Ch`ôn Myônggwan

Le partenaire était un health coach du fitness club que ma femme fréquentait. C'était un cavaleur qui avait envoyé plusieurs membres féminins à Hong Kong grâce à ses muscles fins de cheval et à son grand sexe de cheval. J'ai voulu me venger de ma femme qui m'avait trahi et du health coach. Mais la loi qui avait aboli l'adultère m'interdisait d'envahir le territoire privé d'un individu. Alors pour ce délit d'infidélité, j'ai choisi la coutume la plus ancienne et la plus universelle, à savoir, envisager de tabasser vachement le health coach. Cela revenait à faire traiter son beau visage par "un voyou très moche". Mais je ne savais pas comment m'y prendre avec un homme doté d'une santé de cheval, moi qui en matière de sport ne faisait que respirer et lever le coude.

Parce qu'il était étrange de tomber nez à nez dehors avec Maman. Alors un vieil homme qui portait un chapeau mou est sorti derrière elle du magasin de décoration. Puis tous deux se sont mis en route vers le marché. Maman et le vieil homme entrevus de face échangeaient des propos. Quel était le lien entre eux ? A son page, Maman avait-elle besoin d'un homme ? Cela faisait dix ans que Père avait quitté ce monde, mais j'étais confus de voir autre homme avec Maman.

Dans le cadre, la photo était belle et nette, mais trop romantique, et ne montrait pas du tout la réalité. C'était lugubre comme une vieille prostituée déjà excessivement consommée. Contrairement à ma première impression, en lisant involontairement le poème, j'ai ressenti dans la dernière strophe comme un préavis insipide de ce qui me restait de vie.

ce qu'on appelle l'amour du point de vue des femmes n'est "qu'un coeur qui veut se faire inviter gratuitement toute la vie par une homme capable" et du point de vue des hommes "un désir brûlant pour un uterus frais et jeune qui donnera des enfants sains portant son hérédité".

et je me suis demandé quand j'avais été amoureux pour la dernière fois mais comme quelqu'un qui n'avait pas eu l'occasion d'aimer une seule fois, je sentais vaguement que le mot amour était comme étranger.

cette enfant ne disait jamais rien, semblant ravie de l'argent de poche qu'elle lui soutirait abondamment comme une taxe.