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Critiques de Brenda Jagger (15)
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Les chemins de maison haute

dans l, Angleterre victorienne virginia barforth fille d'un riche filateur, doit supporté sont père et son frère.

hommes autoritaires, jusqu'au jour ou ils

meurent sous les coups d, ouvriers en colère 😠. elle va devenir l, héritière du patrimoine, pour le gardé elle va épousée sont cousin joel, un arriviste cynique qu'elle aime pas. plus tard elle va rencontré Charles, qui va lui faire découvrir l, amour et la tendresse.

a travers sa trilogie Brenda Jagger, dresse le portrait effroyable des conditions de vie des ouvriers.

une histoire complexe, mais passionnante.
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Les chemins de maison haute

A la suite du décès de son père et de son frère, Virginie hérite d'un véritable empire industriel et devient aussi un parti de choix pour tous les jeunes hommes de la région. Forcée d'épouser son cousin, elle doit réussir à s'imposer pour conserver sa liberté. Pas facile dans l'Angleterre victorienne.



Dur dur d'avoir un avis vraiment tranché sur ce premier tome de la saga des Barforth. Si j'ai aimé toute l'atmosphère de l'époque victorienne et l'évolution du mode de vie, j'ai été un peu plus dubitative sur les personnages et l'histoire en elle-même que j'ai trouvé lente et manquant cruellement du souffle romanesque que j'aime habituellement retrouver dans les sagas familiales. Virginie est passive une grande partie du roman et les personnages masculins manquent de caractères. On m'avait promis un roman à la Autant en emporte le vent mais pour moi on en est encore loin. Oui pour l'ambiance, mais non pour les personnages. Virginie Barforth n'arrive pas à la cheville de Scarlett O'Hara. J'espère que dans le tome 2 Virginie va un peu plus développer sa force de caractère (qui semble s'esquisser à la fin du livre). A voir donc car j'en attend plus pour être totalement convaincue.
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Le silex et la rose

Vingt ans se sont écoulé depuis Les chemins de Maison Haute. Place maintenant à la deuxième génération de Barforth, les fils de Virginie (l'héroïne du premier volume), Blaise et Nicolas vont se livrer une guerre fratricide sur fond d'industrialisation de l'Angleterre. Au milieu de tout ça, on trouve les 3 nièces de Virginie, Prudence, Célia et Julia qui vont se retrouver prisonnières de ces événements et devront montrer leur force si elles ne veulent pas les subir.



Laisser passer 5 mois entre la lecture des tomes 1 et 2 aura été une très mauvaise idée car j'ai eu beaucoup de mal à resituer les personnages dans un arbre généalogique des Barforth qui ne cesse de s'étendre. Il m'a fallu une cinquantaine de pages avant que tout me revienne en tête, et comme je n'avais pas gardé un souvenir éblouissant du premier tome, le début a été laborieux. Heureusement ça n'a pas été le cas des 500 autres pages. Ce second tome est en effet bien meilleur que le premier et je me suis rapidement attaché à la vie de ses 3 soeurs au caractère bien distinct. Les évènement se succèdent dans cette Angleterre victorienne en pleine évolution industrielle et je n'ai pas eu le temps de m'ennuyer. L'auteure arrive très bien à rendre l'atmosphère d'hésitation entre passé et futur qui règne à cette époque. Les 3 soeurs sont elles même au centre de cette hésitation, entre respect des convenances et envie d'indépendance. J'ai adoré ce deuxième tome et je n'ai pas vu le roman passer. Je vais rapidement me lancer dans la conclusion de cette saga et j'ai hâte de découvrir ce que l'auteure va réserver à la troisième génération.
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Un manoir sur la lande

L'auteur a un style des plus efficaces. On ne perd pas de temps et on est tout de suite emporté dans cette fresque sur la vie en Angleterre au début du XXème siècle, le Transvaal, les Boers, les suffragettes et ainsi jusqu'au début de la première guerre mondiale.

C'est l'histoire d'Olivia, héroïne de la veine de Scarlett O'Hara, qui a connu une vie difficile ne sachant pas toujours comment elle et sa famille allaient survivre. Suite à un héritage, elle s'installe en Angleterre avec frère, soeurs et mère, papillon volage et essaie tant bien que mal de d'aider chacun à se faire une place dans la société. Pas de temps mort dans ce livre. Une bonne fresque romanesque!
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Le silex et la rose

J'ai beaucoup aimé ce roman qui fait suite aux Chemins de Maison Haute, enchaînant avec la génération suivante. Ici encore l'arrière-plan historique est soigneusement reconstitué, donnant de l'épaisseur à l'histoire de Julia et de ses sœurs.
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Les chemins de maison haute

J'avais beaucoup aimé ce roman, autant pour l'histoire de son héroïne que pour l'arrière-plan historique qui est très bien développé.
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Retour à Maison Haute

Et voilà, s'en est fini de la saga Barforth. Cette trilogie se conclue avec les aventures de Grâce Agbrigg, la troisième génération de cette famille de riches industriels. Bloquée dans les conventions, elle ira jusqu'à divorcer pour retrouver sa liberté. Un vrai scandale dans cette époque victorienne encore très attachée aux traditions.

Sans aller jusqu'au coup de coeur comme ça avait été le cas pour le deuxième tome, Retour à Maison Haute conclue néanmoins très bien cette saga romanesque qui nous a fait traverser toute l'époque victorienne et sa révolution industrielle, coeur de toute la trilogie. Dans ce tome c'est surtout le début de l'émancipation féminine qui nous est montré au travers de Grâce et de sa volonté d'indépendance profondément choquante pour l'époque. Travailler quand on est une femme de l'aristocratie, impensable!

Le style de l'auteure s'est lui allégé au fil des tomes, rendant la lecture beaucoup plus digeste et facile. Ouf! Dans l'ensemble, la saga se lit très bien et même si les intrigues sont parfois cousues de fils blancs, j'ai passé un excellent moment.
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Retour à Maison Haute

J'ai beaucoup aimé ce troisième tome qui mêle saga familiale et Histoire avec autant de bonheur que dans les précédents volumes.
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Les chemins de maison haute

Comme j'ai lu tous les livres traduits de Brenda Jagger, je mesure la qualité de son œuvre, parfois inégale malheureusement.



Les Chemins de Maison Haute est le premier livre d'une trilogie, dans le plus pur style Jagger, à savoir que chaque héroïne de ce triptyque (l'histoire dans son ensemble se déroule sur 3 générations) a un caractère qui ne ressemble en rien à la précédente, bien que faisant partie d'une même famille. L'auteur explore toutes les facettes permises à une femme pas encore libérée de vivre sa vie et ses choix, dans un monde dominé par les hommes et leurs désirs, les mariages arrangés, les maternités précoces, le statut social, ... Et parfois à l'encontre des bonnes mœurs de l'époque (amants, séparations maritales, maîtresses, etc) ce qui ne se vit pas sans encombre.

Chaque livre se lit à la première personne, ce qui rend chaque tome unique, parce que les narratrices sont différentes.



L'héroïne de ce 1er tome, Virginie, est au début passive, endormie, elle est jeune, mais c'est un trait de caractère qui ne la rend pas agaçante, parce qu'elle est intelligente et a bien conscience qu'on se sert d'elle.

Elle est la spectatrice d'une nouvelle ère, industrielle, et l'auteur nous replonge avec beaucoup de réalisme dans cette Angleterre du 19ème, avec ses mœurs compliquées sur fond social en révolte. Où les disparités sociales se font encore plus flagrantes, avec une bourgeoisie émergente de plus en plus riche et méprisante envers les ouvriers et/ou tout ce qui ne leur correspond pas (tout statut social inférieur), tandis que eux mêmes sont exécrés par la noblesse qui les trouve vulgaires et arrivistes.

Sans récapituler l'histoire, Virginie va grandir, se confronter à un monde dont elle était protégée jusqu'alors, s'affirmer au delà du possible pour cette époque, et vivre enfin sa vie comme elle l'entend.



Et c'est sans doute ça que j'aime avec Jagger, dans ses meilleurs romans, elle s'inspire souvent de Dickens, on s'intéresse autant aux riches qu'aux modestes, avec en plus une trame amoureuse écorchée, parce que rien n'est jamais simple, et que les héroïnes doivent souffrir encore pour connaître peut être ce qui pourrait s'approcher du bonheur, enfin! Elle fait revivre avec réalisme la vie dans une Angleterre victorienne qui n'en finit plus d'étouffer.

N'oublions pas, on est pas dans une fable sociale mais dans un roman d'amour victorien bien raconté au 20ème siècle (le roman a été écrit en 1980)...

J'ai aimé les 3 tomes, avec une préférence pour le dernier, question d'héroïne :)

Bonne lecture!
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Les chemins de maison haute

Comme la quatrième de couverture de ce livre est tout sauf un résumé, je prendrai la peine pour cette fois de faire un résumé de l'histoire de Brenda Jagger, même si cela paraît difficile dû à la longue période sur laquelle se déroule l'histoire et aussi au nombre de personnages.

Les chemins de Maison Haute a comme personnage principal Viginie Barforth, qui, au début de l'histoire, est la petite-fille cadette du grand Barforth, propriétaire richissime d'une usine de filature. Barforth est un personnage haïssable, ne pensant qu'à sa fortune et aux profits de son usine et négligeant toute sa famille, excepté son petit-fils Edwin, le grand frère de Virginie, à qui il a l'intention de léguer l'usine à sa mort.

Lorsque les employés de l'usine se révoltent pour leurs pitoyables conditions de travail, Edwin est tué et détruit par le fait même tous les espoirs de son grand-père de voir le succès de son usine se perpétrer dans les générations suivantes. Pourtant, il ne s'avoue pas battu et se souvient tout à coup de l'existence de sa petite fille de seize ans, qu'il dote à l'excès et qu'il marie à un cousin Barforth éloigné qu'il a toujours détesté, mais dont il ne doute pas des qualités pour réussir.

C'est ainsi que Virginie passe de la petite fille ignorée de tous à celle qui doit sauver la famille a un prix qu'elle n'est pas tout à fait prête à payer.

Le mariage de Virginie n'est pas tout à fait malheureux, mais il n'est pas heureux non plus. Quelques années après son mariage, elle rencontre Charles Aycliffe, fils renié d'un bourgeois très riche, et tombe en amour avec lui. Pourtant, celui-ci n'a rien a lui offrir, et Virginie se retrouvera forcée à faire des choix.





Mon commentaire :





J'ai trouvé cette histoire charmante, mais d'un charme légèrement désuet et dépassé. Je ne vous cacherai pas qu'il y a des longueurs, et que quelquefois, j'ai été excédée par certains personnages et par l'écriture qui m'a semblée trop impersonnelle, s'attardant sur des détails insignifiants et passant par-dessus ceux qui nous intéressent.

Malgré cette frustration, j'ai été incapable de laisser le livre, parce que j'attendais toujours impatiemment de savoir si l'auteure finirait par en dire plus (ou moins, dépendamment du segment de l'histoire dans lequel j'étais).

Au final, je me rends compte que je ne sais trop quoi penser de ce livre. L'ai-je aimé ou non ? Je crois que je l'aurais adoré si je l'avais lu il y a quelques années. Mais il y a des livres qui vieillissent bien, et d'autres qui vieillissent mal. Je crois malhereusement que les chemins de Maison Haute font partie de cette dernière catégorie. Ce n'est pas le sujet qui vieillit mal, mais la façon de le raconter qui n'est pas sans rappeler un peu les Harlequin, Autant en emporte le vent, ou encore, comme le souligne la quatrième de couverture, Les oiseaux se cachent pour mourir.
Lien : http://lecturesdisabelle.blo..
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Le silex et la rose

Voilà quelques années que je repose une saga familiale avec un soupir excédé, sans la terminer. Je me suis dit que mes goûts avaient changé, et que c'était normal. Eh bien, avec ce roman, j'ai découvert qu'il y avait encore des sagas familiales qui me détendaient, et que je trouvais plaisantes et agréables à lire. Pourquoi ai-je bien aimé «Le silex et la rose», et repousse-je les Barbara Taylor Bradford, les Juliette Benzoni, les Christian Signol, etc? D'abord, «Le silex et la rose» n'est pas rempli d'ellipses. J'ai horreur de ces romans qui commencent alors que le personnage principal a disons treize ans, racontent quelques mois de son adolescence, puis au chapitre suivant, il a vingt ans, etc. Pour moi, ça fait bâclé et mal construit. Par ce biais, l'auteur ne creuse pas réellement ses personnages, on ne les voit pas évoluer, ils ont l'air inachevés car ils sont brossés à trop grands traits.

[...]

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Un manoir sur la lande

J'ai lu ce roman il y a une douzaine d'année et si je l'ai bien aimé à l'époque, j'avoue que je n'en garde que des souvenirs très flous...
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Le silex et la rose

On pourrait dire Julia et ses aventures car si vous avez lu le premier livre vous voulez savoir ce qui arrive à ces 3 filles et à leurs cousins et cousines barforth.
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La chambre bleue

bien
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Antonia

BOF
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