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Critiques de Ann Radcliffe (86)
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Les Mystères de la forêt

Une jeune femme de 18 ans, Adeline, demande à son père de quitter le couvent dans lequel elle a grandi. Son père préférait qu’elle devienne une religieuse, mais elle s’y refuse. En attendant son père dans une auberge alors qu’elle est laissée à elle-même avec des hommes qu’elle ne connaît pas, un couple, M. et Mme Lamothe, capturés par ces derniers qui sont des brigands, est obligée de partir sur la route avec eux. Le couple a accepté de la prendre avec lui s’il voulait être libéré. M. et Mme Lamothe sont en fuite car M. La Motte a contracté de nombreuses dettes, à Paris, dont il est incapable de s’acquitter. Le couple est accompagné d’une servante et d’un homme à tout faire. Dans la forêt, à l’abri des brigands et loin de Paris, ils décident de passer la nuit dans une abbaye tombant en ruine. Puis, le lendemain, ils réalisent que cette abbaye est le meilleur endroit pour y vivre et pour se cacher des créanciers de La Motte. Adeline, d’une grande beauté, ne laisse pas indifférent un marquis qui découvre leur cachette, car ce dernier est propriétaire de l’abbaye. Cependant, Adeline ne ressent que du dégoût pour lui. Dans la garde du marquis, Adeline rencontre Théodore, un jeune officier pour qui elle développe des sentiments. Le marquis veut plus que tout posséder Adeline et pour ce faire, il demande à La Motte de l’aider. Avec qui Adeline finira-t-elle ses jours? Le fils de La Motte, Louis, ressent aussi des sentiments pour la belle. Une série d’aventures est déclenchée autour de la jeune femme…



Mes impressions



Comme je suis une admiratrice de Jane Austen, je voulais découvrir ce livre qu’elle a parodié dans Nothanger Abbey. C’est chose faite maintenant et je dois avouer que je suis bien contente que cette histoire soit terminée. L’héroïne, Adeline, m’a tapé sur les nerfs. Elle pleure tout le temps ou elle tombe dans les pommes ! Je sais bien que le livre est associé à un courant autour de la sensibilité, mais trop de larmes, trop d’apitoiements font en sorte que je n’ai pas apprécié la trop belle, la trop délicate Adeline. Je préfère des héroïnes possédant plus de personnalité ou de panache comme celles dans les écrits de Jane Austen qui sont bien souvent des rebelles. Pour un livre de 500 pages habité par une pleurnicheuse-geignarde qui est certaine qu’elle est née pour être malheureuse, c’est long… Le pathos s’avère Roi !



«Lorsqu’elle fut seule, elle répandit un torrent de larmes et s’abandonna à l’excès de sa douleur. Elle se voyait sans amis, sans parents, sans secours, abandonnée au plus affreux des dangers et trahie par les personnes mêmes à qui elle avait donné si longtemps des consolations, qu’elle avait aimées comme ses protecteurs et respectées comme les auteurs de ses jours. Cette pensée frappa son coeur des plus affligeantes sensations et celle de son péril imminent absorba pendant quelque temps la douleur d’avoir découvert dans autrui des desseins aussi criminels.» (p. 260)



De surcroît, les descriptions de la nature, dont l’instance lectrice ressent l’influence de Rousseau, sont pour la plupart reliées aux états d’âme d’Adeline. Je dois dire que Radcliffe excelle dans l’art de la description de paysage.



«Un soir, tandis que Claire était occupée à la maison, Adeline errait seule dans un endroit favori au milieu des rochers qui bordaient le lac. Tandis qu’elle se livrait avec délice à la contemplation de ce magnifique spectacle du soleil couchant sur les sommets couleur de rose, elle entendit le son d’un cor de chasse et, jetant ses regards sur le lac, elle aperçut un bateau de plaisance. […]



En prêtant l’oreille aux sons enchanteurs et moelleux du cor qui se perdaient insensiblement dans le lointain, la scène lui parut plus attrayante et elle ne put résister à la tentation de peindre en vers des objets qui lui offraient tant de charmes.» (p. 404)



Adeline écrit des poèmes et ces derniers permettent encore à l’instance lectrice d’avoir accès à ses états d’âme. Par le biais de ces derniers, Adeline peint le trop plein de ses émotions. Les poèmes entrecoupent le récit.



Mais encore, ce roman est présenté comme un roman gothique. Il y a des manifestations surnaturelles par le biais des éléments suivants : ruines, émotions terrifiantes, forêt, obscurité, jeu du miroir, squelette, grincements, cauchemars, pièces secrètes, etc. mais seulement dans la première partie. Après, Adeline est sur la route pour fuir le terrible marquis dont l’unique but est de la violer. Ainsi, le lecteur reconnaît dans cette autre partie qui se déroule loin de l’abbaye, d’autres caractéristiques du roman gothique comme la quête d’identité d’Adeline, la découverte de la complexité du monde et les problèmes régissant l’époque, le sang (la noblesse), l’héritage, l’inceste, la division familiale, etc.



En tous les cas, je vous laisse décider si ce dernier vous intéresse. Pour ma part, je vais garder un souvenir mitigé. Je suis heureuse d’avoir enfin lu un bouquin gothique d’Ann Radcliffe et je suis un peu déçue par son héroïne qui passe son temps à pleurer et à s’évanouir.



https://madamelit.ca/2023/11/27/madame-lit-les-mysteres-de-la-foret-dann-radcliffe/
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Les Mystères de la forêt

En plein milieu de la nuit, un carrosse quitte précipitamment Paris. Monsieur de La Motte et sa famille fuient la capitale. En traversant une forêt, ils font une pause près d’une maison visiblement habitée par des brigands. Ceux-ci les laisse repartir, à la condition qu’ils emmènent avec eux sans se retourner une jeune fille. Adeline, effarée, seule, se laisse emmener et la famille se prend d’affection pour elle. Au moment où ils arrivent près d’une vieille abbaye en ruine en plein milieu de la forêt, une roue casse. Ils resteront donc là, et s’installent dans le vieux bâtiment. Adeline, ayant avoué que son propre père a tenté de se débarrasser d’elle, profite de la paix et de l’émotion que lui procure la nature autour d’elle. Mais très vite, La Motte s’offre lui aussi des excursions mystérieuses dans les fourrés, et sa femme soupçonne une liaison avec la jolie orpheline. Sont-ils vraiment à l’abri dans cette mystérieuse bâtisse dont les pièces les plus secrètes semblent avoir été habitées par bien des drames?



Cette édition Folio contient les trois tome de l’histoire d’Adeline, héroïne pathétique s’il en est. Condamnée à mort dès le départ, elle ne cesse de fuir et de jongler entre faux-semblants, trahisons, amis, ennemis, amoureux éconduits et prétendants un peu trop pressants. Ce qui m’a surtout embarquée dans ce roman, c’est la manière dont il se joue à huis-clos dans un lieu qui a tout du château hanté mais qui est leur seul refuge. La Motte et sa femme ont tout intérêt à y rester à l’abri de la justice et peu importe les squelettes ou les fantômes qui se cachent derrière les murs. Adeline y vivrait bien heureuse également, à l’abri de son père. Mais lorsque le propriétaire des lieux, après avoir découverts ses occupants et compris leur situation, jette son dévolu sur la jeune fille, et exige de La Motte qu’il la lui livre sous peine de le dénoncer aux autorités, la tension devient palpable. Très longtemps, on ne sait si La Motte est un allié ou un ennemi pour Adeline. Véritable pomme de discorde, fille maudite, je me suis attachée à cette héroïne ballotée d’un bout à l’autre du roman alors qu’elle veut juste chanter les beautés de la nature dans ses stances en écoutant son doux Théodore lui conter fleurette. Car Ann Radcliffe est aussi poétesse, et n’hésite pas à nous transcrire les nombreuses poésies et chansons que son drame inspire à Adeline. Lyrique, gothique, mondain, cette histoire m’a rappelé Les Hauts de Hurlevent, dans une version où une héroïne pastorale et romantique se serait faite embarquer sur la lande.

Je dois pourtant avouer que le troisième tome m’a déçue. D’abord, on y quitte la forêt et l’abbaye, et on y change complètement de décor: l’ambiance est donc moins prenante. Ensuite, toute une galerie de nouveaux personnages débarquent, auxquels je n’ai pas réussi à m’attacher nostalgique que j’étais des intrigues aigries de M. et Mme de la Motte. Enfin, on y tire des ficelles un peu grossières, façon Molière, quand on se rend compte que les personnages sont en réalité frère/sœur/père/fille et que tout va ainsi pouvoir s’arranger dans le meilleur des mondes. Bref, un peu longuet sur la fin.
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Romans terrifiants

La coupable c'est Jane Austen ( notamment avec son roman "Northanger Abbey" ) ! Ses héroines ( notamment Catherine Morland ) étant plongées dans des romans gothiques ( "Le Moine" est souvent cité, etc ) ... eh bien forcément : en passant devant un gros bouquin d'occasion compilant 5 de ces romans-là je n'ai pu que craquer.



Et me voilà partie avec "Romans Terrifiants" sous le bras...

Le château d'otrante : dès le départ je n'ai pas accroché , j'ai trouvé ça lent, ni effrayant ni captivant , voire un peu ridicule ( le coup du casque géant qui tombe au milieu de la cour... ça aurait pu être un peu mystérieux ou que sais-je mais là je trouve que c'est raconté d'une façon si plate que ça en est ridicule ... ) Bref je ne suis pas allée au bout de ce roman...



Le confessionnal des pénitents noirs: ça partait pas mal ( les premières pages sont même d'un style agréable/drôle ) et puis là encore au fil des pages le style lent m'a lassée... je ne suis pas allée au bout de ce roman...



Le moine : voilà un roman qui part complètement en "live" ( un moine super sérieux, droit voire rigide , super pieux etc finit par devenir "super lubrique" et sauter sur tout ce qui bouge ) !! Il m'a fallu parfois m'accrocher un peu au départ pour ne pas me perdre ( suivant les chapitres on nous parle du parcours particulier de tel ou tel autre personnage et on se dit parfois "l'histoire de ce gars-là est intéressante certes mais : quel rapport avec la choucroute?!", cela dit au fil des pages les liens entre toutes ces "petites" histoires deviennent plus nets et on y voit plus clair ... ) Le côté cul/déjanté du truc ( enfin "déjanté", façon de parler hein on est loin d'un truc punk , mais disons que pour l'époque à laquelle le roman est sorti ça me semble "osé" ) m'a permis de tenir jusqu'au bout du roman ...



Les elixirs du diable : ça partait plutôt bien ( histoire intéressante, etc ) mais là encore le style lent/répétitif ( on en finit plus de suivre d'une ville à l'autre ce moine défroqué/diabolique ... ) m'a lassée et ... je ne suis pas allée au bout de ce roman.



Melmoth ou l'homme errant : ayant un peu peiné à arriver jusqu'à ce roman-là ( je me suis tapé les 4 précédents d'affilée, en me forçant pour certains ... ) j'avoue que je n'ai pas eu le courage de le commencer. J'ai préféré laisser en attente ce dernier roman du recueil et prendre un peu l'air, faire une pause avec ces "Romans Terrifiants" ... Du coup: pas d'avis sur ce roman pour le moment ( ah ! )



Avis global : disons que je suis un peu déçue ... J'ai globalement trouvé que le style de ces 4 ( puisque je n'ai pas lu le 5ème... ) romans avait un côté lent voire "daté/surranné" et que du coup la lecture était laborieuse... C'est dommage car j'aimais bien l'idée du "genre" ( des histoires un peu sombres, avec un côté magique/religieux/mystique, des fantômes , etc ) mais ... bon...Bref :-) Cela dit je suis ...( la suite + extraits , à lire ici : http://blabliblo.canalblog.com/archives/2011/10/11/22308535.html
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Romans terrifiants

Romantiques, gothiques et terrifiants! Mais comment peut-on aimer les romans qui font peur?



Jouer avec la peur, on apprend ça au biberon. Le tout petit que son papa lance en l’air a vraiment peur, mais il apprend à se sentir en sécurité et le jeu suscite le rire aux éclats.



On jouera ensuite avec la peur dans les contes de fées. On ne se rend pas toujours bien compte de leur aspect terrifiant. Je me souviens qu’après avoir lu le « Petit Poucet », mon fils inquiet m’a demandé : « Mais nous, Maman, on n’est pas pauvres? » Quoi de plus terrorisant pour un enfant que d'imaginer qu’il pourrait être abandonné dans la forêt par ses parents trop pauvres? Et tous ces autres contes qui cultivent la peur avec ces ogres, dragons et sorcières (sans compter le monstre en dessous du lit…)



Même l’éducation religieuse a contribué à l’horreur, avec ses démons et ses visions d’enfer, sans compter les revenants et autres créatures de l’au-delà.



Le bébé devenu grand retrouvera la peur physique dans les manèges des parcs d’attractions. Le lecteur pourra aussi passer tout naturellement des contes de fées aux romans d’horreur.



Ce volume rassemble des textes fondateurs du genre, des romans du 18e et du début du 19e siècle.

• « Le château d’Otrante » d’Horace Walpole (1764), dont on dit qu’il est le premier roman noir.

• « L'Italien ou le confessionnal des pénitents noirs » de Ann Radcliffe (1797), romancière gothique qui a influencé son époque, de Jane Austen à Balzac.

• « Le Moine » de Matthew Gregory Lewis (1797), qui illustre la lutte contre la perversion.

• « Les élixirs du diable » de Ernst Theodor Amadeus Hoffman (1816), un romantique allemand

• « Melmoth ou l’homme errant » (1820) de Charles Robert Maturin, œuvre qui fascina Balzac au point qu’il écrive une suite « Melmoth réconcilié » en 1835.



Une brique de 950 pages, un papier fin et jauni, tout pour créer un ton glauque. Une atmosphère gothique, des drames d’amour et des frayeurs mystiques ou surnaturelles, dans un décor historique. Des œuvres qu’on lira pour leur contribution littéraire et l’une introduction du recueil et ses notices biographiques aident à en situer l’importance.



Sur le plan de l’émotion, c’est un peu plus difficile d’entrer dans ces histoires, de s’identifier à ces héros et d’en ressentir la terreur. Je préfère les romans où il s’agit de jouer avec sa peur… mais en conservant le petit doute : et si c’était vrai?
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Romans terrifiants

Les premiers romans noirs et licencieux fin XVIIème début XVIIIème, précurseurs des romans gothiques et fantastiques du XIXème.

L'humour de situation y est présent, les domestiques qui se gaussent de l'impatience et de l'arrogance des maîtres en faisant fi de ne rien comprendre et en menaçant de quitter le château hanté par exemple,

Des histoires qui appellent à d'autres histoires imbriquées encore et encore font la trame de ces romans savoureusement terrifiants et tragiques comme une mise en garde aux esprits crédules où à ceux qui n'accordent foi qu'au qu'en dira t-on et à une bigoterie qui frise l'hypocrisie.

On retiendra la damnation ratée d'un démon qui n'aura réussi aucun contrat sur aucune âme, le clergé corrompu qui n'a d'égal que la perversité de ses ouailles, et toujours cette valetaille, qui s'en sort le mieux...

Le règne de la raison et de l'indépendance transparaît sous chacun de ces romans.

Ah, esprit des lumières!

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Romans terrifiants

Dans une première préface, Horace Walpole, l'auteur prétend que le manuscrit du château d'Otrante fut découvert dans la bibliothèque d'une très ancienne famille catholique du nord de l'Angleterre et qu'il avait été imprimé à Naples en caractères gothiques, au cours de l'an 1529.

C'est un drame, à l'atmosphère merveilleuse et tragique, dont rien ne laisse deviner l'époque où il se déroule. C'est le drame de l'amour malheureux, le récit de l'infortuné destin d'une noble demoiselle égarée au milieu des rideaux de sang, des miroirs vides et des ancêtres vomis par l'enfer...

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En 1764, quelques voyageurs anglais rencontrèrent dans l'église de Santa Maria Del Pianto, accolée à l'ancien couvent de l'ordre des pénitents noirs, un moine singulier qui avait les épaules un peu voûtées, le teint bilieux, les traits durs et le regard farouche. C'était un assassin réfugié dans l'enceinte de l'église où personne n'avait le doit de venir l'arrêter.

A sa vue, un des voyageurs anglais fut saisi d'un mouvement d'horreur et s'enfuit vers son auberge où l'attendait le manuscrit de "L'italien ou le confessionnal des pénitents noirs" d'Ann Radcliffe....

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Ernest-Théodor-Amadéus Hoffmann, l'auteur des "élixirs du diable" put lire l'histoire étrange du père Médard dans les archives que lui laissa consulter le vénérable prieur du couvent des capucins, à B...

Au fond, lui dit ce dernier, ces papiers auraient dû être brulés car ils font entrer leur lecteur, à travers le sombre cloître dans un monde effrayant, extravagant et baroque qui peut-être, pourtant, possède la connaissance du fil secret qui traverse nos vies....

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En 1816, John Melmoth, élève du collège de la Trinité à Dublin, se rendit dans le comté de Wicklow, afin de visiter, une dernière fois, son oncle mourant et de qui dépendait toutes ses espérances de fortune. Mais, à son arrivée à la Loge, la résidence du vieil homme, il trouva celui-ci, bien portant, sur le point de chasser de son domicile les femmes réunies pour éloigner par leurs prières les démons lors de sa veillée mortuaire. En invoquant ainsi le diable, il deviendra "Melmoth ou l'homme errant" dont Charles Mathurin nous conte l'histoire....

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Ce recueil réunit, avec "Le moine"de Matthew Gregory Lewis, quatre autres des titres emblématiques du roman gothique, aussi appelé roman terrifiant.

C'est une littérature, très surréaliste, lente, quelque peu poétique et fantastique.

Choquant parfois la morale, s'entourant de ténèbres scandaleuses, ces textes sont, aujourd'hui, datés et il faut pour s'y enfoncer savoir prendre son temps et oublier certains de ses préjugés.

C'est une littérature baroque, très esthétique dont la dernière œuvre serait peut-être le formidable livre d'Angéla Carter "la compagnie des loups".

Même si, au final, je suis satisfait d'avoir découvert les romans terrifiants par l'intermédiaire de ce recueil édité dans l'excellente collection "Bouquins" chez "Robert Laffont", c'est pourtant un genre auquel je ne viendrai sûrement plus jamais me frotter.

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