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Critiques de Dave Wolverton (71)
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Les seigneurs des runes, tome 7 : Le Labyri..

J'avoue avoir eu un peu plus de mal avec ce septième tome.

Et c'est sans doute dû encore à la profusion de nouveaux personnages, il n'est pas aisé de comprendre facilement de la fusion de qui et qui est nait un tel ou un tel. La confusion est de mise, et au fil de la lecture, une certaine lassitude s'installe, car il est nécessaire de fournir un effort non négligeable pour se rappeler à qui on a affaire. Il n'est pas rare non plus de retourner en arrière pour reprendre le fil là où on l'a perdu, ou simplement pour vérifier qu'on n'a pas louper telle ou telle info.

C'est donc avec un sentiment un peu plus mitigé que je referme ce volume, même si l'on retrouve Fallion, en mauvaise posture devenu le jouet de forces incommensurables ne reculant devant aucun supplice et autre tortures pour obtenir ce qu'elles désirent.

mais dans cette confusion générale, il ressort tout de même un sentiment d'attachement car on souhaite ardemment savoir où l'auteur va nous emmener, comment il va terminer son histoire et quel sera le destin des personnages que nous suivons depuis le début. Cet attachement est plus important concernant ceux du premier cycle. Les nouveaux, même si certains résultent de cette fameuse fusion des deux mondes, restent malgré tout un peu "étrangers" à notre intérêt, et ne provoquent pas le même émoi que les premiers.

Il est donc tout naturel que l'on attende le dénouement qui nous permettra, on l'espère, de retrouver nos protagonistes de la première heure, dans un final qu'on devine riche en explications, en évènements et en intensité.
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Les seigneurs des runes, Tome 6 : Les monde..

Un tome placé sous le signe de la guerre, l'auteur nous livrant quelques épisodes épiques. Ses descriptions nous permettent de nous immerger complètement dans l'action et de vivre pratiquement les évènements à la place des personnages.

Un tome dans lequel j'ai eu du mal a comprendre ce qui se déroulait. Je n'ai pas compris toute de suite cette histoire de fusion des mondes, concernant également les personnages. Il m'a fallu un certain temps avant de comprendre que certains étaient en fait des personnages déjà connus .

Le nombre conséquent de nouveaux personnages pourra perdre le lecteur et c'est exactement ce qui s'est produit avec moi, d'où mon incompréhension de départ.

La nouvelle intrigue relance bien la saga, et plaira à coup sur aux fans du genre et de l'auteur, surtout que celui ci brille toujours par la magie de sa plume.

J'ai le sentiment que ce nouveau cycle commence réellement avec ce tome, plaçant le tome précédent comme une sorte de grande introduction, et ayant pour rôle de faire le lien avec le cycle précédent. On pourrait presque penser à une hésitation de la part de l'auteur, une sorte d'entre deux dans lequel l'intrigue n'est pas encore tout a fait définie.

Bref ce tome n'apporte pas vraiment grand chose au cycle, il s'inscrit dans un rythme un peu "pépère" de croisière, un tome qui se laisse lire mais qui appelle l'espoir d'événements plus importants.
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Les seigneurs des runes, Tome 5 : Les fils ..

Pour ce cinquième tome, changement presque complet de décor et de cast.

En effet, le flambeau est passé à la génération suivante, et ce sont les enfants que nous suivons désormais, Fallion et Jaz, les filles du roi de la terre, sur qui repose désormais un bien grand fardeau.

Cela rappellera à certains le cycle de J'ai de Pierre Grimberg, ou l'inverse, dans la mesure où il est question d'héritage.

Les enfants héritent de ce fardeau bien malgré eux et doivent dans un premier temps fuir pour espérer survivre face aux nouvelles menaces. Car le roi de la terre, Gaborn, bien qu'il ait apporté la paix dans le royaume et qu'il soit devenu une sorte de figure christique, le sauveur de l'humanité, adoré presque comme un dieu, n'a pas écarté tous les ennemis.

Ce sont donc les fils, les fils du chêne, qui donnent leur titre à ce tome, et dont on ne comprendra la signification qu'en conclusion de celui ci, qui doivent affronter ces nouveaux adversaires, guidés par Borenson et sa femme, personnages du premier cycle que l'on retrouve avec plaisir.

Le récit complet est une fuite, une course poursuite vers un endroit sensé les placer en sécurité, mais c'est surtout une quête, celle d'un fils pour son père qu'il n'a qu'à peine connu et qui reste un étranger. C'est la quête d'un enfant à la recherche de ses origines, de son identité, de ce qu'il est, de ce qu'il doit faire de son héritage. Et même si celle ci concerne a priori les deux fêtes, le récit se concentre sur Fallion, car un destin hors norme est supposé reposé sur ses épaules.

C'est une course poursuite haletante du début jusqu'à la fin, dans laquelle l'auteur glisse savamment une prise d'otages.

C'est un récit dans lequel les enfants sont malmenés, et pas seulement les personnages principaux, dans des situations qui frisent l'horreur la plus pure.

Pendus, affamés, assoiffés, servant de garde manger ou de chambre d'éclosion, et j'en passe, on a parfois l'impression de changer complètement de genre. Les services qu'endurent ces enfants, qu'ils soient physiques ou psychologiques, pourront heurter la sensibilité et nous rappellent que nous ne sommes pas dans un récit pour ados.

Ce tome est plutôt bien réussi puisqu'il réussit à nous tenir en haleine jusqu'à la fin et a nous attacher aux nouveaux personnages. Il se suffit à lui même car le récit se clôt sur une véritable fin et le cycle pourrait presque se terminer ici. Les enfants ont vécu leur première grande épreuve, difficile, éprouvante. La passation de pouvoir a été réalisée avec succès, il est temps se montrer d'un niveau, car l'adversaire est coriace et comme je l'ai mentionné plusieurs fois, il est question d'héritage...
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Les seigneurs des runes, Tome 4 : La salle ..

Et bien je dois reconnaître que j'ai éprouvé pas mal de difficultés à terminer ce livre. Et je pense en avoir identifier les causes.

Plusieurs fois, il m'est arrivé de le délaisser, parfois plusieurs jours d'affilée dans avoir tellement l'envie de le rouvrir, parfois parce que je me suis aperçu que le coup qu'il m'ennuyait.

Et ce sont bien tous les passages, tous les chapitres, toutes les longs moments consacrés aux préparatifs de la guerre a venir, tous les mouvements de toutes les armées ou de toutes les forces en œuvre, qui m'ont ennuyé.

De loin j'ai préféré et apprécié les passages plus"intimes", comme par exemple lorsque Gaborn se balade dans le monde du dessous a la recherche des maraudeurs et de leur chef. Ou bien lorsque l'auteur nous raconte toutes les épreuves qu'endure Borenson, au nom de son roi, ou bien encore l'évolution des personnages féminins qui apportent de la profondeur et un ancrage certain au récit, autant sinon plus que les héros désignés.

Oui je me suis quelque peu ennuyé ou du moins, je me suis lassé de ces quelques passages que j'ai trouvé trop longs, au point de saper pratiquement mon intérêt pour l'histoire.

Contradictoirement lorsque le dénouement approchait, mon intérêt a refait surface, et je me suis surpris à me dire que c'était enfin la fin...

Pour autant j'ai beaucoup apprécié l'évolution des personnages, et leur traitement. Leur place et leur importance dans l'histoire également, l'auteur s'évertuent a ne pas en faire quelques chose de linéaire dans lequel il n'y aurait aucune place pour la surprise ou le renouvellement. En témoigne cet affrontement entre Gaborn et Raj Athen, pourtant les deux adversaires désignés depuis le début du récit, qui n'a lieu qu'a la fin après de multiples reports, et qui se règle en quelques lignes, comme pour bien nous rappeler que le propos de l'auteur autant que l'essentiel de l'histoire ne résidaient pas dans ce combat programmé d'avance.

J'apprécie donc le fait que la boucle se referme, qu'il y ait un début et une fin. J'apprécierai d'autant plus le cycle suivant...

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Les seigneurs des runes, Tome 3 : Les entra..

Après avoir délaissé ce cycle pour d'autres lectures, je craignais d'être perdu lorsque j'en reprendrais le cours. A ma grande satisfaction, il n'en ait rien et c'est avec facilité et plaisir que je renoue avec les personnages, le contexte, le lore, l'histoire. Tout se poursuit comme s'il ne s'était pas passé deux mois depuis que j'avais le tome 2.

Et c'est en ce qui me concerne plutôt bon signe puisque cela signifie que ce récit s'est assurément ancré en moi. Je retrouve avec plaisir la fluidité d'écriture de l'auteur, son style si particulier qui s'articule comme une chronique. On a vraiment l'impression d'être au coin du feu, en face d'un conteur venu vous raconter une histoire merveilleuse.

D'autant plus que pour ce tome, l'auteur s'attache tellement a développer l'univers. Les descriptions sont nombreuses et regorgent de détails, qu'elles concernent les devoirs, la géographie, le contexte historique, les personnages, leurs comportement et même leurs traditions vestimentaires. Il y en a pour tous les goûts et toutes les couleurs ce qui permet une immersion totale.

C'est également la personnalité des personnages principaux qui est fouillée ainsi que leur psychologie. La plupart évolue au fil de l'histoire et en fonction d'elle. Certains mûrissent quand d'autres subissent des évènements traumatisants.

L'histoire, elle, n'avance pas trop mais sûrement, jusqu'à un final que l'on sent monter tel l'orage au loin qui s'approche. Un final épique, qui change la donne, redistribue les cartes, et dont la violence contraste avec toute la beauté que l'auteur s'est évertué a nous d'écrire et z nous révéler tout le temps du bouquin, comme pour mieux montrer l'horreur de la guerre, pointer la dangerosité de l'ennemi qui ne manque pas de descriptions mais dont, étrangement, nous ne savons pas grand chose. Ce qui augmente encore son aura maléfique.

Qui dit descriptions dit lenteur, et c'est là le point faible du roman. Une étape dans le cycle, indispensable, passionnante si on y consacre le temps nécessaire à son immersion, mais long et peut être barbant, pour celles et ceux qui préfèrent l'action aux mots.
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Les seigneurs des runes, Tome 2 : La confréri..

Je commencerais cette critique par une remarque qui vaut pour les deux premiers tomes.Ce n'est pas la première fois que je constate cette erreur de français. Jusque là je ne le mentionnais pas mais c'en est trop. Mesdames et messieurs les traducteurs, "s'attendre que..." n'est pas français... On dit "s'attendre à ce que...". Je m'attends à ce que quelque chose arrive et pas je m'attends que quelque chose arrive...

Tout comme d'ailleurs" malgré que" ou" je te partage"... que l'on voit et entend partout. Les traductions littérales de l'anglais vers le français deviennent monnaie courante et cela m'exaspère. Voilà c'est dit...

Je regrette un peu la sur utilisation du nombre de dons que possèdent tel ou tel personnage. On en vient presque à les définir uniquement par cela ou bien même a réduire leur personnalité à cela.

Dans certain contexte, c'est presque présenté comme une monnaie. D'ailleurs Gaborn ne tente t'il pas d'acheter une alliance avec son pire ennemi en lui offrant des forceps et donc des dons...

L'auteur ne choisit pas la facilité puisqu'il produit ici un scénario qui nous emmène dans des directions auxquelles on ne s'attendait pas. Il aurait pu choisir de conclure son récit par l'affrontement attendu des deux protagonistes principaux mais il n'en est rien.

L'émergence progressive de personnages secondaires essentiellement féminins montre à quel point la guerre n'est pas qu'une affaire d'hommes. Elle permet également de mettre en valeur ces personnages et surtout de montrer que la guerre ne se joue pas que sur le seul champ de bataille et qu'elle peut même prendre des formes inattendues.

Ce tome de près de 700 pages m'est apparu extrêmement long, parfois pénible, souvent lassant. Je me suis surpris à me lamenter du nombre de pages encore à lire alors qu'il ne se passait pas vraiment grand chose jusqu'aux 100 dernières pages, pour lesquels l'action reprend le dessus. J'ai alors l'impression que l'auteur est beaucoup plus à l'aise avec les scènes de bataille qu'avec le reste. Je retrouve de l'entrain, de l'engouement, mon attention est de nouveau sollicitée et mon intérêt renaît.
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Les Seigneurs des Runes, Tome 1 : La douleu..

Quelle ne fut pas ma surprise lorsque j'entamai ce tome 1 du cycle Les Seigneurs des Runes.

Dès les premières lignes, les premières pages, un univers riche et fascinant vous est promis. L'accroche est immédiate et vous emporte, vous happe sans que plus rien ne compte autour de vous.

Dès les premiers mots, l'auteur vous interpelle par son talent de conteur et vous transporte immanquablement dans son monde.

Les descriptions sont riches et détaillées, de manière à provoquer ou faciliter l'immersion, et abondante sans jamais être lourdes ou trop présentes, mais juste suffisantes pour que le lecteur puisse se représenter mentalement les scènes, les décors.

Même constat concernant les personnages. Immédiatement, on identifie les acteurs principaux, et cela provoquera d'ailleurs un certain malaise, comme l'impression de se trouver déjà en terrain connu tant ces personnages sont dressés comme des archétypes de la fantasy.

Malgré tout, on ne sait pas pourquoi on est là mais on y est et on a envie d'en savoir plus.

Car sous ses descriptions abondantes et ses airs de déjà vu, effleurent quelques éléments discrets mais importants, qui esquissent les premiers enjeux, et les premières briques de l'intrigue.

On prend le temps d'installer l'ambaince, on s'assure que le lecteur est bien calé dans son fauteuil car on est parti pour un long récit conté au coin du feu... et de la tasse de tisane.

Une fois installé, les clichés disparaissent très vite au profit d'une profondeur et d'une complexité, notamment concernant les personnages.

Non seulement ceux ci apparaissent beaucoup plus ambivalents et complexes qu'ils n'y paraissent, l'auteur caractérisant leur personnalité avec beaucoup plus d’ambiguïté (par exemple le méchant de service,Raj Ahten, nous apparaît ainsi beaucoup plus attachant dans ses doutes, ses réflexions, ses tourments, et le héros n'est pas aussi lisse et blanc qu'il ne le suppose), révélant des personnages plus stratifiés au fil du récit. Mais également, il donne une véritable place aux personnages dits secondaires, qui se révèlent beaucoup plus importants au fil de l'histoire, apportant ainsi leur pierre à l'édifice.

L'intrigue également surprend par sa banalité au début, puis par la direction qu'elle prend, jusqu'à une résolution finale loin de la conformité qu'on pouvait en attendre dans le genre.

À l'image des personnages, l'auteur offre au lecteur un récit original, avec lequel on est en droit de ne pas être d'accord, ou qu'on peut ne pas apprécier, mais qui a le mérite de proposer quelque chose de différent.

C'est d'ailleurs amusant de noter que tout tourne autour des deux antagonistes principaux, que l'auteur développe cette sorte de dualité dont naît toute la tension dramatique, mais également toutes les interrogations que se posent les personnages (on a un méchant qui doute de lui et qui a peur!!). Et en fin de compte, l'auteur esquive et nous redirige ailleurs...

Le système de magie inventé par l'auteur finit d'enfoncer le clou et ravira tous les fans de super héros car en plus de leur dimension épique, les combats seront rythmés (parfois j'ai l'impression de lire Brandon Sanderson!) au son de cette magie si particulière, donnant l'impression de se trouver dans un X Men médiéval. Ça plaira ou ça ravira... Moi j'adore, car l'auteur a l'intelligence de ne pas en faire trop, de ne pas donner plus d'importance au côté super héros qu'il ne faut. Il a la bienveillance de ne pas noyer ses personnages et son histoire sous les super pouvoirs.

Mais même si cette magie n'est finalement qu'un "outil", l'auteur en a fait quelque chose de dangereux, autant pour le bénéficiaire que pour les victimes. Il est à noter également qu'il "réserve" cette magie aux nobles (et encore pas tous), le peuple ne constituant qu'un énorme réservoir d'âmes bien dociles et d'attributs (la magie permet à certains d'acquérir les attributs (métabolisme, agilité, endurance...) d'autres personnes) offrant ainsi une autre grille de lecture. Et nul doute que cet aspect prendra de l'importance par suite.

En conclusion, je découvre là un auteur que je ne connaissais pas, et un cycle que je vais prendre plaisir à dévorer.

Attention si vous n'aimez pas les longues descriptions (bon, on n'est quand même pas chez Tolkien!), ce roman risque de vous paraître ennuyeux par moment, j'avoue avoir moi même décroché une fois ou deux.

Dans tous les cas, vous ne serez pas déçu(e)s...
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Les seigneurs des runes, Tome 6 : Les monde..

Sixième volume de la saga « Les Seigneurs des runes » . Toujours plus ! Deux planètes fusionnent (on est dans la magie pas la physique) d’où réapparition de personnages sous d’autres formes (Raj Aten ) , avec un nouveau corps et un nouveau nom (Binnesman devient Sisel par exemple) ,apparition de nouveaux monstres , de nouveaux méchants . La surenchère dans l’imagination est de règle dans cette saga qui , par ailleurs n’est pas avare ,ni en péripéties , ni en combats à grand spectacle . En fait , j’ai plus l’impression d’un (superbe) jeu vidéo que d’un roman , les personnages restant assez schématiques . Je ne pense pas poursuivre la lecture des 2 tomes suivants.
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Les seigneurs des runes, Tome 5 : Les fils ..

Cinquième volume de la saga des Seigneurs des runes . Il y a un hiatus important entre ce volume et le précédent . Les héros en sont la génération suivante , les enfants de Gaborn ,le Roi de la terre , la continuité étant assurée par la présence de Iomé ,leur mère , Borenson et Myrrima leurs protecteurs. Les ennemis aussi ont changé , exit Raj Aten et les Maraudeurs , entrent en scène Asgaroth le Locus, et sa patronne Sermombre ,êtres venus d’un autre plan et nantis de pouvoirs considérables. Le récit est sur le thème classique du Prince dépossédé et pourchassé sur terre , sur mer, dans l’air . Farland laisse libre cours à son imagination et multiplie les êtres étranges et les terres inconnues mais comme toujours dans cette saga , je n’arrive pas à m’attacher aux personnages .
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Les Entrailles du mal, tome 2 : Par le feu ..

Sixième épisode (en poche) de la saga des Seigneurs des Runes . Le « noyau dur » des personnages éclate , ils partent seuls ou en groupe dans toutes les directions : Raj Aten tente de récupérer au Sud son royaume doublement menacé par la sédition et les maraudeurs , Erin et Célinor vont au nord désarmer un ennemi potentiel,Myrrima et Borenson vers l’ouest pour tenter d’acquérir un allié , Iomé et son enfant à naître pour chercher un refuge à la Cour des Marées . Restent sur place pour affronter la horde des Maraudeurs Gaborn , Binnesman , Averan et la Wylde. Chacun de ces arcs narratifs verra les personnages affronter des épreuves et accéder à de nouveaux pouvoirs. Le conflit lui aussi passe à un plan supérieur quasi cosmique . L’excès d’inventivité nuit un peu à l’attachement que l’on peut porter à tel ou tel personnage.
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Les Entrailles du mal, tome 1 : La salle de..

. Cinquième volume de la saga « Les Seigneurs des Runes » Les Maraudeurs ont été vaincus par Gaborn devant Carris . Raj Aten fuit vers ses terres , renié par une partie de son peuple . La jeune Averan acquiert des pouvoirs magiques et grâce à un procédé répugnant peut mieux comprendre les cafards géants. Cependant de nouvelles menaces sont en train d’émerger . Ce volume voit l’action se disperser et se ralentir , (trop de personnages nouveaux et des discussions un peu longuettes sur les « noix » de Borenson).
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La confrérie des loups, tome 2 : Le sceau de ..

Le duel entre Gaborn et Raj Aten s’est transformé en « truel » avec l’intervention fracassante des hordes de Maraudeurs , ces cafards géants bien décidés à éliminer l’espèce humaine . Les personnages principaux continuent à fluctuer entre surhomme (ou surfemme) au gré de l’adjonction ou de la perte de leurs attributs ( virils en ce qui concerne Borenson) . Gaborn découvre que sa puissance de Roi de la terre s’accompagne d’un accroissement de responsabilité et du cauchemar d’avoir à choisir qui vit et qui meurt. C’est toujours aussi inventif ( les puissances du vent, le Mage funeste, la Wylde…) mais je n’arrive pas à m’attacher aux personnages.
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La Confrérie des loups, Tome 1 : La dernière ch..

Troisième tome de la saga des Seigneurs des Runes:voilà Gaborn Orden devenu Roi de la terre et marié ,mais si cette promotion flatteuse et cet heureux évènement (roi de la terre rend instantanément prolifique) lui accorde un rejeton et quelques pouvoirs la situation dont il hérite n’est pas un cadeau . le grand méchant Raj Aten est toujours virulent ( il surpasse même les trompettes de Jéricho en démolissant les châteaux par sa voix !) ,et lance dans la bataille de puissants alliés ( Un Eclat ténébreux , élémental de feu et d’air.) . Gaborn n’a pour lui que sa bonne volonté (et il est pacifiste en plus) , Binesmann le magicien de la Terre et les puissances de l’eau . Il entreprend un stratégie risquée de contournement de l’adversaire . Et maintenant le monde est menacé par une invasion des Maraudeurs ( des cafards géants) ! C’est chaud !
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La Douleur de la terre, tome 2 : L'Anneau d..

. Ce deuxième tome de la saga des Seigneurs des Runes , est plus animé que le premier : Le prince Gaborn Orden s’affirme comme le héros , devenu Défenseur de la terre ,il entreprend de sauver son père, son royaume, sa future et in fine l’espèce humaine avec l’aide de Binessman la magicien de la terre. Contre lui Raj Aten ses pouvoirs extrêmes (dont il va percevoir les limites) , ses monstres, ses magiciens du Feu . Grosse bataille en perspective , beaucoup de sang et de larmes et une peu d’amour. Des personnages secondaires sont habilement dessinés , comme Borenson le garde du corps devenu tueur de masse sur ordre et qui ne s’en remet pas et sa sensuelle épouse.
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La Douleur de la terre, tome 1 : le don d'a..

Première partie d’une importante saga de fantasy. Comme à l’habitude le premier tome démarre lentement car il s’agit de mettre en place un univers complexe et de nombreux personnages. L’originalité de ce monde moyenâgeux tient à un système de magie complexe et assez innovant. Il permet aux Seigneurs des Runes de s’attribuer (de gré ou de force) les capacités d’autre personnes (force, agilité, charisme,intelligence…). Une métaphore de l’esclavage en quelque sorte .A charge pour eux de subvenir aux besoins des gens ainsi amputés (les Dédiés) qui ne récupèrent leur capacité perdu qu’à la mort du bénéficiaire . Inversement si on tu un Dédié le récepteur est amputé. Certains Seigneurs respectent leur code d’honneur , d’autres non . En particulier un certain Raj Ahten qui multiplie les « dons » au point d’être un quasi surhomme et qui veut conquérir le monde. Face à lui quelques rois et princes plus vertueux (mais avec des nuances) . Ce conflit se double d’un affrontement entre puissances élémentaires , le feu contre la Terre et l’Eau . Intéressant.
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Les seigneurs des runes, Tome 2 : La confréri..

Les seigneurs des runes tome 2 : La confrérie des loups... bin oui j'ai enchaîné direct.



Pitch :

Bon Gaborn Roi de la terre mais pas que, Roi de Mystarria aussi et d'Heredon par alliance, ça commence à faire... Et bien Gaborn il a pas trop le temps de se reposer voyez-vous.

Parce que Raj Ahten au lieu de rentrer direct chez lui en Indhopal, bin il fait un détour par Mystarria histoire de faire chier ! Il lâche pas le morceau, il l'a mauvaise ! En plus sur son chemin là où il passe bin ça laisse de sacrées traces... Et il a toujours autant de charisme même si maintenant il est bossu, l'arrive pas à remettre cette foutue épaule en place et ça fait drôlement mal.. C'est p'têt pour ça, quand on a mal faut passer ses nerfs sur un truc...

Gaborn lui est branché direct avec la terre, qui passe sa vie à lui envoyer des broadcast, le hic c'est que y a comme des interférences, des déperditions voir c'est codé et il comprend pas tout... Les réceptions sont contradictoires, il a un peu peur de se planter sévère... y doute... mais ça c'est un peu une constante, le doutage c'est lui !... il veut bien faire, mais comment faire ?

Borenson est envoyé au loin pour réparer sa faute, il cherche la rédemption... ça va être compliqué gars... il a pas mal de sang sur les mains faut dire ce qu'y est. La rédemption ou la mort, lui y s'en fout, les deux lui vont... l'est plus à ça près.





Alors de nouveau une narration à plusieurs point de vue...

Beaucoup de nouveaux personnages. Certains qu'on attendait pas, d'autres qu'on attendait mode charbons ardents.. et yes !

Et autant certains sont très prenant, ultra chouette à suivre, autant d'autres c'est limite si j'en avais rien à taper...

Et si j'en avais rien à taper c'est que damned je les trouvais à côté de la plaque, pour une raison où une autre... genre: « Meurs tu mérite ! ça me fera des vacances » spéciale dédicace à la reine Iomé.. ( je peux pas l'encadrer celle-là.).



J'ai aussi de plus en plus de mal avec la notion de distance, ok y ont des chevaux top classe moumoute, en plus même pas, l'auteur passe sa vie à nous expliquer que y en a plus et que c'est la merdasse à ce niveau-là, mais tout est la porte à côté, genre tu traverse trois pays en trois jour (voir moins), leurs bleds en fait c'est Liechtenstein. Et impression de facilité, cool comme ça je décris que dalle, je me fais pas chier.. Alors certes ça fait une narration rapide (encore que) mais niveau immersion de monde on pourra dire ce qu'on veut c'est pas bienvenue en terre inconnue...

— Vraiment ?

— Bon je suis un peu vache... y a bien quelque moment où l'auteur se fend d'un peu de description, le côté voyage en Indhopal, mais à part ça... et ça m'a manqué un chouille...

— Tu sais bien que leur chevaux c'est comme des TGV, va regarder le paysage quand y passe à grande vitesse.. tu peux pas c'est flou..

— Ouais bin là c'est pareil.. c'est flou...



Les seuls moments où Farland s'y met c'est quand on est, ou va être dans l'epiqueness, là il envoi la sauce. Les batailles mazette elles sont cool ! Les bestioles elles sont cool ( mention spéciale aux Graaks, maraudeurs et autres élémentaux). Les sorts magiques paf dans ta face aussi... Bref niveau baston de fantasy épique ça le fait toujours bien ! Et même plus que ça.

Ok l'épiqueness y maîtrise bien, et c'est toujours aussi cool, mais entre deux moments épiques le soufflé à tendance à se casser un peu la gueule... retombe, et c'est pas les réactions des personnages qui aide.



Et un des problèmes pour moi est là... les réactions, voir les pensées de certains personnages...

Jamais vu des attardés pareils... Des fois j'avais des : «  Mais vous êtes cons/connes ou quoi ? »... et oui.



Alors oui en général la connerie même à l'épique... genre on te dis de fuir, te barrer mode si vous restez vous allez tous crever, et non toi tu tape le bout de gras avec un teinturier qui te saoule avec ses histoires de bains, et que non quand même... Perso je me casse, ou je le noie dans ses bains, démerde-toi camarade, t'es trop con. Extinction de la race, sélection naturelle toussah...

C'est d'ailleurs un des messages (bateaux) du Roi de la terre, le côté ♫ c'est l'histoire de la vie le cycle éternel ♫ … et je lève les yeux au ciel, nan mais franchement !



Tout comme son dilemme moral sur la magie des seigneurs des runes, c'était bien la peine de couiner sur des pages et pages mode ouin ouin c'est mal et patati et patata pour finir par s'en balancer cinquante dans la tronche... hop tranquille à l'aise Blaise... et je plisse le regard en me raclant la gorge.



Et franchement je ne sais pas trop quoi penser..

Parce que franchement ça se lit bien, les moments épiques sont jubilatoires paf dans ta tronche.. mais y a certains trucs que je trouve vraiment rebutants.



Et en premier lieux, non pas la choupiness de Gaborn, le côté allions-nous tous parce que la mort totale est à nos portes, non ça je trouve que c'est plutôt censé.

Mais c'est toutes les pseudos histoires de trahisons que Farland met en place, alors qu'il n'approfondit pas les pistes qu'il avait lancé dans le tome un, ou c'est de l'ordre de trois lignes, le côté anecdotique. Une des sous histoire que je trouvais pourtant plus qu'intéressante.. le côté Diem... et bin non !

À la place il nous balance encore d'autres conflits/trahisons en devenir... boaf...

C'est un peu surface surface...



Ensuite les couches que Farland rajoute à son méchant... pfff j'ai levé les yeux au ciel, je le sentais grave venir, paff il saute dedans à pieds joints... tiens si on rajoutais une couche de pédophile pseudo culturelle... ralalalala... facilité quand tu nous tient.. Comme si y avait besoin en plus... Ce genre de truc me gonfle...



Par contre je dois dire que vous si vous aimez les personnages féminins... Bin y en a pléthore… et pas que de la cruche. Non y a de tout, de la petite fille, à la guerrière en devenir, ou la guerrière tout court (badass... je l'aime bien ^^)... Et ça fait du bien.

Oui ce n'est pas qu'une histoire d'homme, les femmes ont leur place, la prenne, voir se la font. Et c'est très bien.



Et même si on attendait le vent, là d'où il vient me laisse dubitative. Par contre comment il est mis en scène c'est pas mal, une bonne idée. Nan y a pas a chier à ce niveau-là il est bon !

Ça ferait en plus des bonnes scènes de cinéma...

J'ai lu que d'ailleurs que Les seigneurs des runes avaient été pressenti pour faire des films, mais depuis le temps et plusieurs tentatives, y a rien eu (c'était même écrit dans mon tome 1 qui date de 2009, on est en 2020 je crois que c'est plus que cramé.) Et c'est bien dommage, parce qu'avec un bon budget, ça pourrait très bien rendre...



Oui Farland a une vision de l'épique cinématographique à ce niveau-là pas de problème, là où à mon sens il pèche plus c'est sur le fond... et sur un peu tout les fonds d'ailleurs.

— Ah bon ? Tu veux dire qu'on touche le fond ?

— Non pas encore... on touche pas le fond, j'ai lu des trucs bien pire... au contraire on reste quand même vachement à la surface des choses et c'est un peu dommage.



Alors autant certain perso m'ont gonflé grave sévère, autant d'autres marchent tout à fait bien à mon sens...

Et étrangement que des nouveaux, et parfois même pas des premier rôles... Voir même les anciens premiers rôles n'ont pas (à mon sens) un développement cohérent, les actions passées ont tendance à glisser vachement vite, mention spéciale à la folie de Borenson... Borenson tout court d'ailleurs.

Mais quand même ce qui est sympa c'est que l'auteur ne les épargne pas... et ça c'est cool ! On se dit osera, osera pas, et on est curieux de voir (enfin moi)...

— Tu es une psychopathe !

— Rooh... quoi ? Ça fait partie du cycle éternel... tu veux que je te la chante ?

— Tsss...



Par contre, vu qu'il les épargne pas, si dans le prochain la reine Iomé pouvait cadancher, ça nous ferait des vacances...

— Dois-je sous entendre que tu liras le prochain ?

— Oh oui... j'ai bien envie quand même de voir où va aller tout ce bordel... de retrouver certains persos... de vivre d'autres batailles... Mais va falloir que je me le trouve d'abord... le trois je l'ai pas.
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Les Seigneurs des Runes, Tome 1 : La douleu..

Les seigneurs des runes tome 1 : La douleur de la terre... Ou le bouquin que t'attrape avec un oeil dubitatif, vu la daube que t'as lu avant, le côté est-ce une bonne idée de continuer dans la fantasy ?



— Et ?

— Au début j'ai eu comme un frisson, froid... le frisson... Et pi c'est passé.

— Ah ouais ?

— Ouais !



Pitch :

Le prince Gaborn, Seigneur des runes se ballade incognito en Heredon. Il attend son paternel le Roi de Mystarria ( putain de nom de bled) le Roi Orden et le début la grande chasse dans les bois de Dunn organisé par le Roi Sylvarresta (putain de nom !) pour célébrer Hostenfest et le Roi de la terre. Cette occasion, il le sait, sera aussi la demande en mariage de la princesse Iomé de Sylvarresta.

L'heure est donc à la réjouissance.

C'est ce que se dit le prince Gaborn, une fête, une chasse, une future épousaille avec une princesse qu'il apprécie, des liens d'amitié entre leur deux pays encore consolidés par ce mariage...



Enfin il espère que la princesse dira oui, il n'a pas beaucoup de dons pour un prince et un Seigneur des runes. Il n'est pas fan du système, il a juste ce qu'il faut à son sens, mais cela fera peut-être pencher la balance en sa défaveur... Il doute un peu, et se pose beaucoup de questions... Il aimerait bien les partager avec son Diem, mais il sait que cela ne servira à rien...



— Mais n'est-ce pas choupi tout ça... et heu c'est tout ?

— Tu te doutes bien que non !

— Pourquoi ?

— Parce que au sud ouest, dans le royaume d'Indhopal vit un Seigneur-Loup, avide de conquête, voilà pourquoi !



Nous revoilà dans de la fantasy médiévale mais sans bondieuserie, (ouf !) Châteaux, donjons, armures, chevaliers, rois, prince et princesse...

Nous voilà aussi dans des magies, oui des.

Tout d'abord un système magique celui des Seigneurs des runes.

Et ce système magique est plutôt intéressant, bien foutu, voire drôle. Ou horrible suivant ce qui se passe, ou comment on prend la chose.

Et puis de la magie élémentaire (eau/feu/terre pour ce tome-là on verra sans doute l'air dans les suivants), avec donc des magiciens élémentaires... y sont cool !



Alors bien sûr, on est dans de la fantasy assez classique, avec quelques questionnements sous-jacents ( un peu bateau, mais pas si pire, genre la bonté = vertu, ou non ? la responsabilité, la beauté, la vanité... des trucs comme ça.) Questionnement découlant de la magie en place et de son utilisation, comment peut-on être un seigneur des runes bon, quand le système est déjà biaisé à la base, ou si facile à pervertir ?

Et oui c'est pas simple...



Nous somme dans l'épique, batailles épiques, fuites épiques, environnements épiques, bestiaires épiques, violences épiques ( y a des morts en masses, avec tripes qui pendouillent, et de tout, même les enfants sont pas épargnés)... Nous sommes dans le grand, dans le gros, dans le plus grand que soit.

David Farland s'amuse bien, et par la même occasion nous aussi.



La narration est fluide, visuelle, sans être indigeste niveau description, des chapitres courts, plusieurs points de vue, interne externe nous permettant d'être au coeur de l'action et de bien des personnages. La magie est là, paf dans ta gueule ! Enfin des mages qui font des trucs de mages (Yeah ! Ça fait plusieurs bouquin que je lis où y a des mages mais que franchement j'étais sur ma faim à ce niveau-là, là non pas du tout ! Yeah!).. Ouais magie de feu, d'eau, de terre.. Yeah !



Alors certes, nous sommes aussi un peu dans le cliché, surtout au niveau des persos, le héros Gaborn est le jeune gentil prince choupi... un peu bêta malgré ses runes d'intelligence et son séjour dans la maison de la compréhension, un peu big boss... (ou futur big boss.. le côté élu.. ça bon ouais c'est super cliché.. hou voilà l'élu !).

Pourtant même si les perso sont dans leurs clichés, Rois, Prince, Princesse, ami garde du corps, méchants, traîtres (ou futurs traîtres), magiciens, piétailles... et bien ils évoluent, doutent, changent (en bien ou en mal d'ailleurs) suivant les actions, le contexte et les autres... et ça c'est bien...



Ce premier tome amène plein de questions, tant au lecteur sur le monde, le système en place, les magies, les persos qu'au persos eux-même.. Et ça aussi c'est bien.

Il donne envie d'en savoir plus, d'en voir plus... car il reste bien des mystères, de prendre part à d'autres batailles (épiques de folie), de voir comment Gaborn va se dépatouiller avec tout ça...



Oui ce premier tome m'a donné envie de lire la suite... ça tombe bien j'ai le deux. ^^

J'enchaîne...



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Les Seigneurs des Runes, Tome 1 : La douleu..

Si je n'ai jamais lu la Roue du Temps, c'est parce que je préfère Matt à Rand. Matt est solaire, Rand est sinistre.

Si je suis péniblement venue à bout du Maître du Temps de Louise Cooper, c'est parce que le héros fascine malgré sa presque descente dans la folie et sa volonté de manipuler tous les plans de l'univers. Ce sont des mondes de fantasy rudes avec des héros torturés mais intéressants.

Mais ici... Jamais rien lu d'aussi mauvais... à part peut-être Hordes de Laurent Genefort ou Farlander de Col Buchanan ou encore La Voie de la Colère d'Antoine Rouaud. Ces livres font partie de la high fantasy qui ne résonne pas en moi. Et puis de toute façon, quand on commence à détester le héros principal... Dans ce livre, une grosse impression de fouillis et de ne se rattacher à rien. Mais pas dans le sens complexité cachée, hein. Dans le mauvais sens. Un immense gâchis d'encre et de papier. L'auteur devrait peut-être se payer Scrivener. Quand je pense que d'autres séries de fantasy ont été arrêtées sur la simple pression des fans, et non en raison de la qualité de l'écriture. Ça me dégoûte. Une étoile, parce que je suis généreuse.
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Les seigneurs des runes, Tome 4 : La salle ..

Le roi de la terre Gaborn se lance enfin dans la traque du Seul et Unique Maître, dans les mystérieux et dedalesques mondes du dessous, guidé par Averan. le monde est toujours en très grand danger, et le roi Andres clame qu'il est le nouveau roi de la terre...



La pression n'en finit pas dans ce volume, et nos multiples personnages évoluent et font preuve de sacrifices et d'héroïsme ! Je trouve toujours l'univers addictif, et vais sûrement continuer le second cycle de livres
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Les Entrailles du mal, tome 2 : Par le feu ..

Fin du 3ème volume de cette série de fantasy palpitante, et je ne suis pas à la moitié de la saga !



L’histoire est palpitante, les personnages toujours aussi recherchés et complexes, bien qu’un peu trop parfaits, l’univers est bien construit, je reste très fan ! Mais la situation, déjà désespérée, devient de page en page de plus en plus critique ; j’attends impatiemment de voir comment la situation va évoluer.
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