Bruno Gazzotti

Le tome 5 marque la fin de la première partie de cette saga. On découvre un peu de la vérité mais on sent qu’il y a autre chose derrière tout ça. Trop de questions restent encore sans réponse.

La deuxième partie commence fort avec le retour de Dodji et on sait d’emblée qu’on n’est pas au bout de ses surprises.

Les dessins restent d’une grande qualité, la précision des scènes urbaines est saisissante de réalisme et les traits des différents enfants sèment le trouble tant certains « anges » en apparence sont carrément démoniaques.

Les rapports humains se compliquent et la violence grandit. Même si l’humour est toujours présent et désamorce un peu tout ça, je persiste à dire que cette bande dessinée n’est pas à mettre entre toutes les mains. Aux parents de voir si leur enfant est à même de comprendre et supporter les situations « tendues » du récit et leur portée émotionnelle.

Personnellement, même si le suspens est permanent et bien amené, je me serais bien arrêtée ici. Cela semble tirer en longueur, un peu comme la série « Lost » où l’on finissait par se perdre dans les rebondissements. Mais mon fils n’est pas d’accord avec moi. (Pour le côté violent non plus d’ailleurs.)



Nous attendons la sortie du prochain tome afin de savoir qui de nous deux s’approche de la vérité dans les hypothèses qu’il émet. Au moins cette BD a-t-elle le mérite de rassembler petits et grands autour des mêmes albums.

Voici un premier tome d'exposition qui met l'eau à la bouche!

Construit en deux temps, la première partie, très courte, fait office de préface, présentant les 5 personnages principaux dans un contexte qui leur est familier et peignant ainsi 5 portraits d'enfants que rien, a priori, n'aurait dû réunir...

La deuxième partie s'ouvre sur l'intrigue principale de l'histoire, à savoir, les adultes (et la plupart des enfants) semblent avoir disparu de la surface de la Terre, seuls se retrouvent nos 5 jeunes héros. L'incompréhension laisse vite place à l'instinct de survie pour ces enfants perdus dans une ville transformée en véritable jungle...

Un premier tome palpitant, qui nous tient en haleine et annonce le début d'une excellente série!

Mes neveux, 8 et 10 ans, sont fans de cette BD. Ils la lisent et la relisent.



Il me fallait donc savoir de quoi il en retourne.



Et me voilà à la découverte de cet univers.



Dans ce tome, l'inspiration est romaine. Il est question de gladiateurs, de jeux et de sélection.

Résumé : A Néosalem, Saul décide de montrer sa puissance en organisant des jeux. Et Leïla, marquée au fer, y participera contre son gré. Mais ces jeux seront aussi le signal de la révolte…



Mon avis : La série « Seuls » rencontre un grand succès chez les élèves, mais j’ai toujours un peu de mal à me remettre dans l’histoire, avec le temps passé entre chaque parution. Mais l’éditeur a eu la bonne idée de faire un résumé des tomes précédents, permettant ainsi de s’y retrouver plus vite.



Le tome 12 va mettre au cœur de son récit Leïla, mais si quelques planches sont consacrées aux autres héros. Leïla est contrainte de participer aux jeux organisés par Saul, qui souhaite se venger d’elle, mais ces jeux seront aussi l’occasion de lancer une révolte. Le duel entre Saul et Leïla est impitoyable, et tous les coups sont permis. Et surtout c’est à ce moment que Saul va révéler ses pouvoirs, mais va aussi révéler ses failles.



Un tome 12 haletant, où on se demande bien dans quelle direction les auteurs vont nous emmener. A suivre…
Lien : https://docbird.over-blog.co..

Je dois bien avouer que le sticker "Fin de cycle - Nouvelles révélations" apposé sur la couverture m'a bien fait rigoler. Je me suis dit "voilà à quoi ils en sont réduits pour appâter le chaland"... Car l'intérêt pour la série s'est clairement émoussé au fil des tomes. Que préconise le B.A-BA du marketing... un peu de teasing. D'où ce sticker...



Tient-il ses promesses, ce sticker? Plus ou moins. Plutôt moins que plus, d'ailleurs. On n'est pas loin de la publicité mensongère... Le tome ne répond clairement pas au paquet de questions que le lecteur lambda se pose. Mais il développe de nouvelles pistes, délimite des possibles, renforce des certitudes, amène de nouveaux concepts pour expliquer certaines choses. On ne sert pas les clés toutes faites au lecteur. Il doit un peu réfléchir, mais le coup du doudou sur la machine à démourir (cf. le tome 10) est un twist très sympa. Ce faisant, le tome déverse aussi de nouvelles interrogations, de nouveaux mystères et embarque le lecteur vers de nouvelles aventures.



Leïla s'est évadée de NéoSalem. Dodji s'est débarrassé du maître-fou. Les autres ont aussi réussi à s'affranchir des chaînes que les Limbes ont ferrées pour eux. Ils se retrouvent et commencent à réfléchir à un plan. de son côté, Dodji doit honorer sa promesse. La tête décapitée du maître-fou lui a permis de retrouver ses amis. Lui, de son côté doit permettre à la tête de retrouver son corps. En substance, c'est le plus important événement du tome 13 qui se termine sur une révélation qui relance la série pour au moins autant de tomes.



OK, le tome ne remplit pas vraiment son office. Le résumé fourni au début du tome est chiche. Il y a un peu de remplissage.... Osons reconnaître, cependant, que cela faisait longtemps qu'un tome de la série n'avait pas été aussi rythmé et cohérent. 4 étoiles pour l'excellence du trait de Gazzotti et en guise d'encouragement pour Vehlmann qui semble disposé à boucler les choses...

Pour la sortie du tome 13, j'ai décidé de réemprunter les derniers tomes auprès de ma bibliothèque communale préférée. Non seulement je me suis rendu compte que j'avais loupé le tome 12, mais en plus j'ai remarqué qu'il y avait un code couleur au dos des tomes. Les tomes 10, 11, 12 et 13 sont marqués d'orange. Je suppose que cela a une signification, bien que je ne suis pas sûr de découvrir laquelle.



En plus, cadeau suprême, le tome 12 débute par un court § de rappel des épisodes précédents. Enfin, un court très court... et pas spécialement informatif. Même moi, avec ma mémoire chancelante, je me souvenais de la situation. J'auraix bien voulu une mise en contexte. On se contente de ce que l'on a.



Graphiquement, d'abord, c'est nickel. Colorisation OK. Rendu des mouvements, dynamisme, expressions, etc. tout est OK, super OK.



Au niveau du récit, on se concentre sur Néosalem où se trouve Saul qui prétend avoir des pouvoirs en rapport avec le statu d'Elu qu'il veut assumer, mais il n'arrive pas à les activer. Il sent que les dissensions se font de plus en plus jour dans la cité. Il organise des jeux du cirque mortels, façon Hunger Games (ou Squid Game, mais la BD est antérieure à Squid Game). En attraction phare, Leïla, principale opposante qu'il veut briser. Cela donne de jolies scènes, rythmées et vives, mais qui n'aident toujours pas à se faire une bonne idée de l'univers, des enjeux, des tenants et aboutissants... Bref, rien qui oeuvre à une meilleure compréhension du tout.



Si le tome se concentre sur l'opposition Saul-Leïla, on a quand même quelques infos sur Dodji (très beau poème de Césaire pour clore le tome), Terry qui avance vers Fortville (avec un tyrannosaure qui le suit), et Yvan qui a sauvé Jonathan de son "rôle" de ravaudeur et cherche vainement des réponses (comme moi).

Ce tome est consacré au personnage d4Yvan, qui isolé de ses compagnons, se retrouve dans un village en Bretagne, quasiment seul. La nuit, il est confronté aux cloueurs et au ravaudeur : comparses de Camille qui s'est révélée comme l'élue du mal et qui est passée du statut de première de la classe gentille comme tout à celui de personnage complètement flippant, qui cherche à attirer ses anciens comparses vers des univers où rôde la mort (si on peut dire puisqu'ils sont déjà morts...) Ce tome comporte une dose d'angoisse supplémentaire : Yvan se rend compte qu'il va se perdre morceaux par morceau s'il ne fait rien...

Seuls est une série de BD de Bruno Gazotti et Fabien Vehlmann qui racontent les aventures de cinq enfants livrés à eux-mêmes dans une ville dont tous les habitants ont mystérieusement disparu. Perdus dans le monde des Limbes, face à de terrifiantes menaces, ils doivent se battre, seuls…

Présentation des personnages :

- Yvan, 9 ans, l'artiste rigolo et carrément lâche,

- Leïla, 12 ans, la garçonne énergique et optimiste,

- Camille, 8 ans, la naïve généreuse et moralisatrice,

- Terry, 5 ans et demi, le gamin turbulent et attachant,

- Dodji, 10 ans, l'ours au grand coeur.



Sans rien connaître de cet univers, je découvre le tome 13, Les Âmes tigrées, grâce à NetGalley et aux éditions Dupuis, un opus centré sur la personnalité et le destin de Dodji.

Un résumé des épisodes précédents et quelques recherches me permettent, tant bien que mal de comprendre dans quelle sorte de monde nous sommes.



Les enfants ont été séparés… le scénario se déroule donc d'abord selon une alternance de points de vue.

Nous suivons Dodji, incarcéré, qui doit essayer de gagner sa liberté en se soumettant à une sorte d'épreuve ou de défi qu'il aborde avec un petit côté Mac Gyver (je rappelle que ce personnage d'une série télévisée en vogue dans les années 1980-90 était connu pour se sortir de toutes les situations en utilisant les objets les plus insolites tout en revisitant leur utilisation première…).

Il rencontre une étrange créature, réduite à une tête qui lui explique que les « âmes tigrées » sont des enfants qui refusent de choisir entre les familles du Bien et du Mal et qui pourraient devenir médiateurs entre les deux clans. J'avoue que, comme Dodji au bas de la page 12, je n'ai pas compris grand-chose à son exposé ni aux tenants et aboutissants de cette guerre des limbes et, toujours comme lui, page 50, je n'ai sans doute pas tout « capté »…

Pendant ce temps, un de ses camarades, que je ne reconnais pas au premier abord, mais qui s'avère être Terry, affronte un « cauquemare », sorte de dinosaure T-Rex mal léché, manifestation de son super-pouvoir que, manifestement, il ne maîtrise pas bien… En revanche, Dodji, lui, en attendant de découvrir le sien, a bien compris comment ouvrir des portails magiques tandis que Leila développe un don de prémonition et qu'Yvan dézombifie les gens.

Je peine un peu à reconnaître les héros, mais cela se précise au fur et à mesure que le groupe arrive à se reformer… Seule Camille fait cavalier seul et semble être passée du côté obscur (chacun ses références !) …



Un scénario compliqué surtout si l'on n'a pas lu les tomes précédents… Un univers qui doit plaire aux adolescents…

Un graphisme qui ne m'a pas séduite malgré le souci du détail dans certaines planches…

Un langage très actuel, dont j'ai relevé parfois la grossièreté…

Bfref, un ressenti mitigé…



#Seuls13 #NetGalleyFrance


Lien : https://www.facebook.com/pir..

Cette fois nos jeunes héros prennent la route à bord d'un bus aménagé et découvrent un paysage de désolation jusqu'à ce qu'ils croisent des adolescents qui les emmènent dans leur "village" : un ancien parc d'attraction transformé en camp retranché. Le décor est avenant mais la petite société est inquiétante et semble un peu fonctionner comme une secte. Encore un très bon tome dans lequel le caractère de nos jeunes héros d'affirme.

Les choses se corsent pour nos jeunes héros. Ils rencontrent celui qui va devenir le maître des couteaux et je dois dire que ce dernier est assez flippant. Il y a un peu plus de violence dans ce tome qu'il faut sans doute réserver aux pré-adolescents. Le dessin est toujours aussi bin et l'ambiance s'est encore un peu alourdie mais le suspense est très prenant.

Seuls, c'est toujours l'assurance de lire un tome rapidement, tellement c'est prenant ! Les enfants de Fortville sont emmenés vers une nouvelle contrée bien bizarre encore. Des castes/familles d'enfants (évidemment) règnent et ont des cultes étranges. J'ai toujours hâte de savoir dans quoi nos auteurs veulent nous faire plonger alors vivement la suite !

Je ne m'attendais pas à lire le tome aussi vite ! Les petits jeunes sont drôlement attachants, j'aime beaucoup Dodji et son caractère fonceur sauvant ses nouveaux amis. La ville est désertée de tous à part ses 5 gamins qui vont bientôt former une petite famille bien unie comme les doigts de la main. Cependant, nous ne connaissons pas encore la raison de cette évaporation de l'humanité. J'attends de voir la suite !

Le 3e tome a été une belle surprise pour moi, qui connaissait déjà le film et donc, l'intrigue. L'histoire de ce tome n'a pas été reprise dans l'adaptation ciné, je ne la connaissais donc pas.



Ceci dit, j'ai eu l'impression de replonger dans la saga Autre-monde de Chattam, puisqu'il s'agit d'enfants seuls, regroupés en communauté. Après, ça reste plaisant, même si c'est un peu réchauffé.

Seuls, tome 1 : 5 enfants aux caractères différents se retrouvent totalement seuls - d'où le titre évidemment. Tous les autres êtres humains semblent avoir disparus.



Dans le contexte actuel, les éditions Dupuis ont mis gratuitement ce tome en ligne. J'en ai donc profité pour le lire.



J'ai vu le film auparavant et, visiblement, il suit bien ce premier tome. J'ai suivi les enfants dans leurs recherches avec plaisir. Le suspens est bien là, on a très envie de savoir ce qui s'est passé.



Ce premier tome place le contexte, les personnages et résout un tout petit mystère. Mais tout reste à découvrir. De quoi avoir envie de lire la suite rapidement.

Soda est lieutenant de police à New-York. Pourtant depuis toujours il fait croire à sa mère qu'il exerce comme pasteur. Un jour l'oncle de Soda rend visite à la famille. Et cet oncle, le frère de sa mère est vraiment pasteur, lui. Pour Soda il va falloir la jouer serrée. Une bande dessinée qui mêle à la fois humour et action. En effet la situation que vit notre héros n'est pas banale. Elle induit même tout un tas de quiproquo. Et tout cela va nous embarquer dans une aventure pour le moins délirante. Très bien construite, cette BD offre aussi des dessins éloquents et très expressifs. L'intrigue est rythmée un peu comme une bonne série américaine. Tout cela nous fait passer un agréable moment de lecture. Même moi qui ai du mal à lire de la BD je me suis régalée, c'est dire si "Tu ne buteras point" a retenu mon attention.
Lien : https://collectifpolar.com/

L’histoire de « seuls » a terriblement évolué au fil des albums pour devenir un récit assez complexe et manichéen. On se perd un peu entre les méchants et les gentils dans cette histoire, seuls 2 ou 3 enfants gardent finalement leur « esprit d’enfant ».

Je pense que Gazzotti et Vehlmann gagneraient à donner un peu plus de pièces de puzzle plutôt que rajouter de la complexité au fil des pages. Le récit est toujours énergique, les personnages toujours attachants mais il est tant que ce concrétise une quête ou une réponse à toutes ces aventures.

Soda est un brave gars officiant dans la police de New York. Pour ménager sa maman fragile du coeur, il se fait passer pour un curé. Cela donne lieu à des situations assez cocasses et franchement drôles. Pourtant, l'humour peut être plus sombre à l'image des situations navrantes qui peuvent s'abattre sur notre héros pas comme les autres.



Police, religion et mort sont les thèmes principaux. la violence urbaine est également présente. J'aime bien cette approche concernant un monde gris, situé entre le bien et le mal. Il y a une sorte de démystification du monde du polar.



Au final, tous les tomes de Soda ne se valent pas. Les derniers sont plutôt une déception. Cependant, l'oeuvre dans son ensemble est assez satisfaisante par son audace.

Avis sur la série:



Le lecteur est tout de suite plongé au coeur d'un mystère: comment les habitants d'une ville peuvent-ils disparaître au cours d'une nuit en ne laissant comme survivants que quelques enfants qui vont tenter de survivre? Je me suis cru dans un épisode de la série TV "Lost" tant les similitudes sont grandes. Il y a tout d'abord ces animaux sauvages qui déambulent dans les rues. Et puis, c'est la même façon de distiller goutte à goutte le mystère sans donner la moindre explication mais tout en multipliant les hypothèses (sont-ils morts? ou bien dans une dimension parallèle?...).



On retrouve également la même multiplication des personnages qui avaient chacun leur vie et surtout leur caractère différent (la débrouillarde bricoleuse, le colérique, la bonne élève coincée, l'orphelin solitaire, le trouillard...) et qui vont se retrouver mêler à cette aventure étrange. On espère simplement que le scénariste ne va pas s'éterniser au risque de perdre son public comme dans la série Lost...



Le second opus m'a fait penser au film de Wes Craven "Scream". Bref, on tremble à l'idée de la menace que représente ce maître des couteaux alors que l'ambiance n'est déjà pas rassurante dans une ville déserte. En effet, j'ai été séduit par une atmosphère urbaine déserte pesante où l'angoisse est palpable à chaque instant. C'est déjà pas mal... A bien y réfléchir, c'est même franchement bien par rapport à la production actuelle. Il faut juste savoir le reconnaître !



Les tomes se sont succédés jusqu'au 5ème qui nous révèle une partie du mystère et qui ouvre une autre porte vers un second cycle. On peut observer une parfaite maîtrise du scénario notamment en ce qui concerne sa cohérence. Le dessin est précis et l'histoire parfaitement narrée.



A partir du 10ème tome et en même temps du 10ème anniversaire de cette série, on a un troisième cycle qui commence. Les personnages ont évolué. Les bons et les méchants ne sont pas ceux qu'on croit. On va les suivre un peu séparément pour de nouvelles aventures toujours aussi mystérieuses dans un univers toujours aussi angoissant.



La série a beaucoup gagné en notoriété parmi les jeunes dont les miens qui sont fans. Certains parents se sont tout de même inquiétés en voyant du sang sur les couvertures car cela n'inspirait guère confiance. En réalité, c'est quand même assez léger et ce n'est qu'un effet de style. On ne meurt pas vraiment dans cet univers assez étrange. Il ne faut pas se fier aux apparences. Cela rappelle un peu les "X Files" mais version junior. Rares sont quand même les séries qui s'adressent à un public jeune et plus adulte. Il y a une véritable dualité qui me plaît bien. Je conseille vivement l'acquisition.



Note Dessin : 3.75/5 – Note Scénario : 4.25/5 – Note Globale : 4/5

Encore une fois, je reste un peu dubitative face à ce nouveau tome de la saga Seuls. Je l'ai déjà dit, mais je suis plutôt sceptique face à ce troisième cycle, qui selon moi, traîne véritablement en longueur.

Je n'arrive pas à savoir où les auteurs veulent nous amener, et plus la saga avance, plus j'ai l'impression que les auteurs ne le savent pas non plus, en fait. L'action part dans tous les sens et on peine à suivre le destin de tous les personnages principaux dans un seul album.

Je fais ce constat depuis plusieurs album et à ce niveau, en tant que lecteur on reste vraiment sur notre faim.



J'espère vraiment que tout cela se fait dans but précis et que les auteurs ont prévu un dénouement digne de ce nom, parce que je peine vraiment à m'accrocher dans cette série, qui avait pourtant dès le départ pris un parti osé et original.



Je continue de réserver mon jugement.
Lien : http://www.cranberriesaddict..

Résumé : Yvan se retrouve seul sur une ville côtière, et se demande où aller pour retrouver ses amis. C’est alors que Camille, l’enfant-minuit, apparaît et lui annonce la venue des cloueurs de nuit, qui vont le forcer à venir la retrouver nuit après nuit…



Mon avis : Cela faisait un moment que j’avais lu le tome précédent, et, depuis le temps que j’ai commencé à lire la série, je suis un peu perdue, ayant oublié au fil du temps, un certain nombre de détails.

Mais cela ne m’a pas empêché de me plonger dans ce onzième tome avec plaisir, avec plein d’interrogations sur le destin de nos héros.



C’est Yvan qui est au cœur du récit, même si, en, parallèle, on a quelques informations sur les autres. Yvan va découvrir que Camille est en fait l’enfant minuit, et qu’elle le veut de gré ou de force à ses côtés. C’est alors que va surgir de la nuit une bande de zombies, menée par le Ravaudeur, qui est très inquiétante, car capable de ramener Yvan morceau après morceau auprès de Camille. Comment Yvan pourrait-il s’en sortir ?



Plus on avance dans la série, plus on apprend des informations, mais, en même temps, moins on a l’impression d’en savoir, tout comme nos héros.



Je me demande ce que réservera la suite !
Lien : http://docbird.over-blog.com..