux, qu’elle devient membre de leur groupe elle redoute de leur dire la vérité. J’ai beaucoup aimé le personnage de Ruby qui n’a pas confiance vraiment en elle, elle redoute ses pouvoirs et elle n’arrive pas à se dire qu’elle peut y arriver. Elle a peur de perdre les personnes auxquelles elle tient le plus. Forcément on se retrouve avec une héroïne qui a des pouvoirs très importants, puissants surtout qu’elle est une des rares restant en vie. Et puis une bonne dystopie n’existerait pas sans une petite romance naissante ! Bref, vous l’aurez compris tous les ingrédients sont bien là pour une bonne dystopie. Quelques événements font bouger les choses et la fin est assez prévisible mais quand même surprenante sur certaines points. On n’a qu’une hâte lire la suite !



En résumé, je n’attends qu’une chose, la sortie du film dès demain ! J’espère que l’adaptation est plutôt réussie même si l’on voit dans la bande annonce qu’il y a quelques modifications j’ose croire qu’ils ont fait quelque chose de bien. En plus, le casting a l’air bien trouvé ! Je ne peux que vous encourager à vous lancer dans cette trilogie dystopiques qui a tous les bons ingrédients pour vous faire passer un bon moment de lecture.
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Je suis tombée sur « les insoumis » alors que je me baladais dans les rayons d’une librairie. Je n’en avais jamais entendu parler, je n’avais pas la moindre idée de ce que c’était, mais son titre m’a attiré l’œil. Un regard à la 4ème de couverture m’a suffit pour comprendre qu’il s’agissait d’une énième dystopie et, étant très friande du genre, je me suis dit que c’était pour moi.



Cette histoire se défend bien. Je n’irais pas jusqu’à dire qu’elle est originale, encore que je n’ai pas encore lu de dystopie dans laquelle les humains développent des pouvoirs. Mais je sais qu’il en existe beaucoup. Ici, nous suivons une jeune fille, Ruby, dans un univers dans lequel une maladie a frappé tous les enfants entre 10 et 16 ans (environ), en tuant beaucoup sur son passage. Ceux qui ont survécu ont développé des pouvoirs plus ou moins dangereux et sont internés dans des camps, classés par couleur selon la dangerosité de leur pouvoir.



Je me suis immédiatement plongée dans l’histoire. Et en même temps, j’ai conservé une certaine distance avec Ruby. La jeune fille ne me paraissait pas avoir la carrure d’une héroïne tant elle est passive pendant toute la première partie du roman. Heureusement par la suite, elle se prend en main et se révèle bien plus qu’elle ne semblait au premier abord. J’ai apprécié de la voir évoluer, tout en conservant ses questionnements d’adolescente qui a vécu enfermée dans un camp pendant 6 ans et qui n’a quasiment pas vu de garçons (en dehors des soldats) depuis sont internement. Cela créé chez elle une sorte de gêne qui est assez marrante à lire. C’est seulement passé certains chapitres que j’ai vraiment commencé à l’apprécier. Les autres personnages principaux, eux, se sont imposé de suite comme de bons personnages. Zu, Liam, Chubs, chacun à ses particularités qui font l’es apprécie rapidement.



Au-delà des personnages, l’auteur semble avoir plutôt bien travaillé son univers, pour ce que j’en ai vu dans ce premier tome. Il pose les bases d’une société qui a encore pleins de secrets à révéler et qui, du coup, donne envie de creuser plus en profondeur.



Niveau écriture, c’est fluide, cela se lit bien. J’ai particulièrement aimé cette façon qu’a l’auteur de nous donner des petits indices ici et là et de nous laisser mariner pendant des chapitres avant qu’on ne comprenne enfin vraiment où elle veut en venir. Je prends en exemple ce que Ruby a fait à ses parents. Dès le début, on apprend qu’elle a fait quelque chose d’effroyable, mais on ignore dans quelle mesure. On en vient même à se demander si elle ne surestime pas sa faute. Et c’est seulement vers les 2/3 du roman qu’on finit par savoir ce qu’il s’est réellement passé. L’auteur entretient son mystère et cela m’a rendu d’autant plus curieuse.



Je me plonge avec plaisir dans le tome 2.

Le concept de Passnger semblait très prometteur mais malheureusement, je n’ai pas été totalement séduite par ce premier tome. Même si la romance m’a plu, elle prend souvent le dessus sur le reste. Dans ce genre de roman, je suis plutôt en attente de plus d’action et d’un rythme plus effréné. De plus, le roman a pris son temps pour démarrer. J’ai bien aimé ce roman.



L’histoire, à des moments, ne manque pas d’intérêt lorsque l’on découvre le principe du voyage dans le temps et les différentes époques. Egalement, les règles à n’absolument pas enfreindre pour ses voyageurs hors du commun. Ajoutons à cela le fait que l’univers de Passenger soit intéressant. A d’autres, le rythme est lent et les rebondissements se font rares.



Ajoutons à cela le fait que je ne me suis pas vraiment attachée au deux personnages principaux: Etta et Nicholas. J’ai ressenti une certaine distance qui m’empêchait de les atteindre. Je ne les ai pas détestés, ils présentent chacun une personnalité très différente. Nicholas traîne avec lui son passé et sa couleur de peau ne lui permet pas de voyager aisément à toutes les époques.



D’un côté, j’ai apprécié Passenger pour un concept de voyage dans le temps intéressant, original et bien élaboré, je n’ai pas noté d’incohérences le concernant et l’histoire tient la route. De l’autre, ce premier tome peut paraître assez introducteur, en espérant que le suivant sera plus dynamique.
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Evidemment, on ne peut qu'être attirés par la couverture magnifique de ce roman.

Pour le reste, bilan en demi-teinte: d'un côté, un roman d'aventures bien mené, où l'action ne s'arrête jamais, de l'autre, des personnages typiques du roman pour ados actuel, pas franchement très profonds, et une histoire d'amour racontée de manière assez lamentable.

"Passenger" permet de passer un roman agréable, mais j'ai un sentiment de réchauffé...

Des trois volumes je dirai que c'est mon tome préféré. On y retrouve la noirceur du premier tome, celui qui évoque les camps de concentration pour jeunes psi et les mauvais traitements. On y retrouve tous les personnages du second, les doutes et les nouveaux choix que Rudy a fait. Le fait que se soit devenue une véritable combattante de la ligue des enfants, prête à se battre, une jeune fille qui maîtrise de plus en plus ses aptitudes et n'a plus de scrupules à les utiliser. Et on a un nouveau souffle à l'histoire. Une héroïne qui doute, qui fait de mauvais choix, et qui réalise au fur et à mesure qu'elle doit faire.

Sa romance avec Liam va elle aussi connaître des tourments. Et j'ai bien aimé la route que prenait le personnage de Liam. Par contre Ruby m'a exaspérée et je l'ai trouvé tête à claque bien souvent. Je n'ai pas trop compris ses choix. Mais du coup cela a mis un peu de piquant à la romance.

Quand aux personnages secondaires ils sont toujours attachants et sympathiques. On retrouve Zu, Vida et Chubs. On suit un peu plus Cole. Ce dernier est tout en ambiguïté, il se montre détestable et attachant à la fois. Un personnage qui souffre et cache sa nature. Ceci explique cela, et offre un personnage intéressant. Qui m'a cependant bien exaspéré au début. Le duo qu'il forme avec Ruby m'a énervé, sa manie de l'appeler bijou et leur complicité égoïste qui écarte les autres m'est apparue énervante.



Au final, il y a des révélations, on apprend d'où vient le virus psi, on comprend pourquoi le gouvernement a aussi mal traité les jeunes atteints du virus et on découvre quelles sont les possibilités qui s'offrent à eux. De quoi réfléchir.

Une fin assez grinçante, ouverte sur un avenir incertain si peu serein auquel les jeunes ne semblent pas vouloir se soumettre.

Une romance entre les deux héros qui connaît ses difficultés mais qui tient le choc, bien que Liam a la fâcheuse habitude d'appeler Ruby "Chérie", ce qui porte sur les nerfs et fait véritablement artificiel pour des jeunes de 17 ans. Mais bon...



Une trilogie dystopique bien sympa, qui change réellement des récits habituels. Un troisième tome qui m'a embarquée et un petit pincement au cœur d’abandonner nos personnages après tant de péripéties.
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Les insoumis est l'un des meilleurs livres jeunesse que j'ai lu depuis longtemps. En fait, je n'avais pas été si agréablement surprise par une dystopie depuis La 5e vague. Bien que certains éléments m'aient grandement fait penser à d'autres romans (la page couverture et le titre m'ont fait penser au roman Les fragmentés; le virus qui attaquait les adolescents m'ont vaguement rappelé un élément de Gone; la fuite et les camps m'ont fait penser à Enclave et à La triologie des survivants: Arène , etc.), cette impression n'a pas durer longtemps, car le roman est excellent et original du début à la fin. Je suis restée en haleine, intriguée, surprise, concentrée, intéressée par le destin des ces personnages si rapidement attachants et beaucoup plus approfondis que ne le sont habituellement les personnages dystopiques des romans populaires pour la jeunesse.



C'est l'histoire avant tout de Ruby, une jeune fille qui a 10 ans quand survient une horreur sans nom aux États-Unis: les enfants entre 8 et 12 ans sont tous touchés par un mystérieux virus qui tue rapidement un très grand pourcentage d'entre eux. Mais, ce qui fait le plus peur à la population, c'est ce qui arrive aux enfants qui ne meurent pas. En effet, ces derniers semblent tous développer des pouvoirs psychiques hors norme considérés comme dangereux pour les adultes. La plupart sont envoyés (même par leurs propres parents) dans des espèces de camps de concentration (qui rappellent évidemment ceux de la Deuxième Guerre mondiale) où des expérimentations, des sévices et de nombreux autres crimes sont commis envers eux. Ruby, elle, est télépathe et a le pouvoir non contrôlé d'effacer les souvenirs d'autrui. Sans le vouloir, elle s'efface de la mémoire de ses parents qui ne se souviennent plus d'elle. Elle est amenée dans un camp où elle sera secourue, 6 ans plus tard, par une jeune médecin qui la fait évader.



Les enfants sont divisés en 5 catégories de pouvoir: on appelle Verts ceux qui ont une intelligence hors de l'ordinaire et une mémoire photographique, Bleus ceux qui peuvent faire de la télékinésie (de faible intensité tout de même), Jaunes ceux qui influencent l'énergie électrique ou électronique; Oranges ceux qui contrôlent les pensées des autres et Rouges les autres (l'auteur omet volontairement de nous en dire davantage sur les Rouges, afin qu'on le découvre plus tard). Ruby est une orange, mais elle réussira à se faire passer pour verte afin de ne pas être enfermée dans une zone plus sécurisée (les Oranges étant considérés comme dangereux).



Je n'en dirai pas plus, car c'est beaucoup plus intéressant de découvrir cette aventure sans savoir ce qui nous attend. Chose certaine, c'est que l'aventure de Ruby est passionnante, touchante et que je meurs d'envie de lire le deuxième tome!

Un roman surprenant et très bien construit. J'ai beaucoup aimé entrer dans l'esprit de Ruby (c'est le cas de le dire), et la voir apprendre à utiliser ses aptitudes, mais aussi accepter sa vie, son histoire, aussi terrible que triste. Et ça ne va pas aller en s'arrangeant visiblement, même si une lueur d'espoir est apparue grâce à Liam, Zu et Chubs. Une petite troupe atypique qui cherche à survivre, à retrouver leurs parents, à se faire accepter. Quant à la fin, elle m'a chamboulée, déchirée. L'avenir de chacun est incertain, ils sont tous dans une situation plus que difficile. Vont-ils s'en sortir, vont-ils se retrouver, et surtout, surtout, vais-je pouvoir survivre à cette attente du prochain tome?
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Surfant sur la vague des romans dystopiques comme Divergent ou Promise, "Insoumis" nous propulse dans un avenir pessimiste où une épidémie décime peu à peu les enfants. Les rescapés, eux, se mettent à développer des habiletés hors du commun : télékinésie, synesthésie, empathie, etc. Et bien sûr, la populace (ou devrais-je dire les adultes ?), prise de peur décide de réprimer et assujettir la nouvelle génération. Je dis bien sûr, car le point d’orgue de ces romans YA nouvelle vague, est de montrer un futur apocalyptique, où les lois sont bafouées et la jeunesse opprimée. Comme je l’avais déjà remarqué avec « Divergent », ces romans sont de plus en plus alarmistes et violents, et bien que le but est de servir d’électrochoc aux dérives possibles de notre société, j’ai un peu l’impression qu’il y a une surenchère malsaine de virulence qui n’est pas pour me plaire. Mais j’oubliais que l’amour résout tout !



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Ruby est une jeune fille de 16 ans. Elle vit, depuis le jour de son dixième anniversaire, dans un camp qui regroupe des jeunes comme elle : des psi. Tous ces jeunes ont la particularité d'avoir des pouvoirs surnaturels, certains plus dangereux que d'autres. Ils sont d'ailleurs classés par couleur dès leur arrestation : vert, bleu, jaune, orange et rouge. Vert étant inoffensif et rouge, très dangereux...

Ruby est une Orange qui a réussi à se faire passer pour une Verte pendant le test qui détermine leur niveau d'aptitudes, elle est donc mise dans un camp avec d'autres Vert. Mais la vie dans ces camps est très rude, les adultes n'ont aucun scrupule à mener la vie dure à ces jeunes dont les pouvoirs leur font très peur...

Par un heureux hasard, Ruby aura l'occasion de s'échapper avec un autre jeune de sa couleur qui a aussi réussi à se faire passer pour un Vert. À la suite de nombreux évènements, cette fugue lui permet de faire la rencontre de Liam et Chubs, deux Bleu, ainsi que de Suzume, une jeune asiatique Jaune, surnommée Zu.

Commence alors une course poursuite contre la montre, contre des organisations d'adultes qui les traquent sans relâche...





Ce premier tome m'a beaucoup étonné. Il a toutes les bases nécessaires bien qu'il y ait déjà une véritable intrigue avec de nombreux rebondissements. Le nombre de pages peut en dissuader certains mais il n'y a pourtant pas de quoi, je n'ai remarqué aucune longueur ! Il se lit facilement, rapidement et avec un intérêt grandissant au fur et à mesure. Il y a quelques passages répétitifs dans le sens où c'est le même schéma : ils sortent d'une situation difficile pour se retrouver coincer dans une autre, et ainsi de suite. Là où cela change, c'est la façon dont ils s'en sortent et on apprend également de nouvelles choses à chaque fois, que ce soit sur leurs aptitudes, sur leur point d'arrivée ou sur leur personnalité.





Par contre, il y a quand même deux ou trois choses qui m'ont gênées tout au long de ma lecture, même si je ne m'en suis rendue compte qu'à la fin. Il y a des passages qui manquent de détails ou d'explications, selon moi. Il y a des personnages qui disent des choses ou ont des réactions qui semblent logiques pour l'auteure mais qui ne l'ont pas été pour moi... J'aurai aimé quelques détails, soit pour me rappeler un fait, soit pour m'expliquer le pourquoi du comment.

Un autre point qui manque de détails, cela concerne les pouvoirs psychiques en général. On suit l'histoire à travers Ruby et comme elle ne maîtrise pas ses pouvoirs et a beaucoup de mal à les accepter, on découvre réellement cet univers. Là, c'est très appréciable ! Mais j'aurai néanmoins préféré avoir plus de détails sur ces pouvoirs, sur leurs origines et jusqu'où ces jeunes sont capables d'aller. On en sait toujours un peu plus au fur et à mesure tout de même et j'ai beaucoup apprécié que tout évolue progressivement.





Le travail sur les personnages est vraiment bien réalisé. Il y en a beaucoup mais l'intrigue en centre surtout quelques-uns très importants. Il n'est donc pas difficile de les différencier et de s'attacher à eux !

Ruby m'a vraiment plu qu'à la fin... Au début, et pendant très longtemps, je l'ai trouvé trop passive, trop naïve et un peu insupportable à toujours se dénigrer. Mais c'est un personnage qui évolue constamment ! Peu à peu, elle prend confiance en elle, en ce qu'elle est et tout ça ne la rend que plus humaine au fil des pages.

Liam et Chubs sont très différents l'un de l'autre bien qu'ils soient deux Bleu et qu'ils font route ensemble depuis longtemps. Liam a la main sur le cœur, toujours prêt à aider son prochain et à éviter les conflits. Chubs est un peu plus méfiant, plus réservé et moins optimiste. Ce duo amène un certain équilibre indispensable au groupe !

Zu est une petite Jaune très touchante. Elle ne parle pas et a peur de ses pouvoirs qu'elle ne maîtrise pas. Autant dire qu'elle sait se faire discrète ! Mais c'est un autre atout pour ce groupe solidaire...

Pour parler du groupe en lui-même, je dois dire qu'ils vont tous bien ensemble. Les émotions sont fortes par moments, tellement elles sont humaines et touchantes. On ne les imagine pas les uns sans les autres...

Enfin, il y a un personnage dont je vais taire le nom qui m'a tout de suite beaucoup intriguée... J'ai vite compris ses réelles intentions mais beaucoup de choses changent à cause de lui et j'ai hâte de voir ce qu'il amènera dans le prochain tome !





Pour conclure, ce premier tome est une belle réussite malgré les petits détails relevés plus haut qui m'ont parfois beaucoup dérangés. Une chose est sûre, je ne pouvais pas lâcher ce livre ! L'intérêt grandit au fil de l'histoire, l'intrigue est tout de même bien menée et a beaucoup de rebondissements et d'évènements inattendus. Sans parler de la fin qui promet une très bonne suite !

Le style est fluide et léger (un peu trop sans doute). Je n'ai eu aucun mal à m'imaginer les scènes vues à travers les yeux de Ruby. Les révélations sont étonnantes et donnent envie d'en savoir toujours un peu plus.

Cette nouvelle dystopie donne vraiment quelque chose de nouveau au genre et j'ai hâte de découvrir la suite !
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