Citations de Darko Macan (119)
-La beauté est une prison ,si j'étais laide,je serais libre
-De quoi parles-tu? Tu es blanche , tu es libre.
Tu trouves ça normal que ces pauvres diables aient du plomb dans le ventre à cause d’une poignée d’or? Tu trouves ça normal qu’on ait fait sauter la cervelle d’une femme, tout ça parce qu’elle a été un peu fougueuse ? C’est normal que ce monde soit toujours rempli de peine ? Qu’il y ait toujours eu des nantis et des pauvres ?
Salomon Culpepper avait combattu des femmes au moins trois fois dans sa vie : les Amazones du Sud de terrifiantes créatures assoiffées de sang, puis les Femmes Fourmis kunoichis d'Outre-Mer, et enfin les fantomatiques Sélénites, suceuses de songes. Il mentait donc en prétendant ne pas pouvoir se battre contre des femmes. Ce qu'il redoutait, c'était plutôt de gagner un tel combat, surtout contre des femmes banales.
Combien sommes-nous à nous souvenir de la guerre et du changement ?
... Peut être et peut être que je me suis attiré de plus gros ennuis entre temps.
La beauté est une prison. Si j'étais laide, je serais libre.
(page 50)
- Les femmes et leurs questions. Pourquoi ceci et pourquoi pas cela ...
- Les hommes et leurs silences.
(page 49)
Tu avais soif, hein ? On trouvera à boire à la ferme, mais il faut d'abord qu'on jette un œil aux alentours. Dans l'armée, ils appellent ça une "reconnaissance". Partout ailleurs, on dirait juste du bon sens.
(page 17)
Plaisante autant que tu veux Joaquin, mais je te dis que tu es en train de commettre une erreur… Certes, il est bon d’avoir toute la nourriture et tout le vin que nous désirons, mais ça ne devrait pas primer sur notre liberté !
Ton mari ? Lui !? Avec quoi a-t-il bien pu t’appâter ? Deux conserves de haricots frelatés ?
- River Bass : Ne vivons-nous pas tous dans le même monde ?
- Révérend : Dans un monde qui change ! L’esclavage est aboli, la guerre est terminée, et un jour, il n’y aura plus besoin d’armes à feu non plus.
- River Bass : Il n’y aura plus besoin d’armes à feu quand on aura inventé une meilleure arme…
- Lieutenant Schutz : Mein Gott, sergent ! Nous ne voulons pas tuer Herr Bass au passage !
- Sergent : Non, monsieur ! Mais nous ne voulons pas non plus être tués au passage, monsieur !
- Lieutenant Schutz : Tués ? Savez-vous quelle chance il a de viser quoi que ce soit à une telle distance, en pleine nuit et avec un pistolet ?
BLAM ! BLAM !
- Lieutenant Schutz : Vous voyez ? Il tire à l’aveugle !
BLAM !
- Lieutenant Schutz (touché) : Aïe… Aïe… C’est malin. Aïe…
- River Bass : La paix soit avec vous, mes frères.
- Delilah Bass (nue) : Papa…
- Amérindien : Et avec toi, frère nuit. Qu’est-ce qui t’amène à notre camp ?
- River Bass : Ma squaw chiale sans cesse car elle a perdu sa fille. J’ai du mal à dormir.
- Amérindien : Si c’était pas pour sa fille, elle chialerait pour une autre raison. Les squaws ne savent faire que ça…
- Janwillem : Sabien ?
- Sabien : Oui, Janwillem ?
- Janwillem : Tu m’aimes, pas vrai ?
- Sabien : Bien sûr que je t’aime, Janwillem ! Tu es mon frère.
- Janwillem : Ce n’est pas ce que je veux dire. Est-ce que tu m’aimes de la même façon que Ma aime Pa ?
- Sabien : Qu… ? Mais, Janwillem, c’est différent !
- Janwillem : Ça pourrait être pareil. Ma et Pa sont frère et sœur, eux aussi. Dans ce monde, on ne peut guère compter que sur son propre sang…
- Colonel Helena : Est-ce que tu aimes les paris, Steff ?
- Adjoint Steff : Non, patron. L’Église ne voit pas cela d’un bon œil, et ma femme non plus ! Surtout ma femme, je dirais.
- Turtle : Et il fallait que tu te fasses descendre, hein le nègre… ? Alors que tu savais parfaitement que mort, tu ne valais plus rien pour moi.
Vous voyez, Señora Bathsheba, je pense que vous méritez un meilleur époux. Une plus belle maison, aussi. De plus beaux vêtements. Une bonne éducation pour vos enfants.
Vous vous imaginez craindre la mort à chaque instant de votre vie ? Ce n'est pas une vie, je vous l'assure.
Tu es vraiment bête comme tes pieds ! Et mort aussi.
Vous n'auriez pas dû vous donner la peine, capitaine. Ce n'était que de la racaille.