Citations de Carlo Collodi (155)
À mon avis, le pantin est bel et bien mort. Mais si, par hasard, il n'était pas mort, cela signifierait alors qu'il est encore vivant !
Les enfants sont bien malheureux! Tout le monde crie après nous, tout le monde nous gronde, tout le monde nous conseille. Chacun se mettrait vite en tête d'être notre père ou notre maître.
Le plus riche d'entre eux demandait l'aumône.
C’era una volta un pezzo di legno.
Dès que les enfants, de méchants qu’ils étaient, deviennent bons, ils ont le pouvoir de faire prendre un aspect nouveau et riant à l’intérieur de la famille.
Les enfants qui secourent avec amour leurs parents dans leurs misères et dans leurs infirmités méritent toujours beaucoup de louanges et d’affection, alors même qu’on ne peut pas les citer comme des modèles d’obéissance, de bonne conduite. Sois prudent à l’avenir et tu seras heureux.
Quand on le peut, il faut se montrer bon avec tous si on veut être traité avec bonté à son tour.
Qui vole le manteau de son prochain, d’ordinaire meurt sans chemise.
La farine du diable s’en va tout en son
Argent volé ne profite jamais.
Cette eau dégageait une si forte odeur de poisson qu’il se crut en plein carême.
Toutes les opinions, comme on dit en politique, doivent être respectées.
Lorsqu’on naît poisson, il est plus digne de mourir sous l’eau que sous l’huile !
Il est écrit dans les livres de la sagesse: « Tous les enfants paresseux qui méprisent les livres, l’école et les maîtres, qui passent leurs journées aux jeux et aux divertissements, doivent tôt ou tard être transformés en petits ânes. »
Un bienfait n’est jamais perdu.
On ne se repent jamais de faire une bonne action.
Il avait honte de mendier, car son papa lui avait dit que seuls les vieillards et les infirmes ont le droit de demander l’aumône. Les vrais pauvres en ce monde, ceux qui méritent l’aide et la compassion, sont uniquement ceux qui, par raison d’âge ou de maladie, se trouvent condamnés à ne pouvoir gagner eux-mêmes le pain nécessaire à leur subsistance. Tous les autres ont le devoir de travailler. Et s’ils ne travaillent pas et souffrent de la faim: tant pis pour eux !
À quoi bon accuser les morts ? Les morts sont bien morts et ce qu’on peut faire de mieux, c’est de les laisser en paix !
La faim, mon enfant, n’est pas une raison pour s’approprier le bien d’autrui.
Pour amasser honnêtement quelques sous, il faut savoir les gagner, soit par le travail de ses propres mains, soit par le travail de son cerveau.