C’était aussi ça, la pauvreté, avoir peu à répondre à ses enfants quand ils posent des questions sur leurs ancêtres, leur arbre généalogique, ou bien ne pas sentir l’intérêt d’en parler.
Chacun avoua son impuissance et s’en remit à Dieu. Ah, le bon Dieu ! Il était toujours d’un secours irremplaçable quand la gouaille ici-bas avait épuisé ses modestes ressources analytiques et décisionnelles.
Nous étions vite devenus amis, grâce aux Monty Python et, plus précisément, à La Vie de Brian, film qui m’avait définitivement transformé en anglophile convaincu. Un peuple capable de produire cet humour ne pouvait pas être mauvais.