Citations de Chuck Palahniuk (622)
La mort est une tragédie, mais arrêter le flot de circulation est toujours considéré comme le crime suprême.
si quelque chose à vraiment l'air d'être un accident, alors personne ne peut t'en vouloir.
l'argent qu'on ne gagne pas, on le dépense très vite.
Avec une arme enfoncée dans la bouche et le canon de l'arme entre les dents, on ne peut plus parler qu'en voyelles (p14).
Il y avait quatorze parfums différents de sauces salade sans matière grasse, et sept variétés de câpres.
La deuxième règle du Fight Club, c’est qu’on ne parle pas du Fight Club.
La première règle du Fight Club*, c’est qu’on ne parle pas du Fight Club.
« Quelle raison y a-t-il pour que je fasse quoi que ce soit ? dit-elle. J’ai suffisamment fait d’études pour me dissuader par le discours de participer à n’importe quel plan d’action. Pour déconstruire n’importe quel fantasme. Pour expliquer n’importe quelle finalité. Je suis tellement intelligente que je suis capable de nier la réalité de n’importe quel rêve. »
— Ce qu’il faut que tu comprennes, c’est que ton père a été ton modèle de Dieu.
[ … ]
— Si tu es du sexe masculin, si tu es chrétien et que tu vis en Amérique, ton père est ton modèle de Dieu. Et si tu ne connais pas ton père, si ton père se taille, s’il meurt ou s’il n’est jamais à la maison, qu’est-ce que tu crois à propos de Dieu ?
[ … ]
— Ce que tu finis par faire, dit [ … ], c’est que tu passes ta vie à te chercher un père et à chercher Dieu. Ce qu’il faut que tu prennes en compte, dit-il, c’est l’éventualité que Dieu ne t’aime pas bien. Ça se pourrait bien, que Dieu nous haïsse. Ce n’est pas le pire qui puisse arriver.
Mes parents n’avaient jamais rien dit qui aurait mérité d’être brodé sur un coussin.
Nous allions n'importe où rien que pour paraître bien par comparaison, et que je comprends ce maintenant, c'est que, pour l'essentiel, ce que je déteste en Evie, c'est le fait qu'elle est si vaine, si stupide, si tellement en demande. Mais ce que je déteste le plus, c'est à quel point elle est exactement comme moi. Ce que je déteste vraiment, c'est moi, et donc je déteste pratiquement tout le monde.
J'écris et Brandy lit.
Rien de moi n'est original. Je suis l'effort combiné de tous ceux que j'aie jamais connu.
Saut à suivre jusqu'à il était une très vieille fois, quand Manus, mon fiancé qui m'a larguée, Manus Kelly, l'inspecteur de police, il m'a dit que nos vieux sont comme Dieu parce qu'on veut savoir qu'ils sont là, quelque part, et on veut qu'ils approuvent la vie qu'on mène, et néanmoins on ne les appelle que lorsqu'on est en crise et en besoin de quelque chose.
tu veux être légende, Tyler, mon gars, je vais faire de toi une légende. je suis ici depuis le tout début.
Quelque part dans les cent quatre-vingt-onze étages en dessous de nous, les singes de l'espace du Comité Malfaisance-Projet Chaos sont livrés à eux-mêmes, en pleine furie, et ils détruisent jusqu'à la dernière bribe d'histoire.
Les Américains ont profité des vibros dix ans avant les aspirateurs et les fers à repasser électriques. Vingt ans avant que les poêles à frite électriques soient mis en vente.
Oubliez les tâches ménagères : notre priorité numéro 1 a toujours été située entre nos jambes.
Ces astiqueurs solitaires, qui votent avec leur bite, ils ont choisi la HD contre le Blu-ray comme technologie mondiale dominante haute déf.
La première règle concernant le Fight Club, c'est qu'on ne parle pas du Fight Club. (...) La seconde règle concernant le Fight Club, c'est qu'on ne parle pas du Fight Club. (...) La troisième règle du Fight Club : quand quelqu'un dit stop, ou qu'il n'est plus qu'une chiffre, mais s'il fait semblant et rien d'autre, le combat est terminé. Deux mecs par combat, pas plus. Un combat à la fois. On se bat sans chemise ni chaussures. Les combats durent aussi longtemps qu'il faut. (..) Et la septième règle est la suivante, hurle Tyler : si c'est votre premier soir au Fight Club, vous êtes obligé de vous battre.
Le premier groupe où je suis allé, il y a eu des présentations : voici Alice, voici Brenda, voici Dover. Et tout le monde qui sourit avec cette arme invisible collée à la tempe.