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Critiques de Anna Sewell (21)
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Prince Noir

Petite fille, quand j’avais le droit de regarder la télévision le mercredi, une de mes séries préférée mettait en scène un cheval, Black beauty (ou Prince Noir)…. Cette série, dont j’étais accro tout comme ma sœur, avait pour héros un magnifique cheval noir dans l’Angleterre du dix-neuvième siècle. J’ai d’ailleurs retrouvé sur You Tube le générique et cela m’a permis de me rappeler à quel point j’adorais ce feuilleton (oui, on disait comme cela à l’époque) et la musique du dit générique.

J’ai d’ailleurs découvert par la même occasion qu’en 2015 est sorti un film, plus fidèle quand à lui au livre de Anna Sewell.

Cette auteure est connue pour cette unique œuvre, qui a beaucoup contribué pour la cause animale (et principalement pour les chevaux )en dénonçant les abus et les mauvais traitements qu’ils pouvaient subir.

Raconté à la première personne, car c’est bien Black Beauty qui nous raconte ses mémoires ( tout comme Cadichon, l’âne de la comtesse de Ségur )ce livre est plus qu’instructif quand aux conditions de vie de la gent chevaline. Très dépendants du bon vouloir de leurs maitres , et souvent juste considérés comme des simples outils de travail, il ne faisait pas forcement bon vivre à l’époque quand on était un simple cheval …..

Un livre intéressant, qui se lit rapidement et qui est d’ailleurs très instructif. Anna Sewell aimait et connaissait très bien les chevaux et c’est ce qui rend son récit d’autant plus crédible et l’on ne peut que compatir aux aventures (et surtout mésaventures) du pauvre Black Beauty.





Challenge BBC

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Prince Noir

Faire du tri sert aussi à ça, retrouver ses coups de coeur de jeunesse. J'avais adoré ce bouquin sur les cheveaux et je m'étais laissée emporter par ce cheval noir avec une étoile blanche sur le front à qui il est arrivé tant de choses...
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Prince Noir

Quel point de vue original que de vivre la vie d'un cheval avec son propre regard.

Cette autobiographie écrite il y a 150 ans est vraiment très agréable à lire, et pourrait très bien passer pour un roman historique tant le style est facile à lire: il peut donc être encore conseillé à nos jeunes passionnés par les chevaux!



Mais attention, tout n'est pas rose dans la vie de ce cheval et ce roman, écrit pour dénoncer les mauvais traitements imposés aux chevaux, dénonce la manière dont ils étaient malmenés. Il nous renseigne sur la nécessaire formation de ceux qui s'en occup(ai)ent. Il dégage un réel amour des chevaux.



J'ai beaucoup aimé!
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Prince Noir

Un mot sur l'auteur. Anna Sewell est née en Angleterre en 1820. Elle aimait les animaux et surtout les chevaux. A l'âge de 14 ans, elle fit une chute qui lui abîma les genoux. La blessure fut mal soignée et la jeune Anna demeura handicapée jusqu'à la fin de sa vie. Pour retrouver sa mobilité et son indépendance, elle utilisait fréquemment l'attelage de son père. Elle fut ainsi témoin de mauvais traitements infligés aux chevaux et en 1871 décida d'écrire un roman à l'attention de tous ceux qui s'occupent de près ou de loin des équidés. Elle mit 6 ans pour le terminer et le roman fut publié en 1877. C'est devenu un classique de la littérature anglaise.



Plusieurs choses sont à noter. Le roman est très original car la parole est donnée au cheval. En anglais, il était sous-titré : l'autobiographie d'un cheval. Ensuite, écrit en pleine période victorienne, c'est l'un des rares romans traitant du respect dû aux animaux. J'adore personnellement tout ce qui touche à cette époque, mais il faut bien avouer que, quelque que soit l'écrivain ou le roman, on ne trouve quasiment jamais d'anecdotes ou de détails se rapportant aux animaux de compagnie et surtout aux chevaux.



Anna Sewell espérait contribuer à améliorer le sort des chevaux anglais en écrivant cette histoire. Elle y réussit en partie.



Black Beauty est un beau cheval qui vit dans la propriété de ses maîtres avec sa mère, Duchesse et d'autres chevaux, notamment l'ombrageuse Ginger et le poney Merrylegs. Il vit heureux jusqu'à ce que le maître soit obligé de s'exiler à l'étranger et de vendre ses bêtes; Les premiers ennuis commencent pour Black Beauty. Acheté par un Lord, nous découvrons en même temps que le cheval cette funeste mode de l'époque, l'utilisation de fausses rênes pour les chevaux d'attelage, procédé qui consistait à relever la tête des chevaux (ça faisait plus joli, plus noble !!!) et qui causait des douleurs dorsales et déformait les encolures.



Après un accident qui lui endommage gravement les genoux, Black Beauty est revendu à un maquignon qui le loue aux cavaliers de passages, puis est revendu à nouveau à un cocher de fiacre à Londres. Son nouveau maître prend soin de lui mais le travail est dur (le fiacre était l'ancêtre du taxi, rappelons-le). Ensuite, Black Beauty, qui aura d'ailleurs changé de nom plusieurs fois, connaîtra encore une période de misère avec d'autres propriétaires, avant d'échouer enfin dans une famille qui saura prendre soin de lui.



Black Beauty endure beaucoup de choses : les coups de fouets, les charges trop lourdes, le manque de nourriture, des écuries mal aérées et nettoyées peu souvent, les longues attentes dans le froid et sous la pluie pour un client. Il voit des camarades qui finissent à l'abattoir, il raconte la vie éprouvante des poneys qui transportaient le charbon dans les galeries, bref, c'est un panorama assez complet de l'utilisation des chevaux à cette époque.



C'est forcément très émouvant, sans que l'histoire ne tombe non plus dans le mélodrame. Par bien des aspects cela m'a rappelée les Mémoires d'un âne de la Comtesse de Ségur, un autre livre qui a beaucoup compté dans ma jeunesse.



Je suis cavalière, j'ai appris tardivement à monter, j'ai vu ce qu'était la vie d'un cheval de club et à bien des égards, certaines choses rapportées par Anna Sewell se rencontrent encore aujourd'hui.



Ce roman n'est pas seulement destiné à la jeunesse, même si les éditions en ont décidé autrement. Il doit être lu par les adultes, qu'ils soient cavaliers ou non, peu importe. Mais aussi par ceux passionnés par l'époque victorienne, car il est bon également, de découvrir l'envers du décor.


Lien : http://lectures-au-coin-du-f..
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Prince Noir

Un joli et lointain souvenir
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Black Beauty

De manière assez surprenante, je n'ai pas lu ce livre en étant une passionnée de chevaux, mais car il faisait partie de la liste des 110 livres du challenge BBC. Et je dois dire avoir été agréablement surprise.



ce livre m'a par certains aspect fait penser à Mémoires d'un âne de la Comtesse de Ségur, avec une moindre part de moralisme puisque Black Beauty est bon dès le début alors que Cadichon se réforme. Il nous permet d'avoir un aperçu de l’Angleterre de l'époque et des différentes classes de la société ainsi que le traitement des chevaux.



Au fil des péripéties on se prend à souhaiter que notre héros finisse enfin par trouver la paix que son caractère patient mérite.



Si certains passages sont un brin plus sombre, le ton reste globalement léger et les pages défilent vite. On ne s'ennuie pas trop, même si certains trouverons certains passages un peu verbeux.



Bref pas LA lecture de l'été mais un bon moment tout de même.
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Black Beauty

Raconté à la première personne, ce roman jeunesse nous met dans la peau de Black beauty, jeune étalon noir, qui va nous raconter sa vie depuis ses premiers jours, jusqu'à sa dernière demeure - en théorie, car ses maîtresses ont promis de ne jamais le vendre.



Je ne sais pas trop quoi penser de cette lecture, qui m'a quand même rappelé Les Mémoires d'un âne de la Comtesse de Ségur. C'est intéressant, de se mettre dans la peau d'un cheval de l'angleterre de cette époque, mai sen même temps tellement triste et révoltant parfois ! Le héros est toujours résigné, passif et assez souvent larmoyant - mais bon, en même temps, il y a de quoi ! Tous les humains ne sont pas mauvais, mais certains pêchent aussi par bêtise et ça, c'est parfois pire, en un sens, que la cruauté pure...



J'ai bien aimé globalement, mais bon, c'est un peu daté, en fait, dans le style en tous cas.
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Prince Noir

Un classique de la littérature jeunesse ! C'est l'un des livres qui m'a le plus marqué, et pas seulement parce que j'aime les chevaux. Ce livre parle de chevaux, c'est vrai, mais mais aussi de l'Angleterre du 19e siècle et des hommes qui y vivaient. L'auteur décrit à travers les yeux de ce cheval toute la société de l'époque, et ses injustices. Ce beau cheval de race, auquel on s'attache évidemment, apprend tout d'abord à être monté et appartient au meilleur monde. Mais par malchance, il va peu à peu descendre toutes les strates sociales et passer d'un cheval de monte à un cheval d'attelage, pour la noblesse, puis à Londres en tant que taxi, et... A vous de lire la suite !

Je le recommande très fortement, pour tout ce qu'il nous apprend des conditions de vie réelles et quotidiennes à cette époque, et parce qu'il s'agit d'une très belle histoire, avec des injustices mais aussi beaucoup d'amour.
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Histoires pour les filles

Il était une fois, un livre tout rose, tout doux ;

Il était une fois, des dessins tout beaux, tout colorés ;

Il était une fois, de jolies princesses et des princes charmants ;

Il était une fois, des petites filles curieuses et aventureuses ;

Il était une fois, des garçonnets charmants et ingénieux ;

Il était une fois, des grenouilles et des pissenlits...

Bon, là, je m'éloigne un peu et pourtant...

Qu'il est bon de lire un recueil pour enfants et toujours y prendre du plaisir...

Et s'il est vrai que maintenant la mode est aux histoires qui se terminent en divorce, avec des « princes » plutôt salauds et de « princesses » portées sur le fric, je trouve que les bonnes vieilles histoires pour les « filles » sont des portes vers le rêve. Et le rêve, c'est le sourire, la joie, l'élan pour commencer sa journée, orienter sa vie...

Très contente d'avoir relu des contes ou des extraits d'histoires qui ont jalonné mon enfance ou plutôt mon chemin de lecture. Un livre à offrir, aux mamans de petites filles ou... de petits garçons. Les belles histoires ne sont ni roses ni bleues, elles sont pour tous ;-)
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Histoires pour les filles

Ce recueil illustré est vraiment un bon petit bottin des histoires qu'il faut que je me procure ou que je relise. Il a évidemment les défauts de ses qualités puisqu'on n'a qu'un touuuuut petit extrait de chaque histoire. C'est très sympa de replonger dans l'ambiance des "Quatre filles du docteur March" ou de "Jane Eyre" mais ça donne clairement un goût de trop peu. Evidemment, je fonctionne comme une adulte, une adulte qui enchaine les livres, qui a besoin d'un début, d'un milieu et d'une fin (rabat-joie) et pas comme une petite fille qui découvre un livre réalisé pour les petites filles (les textes y sont très simplifiés). Et je suis sûre que ces mêmes petites filles seront ravies de la longueur de ces histoires avant de s'endormir. Les illustrations sont agréables, certaines à mon goût meilleures que d'autres mais chaque style est complètement différent à l'image de la différence entre les histoires. J'en connaissais certaines, d'autres pas et pour une fois, c'était sympa de n'avoir quasiment que de l'optimisme.



On y parle de rencontres entre une petite fille et un petit garçon, d'une petite fille avec la féminité, d'une petite fille avec le thé. J'aurais moi-même rejeté en bloc ce livre si je l'avais lu à l'âge "adéquat". J'aurais été attirée par la couverture qui brille (ben oui, j'ai quand même quelques gènes de filles). Maintenant, je suis plus sensible à ce genre d'histoires (Alice au pays des merveilles), même si je préfère toujours aller au self-defense que chez une manucure.



Un gros bémol par contre, c'est cette idée saugrenue de finir avec "Heidi". L'extrait choisi est triste à souhait et ça m'a juste niqué mon moral. Ce livre se veut rose et gimauvant, et bam il finit avec une fin qui donne envie de se passer la corde au cou. C'est pour démontrer aux gamines que la vie est dure pour les femmes ? Ok c'est la réalité de la vie, ok c'est à contre courant, mais non. Ca ne me plait pas. Moi je voulais une fin "petites fleurs et petits coeurs qui tournent autour d'oiseaux qui chantent".



Merci Masse Critique tout de même !
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Histoires pour les filles

Je remercie vivement les éditions Gründ ainsi que Masse critique de Babelio pour m'avoir permis d'obtenir ce très bel ouvrage. Je vais devoir rester très concise, parce que parler de chaque histoire dans ses détails autant sur le texte que sur les illustrations me prendrait des pages. C'est un coup de cœur et je suis fan.



Le choix des histoires est bien pensé, nous avons des récits très différents, des connus et des moins connus, c'est ce qui fait le charme de cet ouvrage : sa diversité. Pour les romans comme Alice au pays des merveilles ou Jane Eyre, nous avons des extraits très bien choisis, ils m'ont donné envie de me replonger dans ces histoires ou bien de procurer des romans que je ne connaissais pas du tout. Les quatre filles du docteur March, les Malheurs de Sophie, Les petites filles modèles, Heidi, des histoires de notre enfance qui font plaisir à voir ou revoir d'un nouvel œil.



D'autres extraits inconnus m'apparaissent comme intéressants à découvrir, je pense à La foire aux vanités ou à Lorna Doone, Les enfants de la Nouvelle-Forêt ou Le jardin secret. Petite surprise bien appréciée, Le frelon à perruque, un texte qui aurait dû figurer dans De l'autre côté du miroir (la suite d'Alice au pays des merveilles), où l'on retrouve avec plaisir notre Alice et l'univers extraordinaire de Carroll.



Outre les extraits de grands romans de la littérature, nous trouvons des contes, là aussi, la diversité est de mise. Contes connus comme La belle au bois dormant ou La bergère et le ramoneur, nous trouvons avec plaisir des petites histoires inédites, dont je ne connaissais pas l'existence. Quelle agréable surprise de découvrir de belles histoires, j'ai eu plusieurs coups de cœur pour la Princesse et le hérisson, le Mari, le démon et le lièvre. Nous trouvons différentes origines, Australie, tchèque, russe, arabe... C'est intéressant de connaître les contes et les légendes venus d'autres pays.



L'ouvrage en lui-même est un très bel objet. Petit et épais, la couverture est jolie tant sur le fond que sur ses matières, la tranche est sympathique et la quatrième de couverture agréable. Les illustrations sont nombreuses, le texte est d'une taille raisonnable et avec une police aisée à lire. On prend plaisir à le lire, à le relire, ça se conserve avec joie et je suis heureuse de l'avoir dans ma bibliothèque. D'autant plus que le thème est bien pensé, ce recueil intéressera les petites et les grandes filles, car les protagonistes mis en avant sont essentiellement des filles.



Toutefois, les extraits de romans sont des morceaux de romans anciens, Jane Eyre, Alice..., le vocabulaire n'est pas toujours simple pour nos petites filles, il faut donc prévoir une lecture à plusieurs. Personnellement, je trouve que ce procédé est intelligent pour partager de bons moments ensemble. Néanmoins, ce n'est pas illisible ou inaccessible, bien au contraire, on parvient aisément à lire ces histoires qui sont rapides à la lecture vu le peu de pages qu'elles font. Je tenais juste à faire cette petite précision, en raison des dates des différents auteurs, nous nous situons dans le XVIII °, XIX ° et début XX °. Cela n'enlève en rien le plaisir de lire ce recueil absolument génial.



Je terminerais ma chronique en vous parlant des illustrateurs de talents ! Encore une fois, cet ouvrage se base sur la pluralité et la diversité des styles, il y a en pour tous les goûts. J'aime cette idée, cela nous permet d'avoir des sensibilités différentes et d'admirer des ambiances propres à l'histoire et à son illustrateur. Elles sont agréables à voir, elles correspondent toujours au texte présenté, les techniques diffèrent également, les couleurs jouent tour à tour sur des pastels ou des teintes plus vives, nous avons des dessins simplifiés et des dessins très pointilleux dans les détails. C'est absolument prenant, on lit le texte accompagné des images, on peut revenir se pencher uniquement sur les illustrations... J'ai passé de bonnes heures à les admirer, et j'ai mes petites préférences comme toujours ! J'ai pu découvrir de nouveaux illustrateurs à ajouter à ma liste à suivre, comme Eva Chatelain ou Marie Avril, Sébastien Chebret... Tous ont un petit quelque chose, j'adhère au style entier, aux couleurs ou aux formes.



Pour conclure, ce recueil est un coup de cœur. J'aime les illustrations travaillées, atypiques et sympathiques, accompagnant des textes de qualités et bien choisis. On aime feuilleter ces belles pages, le livre est agréable en lui-même, agréable et fluide, il se dévore rapidement ou se laisse apprécier histoire par histoire. On le lit, on le relit, il est intemporel et extraordinaire, j'en suis réellement fan, je trouve le fil conducteur (les filles) simple, mais efficace, de plus, les histoires choisies sont très belles. Toutes ces petites histoires sont agréables et comportent de bonnes idées, de beaux messages, ils donnent envie d'en découvrir davantage ou de se replonger plus longuement dans ces grands romans de littérature. Un recueil qui fait plaisir, merci aux éditions Gründ et à Babelio pour cet envoi.
Lien : http://la-citadelle-des-livr..
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Black Beauty

De lecture facile, ce roman a beaucoup de charme. Raconté à la première personne par un cheval, il occupe une place importante dans la littérature animalière. Plein de tendresse, il incite à traiter les animaux avec douceur en prodiguant des leçons de morale et en montrant la maltraitance. Mais ce sont surtout les belles rencontres de Black beauty et les actes d'héroïsme simple que lui et ses maîtres accomplissent qui restent en mémoire.
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Black Beauty

Livre génial .Il parle d'un poulain qui vit dans un champ avec sa mère et un maitre adorable mais il vas etre vendu chez des propriétaires . Malheureusement il a était beaucoup vendu dans des familles méchantes comme des personnes super gentilles .

Heureusement il finit sa retraite dans une famille très chaleureuse .



Je le conseille au bon lecteur .



Cheval's
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Black Beauty

Une histoire magnifique !

Un livre "jeunesse", que j'ai lu et relu jusqu'à le connaître par coeur... Black Beauty est un cheval attachant qui raconte son époque et ses différentes vies au fil du temps. Un beau cheval, bien né, qui connaît petit à petit une vie de plus en plus difficile au fur et à mesure qu'il s'affaiblit physiquement et vieillit mais une très belle histoire. Le cadeau idéal pour un jeune lecteur aimant les chevaux !
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Black Beauty

Ce livre est un livre extraordinaire car selon moi, c'est un livre universel. Il convient aussi bien aux petits qu'aux grands, aux passionnés de chevaux comme à ceux qu'il le sont moins. Pourquoi cette universalité ?

Voilà ce que je répondrais à cette question.

Black Beauty : c'est l'histoire des péripéties d'un cheval qui connait dans sa vie le pire comme le meilleur.

Mais Black Beauty c'est aussi une leçon de vie. Tout d'abord, ne voyez pas les animaux comme des esclaves mais comme vos égaux. Ce livre d'Anna Sewell a d'ailleurs pour vocation de dénoncé la dure vie des chevaux au XIXème siècle. Ensuite, Black Beauty enseigne aux plus jeunes et rappelle aux plus vieux que l'humanité n'est pas toute blanche ou toute noire. Il existe des hommes bons comme des hommes cruels.

Pour conclure, je dirais que Black Beauty est un livre qui a bercé mon enfance et que je relis avec toujours autant de délectation.
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Prince Noir

Dans sa jeunesse, Black Beauty a connu la douceur des prés de la campagne anglaise, la liberté et l'affection de ces maîtres. Devenu un beau cheval doux et d'une belle prestance, il fait la fierté de ses propriétaires et des palefreniers qui prennent grand soin de lui et de ses compagnons Ginger et Merrylegs. Mais la vie d'un cheval, au XIXème siècle, est rarement un long fleuve tranquille, et Black Beauty va l'apprendre au gré de ses rencontres avec d'autres chevaux, qui n'ont pas toujours eu sa chance, puis de lui-même, en changeant plusieurs fois de maîtres.



Unique roman de son auteur, Anna Sewell, ce livre a été écrit pour dénoncer les conditions de vie des chevaux à l'époque, les mauvais traitements, les modes stupides qui infligeaient parfois de véritables tortures aux chevaux, l'indifférence ... on peut dire que ce fut un succès car le livre a connu une immense popularité au point de le hisser au rang de classique.



Pour ma part, il m'a irrésistiblement fait penser aux Mémoires d'un âne de la Comtesse de Ségur, que j'ai lu plusieurs fois dans mon enfance (oui, nous avions la collection complète des oeuvres de Sophie Rostopchine à la maison, et je les ai tous lus au moins une fois, à l'exception des Deux Nigauds, il me semble), avec toutefois une différence notable : la morale. Parce que dans Les Mémoires d'un âne, il me semble bien qu'on met en avant qu'une bonne partie des malheurs connus par Cadichon sont une juste punition de son mauvais caractère ou de ses mauvaises actions ... alors qu'ici, point de tout cela. Black Beauty est un animal gentil et courageux, et on explique à de nombreuses reprises que le fouet et les coups sont inutiles pour inciter un cheval à faire correctement son travail, s'il a été bien élevé et qu'il est bien traité par ses maîtres, il met déjà tout son coeur à l'ouvrage. Bon, par contre, la morale chrétienne est bien présente dans le récit, mais plutôt pour souligner que les hommes bons traitent leurs animaux convenablement et avec affection, et qu'en retour ils en obtiennent le meilleur. Par d'autres côtés, j'ai même trouvé ce livre étonnant de modernité, dans la troisième partie, quand Black Beauty appartient à un conducteur de fiacre, et où nous avons toute une réflexion sur le salariat et le patronat, et sur le travail du dimanche, notamment. Toujours d'actualité, non ?



Bref, pour moi qui ai dévoré la série Poly et celle de l'Etalon noir dans ma jeunesse, c'est un très bon livre de littérature jeunesse, qui porte l'empreinte de son époque, bien sûr, mais qui sera toujours apprécié par les jeunes amateurs de chevaux.
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Histoires pour les filles

L’ouvrage réunit trente courtes histoires, des textes dans leur intégralité ou des extraits. Et c’est là que ce recueil est terriblement attrayant -et hors du commun- : il propose en effet des extraits, savamment choisis, de romans issus du patrimoine littéraire, comme Les Malheurs de Sophie, Les Quatre Filles du docteur March, Jane Eyre, Heidi…, sortant ainsi des choix habituels proposés dans ce genre d’ouvrages collectifs. Une astucieuse manière d’amener les 8-9 ans à la littérature classique. J’adhère et j’adore !



Les textes, variés, mettent en scène de jeunes protagonistes qui, grâce à leur témérité, leur débrouillardise, leur gentillesse ou encore leur intelligence, surmontent tous les défis.



Admirablement illustrées, les pages révèlent des dessins colorés, pleins d’une fantaisie savamment orchestrée.



Le format du livre et la belle qualité du papier rendent la lecture encore plus agréable.



Une anthologie intelligente, une belle réussite à partager !

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Prince Noir

Un de mes albums de chevet quand j'étais petite ! Que d'heures passées à lire cette si belle adapation du roman tellement connu d'Anna Sewell !
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Black Beauty

Black Beauty





Black Beauty est un cheval et cette histoire est une autobiographie fictive c’est à dire que c’est le cheval qui raconte les étapes de sa vie au fil de l’histoire.



En Angleterre à Londres au 19e siècle : Black Beauty fut vendu et dressé pour servir au transport de marchandises.Il sera vendu plusieurs fois à des propriétaires gentils et d’autres plus sévères.



L e premier propriétaire John se montra juste avec Black Beauty,il croisa ensuite Jake qui l’usa au travail,puis Jerry qui le soigne bien et l’utilise comme cheval de fiacre,sans oublier Joe Green qu’il croisera à plusieurs reprises une première fois dans son enfance et plus tard aussi.



Il rencontrera d’autres chevaux comme Ginger,Sir Olivier,Capitaine et bien d’autres avec qui il deviendra amis.



A travers ses aventures Black Beauty nous explique comment les hommes traitent les chevaux et à quoi les chevaux servaient a cette époque.





J’ai trouvé ce livre un peu long mais il avait du suspens à chaque fois que BB était vendu.Le vocabulaire était simple.



Les personnages étaient attachants pour la plupart.



Je trouve que le récit est crédible puisqu’il nous apprend que l’on doit bien traiter les animaux c’est un peu une leçon de morale.



Ce livre m’a fait passer de la joie à la tristesse selon le sort du cheval.

Ces aventures sont palpitantes.
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Black Beauty

Black Beauty est un récit à la première personne, qui raconte la vie d'un cheval de sa naissance, retraçant tout ses différents foyers, jusqu'au dernier.

C'est un livre qui dénonce premièrement le traitement des chevaux au XIXe siècle.



Black Beauty est pour moi un indispensable de bibliothèque. C'est un livre que davantage de jeunes personnes devraient lire. Il abordé magnifiquement bien la notion de bienveillance, de méchanceté, la sensibilisation aux animaux, etc. La lecture est fluide et simple, sans pour autant utiliser de vocabulaire enfantin. Pour ceci je pense qu'il peut se lire à tout âge en réalité.

Ce livre se constitue en quatre parties selon ses principaux foyers. Il abordé tantôt des images heureuses, tantôt dans images tristes et désolantes.

Black Beauty est un livre qui émeut.



Black Beauty ayant eu de multiples adaptations en tout genre, plus ou moins ressemblantes, lire le texte à l'origine de cette légende est précieux.



Sans aucun doute, Black Beauty est un coup de cœur de cette année 2023 pour moi. Je le recommande à quiconque aime les animaux et/ou souhaitent le transmettre à autrui.
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