Lorsque j’ai commencé ce livre, je n’ai pas de suite été convaincue. J’ai dabord penser que ce serait un livre ok mais sans plus. C’est après le tiers du roman que j’ai su à quel point il était bien, à tel point que je ne voulais plus le lâcher.
C’est fous de se rendre comptes à quel point la femme était sous-estimé et mis aussi bas à l’époque (même si c’est encore le cas aujourd’hui, rien de comparable au passé).
Hazel est incroyable, c’est un modèle dans une vie. Elle a un rêve et son seule objectif est de l’atteindre. Malgré tout ce que les autres peuvent dire sur son avenir, elle n’en démord pas moins et persévère.
Je ne sais pas si j’hallucine, mais la romance ressemble beaucoup trop à celle de Rose et Jack dans Titanic. Ça m’as beaucoup fait rire de retrouver autant de similitudes.
Le rebondissement de fin m’as laissé sans voix. J’ai hâte de lire la suite le mois prochain.
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J'ai terminé un livre parfait pour la saison : "Anatomy - Love Story" de Dana Schwarts publié aux éditions Albin Michel.
J'ai bien aimé ce livre, surtout les 100 dernières pages du livres que j'ai lu en une seule journée. Le reste a été plus compliqué.
On est plongé dans l'année 1817 en plein Edimbourg où les femmes n'ont pas vraiment leurs mots à dire. Et pourtant, Hazel, fille de militaire donc de bonne famille, elle s'intéresse à la médecine. Mais pas n'importe laquelle. À la chirurgie.
Hazel est une jeune femme déterminée à faire ce qu'elle veut dans la vie. Donc si elle a décidé de faire ça, elle le fera.
Et pour ça, elle devra faire la rencontre de Jack. Jack, lui, est résurrectionniste, c'est-à-dire qu'il vole les cadavres pour les vendre aux étudiants en médecine. bien entendu, c'est illégal.
En plus, tous les deux ne font pas parti de la même classe sociale.
Tous les deux vont se rendre compte que quelque chose d'autres existe.
Il y a une romance très slow-burn.
La fin m'a donné envie de lire le tome 2 ! Et, je pense que dans celui-ci, la romance doit être plus développée.
Je lirai avec plaisir la suite, mais sûrement pas maintenant !
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La lecture de ce roman ne m'a pas transportée, mais ce n'était pas désagréable pour autant. Je suis partie du principe (à tort) que c'était du YA, et en fait c'est à partir de 13 ans, et il faut vraiment arrêter de mélanger les deux styles par défaut. YA c'est « jeune adulte », a 13 ans, on est pas un jeune adulte. Cela fait plusieurs fois que je me fais avoir par les recommandations de l'algorithme de babelio et / ou de eBook, et je vais vraiment être plus vigilante a l'avenir.
Les reproches que je peux lui faire sont indémodables et récurrents dans les bouquins pour jeunes tendance historique : tout est un peu simpliste et anachronique, et du coup c'est très peu réaliste.
Ceci dit, le style est agréable à lire (lu en anglais) et je me suis laissée portée par le récit sans trop de mal.
L'héroïne est une jeune fille de bonne famille particulièrement privilégiée, un peu sotte, avec des revendications et des opinions trop modernes. On a pris une Mary Sue rebelle du XXIème siècle et on l'a catapultée au XIXème dans une belle robe, et voilà. Bon, après tout Mary Wollstonecraft avait des revendications féministes assez peu répandues pour l'époque, admettons, Hazel est très très en avance, pourquoi pas.
Mais le traitement de la société dans son ensemble est très anachronique également, et cela m'a plus dérangée. le fait que cette riche héritière fiancée a un vicomte soit laissée seule en charge de son « château » pendant que sa mère part a Bath avec son frère aurait été IMPENSABLE à l'époque. Aucune jeune fille de 17 ans, jamais, sous aucun prétexte autre qu'une misère sans nom, n'était laissée sans surveillance à ce point. Elle aurait eu au strict minimum une gouvernante pour la superviser (et je parle de quelqu'un qui aurait eu autorité sur elle pour la faire obéir et rapporter ses écarts a ses parents, pas une servante obéissante). Une fille de la classe ouvrière aurait eu plus de liberté d'action, et même aurait pu vivre seule, mais elle n'aurait absolument pas eu pas les moyens financiers à la disposition d'Hazel, ni son éducation.
Or c'est ainsi qu'on nous explique comment elle arrive à poursuivre ses études, à ouvrir son « hôpital » chez elle, à pratiquer la médecine. Cela est donc une partie importante du récit, et cela m'a réellement agacée à la lecture.
Cela m'a fait franchement ricaner quand elle se dit prête à pratiquer la médecine en tant que sage-femme isolée dans la foret puisque les méchants monsieur ne veulent pas qu'elle fasse d'étude de médecine. MAIS BIEN SUR, la fameuse sage-femme de 17 ans qui pratique dans sa maison-champignon dans les bois et qui soigne bénévolement les gentils paysans alentours. J'avais presque envie qu'elle essaye, juste pour voir.
Le côté steampunk fantasy arrive un peu comme un cheveu sur la soupe et ne m'a pas convaincue. La relation romantique avec Jack n'est pas passionnante non plus, lui n'apporte pas grand-chose au récit, il manque singulièrement de présence et de profondeur (au fait, quel imbécile s'imagine pouvoir faire croire qu'il sait monter à cheval alors qu'il n'a jamais pratiqué de sa vie ? bref).
Je ne lirai pas la suite, mais je comprends que des ado puissent vraiment aimer le bouquin.
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Je suis agréablement surprise par cette lecture.
Découverte par hasard au coin d'un rayon de ma bibliothèque, c'est d'abord la sublime couverture qui a attiré mon attention, le résumé a fait le reste.
On plonge en plein XIXe siècle, à Edimbourg, une ville chère à mon cœur pour de multiple raisons. La médecine progresse à pas de géant et Hazel, passionnée par l'anatomie et la chirurgie rêve de devenir médecin. Mais dans un monde d'homme où la femme n'est pas prise au sérieuse, difficile d'accéder à l'école de médecine.
Alors elle décide de se débrouiller seule, avec l'aide de Jack, un "voleur de corps".
D'abord, j'apprécie le travail de l'auteure et ses recherches historiques sur l'Ecosse, sa capitale et l'histoire de la médecine et le trafic de corps qu'elle suscitait. J'ai adoré me plonger dans cette capitale à la fois charmante et lugubre et je me suis rappelée des nombreuses visites que j'ai faites lorsque j'étais là-bas. Bref, mon cœur de nostalgie a vibré.
Hazel est une héroïne forte et déterminée. Loin des jeunes filles qu'on a l'habitude de croisé dans ce type de livre, elle nous offre enfin quelque chose d'original et un modèle loin des sentiers battus. Sa relation avec Jack, bien que manquant parfois de profondeur, ne repose pas uniquement sur une attirance physique et se créer au fil d'une entraide solide.
L'issue finale est intéressante et assez bien amenée (bien qu'on se doute assez vite de certaines choses). J'ai littéralement dévoré ce premier tome en quelques jours et envisage sérieusement d'enchainé sur le second.
Vraiment, une très belle découverte.
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🧠 IMMORTALITY Tome 2🧠
✒️@danaschwartzzz
📚 @albinmicheljeunesse
🧠🧠🧠🧠🧠/5
Nous sommes à présent en 1818 à Édimbourg.
Hazel ne se remet pas de la disparition de Jack.
Désormais chirurgienne aguerrie, elle tue son chagrin dans sa passion, elle soigne les habitants qui viennent là consulter pour diverses pathologies.
Sa place dans l'univers purement masculin n'est pas sans risques et un avortement pratiqué la condamnera à une mise à mort.
Sauvée mystérieusement en échange d'une intervention au service de la royauté, Hazel sera entraînée dans les conspirations et les intrigues amoureuses de la cour de Londres, elle va découvrir un danger qui plane sur la monarchie.
J'ai dévoré ce deuxième opus, bien que le premier soit mon préféré.
Voir l'évolution d'Hazel en une année et la confiance qui lui accorde ses patients montre le sérieux de son travail.
Je ne peux m'étendre sur le roman pour des raisons évidentes ( spoiler) je vous laisse le bon soin de découvrir cette aventure trépidante.
Ravie d'être sortie de ma zone de confort avec cette duologie Gothique romantique.
Ce fut une belle expérience à réitérer.
Et vous? Avez-vous lu ces romans?
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J'ai beaucoup aimé ce roman, que ce soit l'histoire, l'ambiance, le style d'écriture ou les personnages qui pour le coup sont incroyables.
On est à Edimbourg, en 1817. Hazel, pratiquement fiancée à son cousin depuis leur naissance respective, rêve de devenir chirurgienne. Sauf que c'est une femme, de noble lignée qui plus est donc ça ne plaît à personne.
Jack lui, gagne misérablement sa vie en deterrant des cadavres et en vendant les corps entre autre à des médecins, pour tenter de survire tant bien que mal.
Ils n'auraient jamais dû se rencontrer, et pourtant, le jour où Hazel vas lui demander de lui procurer des corps pour s'entraîner, Jack accepte immédiatement.
L'histoire est vraiment super. Attention quand même, on a des scènes un peu sanglantes puisqu'il est question de dissection humaine, mais je vous rassure, c'est loin d'être la majorité du livre. Hazel à une vraie force de caractère. Elle sais ce qu'elle veut et n'est pas née la personne qui pourra l'empêcher de l'obtenir.
J'ai cru comprendre qu'il y a un second tome et c'est avec plaisir que je le lirais. En soit ce tome se suffit à lui même mais je suppose qu'on approfondis pas mal de points non négligeables dans le second.
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Je n'avais jamais entendu parler de ce livre mais sa couverture très particulière a retenu toute mon attention lorsque je l'ai croisé à la médiathèque. Je la trouve tellement originale, je ne sais pas encore si je la trouve jolie ou non par contre. Mais il faut reconnaitre qu'elle illustre à merveille le contenu du roman.
Édimbourg, 1817
Hazel est une jeune aristocrate à l'avenir tout tracé. Promise à un cousin, son rôle est de se préparer à devenir une épouse dévouée et soumise. Pourtant, Hazel rejette cette fatalité. Passionnée de médecine et aspirante chirurgienne, elle décide de braver les interdits liés à son sexe et à sa classe sociale pour suivre en secret des cours d'anatomie.
C'est alors qu'elle fait la rencontre de Jack, un voleur de cadavres travaillant pour le compte de l'université où elle étudie. À ses côtés, elle se sent plus libre et audacieuse que jamais. Et quand elle découvre que certains grands chirurgiens et membres de l'aristocratie réalisent d'étranges expériences sur les cadavres, elle décide de mener l'enquête...
Le résumé est très alléchant et pourtant, j'ai eu beaucoup de mal à passer les premiers chapitres. Il m'a fallu un certain nombre de pages pour arriver à entrer complétement dans l'histoire. J'ai trouvé le récit très mollasson, pour ne pas dire ennuyeux. Pourtant, le livre avait tout pour me plaire : histoire d'amour impossible entre deux êtres issus de milieux radicalement opposé, tout ça sur fond de cadavre et d'autopsie. Ça avait de quoi plaire à mon esprit malade.
Mais pourtant, je n'ai pas été transportée. J'ai eu un peu de mal avec les personnages. Certes, Hazel est une jeune fille forte et en total décalage avec son époque. Elle se rêve chirurgienne alors que les femmes de cette époque ont à peine accès à l'éducation, elle semble avoir beaucoup de caractère mais bof, elle m'a fait un peu l'effet d'un soufflé. Ça retombe bien vite ! Quant à Jack, il n'est pas hyper intéressant et je n'ai finalement pas beaucoup de souvenirs de son personnage (j'ai mis un peu de temps avant de rédiger ce billet).
Ca reste agréable à lire mais le récit est bien trop lent à mon goût. Je me suis beaucoup ennuyée, je n'ai pas été transportée par les passages qui auraient du me faire frissonner. Je pense que le roman ne propose finalement pas ce que j'étais venue chercher : une ambiance sombre et pesante, des expériences plus ou moins étranges (peut-être avec un petit goût de Frankenstein par exemple). Heureusement, il reste l'ambiance victorienne qui est plutôt réussie et qui rattrape un peu l'ensemble.
Je ne sais pas encore si je lirai le deuxième tome, peut-être que oui si ma médiathèque l'achète.
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Hazel jeune aristocrate promise à son cousin, nourri une passion dévorante pour la médecine et aspire à devenir chirurgienne. Elle va braver tous les interdits pour pouvoir réaliser se rêve.
Quand elle rencontre Jack, voleur de cadavre pour le compte de l’université, une étrange complicité va les unir.
Mais quel claque ce roman!! Des les premiers pages j’ai su que j’allais l’aimer! Déjà la couverture nous annonçait de l’excellent !!
L’ambiance est enivrante, l’histoire passionnante et les personnages attachants.
Hazel est une jeune fille, déterminée, passionnée, ayant le cœur sur la main, une femme inspirante ! Ce roman est une ode au féminisme !
Tout est amené subtilement et dosé avec justesse ! Les chapitres s’enchaînent à une vitesse folle et je n’avais qu’un envie ralentir le rythme, ne pas quitter cette histoire trop vite.
Et ce roman fait partie de ceux que tu quitte le cœur lourd, que tu aurais aimé découvrir un peu plus. Et bien vivement le 7 juin!
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La couverture magnifique, l'époque historique que j'adore, une héroïne qui défie les conventions... Tout ce que j'aime ! Malheureusement si j'ai passé dans l'ensemble un très bon moment de lecture ça n'a pas été le coup de cœur attendu.
Comme dit, l'atmosphère est très bien retranscrite: Edimbourg au XIXe siècle, son ambiance brumeuse, ses rues dangereuses, la richesse qui côtoie la misère et une épidémie de peste romaine qui touche tout le monde. Un contexte qui s'avère passionnant.
Les deux personnages principaux sont attachants et leur évolution m'a beaucoup plu.
Le côté médical était bien exploité même si j'ai trouvé parfois improbable qu'Hazel maîtrise mieux la médecine que des chirurgiens renommés après seulement quelques temps à pratiquer sur des animaux morts.
Le gros point noir de ce roman (qui n'en sera pas un pour beaucoup) est la touche d'imaginaire qui survient vers la fin du roman. J'aime les romans historiques, l'imaginaire, les deux ensemble aussi mais ici c'était trop déséquilibré. Tout le roman est rationnel et j'ai eu l'impression que l'autrice basculait dans l'imaginaire car elle ne savait pas comment se dépêtrer de son histoire autrement... Ça ne m'a pas semblé pertinent et même si c'est du coup nécessaire pour la suite de l'histoire, ça reste une petite déception.
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Belle surprise que cet oeuvre pour adolescent, qui se laissera lire à tout âge.
Love story dans le sous-titre, "une romance gothique" : ne vous y trompez pas ! Même s'il y a bien une histoire d'amour dans ce roman, ce n'est selon moi pas la trame principale du texte ni ce qui le rend intéressant.
Cette jeune femme qui cherche à s'émanciper en devenant chirurgienne mérite à elle seule qu'on lise cette oeuvre.
Mention également pour l'illustratrice qui a réalisé là la plus belle couverture que j'ai vue depuis longtemps.
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Nous suivons la vie de Hazel, jeune femme née dans le mauvais siècle.
Née même 200 ans trop tôt.
Anatomy love story se lit très rapidement et la fin est tout simplement inattendu.
LEs 100 dernieres pages je n'ai pas pu lâcher mon livre, et je dois dire que je n'avais pas deviner la fin
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C’est un 8 mais il vole des cadavres pour aider sa crush à étudier l’anatomie et devenir chirurgienne 🤌
J’ai tout de suite accroché à Anatomy ! Une ambiance dark academia, l’Écosse, du lugubre : que demander de plus ?
Hazel est une jeune femme déterminée à devenir chirurgienne et le deviendra coûte que coûte, dans le but de soigner l’épidémie qui décime l’Écosse. Son personnage est doux mais elle fait preuve d’une certaine ténacité, j’ai aimé le fait qu’elle ne se laisse pas faire (rare pour une dame du XIXe) et qu’elle poursuivra son rêve, avec une grande bonté.
Les + : la romance était mignonne sans qu’elle empiète trop sur l’intrigue, j’ai beaucoup aimé les personnages d’Hazel et Jack. Hazel est intelligente et obstinée, Jack est courageux et tendre, ils forment un beau duo. L’ambiance gothique m’a évidemment beaucoup plu.
Les - : l’intrigue était assez facile à démêler, je n’avais pas tout vu venir mais une bonne partie de celle-ci et j’ai trouvé qu’elle était un peu trop simple et pas assez complète. Il manquait quelque chose de plus fort, davantage travaillé à mon avis.
Je suis un peu mitigée sur la fin, l’intrigue s’est résolue assez rapidement et j’aurais aimé en savoir un peu plus sur l’après. Mais c’est le jeu des fins ouvertes ! Globalement ça a été une très bonne lecture, j’ai adoré le thème et l’ambiance du roman mais il manquait quelque chose a l’intrigue pour que ce soit un coup de cœur. NaN
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Encore un roman dont je n’avais jamais entendu parler avant de me faire happer par la hype qui tourne autour… hype plutôt méritée ! C’est pas le roman du siècle, j’ai trouvé la romance un peu bâclée, trop présente et plutôt inutile, mais à part ça j’ai beaucoup aimé l’histoire et l’atmosphère originales et vraiment sympa. Hazel est un personnage intelligent et intéressant ; elle porte l’histoire avec brio et j’ai pris beaucoup de plaisir à me glisser dans sa peau pendant ces quelques heures de lecture.
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Bienvenue au XIX siècle en Ecosse, un époque où il ne faisait pas bon vivre de faire partie de la classe populaire ou d’être une femme. Il était extrêmement difficile voir impossible d’arriver à se faire une place dans une société machiste où l’homme avait très peu de considération pour le ´sexe faible´.
Anatomy love story est un roman historique/romance à l’ambiance gothique efficace. Autopsies et activités mondaines font partie du quotidien de notre héroïne Hazel, une jeune noble souhaitant ardemment devenir chirurgienne.
Ce roman a été une excellente lecture. L’intrigue est efficace, se lit rapidement. L’univers scientifique est très instructif (je l’ai trouvé moins lourd que the corpse queen sur ce point).
L’auteure a forgé à Hazel une personnalité pleine de détermination et d’ambition. Une héroïne passionnante dont il est très enrichissant de suivre le parcours 💕
Jack le fameux (pilleur de tombes) est trop sous côté à mon goût pour qu’on puisse développer une vraie attache à son encontre. Une jolie complicité se noue entre lui et Hazel évoluant sur une romance YA qui reste au second plan.
L’ensemble du livre gravite autour de la découverte de la médecine et de la chirurgie, Hazel se livre à toutes sortes d’expériences dans son château sans une once d’autorité parentale. J’ai beaucoup d’attachement de la voir s’acharner à en sacrifier sa santé. Elle comprend très vite que sa féminité sera un obstacle pour sa future et hypothétique carrière et pourtant elle endossera les réflexions incessantes et sexistes des gens de sa caste.
Je ne suis pas frustrée par la fin sachant que ce roman est une diptyque dont la suite paraîtra je l’espère prochainement 💕
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