AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Charles Exbrayat (475)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Imogène est de retour

**Une histoire abracadabrante et loufoque. Une héroïne hors-norme au caractère bien trempé et pleine de fougue. Un roman policier qui m'a fait rire du début à la fin !
Lien : http://lecture-addict.blogsp..
Commenter  J’apprécie          10
Chewing-gum et spaghetti

**Quand la glace et le puritanisme tout américain rencontrent la fougue et la joie de vivre italienne, ça donne un cocktail explosif.

Une enquête menée tambour battant par un commissaire de Vérone et un enquêteur de Boston. Pauvre enquêteur bostonnais qui va se frotter à la nonchalance italienne, aux enquêtes régies par l'amour, à la cuisine italienne et à ses vins et autres alcools. De quoi le déstabiliser et lui faire revoir ses positions quant à sa vie.

Drôle, truculent, éminemment cocasse.
Lien : http://lecture-addict.blogsp..
Commenter  J’apprécie          00
Chewing-gum et spaghetti

c'est frais , facile a lire et surtout bourré d'humour .ma! é un Americano!
Commenter  J’apprécie          10
Chewing-gum et spaghetti

Je l'ai lu il y a... pffff... un paquet d'années et j'en garde un excellent souvenir: quelque chose de vif, amusant, enlevé. Une excellent lecture détente écrite par un maître.
Commenter  J’apprécie          20
Le dernier des salauds

Un roman policier sans prétention, avec du suspens, des héros pourris, traitre etc... enfin tout se qu'il faut pour faire un roman policier a lire dans le train ou le métro, voir dans le bain, enfin quand on à pas envie de réfléchir
Commenter  J’apprécie          10
Chewing-gum et spaghetti

N'hésitez pas à lire la quatrième de couverture, elle est suffisante sans trop en dire.



Voici une lecture détente qui m'a souvent fait sourire. L'enquête policière en elle-même n'est pas extraordinaire, en revanche la relation entre les deux policiers est assez savoureuse.



On découvre l'opposition entre deux cultures, entre un américain très coincé et un italien très jovial.



Il est clair que les italiens profitent de la vie, de l'amour, de la bonne chère et d'un certain art de vivre.



Mais l'américain va évoluer progressivement tout au long de l'histoire et pourtant au départ il est vraiment horrifié par leur façon de vivre et de travailler. Il est méprisant, imbu de lui-même et prêt à donner des leçons.



Tous ces traits sont évidemment un peu excessifs mais cette rencontre entre le commissaire italien et l'enquêteur américain est vraiment très amusante.



Un seul regret : Dans cette réédition j'ai trouvé qu'il y avait quand même beaucoup de fautes de frappe ou d'orthographe.




Lien : http://pages.de.lecture.de.s..
Commenter  J’apprécie          50
Ne vous fâchez pas, Imogène !



C'est avec plaisir que je découvre le personnage d'Imogène ! Vieille fille traditionnelle et pince-sans-rire, c'est un personnage drôle autant dans ses attitudes que dans ses réparties. Exbrayat a certes forcé le trait quant à sa psychologie parfois caricaturale, mais le tout dans une optique satirique et comique très réussie. La naïveté de la pauvre Imogène, notamment dans ses relations avec les hommes, prête à sourire plus d'une fois malgré des répétitions de situation parfois lourdes.

L'intrigue en elle-même est assez simple et prévisible (l'entourage de la vieille écossaise étant réduit, les soupçons se portent très rapidement sur certains personnages ambivalents), avec quelques lenteurs, mais le caractère d'Imogène et ses mésaventures font que le roman se lit néanmoins très vite.

Le retournement de situation final permet de gommer les défauts d'une intrigue parfois simple et de donner une saveur nouvelle au roman, une fois la dernière page tournée.

Bref, je ne vais pas m'arrêter là dans ma lancée et poursuivrai mes lectures d'Exbrayat avec Imogène très prochainement !



Il va sans dire que la prochaine sortie sur les écrans français du film Imogène Mc Carthery, adaptation de ce roman, m'a permis de dépoussiérer mes vieux Exbrayat et de me pencher d'un peu plus près sur cette héroïne assez déroutante. Le fait que Catherine Frot endosse le rôle de l'écossaise traditionnelle qui a fait rire une génération de lecteurs m'a évidemment empêchée d'imaginer ma propre Imogène, mais a apporté une touche de comique non négligeable à ma lecture !
Lien : http://bouquinbourg.canalblo..
Commenter  J’apprécie          50
Imogène est de retour

Encore une fois, Exbrayat a le don de faire rire son lecteur avec ce roman (sous-titré "roman policier humoristique"...) Le personnage d'Imogène est toujours aussi cocasse et détonne à merveille avec les habitants paisibles de Callander.L'intrigue est bien menée, sans pour autant être très originale : un personnage soit-disant mort trois ans auparavant refait surface sous une autre identité...

Mais pour ma part j'ai passé un très bon moment de lecture, riant des exploits d'Imogène et des réactions qu'elle suscite auprès de ses concitoyens.

Aurons-nous le plaisir de retrouver Catherine Frot (qui incarne la fabuleuse rousse à l'écran) dans la suite de ses aventures ? Il semblerait qu'en 2011, une nouvelle adaptation ciné sortirait sur nos écrans... Wait and see...
Lien : http://bouquinbourg.canalblo..
Commenter  J’apprécie          20
Ne vous fâchez pas, Imogène !

Ayant adoré le film, c'est avec grand plaisir que j'ai lu ce livre. Plein d'humour, de rebondissements et un sacré bout de femme cette Imogène!!!!
Commenter  J’apprécie          10
Ne vous fâchez pas, Imogène !

Si elle était un pays, elle serait l'Ecosse.



Si elle était un relief, elle serait les Highlands.



Si elle était une plante, elle serait un chardon.



Si elle était une bataille, elle serait celle de Bannockburn.



Si elle était une héroïne historique, elle serait Mary Stuart.



Si elle était un poème, Robert Burns l'aurait écrit.



Si elle était un roman, Walter Scott l'aurait signé.



Si elle était une couleur, elle serait en fait un mélange, celui qui donne l'écossais.



Si elle était un vêtement, elle serait un kilt aux couleurs des McLeod, ses ancêtres.



Si elle était un alcool, elle serait un bon whisky pur malt, évidemment écossais.



Si elle était un plat national, elle serait un copieux haggis (ou panse de brebis farcie).



Si elle était un sport, elle hésiterait entre le lancer d'arbre et le golf.



Si elle était une qualité, elle serait le courage.



Si elle était un défaut, elle serait la naïveté.



Vous l'avez reconnue sans peine : ce portrait est celui d'Imogène McCarthery, héroïne imaginée par le Stéphanois Charles Exbrayat dans les années cinquante et qui apparut pour la première fois dans "Ne Vous Fâchez Pas, Imogène !" Selon moi, il s'agit là du plus structuré et aussi du plus policier de la série car, pour être honnête, les volumes suivants cultivent surtout la farce et l'affrontement perpétuel entre Imogène et le chef-constable de son village natal, Archibald Mac Clostaugh, que la redoutable héroïne finira par considérer comme étant amoureux d'elle en secret.



L'intrigue de ce premier opus est simple : le supérieur hiérarchique de son propre chef de service confie à Imogène un document top secret regardant la défense nationale, à charge pour elle de le remettre à un correspondant qu'elle rencontrera en Ecosse, à Callander, son village natal. (Comment et pourquoi idée aussi baroque naît-elle dans l'esprit dudit supérieur hiérarchique, cela, je vous laisse le découvrir.) A peine Imogène grimpe-t-elle dans le train qui doit l'amener dans son pays que surviennent les premiers incidents étranges. Très vite, notre héroïne se sent poursuivie - que dis-je ? traquée - par un horrible personnage (aux yeux bleus et à la grosse moustache) qui surgit toujours là où elle l'y attend le moins.



Mais Imogène, bien que méprisant l'envahisseur anglais, est patriote : le document, elle le remettra à qui de droit et les espions qui cherchent à le lui dérober n'ont qu'à bien se tenir !



Le reste, vous le lirez dans ce petit livre sans prétention, dont le charme désuet ne se fait pas sentir tout de suite mais qui délasse bigrement nos imaginaires contemporains, tout encombrés de gangs, de gore et de tueurs en série plus ignobles les uns que les autres. Un agréable moment en perspective. ;o)
Commenter  J’apprécie          110
Une brune aux yeux bleus

En ces temps de rentrée littéraire où, comme chacun sait maintenant, il faudra frayer son chemin à travers tables surchargées des libraires et les multitudes d'articles qui vont fleurir ici ou là. On aura l'impression que l'on parle toujours des mêmes livres jusqu'à l'indigestion. On aura notre petite polémique de l'année, les mêmes discussions sans fin à propos des livres qui seront noyés dans la masse, de ceux qui, si ça se trouve, ne seront même pas sortis des cartons dans l'optique des retours chez l'éditeur. En ces temps de remous répétitifs auxquels tous ceux qui attachent de l'importance à cette rentrée littéraire sont habitués, j'ai pour ma part décidé de parler d'un livre épuisé. Il se la raconte, là, le BiblioMan(u) hein ? Quel culot tout de même ! Il est là, bien au chaud derrière son petit écran à tapoter du clavier. Et vas-y que j'emprunte volontairement le Contre-Courant. Et vas-y que je surfe sur la vague snoboboïste !... pfff, franchement, c'est, c'est...



Frein aux ardeurs. Je n'exclus pas dans les jours ou les semaines à venir de parler des livres appartenant à cette rentrée littéraire. A vrai dire, certains me font déjà de l'œil, comme Corpus delicitis de Julie Zeh (qu'on m'a conseillé de lire à tout prix), L'Employé modèle de Paul Cleave ou même Les Artères souterraines de Warren Ellis. On verra. Rien n'est certain, hormis le fait que ce sont toujours les envies du moment, comme pour beaucoup, qui me guident.



Cette année, il aura fallu l'adaptation cinématographique de Ne vous fâchez pas Imogène pour que l'on reparle un peu de Charles Exbrayat, auteur ayant connu son heure de gloire pour ses romans policiers parus entre les années 50 et 80, ainsi que pour avoir dirigé la collection Le Club du Masque. Bien souvent quand on en l'évoque aujourd'hui, c'est par le biais de grands-parents ou de parents ayant conservé ses livres dans leur cave ou dans leur mémoire, livres qui, dans les deux cas, n'ont pas toujours pris la poussière. Cela peut paraître bizarre, mais je vous assure que lancer une discussion sur Chianti et Coca-Cola ou Les Blondes et papa peut engendrer des mines réjouies à leur seul souvenir de lecture.



Aujourd'hui, la plupart des livres d'Exbrayat sont épuisés. Si on veut en trouver il faut se tourner vers les bouquinistes, à moins de leur préférer les vides-greniers, où comme dans certaines attractions de fêtes foraines, à tous les coups on gagne. C'est à l'occasion de l'un d'eux que j'ai dégotté Une brune aux yeux bleus.



Dans les années 60, Deborah est une jeune bergère à qui père et frères ont appris à se défendre en toutes circonstances. La vie dans les Cévennes, entre Alès et Nîmes n'est pas faite pour lui déplaire mais certaines obligations l'obligent à se rendre à Annecy pour officier en tant que femme de chambre auprès des Nantilly, une famille appartenant à la haute-bourgeoisie savoyarde. Très vite mise au parfum par les autres domestiques, Deborah constate que derrière les artifices du prestige et de la bonne éducation se cachent en réalité les pires travers. Tous les membres de la famille convoitent en effet la fortune de l'Oncle Jérôme dont la mort tarde à venir... jusqu'à ce que quelqu'un se décide enfin à la provoquer.



A la lecture d'Une Brune aux yeux bleus, on ne peut que constater combien cette histoire a mal vieillie, combien l'écart entre cette société qui nous est dépeinte est la nôtre s'est irrémédiablement creusée, même si des constantes perdurent forcément. C'est en tout cas ce décalage qui surprend au début de la lecture. Le tout, en fin de compte, est de se laisser aller et de faire abstraction de ce dépaysement temporel. Si on y parvient on ne pourra qu'être enthousiasmé par le personnage de Déborah, la sublime Deborah, qui cogne à tout va en citant les Ecritures dès qu'on l'approche de trop près. On pourra aussi être sensible au comique des situations – bon, certaines scènes sont un peu trop grosses, je m'en voudrais de ne pas vous avoir avertis - et aux dialogues savoureux dans lesquels Exbrayat sait donner la part belle à chacun de ses personnages d'une manière si particulière, si vivante. Qu'importe alors si les noeuds de l'intrigue se dénouent trop facilement – les indices sautent aux pages comme des gyrophares dans la nuit –, on ressort de cette lecture avec un léger sourire aux lèvres, tout en comprenant pourquoi il est épuisé aujourd'hui.



Je ne saurais terminer ce billet sans vous inviter à traquer quelques titres d'Exbrayat dans les vide-greniers que vous rencontrerez sur votre route : Amour et sparadrap (l'art de la castagne entre irlandais et anglais), Tu n'aurais pas dû Marguerite, ainsi que ceux que j'ai cités plus haut, entre autres... La traque est lancée !



Pour finir, comme je n'aime pas partager mes lectures sans que les autres puissent en profiter sous prétexte qu'on ne peut plus les trouver, j'envoie Une Brune aux yeux bleus à la première personne qui me le demande. Et comme on me l'a bien fait remarquer, je ne suis certes pas un super-héros sachant voler dans les airs, mais je connais certaines formes de téléportation qui ne fonctionnent pas trop mal...
Lien : http://bibliomanu.blogspot.c..
Commenter  J’apprécie          30
Les messieurs de Delft

Bien ficelé, joliment écrit, court et efficace. De ce point de vue, un bon petit policier sympatoche au charme désuet. Manque toutefois un peu de souffle et de relief.
Commenter  J’apprécie          20
Ne vous fâchez pas, Imogène !

Imogène Mc Carthery, pétulante écossaise de 48 ans, est secrétaire au bureau de l'Amirauté, en Angleterre. Fière de ses origines, de son clan, elle ne se gêne pas pour critiquer ses collègues et son chef de service. Aussi, lorsque David Woolish, le Grand Patron, la convoque, elle pense être licenciée. Peu lui importe, elle partira la tête haute. Or, celui-ci va lui confier une mission de la plus haute importance: emmener une enveloppe secrète contenant les plans d'un nouvel avion à réaction, le Campbell 777, à Sir Henry Wardlaw résidant à Callander... lieu de naissance d'Imogène. Folle de joie, celle-ci va narguer son chef de service, Archaft, qui accepte mal qu'on puisse lui confier une telle mission. Cependant, Woolish lui explique que c'est justement parce qu'elle est peu crédible qu'elle n'attirera pas les soupçons. Et qui mieux qu'elle connaît ce coin de l'Ecosse ? Bien évidemment, tout ne va pas se passer comme prévu et notre flamboyante rousse aura affaire à bon nombre de pièges.





L'ingéniosité d'Exbrayat, dans ce premier roman de la série, est de nous présenter un personnage plein de vie et d'entrain. Chauvine, Imogène tient par-dessus tout à ses racines écossaises et à son clan des Mc Gregor, quitte à tout sacrifier, y compris l'amour. C'est justement ce nationalisme exacerbé qui fera sa force. Cependant, elle n'hésitera pas à se sacrifier lorsqu'il s'agit d'être la digne descendante de son père, le Capitaine de la Compagnie des Indes, mais également lorsqu'il s'agit de représenter la couronne d'Angleterre.

Ce personnage est attachant. Bien qu'exubérante, elle a un coeur d'or. Évidemment, Imogène n'a rien d'un agent secret mais son entêtement à mener à bien sa mission, par fierté, fera qu'elle réussira bien malgré elle. Parallèlement à sa mission, elle va vivre quelques aventures amoureuses qui, sans qu'elle ne le sache, s'imbriquent étroitement dans sa mission.



Ce roman policier structuré, bien amené, est à lire pour passer un bon moment.
Lien : http://promenades-culture.fo..
Commenter  J’apprécie          220
Vous manquez de tenue Archibald !

Avec ce livre, Exbrayat nous propose un excellent roman policier, à la fois drôle et captivant.
Lien : http://nahe-lit.blogspot.com..
Commenter  J’apprécie          00
Ne vous fâchez pas, Imogène !



C'est avec plaisir que je découvre le personnage d'Imogène ! Vieille fille traditionnelle et pince-sans-rire, c'est un personnage drôle autant dans ses attitudes que dans ses réparties. Exbrayat a certes forcé le trait quant à sa psychologie parfois caricaturale, mais le tout dans une optique satirique et comique très réussie. La naïveté de la pauvre Imogène, notamment dans ses relations avec les hommes, prête à sourire plus d'une fois malgré des répétitions de situation parfois lourdes.

L'intrigue en elle-même est assez simple et prévisible (l'entourage de la vieille écossaise étant réduit, les soupçons se portent très rapidement sur certains personnages ambivalents), avec quelques lenteurs, mais le caractère d'Imogène et ses mésaventures font que le roman se lit néanmoins très vite.

Le retournement de situation final permet de gommer les défauts d'une intrigue parfois simple et de donner une saveur nouvelle au roman, une fois la dernière page tournée.

Bref, je ne vais pas m'arrêter là dans ma lancée et poursuivrai mes lectures d'Exbrayat avec Imogène très prochainement !


Lien : http://bouquinbourg.canalblo..
Commenter  J’apprécie          30




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de Charles Exbrayat Voir plus

Quiz Voir plus

Aimez-vous la pizza ?

Combien Serafina et Mario ont-ils d'enfants ?

6
10
8
4

10 questions
5 lecteurs ont répondu
Thème : Aimez-vous la pizza ? de Charles ExbrayatCréer un quiz sur cet auteur

{* *}