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Critiques de Célestin Robaglia (59)
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Promets-moi d'être heureux

Pourquoi le bonheur est-il si difficile à démasquer et à ressentir...

Pourquoi le bonheur semble si facile pour certains et périlleux pour d'autres...

Où te caches-tu petit bonheur ?

Peut-être dans une promesse.

Une promesse que Gabriel, dans un rêve, offre à sa tendre soeur la nuit où cette dernière est emportée dans l'autre monde. Mais Gabriel est encombré de toute part, de peurs, de méfiance, de pensées négatives, il s'enlise comme assureur dans un métier qui l'insupporte.

Au décès de sa soeur, la tutelle de sa fille Aziliz lui est confiée. La petite a 10 ans et semble nourrie d'une précieuse intelligence de coeur.

Aziliz rejoint son oncle ainsi que Noé, le cousin dépressif. Gabriel n'oublie pas la promesse qu'il a faite à sa soeur. Ça le taraude... C'est à trois qu'ils décident de tout plaquer pour aller au plus près des rêves. Direction la Bretagne.

Tels des robinsons des temps modernes, ils vont se laisser guider par les voix de la vie, arrimés dans une ferme délabrée mais qu'ils vont à la force de leurs bras retaper pour le meilleur. Ces trois-là vont par la même occasion faire corps avec la nature. La faune, la flore est toute à eux pour les accueillir et leur prodiguer de beaux messages de reconstruction intérieure et existentielle.

Là-bas en Bretagne, Gabriel rencontrera un vieux druide, un homme spirituel en symbiose totale avec l'univers.

Autant de clin d'oeil pour Gabriel de se laisser une chance d'être heureux.



L'auteur signe son premier roman et semble bien parti pour une belle carrière.

Sa plume est vivante et porteuse de beaucoup de sagesse et d'empathie. On sent qu'il fait du bonheur une affaire commune, avec une envie perceptible de rendre des couleurs à un monde parfois un peu trop triste. C'est un pari gagné.

J'ai apprécié ce roman comme une parenthèse bien méritée, loin des villes, du matériel, comme une bulle de savon ronronnant dans le creu de mon coeur.
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Promets-moi d'être heureux

Gabriel...

“Promets-moi d’être heureux.”

Si cela ne pouvait tenir qu’à une promesse.

“Le jour où j’ai compris ça, je veux dire vraiment compris......mon idée de sauver le monde était une chimère. Alors j’ai jeté l’éponge.”

Vingt-sept ans, et déjà désespéré.....



Aziliz....

“je crois que j’ai besoin d’un câlin ...”

Une boule d’émotion me monte à la gorge.

“Rappelle-lui sa promesse… »

Dix ans, et déjà si mature.....



Noé.....

“Pourquoi il est comme ça, Noé ?....il ne voit jamais de copains, il ne sort jamais.”

Si jeune, et déjà en retrait de la vie....





Gabriel, Aziliz, Noé,

“Alors, on fait quoi maintenant ?”

Défier l’impossible ?

“Jusqu’au bout de nos rêves !”

Un trio d’enfer....des étoiles, Efflam, Énora...la “résurgence du vivant”.





Ne pas se perdre dans les méandres de « la civilisation »,

pouvoir vivre sa « vraie identité », essayant de vivre selon ses rêves et ses valeurs, pouvoir, savoir activer et utiliser sa propre énergie......

la suite arrive tout seul....

bonheur.



Foisonnant de vérités universelles,

une fiction qui fait du bien !

Un superbe conte optimiste,

qui m’a enchantée.

Merci Krout.





« Tout va bien, pourquoi s’inquiéter de ce qui n’est pas ? Ici et maintenant, tout va bien. »

“.....aucun aspect de l’existence n’est indigne.”

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Promets-moi d'être heureux

Reçu dans le cadre d'un Masse critique Privilèges, je tiens tout d'abord à remercier Babelio ainsi que les éditions Solar qui m'ont permis de découvrir ce premier roman car là, j'avoue avoir été scotchée. C'est drôle car dans l'histoire dont je vais vous dire quelques mots, il est question de signes que l'univers nous envoie et traversant moi-même une période difficile, c'est exactement le genre de livre qu'il fallait que je lise en ce moment afin de reprendre un peu des forces et surtout foi en la vie.



Ici, le lecteur découvre Gabriel, un jeune homme de 27 ans qui travaille dans les assurances. Vivant dans un monde confortable sans soucis d'argent et ne manquant de rien, Gabriel n'est pas heureux pour autant. Cela fait maintenant plusieurs années qu'il a recueilli chez lui son cousin Noé, homme détruit par la vie qui ne sort absolument jamais de l'appartement. Pourtant, ce n'est pas cela qui ne rend pas notre protagoniste heureux. Son cousin est loin d'être une charge pour lui mais il manque un petit quelque chose. le jour où sa soeur Clara décède dans un accident de voiture, Gabriel est d'abord anéanti avant de se rendre compte qu'en tant que tuteur légal, ce sera désormais à lui de prendre soin de sa nièce Aziliz, âgée de dix ans. Ce qui est drôle (enfin, façon de parler), c'est qu'alors que ce devrait être cette petite fille qui devrait être dévastée suite à la mort de ses parents, c'est elle qui va redonner le goût de vivre à Gabriel et à son cousin. Elle va devenir leur rayon de soleil et pour elle mais aussi pour tenir la promesse qu'il a faite à sa soeur en songe (celle d'être heureux) et c'est en quelque sorte grâce à elle que Gabriel va décider de tout abandonner afin de trouver ce qui le fera réellement se sentir à sa juste place dans le monde. Cependant, pour cela, il va devoir abandonner son petit confort parisien pour s'aventurer, avec son cousin et Aziliz, sur les routes de la Bretagne profonde, celle qui recèle en elle plein de secrets et surtout de merveilles. Il croisera la route d'un druide qui l'aidera à avancer et à découvrir qui il est vraiment et quelle est exactement sa mission sur Terre. C'est un peu ce que nous cherchons tous, non ? Et si la réponse était tout simplement bien cachée au plus profond de nous et que nous la connaissions depuis le départ sans jamais avoir osé se l'avouer ?



Pour un premier roman, je me trouve admirative et ne sait pas quoi ajouter de plus pour vous inciter à le découvrir. Célestin Robaglia, bien que ne faisant que redire des vérités universelles sait trouver le ton juste et le lecteur ne peut que s'attacher aux personnages tout en se remettant en question. A découvrir et à faire découvrir !
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Promets-moi d'être heureux

♪ ♫Il en faut peu pour être heureux

Vraiment très peu pour être heureux

♫ Il faut se satisfaire du nécessaire

Un peu d'eau fraîche et de verdure♪

Que nous prodigue la nature

Quelques rayons de miel et de soleil ♪ ♫



Ajoutez quelques Breizh, histoire de maintenir une petite flamme quoi qu’il arrive, comme une veilleuse, une source de lumière, de chaleur. Un Panoramix local et une très jolie Bretonne, quelques menhirs ou dolmens, des gros cailloux quoi, des fest noz ( on s’éclate dans la ronde au son mélodieux du biniou et de la bombarde) et des abeilles. Bienvenu en Bretagne profonde.



Je ne raconte jamais l’histoire dans mes billets mais là, disons que…

C’est l’histoire d’un Parisien qui, le jour de son anniversaire (comme ça il retiendra la date, c’est bien foutu le scénario), perd sa sœur dans un accident. La nuit de l’accident il lui promet en rêve d’être heureux. Il va s’occuper de sa nièce (et d’un cousin névrosé qu’il a recueilli il y a plusieurs années) et tout quitter pour aller en Bretagne. N’étant pas fan du bonheur ni même sympathisant, il va pourtant tenter de tenir la promesse faite à sa sœur. Y arrivera-t-il ? Suspens suspens.



Si on ne m’avait pas gentiment offert ce « Promets moi d’être heureux », je n’aurais probablement jamais ouvert ce bouquin. Les recettes du bonheur et leurs produits dérivés, j’ai un peu de mal. Les belles phrases toutes faites et les grands principes, là aussi je suis assez hermétique. Quant aux ouvrages de développement personnel, tant mieux si ça peut aider quelqu’un, je passe mon tour. Alors ?

Alors pourquoi je n’ai pas détesté ce livre rempli de bons sentiments, pourquoi ne pas « fracasser » cette histoire cousue de fil blanc et ce happy end qui nous prend au dépourvu dès la page… 12 (page 11 ligne 7 pour les plus perspicaces d’entre nous).

Tout simplement parce que cette histoire m’a fait du bien. Un peu comme un instant de fraîcheur au cœur de cette canicule d’été indien qui se prolonge du coté de Lorient. Je crois aussi que j’y retrouve un écho à ma lecture précédente qui, si elle n’a rien d’un conte elle, tend aussi vers une certaine vision de la vie beaucoup plus épanouissante que celle que nous menons en général.

Ca va bientôt être cette foutue période de fin d’année alors pour être dans le ton, ce petit conte de no hell, je vais le faire circuler car la vie est courte et que si j’arrive à appliquer (me souvenir sera déjà un bon début) deux trois trucs du druide, d’autres aussi basiques que moi le pourront, parce qu’en fait, ça à l’air pas mal le bonheur selon Célestin Robaglia.



Merci Pierre pour ce cadeau qui m’a rappelé certaines conversations nocturnes de septembre dernier lors de ton séjour Lorientais. Un ami qui vous offre ce genre de livre est quelqu’un qui forcément vous veut du bien et ça aussi il faut toujours savoir l’apprécier. Bon j’arrête avec les phrases toutes faites. Pour résumer, ce bouquin n’est pas une Krout (vade retro carembar) mais un bien beau moment de « mise en conscience », d’éveil ou plutôt de réveil à la vie.

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Promets-moi d'être heureux

Pour la Bretagne, pardi. Pour la Bretagne, par Toutatis. Pour les chemins creux, les chênes majestueux. Pour les mégalithes inamovibles, les lumineuses clairières au sortir d'une sente invisible. Pour les lacs, le chant des ruisseaux et celui des oiseaux. Pour les souvenirs et les heureux présages de nouvelles découvertes. Pour le mot promesse et pour le mot rêve, en quatrième de couverture, j'ai répondu positivement à cette masse critique en suivant mon intuition. Merci à Babelio et aux éditions Solar, quelle belle rencontre. Il n'y a pas de hasard, je reçois avec joie ce cadeau, au bon moment.



C'est un beau roman, c'est une belle histoire. Lorsqu'Aziliz tout à trac me confie : " Maman me dit toujours que la vie apporte son aide quand on suit sa propre légende ! " p.66, l'Alchimiste lance son charme, réminiscences d'une autre lecture. J'ai dix ans, je suis à ses côtés. Et du coup, je me fous bien de savoir s'il s'agit plus d'un roman d'apprentissage ou d'un conte onirique. J'ai dix ans, au diable les facteurs limitants, dont je me suis entretenu avec une babeliote, il y a déjà si longtemps. Ce qui me plait, étrangement, c'est cette pointe de merveilleux. Merveilleux, mais pas mielleux, en tout cas pas écoeurant.



C'est super d'être en vie. Steeve Mc Queen trouvait qu'un tel miracle, la folie serait de ne pas en profiter à fond la caisse, d'où sa passion pour les courses automobiles et à moto. Quant à Sophie Marceau je me souviens toujours de sa jolie phrase : "La vie est plus belle quand on l'écrit soi-même. " Bravo à Célestin Robaglia pour ce premier roman. Et quand le roman se referme sur lui-même en s'enroulant, ce que j'aime tant, je devine une bonne part autobiographique.



Quelle bonne idée de l'éditeur de terminer par une série de pages blanches comme une invitation au lecteur à continuer l'histoire, à y inscrire sa propre histoire. Alors curieux j'ai été localiser Ploenevez-Moëdec et Loc-Envel dans le Trégor qui sonne comme Trésor. Et puis j'ai lu le revers de couverture mentionnant l'implication de Célestin dans un potager collectif, et la référence au mouvement Colibris et Pierre Rhabi.



J'ai dix ans et j'entends une petite voix me dire : " Super ta chronique ! J'adore. Tu es top, maintenant il va en vendre plein de livres Célestin et pouvoir encore mieux développer son écohameau. "

Alors ?

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Promets-moi d'être heureux

« Retour à soi et à la nature pour âmes cabossées et bricoleurs-inventifs qui s'ignorent » pourrait être le titre (certes long, mais juste aussi) de Promets-moi d'être heureux de Célestin Robaglia.



J'ai été un peu dubitative tout au long de la lecture de ce premier roman, qui a pour cadre principal la Bretagne dans sa partie la plus verte et la plus spirituelle. C'est que les visites oniriques de la défunte, les effets énergétiques d'une pierre mégalithique bretonne, les demandes au « Grand-tout-univers-à-qui-on-demande-de-l'aide », la loi de l'attraction-clé de l'harmonie entre les hommes, la révélation du déplacement pieds-nus sur mousses et terres boueuses, les noeuds telluriques, les conseils du voisin-Druide, etc… tout ça a été (probablement à tort) associé par mon faible cerveau à un mouvement babacool post-soixante-huitard qui m'a fait d'abord sourire.



Cependant, miracle, alors qu'il m'était impossible de renoncer à cette lecture, un charme tout à fait inattendu s'opérait fortement à mesure que l'histoire avançait.

Par l'entremise d'une jolie plume, maline et fluide, grâce à une galerie de personnages parfaitement décrits et attachants, malgré tout, ce texte a fait de ce récit un roman initiatique parfait.

Quand j'ai accepté de laisser de côté les poncifs de l'aventure de Gabriel-celui-qui-se-voit-comme-un-raté-total et ses amis (le deuil, les bonnes nouvelles tombées du ciel, la rencontre amoureuse amicale et inattendue), quand j'ai fait vibrer ma nature humaine désengagée du poids du quotidien (vous voyez de quoi je parle) et de notre société consumériste, j'ai enfin été en mesure d'intégrer, de ressentir, d'apprécier, au mieux cette jolie histoire peut-être académique pour certains, mais hautement libérative pour d'autres, dont je fais partie.



Alors, les paroles du voisin mi-druide mi-elfe ont pu poser dans mon esprit les plots d'une sagesse universelle : reconnexion à la nature, entraide comme base de fonctionnement, pouvoir de l'intuition, plongée au coeur de nos aspirations profondes, pouvoir du libre arbitre, sagesse du corps libéré du mental, exploration de nos blocages mentaux, conditionnement de nos croyances, et j'en passe…



Des idées auxquelles j'adhérais déjà totalement, mais, qui, glissées subrepticement dans cette aventure bretonne permettront à ce roman de devenir un très joli précis de développement personnel que j'ai bien l'intention de partager autour de moi avec quelques explications de départ.



C'est bien que des jeunes de cette trempe se mettent à écrire.



Merci donc à BABELIO et aux éditions Solar pour cette belle découverte !


Lien : http://justelire.fr/promets-..
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Le crépuscule des abeilles

Elsa est une jeune avocate brillante et déterminée, Alice une apicultrice vive et débrouillarde.



Deux jumelles, deux rêves, et un même amour du vivant : l’une plaide la cause des victimes silencieuses de l’industrie agrochimique qui exploite et abîme la nature impunément ; l’autre aspire à une vie simple dans une ferme de campagne en Dordogne où elle changerait le monde à son échelle. Elles partagent toutes les deux l’ambition de créer une société plus respectueuse du vivant et de la nature.



En voyant ses ruches être décimées les unes après les autres, Alice découvre notamment l’implacable réalité derrière l’usage des pesticides comme le glyphosate : l’empoisonnement systémique de la terre et de l’eau, l’extinction massive des insectes pollinisateurs, la chute de la fertilité, la désinformation volontaire de l’industrie à l’égard des agriculteurs ou l’ampleur du drame sanitaire dont ils sont les premières victimes.Dans la collection « Nouveaux récits », des éditions Tana, Le crépuscule des abeilles est un page-turner judiciaire qui raconte le destin d’Elsa et Alice, deux jumelles liées par leur amour du vivant et leur combat contre le lobby agrochimique.



Un texte très documenté sur le danger des pesticides, et plus particulièrement des néonicotinoïdes :



Il faut dire que Célestin Robaglia connait pas mal le sujet.Cet ancien étudiant parisien en arts appliqués vit en effet depuis quelques années en Bretagne où il a fondé un écolieu avec un groupe d'amis afin de vivre en accord avec ses aspirations profondes : la quête d'un mode de vie respectueux du vivant et de l'humain, et la connexion à la nature.



Le Silence des abeilles est son troisième roman, un texte engagé issu de sa conviction que l’enjeu majeur de notre époque est de préserver la biodiversité et les équilibres naturels fragilisés afin de maintenir la possibilité d’un avenir décent pour l’humanité.



Le Silence des abeilles dépeint avec intelligence, humour et tendresse le lien qui unit deux sœurs jumelles engagées pour un même combat : la défense de la terre et d’un monde plus respectueux du vivant et de la nature.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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L'apprenti Bouddha

Défini comme un « conte des temps modernes » sur la quatrième de couverture, ce roman est distrayant tout en proposant des pistes de réflexions à qui le veut.



Tout débute dans un monastère bouddhiste en Bourgogne alors que Tenzin Rimpoché, le maître spirituel du lieu, vit sa dernière journée. Il annonce son retour dans 33 ans, 3 mois et 3 jours mais en rupture avec la tradition pour un enseignement radical. Passé ce délai, les moines s’apprêtent à reconnaître leur Rimpoché selon les signes indiqués. C’est la personne de Léo, trentenaire en rupture de couple et au chômage, revenu chez sa mère, passant son temps à jouer aux jeux vidéos ou à lire des B.D., qui est ciblée. Y a-t-il pu avoir erreur dans les signes ou bien ce Léo est-il bel et bien le Rimpoché de retour ? La confusion règne au monastère.



L’humour omniprésent est très agréable et offre une lecture légère et apaisante qui ne nuit en rien aux réflexions philosophiques et à la découverte de plusieurs aspects de la religion bouddhiste. L’intrigue du roman se noue progressivement, les personnages, qui pouvaient sembler de prime abord quelques peu caricaturaux, s’épaississent et prennent corps jusqu’à devenir touchants.

On se demande où tout cela va-t-il nous mener, mais on se prend au jeu car c’est bien raconté et amusant, … jusqu’à la révélation finale pleinement acceptable !



Une belle lecture profonde et divertissante dans le même temps, c’est rare pour être souligné ! Merci à son auteur !

Merci également à Babelio et aux Editions Solar pour cet envoi cadeau.

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Promets-moi d'être heureux

Soignez-vous au coeur de la Bretagne féerique

*

Ceci est un petit bonbon à lire quand on a le moral en berne.

Ma foi, l'ayant lu pendant mes vacances dans le Sud, j'ai tout de suite été enchantée par cette parenthèse toute douce.

C'est l'histoire (un peu autobiographique) de Gabriel , jeune trentenaire parisien qui vivote dans son appartement avec son cousin Noé (celui qui déprime depuis 7 ans en jouant aux jeux vidéos pour tuer le temps).

Un accident grave va provoquer la vie morne de ces deux compères. En effet, la nièce de Gabriel, Aziliz, orpheline, sera la pupille de Gabriel. La maman d'Aziliz, soeur de Gabriel , morte mais un peu "fantôme", interpellera son frère plusieurs fois et le guidera vers un havre de paix en Bretagne.

Où il faudra tout créer et découvrir. Une renaissance?

*

Entre rencontres fortuites, druide moderne, recherche de maison, finances funestes, le trio trouvera la sérénité et la foi ....en la Nature. Celle qui est nourricière et bienveillante.

*

Dans ce récit, on trouvera les clés de son propre cheminement, des vérités universelles qui peuvent résonner en nous. Les personnages sont attachants et le ton est juste sans être mièvre (j'avais un peu peur de ce genre "feelgood" très à la mode).

La Bretagne, berceau du monde onirique du Petit Peuple s'accorde parfaitement aux thèmes du roman.

L'auteur a dû s'inspirer de son lieu de résidence, de son projet de jardin collaboratif (vu des photos sur son site).

C'est apaisant.

Alors je ferme les yeux, je respire tout doucement et je me retrouve à la lisière d'une clairière toute verte, appelant dame Nature, pour un lâcher-prise. Le pouvoir du libre-arbitre !



* Lu pour le #pumpkin autumn challenge

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Promets-moi d'être heureux

Voilà un livre qu'il faut lire pour retrouver le moral et le goût à la vie lorsque tout va mal et avance de guingois ! Promets-moi d'être heureux est donc une bonne surprise permise par Masse Critique de Babelio et les éditions Solar que je remercie car Célestin Robaglia mène bien l'histoire de Gabriel avec suffisamment d'obstacles pour éviter le roman dit « à l'eau de rose ».

D'ailleurs tout commence dans le drame et le deuil laissant la jeune Aziliz orpheline confiée à son parrain, son oncle Gabriel (27 ans) qui héberge Noé, un cousin complètement largué à la suite d'un autre deuil. « L'existence est le plus grand miracle qui soit, et les gens passent leur temps à le fuir. » Cette évidence devrait être rappelée souvent et Gabriel devra se la répéter, s'il veut tenir cette promesse faite à la maman d'Aziliz, Clara, sa soeur : « Promets-moi d'être heureux. » Était-ce dans un rêve ? Peut-être, mais c'est une superbe et exigeante promesse.

D'une écriture tout en délicatesse, pleine de sensibilité et de naturel, Célestin Robaglia prouve un grand talent dans ce premier roman qui nous emmène sans trop tarder dans cette Bretagne qu'il adore, nous faisant partager sa passion pour la nature.

La personnalité d'Aziliz est cernée avec beaucoup d'acuité car elle observe les adultes et pense très justement : « le monde des grands est totalement stupide, et plutôt que d'essayer de le faire aller mieux, les adultes passent leur temps à vouloir expliquer pourquoi c'est normal qu'il soit aussi nul. »

Au fil des pages, chacun des trois principaux protagonistes tente de réaliser son rêve mais c'est Gabriel le responsable, lui qui, en plaquant son travail au service contentieux d'une grande société d'assurances, a décidé de vivre pieds nus. Une belle inconnue inquiète le lecteur que je suis, toujours impatient de savoir si l'amour triomphera ou non.

Enfin, dans cette Bretagne profonde aux ressources naturelles si riches, il y a Efflam (70 ans), personnage-ressource indispensable pour Gabriel. Ici, l'auteur choisi l'ésotérisme, une connexion surnaturelle à laquelle je n'adhère pas mais qui a le mérite d'être bien mise en scène. Efflam parle de la déesse… respecte les plantes et sait les faire vivre et se développer.

Gabriel se connecte alors avec la nature dans ses moments de doute et lorsqu'il enlace un frêne, je pense au livre de Peter Wohlleben, La vie secrète des arbres, un auteur découvert grâce à François Busnel, dans La Grande Librairie.

Beau moment de lecture, Promets-moi d'être heureux est un hymne à la nature et à tout ce qu'elle peut apporter aux humains qui, au lieu de l'exploiter et de la maltraiter, doivent retrouver communion et respect sous peine de disparaître. Gabriel, Aziliz et Noé, au coeur des légendes bretonnes ont bien su le faire.


Lien : https://notre-jardin-des-liv..
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Promets-moi d'être heureux

Un premier roman très agréable à lire, une écriture fluide, une jolie histoire sur la sobriété heureuse, un bel éloge à dame nature ; Bravo Célestin Robaglia, de partager avec nous cette histoire, bravo pour votre parcours personnel et merci.

Un grand merci également à Babelio et aux éditions SOLAR pour ce très beau moment de lecture.

En pleine période de doute, de questionnement, de vide, de moins bien ... cette reconnexion à la nature m'a fait le plus grand bien.

Aucun druide pour ma part au fond de mon jardin pour m'aider à trouver des solutions, mais quelques outils (se défaire de nos à priori, de nos croyances, faire confiance à notre intuition, renouer avec nos rêves, avec la nature, s'entraider...) libératoires à présent grâce à vous Célestin, et à votre roman.

"Promets-moi d'être heureux"... une promesse qui ne devrait jamais nous quitter et nous permettre ainsi de savourer au mieux l'instant, vivre en harmonie avec soi, danser pied-nu (et ben oui pourquoi pas ;-)), s'affranchir de toute contrainte matérielle, vivre pleinement pour soi et avec les autres, savoir se réinventer...

MERCI.
Lien : https://seriallectrice.blogs..
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Promets-moi d'être heureux

« Les plus grands bouleversements de notre vie se passent dans l'anonymat. (…) Peut-être que la seule chose qui existe réellement se résume à ma pensée dérivant sur les origines du grand tout et à ces sensations qui me traversent (ndlr : le narrateur est assis sur un strapontin d'un wagon de métro). (…) Cela fait aujourd'hui très exactement vingt-sept ans que j'erre dans cette chose incohérente qu'on nomme l'existence. (…) Je suis dans ma bulle intérieure. Comment faire autrement quand on constate que toute cette immense machinerie, issue du Big Bang, du déploiement de l'espace-temps et de la fusion stellaire, aboutit à ça : une scène quotidienne et ordinaire du métro parisien. (…) »

Au bout de 6 pages, cette philosophie de comptoir (à mes yeux) commençait sérieusement à m'agacer et vint la tentation d'abandonner.



J'ai continué… Allusions fréquentes à «la planète qui déraille», à «la nature qui ne parle pas, se tait, se laisse faire», au fait que «tout est perdu» et que «l'idée de sauver le monde est une chimère» : l'agacement continue et la tentation de jeter l'éponge aussi... Mais je n'en suis qu'à la page 40, alors je continue malgré la perspective de «l'inévitable cataclysme qui emportera les humains une fois qu'ils auront pollué la dernière source, transformé le dernier arbre en papier, consumé la dernière goutte de pétrole».



Arrive une gamine de 10 ans qui vient de perdre père et mère dans un accident et qui sermonne son oncle (= le narrateur) qui l'a recueilli et lui tient des discours de vieux sage. Je suis à la page 47… (En passant : intriguée par le prénom de la gamine, Aziliz, je me suis renseignée ; c'est la forme bretonne de Cécile. Je me doute que la plupart des lecteurs de ce billet n'en ont rien à faire, mais ça peut toujours intéresser un ou deux futurs parents à la recherche d'un prénom de fille).



Je vous passe les épisodes intermédiaires : le narrateur qui plaque son job en enlevant cravate, chaussures et chaussettes dans le bureau de son boss et repartant chez lui nu-pieds dans les rues de Paris, la décision de suivre un rêve d'enfant, les préparatifs… Voilà la page 65 : «Le 19 juillet, à 3h47 du matin, une épave blanc sale et tout son équipage quittent Paris à la découverte de leur nouveau destin» (Une précision : ‘'l'équipage'' est composé du narrateur, de sa nièce précitée et d'un cousin vivant cloitré chez le narrateur depuis sept ans perdu dans un monde imaginaire…)



Vous êtes toujours là ? Je continue…



Si vous lisez la biographie de l'auteur vous aurez une idée précise de la suite du roman ; tout y est : la Bretagne, la longère, le retour aux sources, les retraites spirituelles dans la clairière, sous le chêne…

Devant les difficultés matérielles, le narrateur est écartelé entre ‘'l'état de connexion'' dans lequel il se sent bien grâce à sa nouvelle vie et la perspective de ‘'revenir à son existence d'avant'' qui se résume pour lui à ‘'aider des compagnies richissimes à s'en mettre encore plus dans les poches''.

Heureusement «Les choses s'alignent en moi avec une surprenante fulgurance. Je comprends en un instant à quel point j'ai pu être aveugle, passant d'un extrême à l'autre, sabotant toute chance de réussite. Si je ne rêve pas, j'abandonne ma vie, c'est vrai, mais si je ne gagne pas d'argent, je dois abandonner mon rêve. En fait, je n'ai pas à choisir entre ces deux options radicales. (…) Je dois travailler non pas pour survivre, comme je le faisais avant, mais pour construire mes rêves.» Aussitôt dit, aussitôt fait…





Bon, vous l'aurez compris : j'ai très moyennement apprécié ce roman…et c'est un euphémisme !

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Promets-moi d'être heureux

Célestin Robaglia nous livre un récit parfait pour l'été:

- un héros en plein désarrois face à son train-train quotidien d'agent d'assurances: le métro-boulot-dodo parisien est en train de le pousser au burn- out et une prise de conscience soudaine - chercher des tords chez des personnes parfois décédée dans un accident de la route pour que la compagnie d'assurances ait les moindres frais à payer- le met mal à l'aise;

- le cadre: le héros, Gabriel, décide de tout plaquer pour se rendre en Bretagne, région des embruns qui revivifient et de la magie de Brocéliande et autres druides;

- le retour à la nature: on en rêve tous, l'été. Marcher pieds nus l'herbe, caresser l'écorce des arbres, s'asseoir sur une pierre et écouter les sons apaisants de la nature…

- des personnages attachants: outre Gabriel, le personnage principal, extrêmement sensible, intelligent (et beau gosse, je le parie!), nous avons ici Noé, le cousin, devenu agoraphobe depuis deux accidents de la vie, et la petite Aziliz, la nièce, qui vient de perdre son papa et sa maman. Celle-ci, en tant que sœur de Gabriel, avait laissé un testament le désignant comme tuteur au cas où il lui arriverait malheur.

- une histoire où l'on sent que malgré les problèmes du début, il y aura une fin heureuse...



L'histoire se révèle poignante et on aurait envie de suivre les pas de Gabriel, de rencontrer Efflam, de renouer avec ce tout dont nous faisons partie, l'univers, de nous reconnecter avec la nature tout en nous éloignant de notre société si bassement matérielle.

Une lecture - plaisir qui fait réfléchir.



Je remercie chaleureusement Babélio et les éditions Solar qui m'ont permis de de me plonger dans cette histoire touchante.

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Promets-moi d'être heureux

Appelé aussi livre d'auto assistance, ce récit vogue sur la vague d'Isabelle Giordano. Il permet à travers de savants conseils de reprendre le contrôle de sa vie. C'est un roman qui, en dehors d'une histoire assez plaisante, aide chacun d'entre nous à la reconstruction de sa vie. Mi récit, mi traité de psychologie, la lecture est très plaisante. les personnages sont sympathiques et ce roman sous des airs feel good, vous aide à retrouver le juste bonheur d'être en vie et de profiter de ce que la nature nous donne.

Je conseille vivement cette lecture aux personnes en situation de mal être qui trouveront sans nul doute un remède efficace au spleen.

Parfois, le côté psychologique l'emporte et les envolées lyriques de certains personnages laissent le lecteur un peu surpris mais l'histoire reprend très vite ses droits ... Très agréable à lire ....Lire ma critique de « Promets-moi d'être heureux » de ROBAGLIA Célestin. #Promets-moiD'êtreHeureux #NetGalleyFrance

[URL NetGalley]

Merci à netgalley pour la lecture de ce récit ...
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Promets-moi d'être heureux

Je tiens à remercier Babelio et aux éditions Solar pour ce partage.



Une lecture agréable, un style fluide, des personnages bien dessinés parfois à la limite du réel, pour ne pas dire un peu trop comme il faut pour que la mayonnaise prenne.



Sinon c'est un récit intéressant pour ceux qui parfois se demande : est il possible de changer de vie, tout plaquer et recommencer ailleurs, autrement etc ... Certes rien n'est impossible, mais ce n'est pas non plus toujours facile, évident, mais parfois il faut savoir bousculer tous nos a priori, et écouter la petite voix qui nous murmure que notre place n'est plus ici et qu'il est grand temps de boucler les valises.



Tout un développement personnel est mis en évidence dans ce roman avec ce jeune homme qui a sur les bras deux naufragés de la vie. Il se fait capitaine de son rafiot, pagayant un peu à l'aveugle, échouant ici et là, puis enfin guider par un phénomène intuitif ou autre (je vous laisse le soin de le découvrir en lisant le livre), le capitaine trouve son île, son havre de paix, sa terre promise, son paradis, appelez le comme vous le désirez, mais il y a comme ça, des attirances qu'on ne peut nommer.



Ca peut sembler tirer par les cheveux par moment, un peu trop facile, on devine bien la suite, rien de surprenant, mais malgré un récit un peu tiré à la règle, l'auteur aborde des sujets intéressants qui méritent approfondissement après lecture, mais qui n'ont pas la place dans le récit.



Au final, l'auteur nous a donné des clés pour ouvrir des portes à nous de chercher la serrure et de découvrir ce qui se cache vraiment derrière tout ça.

Pour résumer, c'est une lecture facile, intéressante pour les sujets abordés, agréable pour le décor de la Bretagne et toute la magie qui l'accompagne.



Mais on ne peut pas dire : j'y crois ou je n'y crois pas à toutes ces phénomènes ou croyances tant qu'on les a pas vécus.



Certains phénomènes ne s'expliqueront sans doute jamais, est-ce pour autant qu'ils n'existent pas ? !!! Doit on systématiquement prouver A+B ceci et cela, si on était plus à l'écoute de notre corps, plus en connexion avec ce monde qui nous entoure, sans doute nous n'aurions plus ce besoin de résoudre l'équation du mystère de la vie et tout ce qui l'accompagne.



Un livre qui pousse les portes d'une frontière du monde réel et celui qui nous échappe.

A découvrir sans contexte.





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L'apprenti Bouddha

Attirée par le titre et le résumé mon choix s'est porté sur L'apprenti Bouddha. Et je ne le regrette pas.

Il se lit facilement et c'est un plaisir. Beaucoup d'humour, de la spiritualité qui donne à réfléchir. On suit l'aventure de Léo, sa quête de soi, de manière ludique mais aussi avec une réflexion philosophique sur soi, autrui et le rapport à la vie quotidienne.

Le rebondissement final sur la lettre écrite par le maître bouddha est original.

Mais si je ne mets pas toutes les étoiles c'est que j'ai été dérangée par un court passage qui pour moi était trop religieux dans son expression et la portée du message et... C'est un peu dommage. J'aurais voulu une fin plus philosophique et universelle.



Merci à Babelio et aux éditions de nous permettre de découvrir des livres lors des Masses Critiques.
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Promets-moi d'être heureux

"Promets-moi d'être heureux", cette phrase résonne dans la tête de Gabriel depuis le jour de son anniversaire.

Gabriel a choisi d'éteindre son téléphone portable afin que ses proches ne célèbrent pas ce jour si spécial pour lui, il ne répond donc pas au coup de fil de sa soeur qui ne laissera au final qu'un message sur son répondeur. Malheureusement, ce coup de fil sera le dernier puisque Clara va décéder quelques heures plus tard suite à un accident de voiture.

Gabriel va, en plus de son deuil, apprendre à vivre avec sa culpabilité, mais aussi et surtout, il va devoir du haut de ses vingt-huit ans prendre sous son aile sa petite-nièce âgée de dix ans.



J'ai repéré il y a quelques jours ce livre sur Facebook, j'ai de suite été attirée par la couverture et le titre tous deux très prometteurs. Quelques jours après l'avoir ajouté à ma liste, j'ai reçu un mail du site Babelio afin de participer à une masse critique privilège (mille mercis !)

Je ne crois pas au hasard, je n'ai donc pas hésité une seule seconde avant de postuler.

Quelques jours après ma réception, j'ai commencé à le lire, j'ai très vite été sceptique, j'ai mis quelques chapitres avant de rentrer dans l'histoire, plus j'avançais dans ma lecture, plus j'étais déçue par la personnalité d'Aziliz, cette petite fille de dix ans qui réagit avec une grande maturité et relativise comme peu d'adultes sont capables de le faire. Cela m'a vraiment beaucoup gênée !

Pourtant, quelque chose (que je ne peux vous expliquer) m'attirait fortement vers ce livre, j'ai donc tourné les pages et je me suis attachée aux personnages, j'ai de plus en plus aimé leur façon de percevoir la vie avec cette simplicité si précieuse. Les petites choses qui me gênaient au début ont fini par passer aux oubliettes.

Ce roman est bien tombé, je l'ai lu lors de quelques jours de vacances, sans stress, avec un joli paysage... il a su trouver le bon chemin vers mon coeur et me toucher.

C'est donc un presque coup de coeur et quel bonheur !

La plume de l'auteur Célestin Robaglia est très agréable, j'ai aimé le lire parce qu'on ressent que les convictions et les croyances de ses personnages sont les siennes, leur façon de vivre est sa façon de vivre, leurs pensées sont ses pensées...

Il y a beaucoup de sagesse dans ses mots, beaucoup de sens aussi et ça fait du bien !

Dernière petite chose, j'ai beaucoup, mais alors beaucoup aimé le druide, ce vieux monsieur si bon, si beau... Oui, je suis ressortie de cette lecture un peu différente, un peu plus grande et ça me fait beaucoup de bien ! J'espère qu'il en sera de même pour vous.

Pour résumer, voici trois bonnes raisons de lire Promets-moi d'être heureux de Célestin Robaglia :

♥ Ce livre fait du bien, il permet de remettre certaines choses à leur place et change la vision que nous avons de la vie

♥ C'est un roman qui mène à la réflexion, on ressort de cette lecture plus grand

♥Un livre à lire si vous avez besoin de sérénité

Je remercie chaleureusement Solar Éditions pour ce doux moment de lecture ainsi que le site Babelio pour leur confiance.

Et je vous souhaite à toutes et à tous une très bonne lecture :)
Lien : http://www.leslecturesdelily..
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Promets-moi d'être heureux

Un bonheur de lecture. Malgré les douleurs traversées je me suis pleinement retrouvée à travers cet ouvrage. Un veritable hymne à la vie et à la quête d une paix interieure. Un peu magique d une certaine manière. Une lecture qui fait du bien à son âme.
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Promets-moi d'être heureux

On voudrait que les aventures de ces personnages ne s'arrêtent jamais. On voudrait en savoir plus, continuer de transpirer, de trembler, de vibrer, de rire et de chanter à leurs côtés. Une plume douce et équilibrée, un page turner qui ne demande qu'à plonger en son sein, la nature comme personnage principal. On en redemande. Un coup de chapeau pour un premier roman.
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Le crépuscule des abeilles



J’ai eu la chance grâce à Anne Vaudoyer de découvrir « Le crépuscule des abeilles » de Célestin Robaglia chez Tana Editions. Un roman prenant sur fond de guerre écologique. Deux jumelles l’une souhaitant aller vivre à la campagne pour être apicultrice et l’autre avocate. Les deux destins vont être complétement liés. L’une va tout faire pour élever ses abeilles qui vont mourir progressivement, à cause en partie des pesticides et l’autre qui va lutter contre les grosses entreprises qui fabriquent ces pesticides sans en indiquer les dangers mortels. Sur la base de faits réels, nous vivons l’histoire de ces deux sœurs tout en apprenant des tas d’informations sur ces produits, les combines etc. Passionnant j’ai adoré. Un vrai coup de cœur pour cet ouvrage très bien documenté.

Quatrième de couv. Un page-turner judiciaire qui raconte le destin d'Elsa et Alice, deux jumelles liées par leur amour du vivant et leur combat contre le lobby agrochimique.

Jeune avocate aussi brillante que déterminée, Elsa est engagée dans un procès sans merci contre un fabricant de pesticides. Dix ans plus tôt, Alice a quitté la capitale pour s'installer à la campagne et devenir apicultrice, avec la conviction qu'elle pouvait changer le monde à son échelle.

Elsa et Alice, la militante et le colibri, sont sœurs jumelles. Malgré leurs différences, elles sont intimement liées par leur amour du vivant et par un rêve commun : créer une société plus respectueuse de la vie et de l'humain.

Elsa obtient une victoire en première instance contre le groupe agrochimique, condamné pour homicide à la suite d'un empoisonnement au glyphosate. Pour l'avocate, le marathon judiciaire ne fait que commencer, mais elle est prête à aller jusqu'au bout pour éradiquer les pesticides, qui ont bouleversé la vie d'Alice.

De l'Assemblée nationale au conseil municipal d'un village du Périgord en passant par le tribunal de Périgueux, ce roman engagé et documenté nous plonge au cœur du combat qui unit deux sœurs contre l'industrie des pesticides, et scelle leur destin à toujours, à jamais.
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