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Citations de Ann Brashares (612)


l y a des jours où l'on se sent mal et où l'on a envie d'aller mieux, et d'autres où l'on se sent mal et où l'on ne peut rien faire d'autre que d'aller encore plus mal.
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C'est lamentable d'être accrocher à un mec comme ça. De passer la journée à attendre qu'il t'appelle.
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Un jour Paul avait expliqué à Carmen qu'on pouvait distinguer un alcoolique d'un grand buveur au fait que le buveur pouvait décider d'arrêter de boire alors que l'alcoolique en était incapable.
Carmen était alcoolique. Mais son alcool était la colère. C'était son mode d'autodestruction à elle.
Elle ne pouvait pas s'arrêter.
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J'ai soulevé ces petites filles dans mes bras et le temps que le papillons repartent, je ne les voyais plus comme l'enfant que j'aurais pu être mais comme celui que je pourrais avoir, un jour. Tu crois que notre passé peut devenir notre avenir en aussi peu de temps ?
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Comparés à leur impact, les événement qui changent une vie tiennent dans un laps de temps incroyablement court. Comme la mort, par exemple. Ou changer un ami en amant.
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A leur âge, l'avenir ressemblait a un ballon d'oxygène. Sans avenir, la vie n'était rien.
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Certaines nuits, elle avait l'impression de se retrouver avec le coeur de Riley, avec toutes ses défaillances, ses battements désordonnés et trop faibles, dans sa poitrine à elle. Elle sentait son sang concentrer dans des endroits où il n'avait rien à faire. Elle se demandait s'il était médicalement possible qu'elle souffre de la même maladie. Peut etre que c'etait contagieux. Génétique ? Chez elle, c'etait sans doute tout bêtement psychosomatique.
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La mémoire est une force en mouvement. Déjà elle classait, ordonnait, transformait en récit des émotions brutes.
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Alice était heureuse dans sa petite mare. Mais en les voyant ôter leurs t-shirts pour entrer dans l'eau, ses angoisses se dissipèrent, laissant place à sa plus vieille peur, la peur de la petite soeur, celle d'être laissée derrière, de ne pas pourvoir suivre. Plus terrible encore que la peur des requins, de lames de fond et des mystères insondables que recelait l'océan la nuit
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- Oh, salut, fit-elle en l’accueillant dans l’entrée après avoir attendu le nombre adéquat de secondes pour lui ouvrir.
Elle essaya de se donner l’air essoufflé. Non, non, elle ne l’attendait pas bêtement, elle était en train de poncer une commode.
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- Je me raccrochais à la logique, j’essayais de me convaincre que ma décision de quitter Kaya était purement rationnelle et non motivée par la folle, l’irrésistible attirance que j’éprouvais pour toi.
- Et alors, demanda-t-elle dans un souffle, c’était purement rationnel?
Il la regarda dans les yeux.
- Pas du tout.
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- Il me semble que j’ai compris… On n’habite plus à Bethesda, on n’est plus au lycée. On ne vit plus chez nos parents et on n’a pas encore de chez-nous. C’est là que nous avons grandi, que nous avons passé du temps ensemble, mais ce ne sont que des lieux, des époques, ce n’est pas nous. Si on s’imagine que nous quatre, c’est lié à un endroit ou à un moment précis, c’est fichu, car le temps passe et les lieux changent. Nous quatre, ce n’est ni un moment ni un lieu.
[...]
- Nous quatre, c’est partout.
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L’amitié resiste mal au temps. Ce n’est pas une révélation. Ma mère m’a dit un jour qu’une bonne famille, c’était celle qu’on quittait facilement, parce que c’est le but des enfants: partir vivre leur vie. Je me suis souvent demandé si c’était pareil pour l’amitié. Car entre nous, ce n’est pas ça du tout. Nous ne savons pas nous quitter. Et je suis encore pire que les autres. Je reste plantée là, à me cacher les yeux pour ne pas voir les autres qui s’en vont, en attendant qu’on soit de nouveau réunies.
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Si je t'ai brisé le coeur, sâches que le mien est en miettes. Je ferai n'importe quoi pour que les choses se passent autrement, mais je ne vois pas comment m'en sortir. Je me permet de dire ça maintenant et je ne le redirai plus. Ca va à l'encontre de l'engagement que je viens de prendre mais il faut que tu saches. Tout ce que je t'ai dis était vrai. Et ça l'est toujours. Je n'ai pas menti. Ce que je ressens est plus sincère que tu ne pourras jamais l'imaginer. Je veux que tu t'en souviennes. Tu t'en remettras, je le sais. Je t'aime. Je t'aimerai toujours.
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"Vous voulez connaître notre secret ? c'est très simple. On s'aime. On tient les unes aux autres. Et c'est très rare, vous savez."

"Jamais je n'aurais cru qu'il fasse aussi chaud au paradis"
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On dit que, quand le vent bruisse les feuilles des saules, ce sont les fées qui murmurent à l'oreille du poète. On raconte également que le saule peut sortir de terre, suivre les voyageurs et leur chuchoter à l'oreille.
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- Pourquoi tu fais cette tête-là?
- Quelle tête? demanda Diana en regardant ses pieds. Bee commençait à s’énerver. Son amie étant franche, d’habitude. Pourquoi ne lui disait-elle donc pas franchement ce qui clochait?
[...]
- Tu… tu n’as pas encore croisé les autres entraîneurs?
Plus elle s’exprimait lentement, plus Bee ripostait vite:
- Non, et toi?
- Euh… Pas tous. Mais j’ai vu…
[...]
- Qui?
- Tu sais sûrement qu’il…
- Qui?
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- Bah, qu’est ce que tu as, Len? lui demanda Tibby toujours aussi douce.
- Je crois que j’ai cette maladie, là… quand on a le coeur qui gonfle.
- Eh bien, répondit Tibby avec philosophie, moi, je trouve qu’il vaut mieux avoir un coeur gonflé qu’un coeur ratatiné.
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Ils ne parlaient pas. Au rythme de sa respiration, elle savait qu’il ne dormait pas encore. Elle avait la gorge serrée.
Au début, quand elle l’avait connu, il y avait de longs moments de silence complet entre eux. Parfois, Brian parlait de Bailey. C’était toujours très dur pour Tibby. Finalement, elle lui avait demandé d’arrêter. Elle avait dit que, lorsqu’ils seraient ensemble qu’ils se tairaient, ils sauraient tous les deux à qui ils pensaient.
Ce soir-là, dans cette petite chambre de campus, ils savaient tous les deux à qui ils pensaient.
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" C'est toujours plus facile de tenir tête à ceux dont on se sait apprécié "
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