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Critiques de Alexandre Vialatte (103)
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Les fruits du Congo

Livre sur l’adolescence, l'envie d' ailleurs, mais pas facile à résumer. Le style n'est pas désagréable mais n'étant pas sensible au lyrisme de l' auteur j'ai abandonné après 150 pages. Trop confus, je n'ai pas réussi à me faire porter par l'écriture poétique même si je dois reconnaître un certain talent .
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Chroniques de flammes et de fumées

Un auteur inclassable et un livre tres original voici ce que je vous offre a decouvrir avec cet ouvrage.Ces chroniques recueils courts et rythmés sont uniques en leur genre,mélange d'humour et de second degré.Cet ecrivain auvergnat merite le coup d'œil.
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Et c'est ainsi qu'Allah est grand

Cadeau de San Zylberberg, le roi de la Belgique, si on ne tient compte que des qualités humaines, et autres humanités. Montaigne disait de La Boétie, parce que c'était lui, parce que c'était moi. J'en dirais de même de Sam. Il est aussi sage que je suis impulsif et primesautier. Aussi adulte e mature que je suis gamin et utopique. Nous faisons un alliage dont la puissance ne s'est pas encore vraiment exprimée. Nos haters, contempteurs, et autres détracteurs, toutes sortes de médiocrités qui sont légions dans la géographie humaine, ces pleutres appréhendent donc notre réunion. Et c'est ainsi qu'Allah est grand.
Lien : https://jeretiens.net/
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Chroniques de La Montagne, tome 1 : 1952-1961

Si vous ne relisez qu'un livre dans votre courte existence, c'est celui-ci. Évidement, cela implique que vous l'ayez déjà lu. Si ce n'est pas le cas, alors je vous assure que vous passez à côté d'un pan entier de l'univers connu. C'est bien dommage. Vous avez encore une chance de vous rattraper. Information bonus : il y a un deuxième tome.
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La Complainte des enfants frivoles

J'ai lu d'autres Vialatte et... on sent que c'est un premier roman. Il y a des fulgurances d'écriture, et une sorte d'histoire, avec des personnages qui sont assez hauts-en-couleur, mais Vialatte m'a un peu perdu, dans ses phrases complexes et ses focus sur des détails.

Je ne comprends pas le parti pris de l'éditeur de laisser les fautes-oublis-coquilles qui existaient dans le texte originel, non suffisamment corrigé par l'auteur lui-même. Cela n'apporte rien, si ce n'est un doute sur les qualités intrinsèques de Vialatte.

Sinon, l'histoire en soi, une histoire ou des histoires d'un parcours dans un Collège, qui se finit tragiquement est plus ou moins prenante, touchera plus ou moins chacun puisqu'on est tous un peu passés par là.
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Battling le ténébreux, ou, La mue périlleuse

"La maladie de l’adolescence est de ne pas savoir ce qu’on veut et de le vouloir cependant à tout prix." - Philippe Sollers, "Le défi"



"Il était à un âge cruel, plein d’idées fausses et d’orgueils déplacés, l’âge des pires souffrances, celles qu’on se nie à soi-même."



D’Alexandre Vialatte (1901-1971), le pince-sans-rire de quelque 900 chroniques savoureusement impertinentes et loufoques publiées dans le journal "La Montagne", on a retenu l’homme qui écrivit un jour à Gaston Gallimard pour le convaincre qu’il fallait traduire Kafka dont il allait devenir le premier traducteur français. Kafka, donc. Mais aussi Goethe, Nietzsche, Asch…



Alexandre Vialatte est, en outre, l’auteur d'une dizaine de romans, dont seuls trois ont paru de son vivant.

"Battling le ténébreux ou la Mue périlleuse", son 1er roman lauréat du Prix Blumenthal 1928, est un récit d’adolescence où pointent déjà son humour absurde et sa tendresse pour ces jeunes gens de province qu’il connait bien, lui qui naquit dans une petite commune de Haute-Vienne. Son écriture poétique, par la grâce de la magie des mots, laisse sourdre la mélancolie éprouvante du désespoir romantique.



"Battling le ténébreux ou la Mue périlleuse" est le roman des entre-deux.

Écrit en 1928, il est évidemment celui de l’entre-deux-guerres dans une petite localité terne, pas encore urbaine, plus vraiment rurale. Quelques garçons, pas encore adultes, plus vraiment enfants, usent l’ennui de leurs 17 ans. Ils sont arrivés à cette période un peu floue de leur vie, un entre-deux-âges où les rêves se cognent à la réalité et abiment leurs "âmes encombrantes", tourmentées par de vaines illusions.



Quel que soit le roman d'Alexandre Vialatte, on retrouve en fil rouge le passage à l'âge d'homme, période nostalgique et désabusée, où un sourire gai éclaire des yeux tristes.



"C’était un garçon qui aimait à se faire mal, peut-être parce qu’il avait tant souffert sans le savoir de la misère de son enfance qu’il avait trouvé une volupté dans la douleur."



Un trio de garçons - le narrateur anonyme, Fernand Larache dit Battling et Manuel Feracci - va l’espace de quelques pages connaître ses premières amours et, partant, les premières jalousies et rancoeurs. L’amitié entre ces trois-là est difficile à cerner et, si l’on ne sait pas au juste à quoi elle tient - peut-être à une même détestation des petits bourgeois infatués de province satisfaits de leur petite vie étriquée ? - on soupçonne assez vite qu’il suffirait d’un rien pour la faire voler en éclats.

Ce rien, qui aurait pu être Maria la serveuse de l'estaminet paternel, va prendre les traits d’Erna Schnorr, une artiste allemande venue chercher un anonymat de bon aloi dans la petite ville.



"Il vit […] la forme mince et ferme d’Erna Schnorr, ses yeux gris un peu bridés, ses lèvres pâles, ce masque curieux d’étrangère qu’il s’en voulait de désirer tout en le trouvant laid."



Si Battling, écorché vif comme on l’est à cet âge, cherche à se persuader qu'il n'aime personne, c’est pour mieux oublier qu'il ne s'aime pas lui-même, enfant privé de mère, puis de père et que M. Charles Sardaigne a recueilli. Le regard qu'il porte avec ses amis sur le monde des adultes est empreint d’une admiration méprisante.



"Orgueilleux et vils à la fois, c’est en les méprisant que nous les prenions pour modèles."



Quand on a l'âme pudique du fier et ombrageux Battling, il est impensable d'avouer être ferré par Erna au point de la guetter dans le jardin chaque jour :



"[…] toute expression du sentiment lui semblait une préciosité insupportable et de mauvais goût."



Aussi, quand il comprend que Manuel la voit en secret, il n’a d’autre choix que de serrer ses grandes mâchoires et lâcher avec une désinvolture de façade qui cache mal d'amères fissures :



" “C’est une belle poule bien balancée.” (Cela signifiait dans sa bouche : c’est une femme comme on n’en voit qu’en rêve, mais je crèverais plutôt que de l’avouer. Manuel aurait dit : “C’est une femme charmante.” et son expression polie n’en aurait pas moins recouvert une pensée brutale. Question d’âge. Manuel était plus vieux que nous.)"



"Brute paisible" encore sur le fil de l’adolescence, "homme à l’air sombre et mélancolique. [...] le ténébreux, [...] — l’inconsolé" tel le héros romantique nervalien, Battling est-il de taille à lutter contre un garçon plus âgé pour qui la vie ayant déjà éventé certains de ses mystères s'écoule sans heurts ? Se savoir supplanté le met au supplice. Il devient inutilement mauvais



" — Elle ? fit-il ; mais c’est une grue finie ! …

Oh ! Battling, qu’il faudrait te haïr pour ce mot ; misérable Battling qui adorais Erna Schnorr dans le secret de ton âme étrange… Il la reniait éperdument, avec une grossièreté acharnée ; son excuse était dans le mal qu’il se faisait à lui-même."



et ridiculement retors



"Je ne me charge pas de démêler exactement les nuances du sentiment qui poussait Battling à aller chercher Céline ce matin-là ; […] il devait y avoir surtout un désir d’humilier Erna Schnorr et de s’humilier soi-même en lui donnant pour rivale une femme aussi vulgaire."



À ces jeux malhabiles, presque puérils, on en viendrait à oublier qu’il est question d’une souffrance réelle, d’une faille intime qui s’ouvre, béante. L’art d’Alexandre Vialatte est de poser des indices çà et là comme autant de détonateurs dans l’espoir que le lecteur perspicace saura les repérer avant la déflagration finale. Puisque déflagration il y aura.



Avec Vialatte, nulle démonstration complaisante, seulement une langue belle, jamais pesante car économe de ses effets et riche de raccourcis qui valent tous les portraits en pied :



"Nos yeux graves démentaient notre mauvais sourire."



Sa poésie limpide serre le cœur :



"Elle ne se laissait revoir que rarement, mais nous nous obstinions tous les jours, avec la fidélité des prisonniers dans les chansons populaires, à fouiller l'horizon décevant auquel nous réclamions son image comme un signe précieux du destin, là-bas, du côté où, le matin, les brouillards de l'étang patrouillaient lentement, séparés en hautes colonnes, du côté où naissait l'arc-en-ciel quand il avait plu."



Son style est d’une simplicité gracieuse. Souvent, cela tient à un mot qui, au détour d’une phrase, crée la surprise là où on ne l’attendait pas, tels cet "horizon décevant" et ces "brouillards" qui "patrouillent lentement". Et puis comment résister au rythme suranné et languissant du point-virgule qui fait entendre la respiration calme de ces phrases amples alors que le drame se noue dans la tranquillité d'un jardin ?



"L'herbe brillait, toute fraîche de pluie, drue comme la force de nos jeunesses ; l'arc-en-ciel bâtissait un viaduc double, beau comme un démenti à l'expérience humaine ; ce miracle - un effet d'optique - nous autorisait à tout."



"Battling le ténébreux" est le roman déchirant de l’adieu à l’enfance pour la possibilité d'une vie prête à s’offrir à qui saura l'aimer "avec patience", comme le dit Erna Schnorr très justement.

Sauf qu'on n'est pas patient quand on a 17 ans.



Ce roman est le choix de Jérôme Chantreau pour la sélection anniversaire 5 ans des #68premieresfois que je remercie tant j'ai été heureuse de retrouver Vialatte, pour la langue magnifique bien sûr, mais aussi pour le regard tendre qu'il pose sur cette période périlleuse de la vie.



"C’est ainsi que s’étaient évadés, tour à tour, dans l’espace ou dans le temps, les personnages de cette histoire"

et je n'avais pas mesuré combien ils m'avaient manqué.
Lien : https://www.calliope-petrich..
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Battling le ténébreux, ou, La mue périlleuse

Un auteur très peu connu, une découverte pour moi, son premier roman édité en 1928.

De la mélancolie dans ce livre qui relate la vie d’adolescents, le lycée, les amitiés, les amours, l’ennui, la jalousie, dont Fernand Larache dit Batling est au cœur de l’histoire.

C’est l’adieu à l’adolescence avec toutes les souffrances et espérances.

Une écriture fluide, de longues phrases, une ponctuation particulière, de la poésie, un livre plaisant mais qui m’a paru désuet.



Lu dans le cadre des « 68 premières fois ».





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Et c'est ainsi qu'Allah est grand

Je ne partage pas l'avis de l'éditeur. Pas du tout captivé par le texte, j’ai très vite été lassé par ces chroniques.
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Le cri du canard bleu

J'ai choisi fiction pour étiquette car "le cri du canard bleu" n'est pas un recueil de poèmes, ni un roman, ni une nouvelle, pas un conte. Il s'agit d'une fiction d'Alexandre Vialatte dont je n'avais jusqu'à présent rien lu. Pour en parler (de Vialatte et donc...), je préfère laisser la parole à François Feer et à des extraits de sa préface, éclairante: "J'aime la façon dont l'excellent Alexandre pare les "grands" hommes d'inépuisables vertus tout en les habillant pour l'hiver. Je reconnais son sérieux par son usage du dictionnaire, par exemple quand il affirme que la mer est étonnante car tous les poissons ont les yeux écarquilllés...Cet art du dérapage du général au particulier, du trivial au sublime et vice versa, cueille le lecteur à l'estomac, le relève d'un direct dans le noyau suprachiasmatique et le laisse en plein vertige métalogique, terrassé par l'incongruité et secoué de rire par la cocasserie la plus inattendue. Un vialattéen distingué dit qu'il prend le monde par les pieds, mais au niveau des oreilles, et le retourne à l'endroit."
Lien : http://espacemath.com/forum/..
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L'Oiseau du mois

Alexandre Vialatte est un ecrivain auvergnat que j'ai découvert avec cet ouvrage.Ici ce n'est pas vraiment un roman,plus une nouvelle qui nous est offerte,en tout cas ce texte est original et plein d'humour.L'auteur excelle dans ce style et nous offre un vrai bon moment de lecture pour petit et grand.
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Salomé

Une écriture remarquable ! Ainsi : "C'était un soir d'hiver, plein de cris et de feuilles mortes et d'un vent noir qui balayait tout ça par les avenues dénudées vers un couchant rouge et pompeux comme un rideau de théâtre."

Mais tout est gâché par une suite d'événements si loufoques et absurdes que j'en ai abandonné la lecture avec regrets.
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Vialatte à La Montagne

Vingt-six chroniques parues entre le 22 juillet 1958 et le 4 octobre 1970 dans le quotidien La Montagne, où l'humour côtoie l'absurde, tout en donnant souvent matière à réflexion, et qui se terminent invariablement par "Et c'est ainsi qu'Allah est grand". Heureusement pour ce précurseur de Desproges que les fatwas n'étaient à l'époque pas encore à la mode…
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Battling le ténébreux, ou, La mue périlleuse

L'aventure #68premieres fois me fait découvrir des types de livres vers lesquels je ne me serais sans doute jamais tourné. Alexandre Vialatte et son roman Battling le Ténébreux ne font pas exception, un titre trop classique pour moi dans une collection aux titres exigeants.



Ecrit en 1928, Battling le Ténébreux est un roman sur l'adolescence - cette période trouble de la vie par laquelle on passe toutes et tous et où l'on se construit autant humainement que socialement. Fernand Larache, dit Battling le Ténébreux, est un personnage en conflit avec ses émotions. Son intérêt pour une femme de son village, Erna Schnorr, le perturbe autant que sa relation avec l'autorité représentée par un chef d'établissement scolaire autocratique et d'un autre temps.



Un autre temps, voilà sans doute ce que je retiendrais de ce roman. Certes le propos du livre, l'adolescence, n'a pas évolué - un ado peu importe l'époque reste un ado - mais la langue, elle, évolue et Alexandre Vialatte a tout de l'écrivain classique dans sa maîtrise du vocabulaire, un vocabulaire d'un autre temps lui aussi. Rien de péjoratif là-dedans puisque ce roman reste très moderne dans sa façon de dépeindre l'adolescence du narrateur et de ses amis, so 2020. Dramatique et dans l'excès, Battling subit la vie, l'ennui, l'attirance, ses amitiés et sa famille.



Avec une certaine nostalgie - mélancolie ? - le narrateur et ami de Battling raconte leur adolescence, du moins un temps de leur adolescence, entre bêtises, conflits et franche camaraderie.



En bref, ce n'est sans doute pas un roman qui m'a marqué, qui me marquera mais je dois dire que, curieuse de nature, j'aime découvrir ce genre de romans qui élargissent sans forcément que je m'en rende compte mon horizon littéraire. Pour le coup, Alexandre Vialatte écrit certes d'une manière assez vieillie mais le fond reste très moderne presque un siècle plus tard.
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Battling le ténébreux, ou, La mue périlleuse

Une belle lecture même si j'ai eu un peu de mal à y rentrer dans les premières pages, puis ce premier cap des 30 premières pages passé, on se prend facilement à ce récit d'enfance aux couleurs d'Oc. J'y ai retrouvé un peu du "Grand Meaulnes" et on peut dire qu'au niveau de la qualité de l'écriture, c'est aussi bien fourni.



Récit de la vie de 3 collégiens de 17 ans,  3 ados en recherche d'identité  et de repéres aux frontières de l'état d'adulte .... un peu coincés dans une vie de collège de province avec sa petite cour de professeurs, proviseur. Un petite vile avec ses commérages, les critiques des unes et des autres et de collégiens qui n'aspirent qu'à s'émanciper...



Le narrateur s'attache d'abord à reconstituer l'enfance de ses deux amis, plus ou moins heureuse, les histoires et origines familiales de chacun et plus particulièrement du plus écorché.... Battling.



Tout cela et particulièrement les vies quotidiennes de Fernand Lache surnommé Battling et de Manuel Feracci dont le narrateur, Vialatte ?, est un proche va se retrouver bouleversé par l'arrivée d'une artiste - peintre  d'orgine allemande.... la bien mystérieuse Erna qui, comme on peut l'imaginer ne va pas passer inaperçue et susciter les ragots les plus variés mais surtout ne pas laisser froids ces deux collégiens amis et les traiter avec des sentiments différents....



Blessures d'enfance, premiers émois amoureux et destin parfois tragique, Vialatte nous dresse une chronique talentueuse et attachante. Proche de ses personnages, de leurs personnalités, de cette Province empesée, on en apprécie le style un peu désuet....un film un peu en noir et blanc mais un récit de grandes qualité.
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Battling le ténébreux, ou, La mue périlleuse

Un premier roman paru en 1928, lu dans le cadre de la sélection des 68premières fois.

Un auteur dont je n'avais jamais rien lu.

J'ai trouvé le texte un peu désuet mais avec une belle écriture, pour nous raconter la dernière année au collège de jeunes garçons qui vont devenir des hommes ou du moins essayer.

Trois personnages : le narrateur qui décrit cette ville de province, Manuel, l'un des plus grands, dont l'oncle fait des monuments funéraires et le jeune Manuel se verrait bien lui devenir un artiste, et Battling (le ténébreux celui du titre), ténébreux donc, hésitant, solitaire. Il y a aussi deux personnages féminins, l'énigmatique Erna, allemande, peintre, mystérieuse et pas complètement intégrée dans cette petite ville de province et Céline, une chanteuse de cabaret. Une chronique de la vie en province, de la vie dans un collège et de la sortie de l'adolescence de jeunes garçons. Une lecture plaisante car une belle plume.
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Critique littéraire

C'est peu dire que Vialatte a du style, et quel style ! Tout ce qu'il écrit est digne du marbre. Ce ne sont que vues tour à tour, ou tout ensemble, profondes, légères, étonnantes, amusantes, émouvantes, brillantes et drôles. Un livre de maître, d'un plaisir contagieux.
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Le cri du canard bleu

Un vrai bijou .....juste jubilatoire
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Le Fluide rouge

L'écriture de Vialatte est toujours contondante

mais pour moi moins poétique et truculante que celle que j'ai découverte dans le "cri du canard bleu".

J'ai aussi trouvé l'ambiance un peu datée, même si la vélleité du personnage principal ne manque pas d'actualité.
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La Complainte des enfants frivoles

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Bananes de Königsberg

Une compilation d'articles et de lettre d'une actualité désespérante par un auteur formidable "notoirement inconnu" selon ces propres dires. Les 150 premières pages font peur, les cent cinquante dernières éclairent l'esprit humain sous un terrible jour.
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