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Critiques de Colombe Schneck (479)
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Dix-sept ans

Lu en 2016. Un roman-témoignage que j'avais bien apprécié à l'époque.

Un récit très épuré, sensible et efficace, en 90 pages : l'auteure y livre une confession intime touchante, qui résonne à la fois comme une lettre ouverte et un "hommage" posthume...
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Dix-sept ans - La tendresse du crawl

J’ai passé deux week-ends avec Colombe dans le cadre d’un atelier d’écriture.

Un atelier pour apprendre, avancer et comprendre.

Pour se plonger dans l’écriture à plusieurs. Essayer.

Colombe nous a guidé.e.s, conseillé.e.s, accompagné.e.s.

Des moment uniques pendant lesquels on s’est senti.e.s porté.e.s



Quand on s’est quitté.e.s, tous, le dimanche après-midi, je suis allée à la librairie.

J’ai eu envie de relire des livres que Colombe avait écrits.

J’ai acheté Dix-sept ans suivi de La tendresse du crawl réunis dans un livre de poche.

Deux textes qui ensemble prennent un autre sens, une résonance.

Celle du corps qui d’un texte à l’autre s’accomplit.

Le corps d’une jeune-fille enceinte, qui refuse cet état, qui refuse d’être trahie par son corps,

Le corps d’une femme amoureuse qui découvre son corps puis reste seule avec son corps.





Les phrases de Colombe sont courtes et factuelles, son style concis,

Elle a une manière particulière :

De raconter sans commenter, de faire confiance au lecteur,

D’évoquer l’intimité d’un avortement, d’une passion, d’une séparation,

La natation,

D’offrir à chacun la possibilité de s’y retrouver.

C’est la magie de Colombe, de transformer une vie en toutes les vies.





instagram @mesmotsdanslesleurs
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Mensonges au paradis

Mensonges au paradis ou vérités en enfer ?



Comment départager la fiction de la réalité dans les ouvrages, souvent impudiques, de Colombe Schneck ?



En montant vers le chalet, où adolescente elle passait toutes ses vacances, retrouver ses amis perdus de vue depuis 30 ans, elle trouve l'opportunité de plonger dans son passé qui se révèle infernal. Après la mort de son père, à qui elle était fortement attachée, elle partage plusieurs années avec Charles, un alcoolique, qui la sous estime, lui fait mal jusqu'à lui asséner « tu ne vaux rien »… rupture.



Un an plus tard, elle rencontre le père de ses enfants, rédige son premier ouvrage consacré à l'assassinat d'un parent, trouve un éditeur qui la publie … son mari dénigre son livre et lâche « tu ne vaux rien »… rupture.



« Je n'ai pas vu » écrit Colombe Schneck dont le registre neuro-sensoriel est oral et non visuel, mais comment peut-on accepter de vivre ainsi sous emprise durant des années sans se révolter ? Ne pas voir, ne pas regarder, est ce mentir ou est ce pratiquer la politique de l'autruche ?



Redescendue du chalet, elle se recueille sur la tombe de ses parents, où, devenant enfin adulte elle conclut « je me suis dressée, une géante, une tête d'acier, faut pas m'emmerder, je suis la fille du Home que rien n'arrête. »



Un roman bouleversant certes, mais la naïveté de la romancière est déconcertante. Espérons sincèrement que Colombe regarde la réalité de face et trouve ainsi bonheur et équilibre.
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Deux petites bourgeoises

Un roman bourgeois parisien, écrit pour des bourgeois sans doute. La peinture d'un milieu détestable qui accapare les richesses et entretient un système pour les conserver. La seule évocation de la province se situe à Saint Tropez, aucune référence à la nature. Bien écrit. On reste consterné de constater que seule la maladie laisse entrevoir l'humanité à ce milieu.

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Deux petites bourgeoises

Livre simple à lire. On suit l'amitié de 2 amies bourgeoises du début de leur amitié à la fin.

Personnellement j'ai eu du mal à comprendre où voulez nous amener l'écrivaine.

N'etant pas une grande lectrice ce livre est simple à lire. Je l'ai lu jusqu'au bout pour avoir la finalité de l'histoire.
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La tendresse du crawl

Plutôt plat, je n'ai pas trouvé d'intérêt à cette lecture. Je l'ai quand même lu jusqu'au bout, il n'est pas très épais mais ne me donne pas envie d'en lire d'autres de cette auteure.
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Mensonges au paradis

Colombe Schneck nous emmène sur la piste de ses souvenirs, souvenirs d'enfant favorisée qui lui ont permis de partager des séjours dans un home d'enfants : le Paradis.

L'adulte qu'elle est devenue et qui raconte n'est plus la petite fille qu'elle était et Karl, Anne-Marie, ses adultes de substitution ne sont pas sans quelques "travers" discutables. Leurs enfants, Patou et Vava n'ont pas suivi la route toute tracée...

Souvenirs arrangés, idéalisés...N'est-ce pas la "règle" pour nombre d'humains?

L'écriture est aisée, fluide et ce livre de souvenirs se lit comme une page d'histoire de famille.
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Deux petites bourgeoises

On m'a prêté ce livre que je n'aurais pas choisi en regardant l'image de couverture...

C'est bête de se fier à ça mais en même temps la couverture, à mon avis, reflète le contenu.

Je n'ai pas trouvé l'histoire de ces deux "amies" passionnante.

Je me suis ennuyée en lisant les dialogues.

On n'apprend rien, on se contente d'observer ces deux "petites bourgeoises" , même pas sympathiques.

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Mensonges au paradis

C’est un ouvrage intéressant et biographique, puisque l’autrice nous propose de découvrir une partie de sa vie et non des moindres, c’est-à-dire son enfance passée au Home, en Suisse. Une famille d’accueil pour les enfants l’été ou le reste de l’année pour les moins chanceux, malgré pour certains la richesse financière de leur famille.

J’ai trouvé que l’intrigue était intéressante et pertinente : le portrait de ce couple suisse accueillant des enfants, leur permettant d’avoir à la fois un cadre (à l’extrême parfois), mais aussi de l’amour et surtout un repère important pour ceux et celles dont les parents étaient déficients. Mais derrière ce tableau idyllique, ces souvenirs parfois un peu embrouillés de l’enfance, de l’adolescence, se cachent enfants de ce couple qui donnait tout…aux autres. Des enfants qui accueillaient aussi, n’ayant pas voix au chapitre, bienveillants pourtant, et patients mais souffrant cruellement du manque d’attention parental criant. On se forge pendant cette période, cette enfance peut nous marquer et donc nous influencer dans notre vie d’adulte. La tragédie qu’ils vont vivre est touchante comme le prix que vont finalement payer ses parents.

Ce livre est touchant et j’ai aimé suivre cette enquête intime sans trop l’être. J’ai apprécié découvrir cette famille d’accueil au sein de la montagne. J’ai aimé suivre la plume de Colombe Schneck qui est très fluide, agréable et facile à lire tout comme à suivre.

Derrière la carte postale idyllique, on comprend à la fois l’importance de la période qu’est l’enfance, mais aussi l’importance qu’ont certains liens qui ne sont pas ceux du sang. Trop parfois.
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La tendresse du crawl

Bof bof,  bluette  de bobos parisiens, où les états d'âme et l'égotisme de l'auteure nous infligent une mièvre narration de la renaissance d'une passion à l'automne annoncé

Colombe, la cinquantaine retrouve Gabriel rencontre d'enfance.  Tous d'eux parents et séparés, ils vivent une histoire d'amour de quelques mois, marquée pour elle par  la  redécouverte de son corps a travers  le sexe et la natation.  La romance achevée, il faut bien remplir des lignes et des pages pour terminer un roman en laissant croire que la résilience libératoire va nous permettre d'améliorer son chrono sur les lignes d'eau...

Banal bateau et bétifiant comme le

texte du ruban de couverture du livre : "L'amour est revenu".
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Mensonges au paradis

Je n’ai pas d'excellents souvenirs du home d'enfants dans les alpes françaises, où j’ai passé trois mois pour soucis de santé, dans les années 60, rien que des photos où nous portons tous des cagoules, le regard tristounet ! Je n'aurais jamais eu l'idée d'écrire sur ces quelques mois persus au fond d'un village ! Il a donc fallu que l'auteure se régale , au moins à certains moments de ces vacances la haut pour en commencer le récit !

On en comprend l’intérêt, bribe après bribe, car le récit est plutôt décousu, les années se confondent, il faut dire qu'elle y a passé des mois et des mois depuis ses 6 ans, envoyée là par des parents occupés d’autres activités, comme ceux des pensionnaires majoritairement issus de familles aisées !

Karl et Anne Marie, les propriétaires de cette maison d'enfants se sont très bien occupés d'eux, cela ne fait aucun doute, leur apprenant à skier, marcher, obéir !! dans des conditions assez rudes mais identiques pour tous !

Tous ? Non, pas pour leurs propres enfants qui ont été délaissés, humiliés parfois, en tous cas n'ont pas profité de l'attention qui était portée à ces petits pensionnaires par leurs parents !

Pas à pas, l'auteure fait ce retour en arrière, découvre la vérité et enfin comprend pourquoi Patou et Vava ont «  mal » tourné, leurs vies amochées, come les souvenirs qui du coup prennent une tout autre allure ! Ils étaient heureux, elle les a cru heureux, ce n'était pas le cas !



Souvenirs, souvenirs, étrange comme ils sont différents selon les personnes ! Qu'en est il des vôtres ?
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Mensonges au paradis

Souvenirs, souvenirs...

Colombe se souvient.

Des jours heureux.

De ces merveilleuses vacances, en Suisse, chez Anne-Marie et Karl.

De ces enfants qu'elle a côtoyé.

Du ski, des randonnées, des rires et des larmes.

Les jolies colonies de vacances chantait Pierre Perret.

Colombe revient.

Dans cet endroit chargé de tous ces souvenirs, ces merveilleux moments.

Si elle est là, aujourd'hui, c'est pour comprendre.

Au milieu de ces enfants qu'elle a croisé, au fil des ans, il y avait Patou et Vava, le fils et la fille légitimes du couple.

Eux aussi semblaient partager le même bonheur de se retrouver chaque année, mais...

Derrière ce paradis, y avait-il des mensonges ?

Dans sa quête, Colombe retrouvera-t-elle la petite fille qu'elle était ?

Ces séjours l'ont construite, comme ils ont construit ou influé sur le destin des autres, parce que derrière la façade,  derrière les sourires, elle, ils, n'avaient rien vu, rien senti,  rien compris.

La mémoire est sélective, l'autrice a eu besoin de confronter passé et présent pour comprendre. Dans son récit,  l'un et l'autre se mélangent, s'imbriquent.

Si j'ai aimé cette lecture, j'aurais voulu plus d'émotions, d'empathie, d'explications, mais est-ce si facile d'écrire sur ce qu'on a vécu, idéalisé,  alors qu'on vient de découvrir l'envers du décor ?

Peut-être que si Colombe Schneck n'en dit pas plus, pas trop, c'est justement pour ne pas briser le souvenir idyllique de ses séjours dans ce Home d'enfants.

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Mensonges au paradis

Colombe Scneck nous parle du Home, maison de vacances pour enfants de tous pays. Karl et Anne-Marie, contre rémunération, font vivre ce centre été comme hiver à la dure. Karl est dominant, Anne-Marie soumise, leurs deux enfants, Patou et Vava, qui doivent les aider, ce malgré leur jeune âge, reçoivent moins d'affection que les petits pensionnaires. Les petits pensionnaires semblent recevoir au Home plus d'affection qu'ils n'en reçoivent de leurs parents. La quête de l'amour, de la reconnaissance, de la réussite sont prégnants dans ce livre. Je n'ai pas tout à fait compris le but du livre : devoir de mémoire ? Quête de vérité sur la vie de Patou et Vava ? Explication sur l'échec de la vie conjugale de Colombe ?
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Mensonges au paradis

De ses 6 ans jusqu’à ses 18 ans, Colombe Schneck a passé l’intégralité de ses vacances scolaires dans le home de Karl et Anne-Marie en Suisse qui accueillait des enfants comme elle dont les parents ne tenaient pas particulièrement à s’encombrer pendant ces périodes. Elle en a gardé une vision paradisiaque qu’elle s’est décidée à évoquer dans son roman. Elle s’attendait enfin à écrire quelque chose de plus léger que ses récits précédents sur sa famille notamment…jusqu’à ce qu’elle comprenne que ce « paradis » n’en était pas vraiment un notamment pour Patou et Vava les deux enfants de Karl et Anne-Marie qui ont tous les deux eu une vie difficile. Karl était dur. Pour lui le sport était primordial : les petits skiaient tous les jours en hiver quel que soit le temps. Il était partisan d’une éducation à la dure. Cette vie au grand air totalement différente de sa vie parisienne ravissait la jeune Colombe, mais elle, elle ne venait que pour les vacances. Patou devait subir la violence de son père, Anne-Marie celle de son mari et Vava ne trouvait du réconfort que quand les petits pensionnaires revenaient au home remettre de la vie et de la bonne humeur. J’ai bien aimé cette histoire vraie et les réflexions de l’autrice sur l’écriture. Elle se rend compte que son penchant naturel à vouloir embellir la réalité grâce à la fiction ne tient pas. La réalité avec sa dureté finit toujours par s’imposer.
Lien : https://monpetitcarnetdelect..
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Une femme célèbre

Il faut avouer avoir été séduit initialement par le sujet du roman : une évocation de Denise Glaser.

Ce n'est pas d'une biographie qu'il s'agit mais, d'un transfert sur cette héroïne de la télé des années 60, du destin bien contemporain de l'héroïne du roman, journaliste de radio , écrivain, mère d'un petit Nino, et femme « du père de Nino » et amoureuse, amante d'un critique littéraire en vue « W ».

Tout se passe à la première personne du singulier et l'héroïne s'épanche sur ses états d'âmes personnels, ses doutes, ses drames, ses joies et peines. Bref un très long monologue seulement entrecoupé d'évocations qui semblent bien réelles de la vie de Denise Glaser.

Alors, immanquablement le lecteur se demande ou est la fiction dans ce roman ?

S'il s'agit d'une fiction totale (hors Denise Glaser) alors chapeau l'artiste ! Evoquer avec autant d'acuité et de véracité une vie dite de « bobo » parisien, les affres du couple, de la maternité, du job, du deuil, du père, de la mère, des autres ; tout cela sonne avec la perfection du diapason. A contrario, s'il s'agit en fait d'une autobiographie déguisée, ou plus exactement de la fameuse guérison de soi par l'écriture, l'exercice est certes intéressant, mais il lui manque le soupçon d'humour noir qui faisait tout le charme d'un Desproges dans le même registre de l'autothérapie.

Les plus : une évocation juste de Denise Glaser, un long monologue individualiste postmoderne, les sentiments d'une femme, toujours utiles à decrypter, à connaître, à tenter de comprendre.

En moins : L'évocation un peu trop courte de Denise Glaser.

La vie est belle, vous êtes belle (le dites vous même) pourquoi tant de désenchantement ? Les auto références (Val de Grâce).
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Nous sommes Charlie : 60 écrivains unis pour ..

J’avais acheté ce livre en brocante il y a quelques années mais toujours pas lu.

J’ai donc fini par le sortir de la bibliothèque et lu.

On a là un recueil de 60 textes, plus ou moins longs pour la liberté d’expression.

Certains textes ont été écrit spécialement pour ce livre, dont les bénéfices ont étés reversé à Charlie Hebdo., d’autres sont des textes repris de journaux ou de livres déjà parus.

Si quelques textes m’ont plus remués , d’autres m’ont un peu laissé de marbre.

Souvent, ceux qui m’auront le plus touchés, sont les textes les plus courts qui ont résonnés un peu plus fort en moi.
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Deux petites bourgeoises

Ah la bourgeoisie! C'est normalement un synonyme de conformité et d'ennui absolu et pourtant ça continue à nous fasciner...

(Team Start-Rite forever, toi même tu sais).



J'aime beaucoup le style de @colombeschneck . Les phrases sont courtes, presque heurtées, on entre dans la tête des personnages.



Ici il n'y en a que deux. Les autres sont évoqués, à peine dessinés. Ici on parle d'Heloise et d'Esther. Elles habitent du côté du Jardin du Luxembourg, elles vont à l'école Alsacienne. Elles trouvent ça parfaitement normal, elles ne connaissent que ça. Et pourtant...



C'est une histoire de femmes, une histoire d'amitié, une histoire d'identité aussi. Comment être soi-même quand la norme est si puissante? Ça s appelle les injonctions contradictoires...



Un livre qui se lit très vite, presque comme si Heloise et Esther nous faisaient leurs confidences en terrasse, quelque part dans le VIe arrondissement.



A lire en twin-set cachemire, évidemment.
Lien : https://www.instagram.com/tu..
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Mensonges au paradis

Dans ce roman, l’auteure s’attaque à un souvenir d’enfance qui lui apparaît idyllique. Ses vacances au Home, sorte de colonie de vacances, tenue par Karl et Anne-Marie. Elle apprend alors que leurs enfants, Vava et Patou se débattent dans des difficultés énormes.

L’histoire me paraissait intéressante. Le fait de revoir des souvenirs d’enfance que l’on pensait parfait avec le filtre de l’adulte et voir ce qu’on n’avait pas voulu voir à l’époque. J’avais hésité à acheter le bouquin car je n’aime pas beaucoup Colombe Shneck qui, je trouve, se regarde écrire comme d’autres s’écoutent parler. Sans surprise, j’ai été extrêmement déçue. Ce roman part dans tous les sens, rien n’est dit. Elle mélange sa vie, ses souvenirs, les difficultés de ses amis d’enfance sans s’y intéresser vraiment. Elle se regarde le nombril et nous, lecteur, on s’ennuie…
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Val de Grâce

Ce matin, des étoiles plein les yeux, je vous propose le roman "Val de Grâce" De Colombe Schneck aux éditions J'ai Lu.



🌻

J'ai fait la jolie rencontre de Colombe Schneck au Salon du livre de Vannes au mois de juin.



Il y'a plusieurs années, j'avais découvert son oeuvre en lisant son roman "Dix-sept ans".



Et ce matin, je ressors de cette lecture comme si je sortais de Val de Grâce. Éblouie par toute cette beauté et cet amour.



🌺 Plus jamais, un bouquet de fleurs🌸🌺🌻🌹🌷🌼💐 séchées, n'auront la même beauté. Idem pour la mousse au chocolat, elle aura une saveur de crème désormais.



🌈 Cette famille....

Ce n'était pas seulement des enfants gâtés, ultra-gâtés, libres et follement aimés.

C'était une famille qui voulait tout sublimer, après l'horreur. Et pour tout cela, je ne peux que les approuver.

Ce roman est une belle leçon de vie, de transmission et surtout d'amour.
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Nous sommes Charlie : 60 écrivains unis pour ..

60 auteurs plus ou moins connus, plus ou moins journalistes, plus ou moins écrivains, plus ou moins "anciens", plus ou moins philosophes... chacun s'exprime sur la liberté d'expression. Chacun s'exprime sur les conséquences des attentats. Certains le font avec humour ; d'autres avec poésie. BHL rencontre F. Lenoir. R. Puértolas joue la carte de l'humour alors que K. Pancol met au goût du jour R. Denos. La tendresse cohabite avec les réflexions politiques ou philosophiques. Voltaire croise J.L Fournier ainsi que V. Hugo, M. Chattam ou T. de Rosnay.

Lecture enrichissante et divertissante
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