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Citations de Ann Brashares (613)


La confiance et l'amour sont indissociables.
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L'amour peut-il durer toute une vie ? Peut-il passer indemne de l'enfance à l'âge adulte en survivant aux tourments et aux écueils de l'adolescence ? Est-il toujours le même à l'arrivée, simplement exprimé de façon différente ? Ou ces deux formes d'amour sont-elles radicalement étrangères et incompatibles ? Peut-être n'était-ce pas la réponse qui était déroutante, mais la question qui était mal posée. Peut-être n'y avait-il pas deux sortes d'amour, mais des milliards. Ou alors une seule.
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Il l'aimait. Pouvait-il le lui dire ? C'était tellement simple de l'aimer et encore plus simple de ne pas se l'avouer [...]
- Je t'aime, souffla-t-il dans ses cheveux.
C'était facile de prononcer ces mots quand elle ne pouvait pas les entendre.
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Si tu étais si douée pour le bonheur à l'époque, comment se fait-il que tu n'aies jamais réussi à être heureuse depuis ?
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De toute façon, que pouvait-elle en conclure ? Cela ne signifiait rien, n'est-ce pas ? Son premier instinct était toujours le même : préserver le passé. Occulter le futur. Pour que rien ne change. Jamais.
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Laisse-moi t'aimer mais ne m'aime pas en retour. Aime-moi mais laisse-moi te haïr quelques fois. Laisse-moi l'illusion de contrôler les choses, parce que je sais bien que tout m'échappe.
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Il se mettait en colère après elle pour des tas de raisons, alors qu'en réalité il ne lui reprochait qu'une seule chose : de lui avoir pris son cœur et de refuser de le lui rendre.
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J'ai observé mes amies, bronzées, pieds nus, pleines de taches de rousseur, pas du tout assorties, heureuses, dans les fringues les unes des autres. Tibby portait le pantalon blanc de Lena, qu'elle avait roulé sur ses chevilles; Carmen avait le T-shirt à motif cachemire de Tibby; Lena mon chapeau de cow-boy en paille; quand à moi, je m'étais attaché les cheveux avec le foulard rose de Carmen.
Le ciel et la mer étaient si calmes, si figés que nous avions du mal, même en plissant les yeux, à distinguer la ligne d'horizon, cet endroit qui sépare le ciel de la mer, le temps de l'espace, l'eau de l'air. Impossible.
Je repensais à ce que Carmen avait dit. Nous quatre, ce n'est ni un lieu, ni un moment précis. Nous quatre, c'est partout, ici et là, passé et futur, ensemble ou séparées.
Nous sommes restées longtemps à fixer cette limite invisible, cette couleur éternelle.
Et justement, cette couleur, c'était le bleu. Le bleu doux et changeant, le bleu intemporel d'un vieux jean délavé.
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Quand on est amoureux, on se met à admirer de drôles de choses chez l'autre.
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Il l'embrassa sans retenue, car aimer était la seule chose qu'il avait à faire.
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Dans une situation d'urgence, chacun a un rôle, une mission, on fait équipe, l'adversité rapproche. La mort, c'est une toute autre histoire. Il n'y a rien a faire. La mort vous laisse seul face au vide.
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Elle savait qu'il existait deux types de mémoire: une à court terme et l'autre à long terme. A court terme, Lena était seulement consciente du lieu où elle se trouvait et de rien d'autre. A long terme, elle sentait qu'elle fissurait de partout et qu'elle risquait de tomber en miette
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Se souvenir, c'était facile, mais vivre, c'était plus dur.
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Il faisait doux ce soir-là. Les épais feuillages d’été embaumaient l’air d’un doux parfum sucré. Même la poubelle débordant d’ordures dégageait une douce odeur. Il est des nuits où les étoiles scintillent froidement là-haut, loin dans le ciel, et vous narguent, intouchables. Mais parfois, comme cette nuit-là, elles clignotent chaleureusement et vous font signe, donnant l’impression qu’elles vous connaissaient personnellement. Lena était contente que ce soit l’été, qu’ils puissent être ensemble dehors, à la belle étoile, sans toit pour étouffer leurs rêves.
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Bee aurait commandé une énorme plâtrée de spaghettis. Sans même penser qu’elle risquait d’avoir des pâtes qui pendaient de la bouche comme des tentacules. Elle n’était pas du genre à changer ses habitudes parce qu’elle sortait avec un garçon. Lena oui. Elle aurait choisi un plat facile à manger. Peut-être une salade. Une petite salade toute simple. Tibby aurait pris un truc bizarre, comme des calmars. Histoire de voir la réaction du garçon. Mais en prenant garde à éviter les aliments qui restent coincés entre les dents.
-Un blanc de poulet forestière, s’il vous plaît, déclara Carmen en levant les yeux vers le serveur.
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De quoi as-tu peur ?
La question était sortie de la bouche de Tibby plus vite qu'elle ne le voulait.
Bailey réfléchit.
-J'ai peur du temps.
Elle répondait courageusement, sans flancher devant le gros œil de Cyclope de la caméra.
-J'ai peur de ne pas avoir assez de temps, précisa-t-elle. Pas assez de temps pour comprendre les gens, savoir ce qu'ils sont vraiment, et qu'ils me comprennent aussi. J'ai peur de ces jugements hâtifs, de ces erreurs que tout le monde fait. Il faut du temps pour les réparer. J'ai peur de ne voir que des images éparpillées et pas le film en entier.
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Heureusement qu'on ne pouvait pas éteindre l’interrupteur d'amour, en fin de compte, parce que parfois, même si l'on n'en voulait pas, c'était ce dont on avait besoin.
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On est toujours seul avec son chagrin.
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On pense toujours qu'on a le choix entre aller de l'avant ou faire du surplace, mais c'est faux. Tant que le coeur bat, que le sang coule dans les veines, que l'air emplit les poumons on avance.
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Elle avait tant d'émotions à exprimer qu'elle se sentait vidée d'avance.
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