- Cof, cof.
- Vous disiez, pour parler d'autre chose ?
- Vous savez bien qu'avec cette histoire de démocratie, n'importe qui peut raconter n'importe quoi sur l'armée. Enfin, je veux dire, ce n'est plus comme avant... quand on pouvait nous-mêmes décider de ce qui était bien et mal. Pourquoi le nier, nous sommes devenus faibles. Et c'est pour ça que je ne peux rien faire concernant Analia Silveyra.
- Analia Silveyra ? Qui est-ce ?
- Celle sur laquelle travaillait avec dévouement votre père le jour où nous nous sommes rencontrés. Elle est libre.
- Je le sais. Elle est venue voir maman à la maison. C'est même sûrement cette visite qui l'a tuée.
- Cette garce en est arrivée là ? A souiller de sa présence un foyer exemplaire ? L'amnistie lui a laissé le champ libre pour rentrer de son pays d'exil où elle s'était terrée comme un rat et que fait elle ? Elle va voir votre mère. Cette rebelle n'a aucune morale ! Aller chez vous après ce qu'elle a fait au capitaine Aaron Guastavino, votre cher père ! On aurait dû tous les tuer !
- Excusez-moi Colonel, mais je n'ai pas beaucoup de temps à consacrer à ces histoires... Adieu.
Tu as très mal agit. Moi, personne ne m’appelle nabot. Maintenant, je vais devoir te punir. Mais comme je suis juste, je ne vais pas profiter de ma supériorité. Je vais donc te laisser une petite avance. Je compterai jusqu’à trois avant de commencer à te chercher, d'accord ?
- savez vous que le château du baron Frankenstein a un nouveau propriétaire ?
- Oui j'ai entendu dire qu'un comte roumain l'avait acheté. Un dénommé Dracula.
Il est trois heures du matin. J ai des palpitations. Je ne verrai pas l aube de cette nouvelle journee. Cette nuit sera celle de ma mort. Si au moins je pouvais mourir en dormant...
Les danseuses, les filles de vestiaires et les putes, c’est bien pour la baise mais pas question de se marier avec elles, n’est-ce pas ?
Pourtant, à un certain moment de sa vie, il faut bien y songer…
Et pour cela, il faut trouver une jeune fille italienne, catholique, pure et vertueuse…
Malheureusement, elles ont toujours le cul bas, les jambes torses, elles sentent l’ail et sont aussi poilues qu’un paillasson…
- Ah Watson, tu connais maintenant les souffrances que peut produire l'amour !
Ça me fait plaisir de savoir que tu es un criminel, Amerigo, et que moi je suis un flic. Comme ça, un jour... un jour, je pourrai t'abattre sans remords.
le succès n est pas final.
l échec n est pas fatal.
c'est le courage de continuer qui compte.
Noire est sa peau...Emeraude la couleur de ses yeux...son âme est vaudou, son corps magie...Fulù esclave des hommes et maîtresse des passions jettent ses sorts...
La prostitution marcherait moins bien si les hommes n'avaient pas besoin de se confier à tout prix.