Diney Costeloe

Un roman qui vous accroche des les premières pages jusqu'aux dernières. L'horreur de l'antisémitisme et de la violence y est parfaitement dépeinte. Une petite famille juive , vivant en Allemagne puis en Autriche doit fuir, est séparée . Quand la survie des siens est la pire et la plus belle preuve d'amour. Aurions nous eu le courage des mêmes choix du même courage et du sacrifice ? C'est prenant, haletant et magnifiquement écrit . Je ne connaissais pas cette autrice , mais je vais très vite lire ses autres romans .

Un roman formidable jusqu'à la dernière page. Vraiment cette auteure est une révélation pour moi. Son style, les personnages, le contexte un sans fautes ! Vraiment aucune longueur, au contraire on a du mal à poser ce livre avant le dénouement. On y découvre l'Angleterre sous les bombes, les difficultés des réfugiés . L'amour, l'amitié , les rapports humains sont la pièce maîtresse de ce récit , on le savoure , on ne le lit pas ! Bref j'ai adoré

Voici une saga historique sur fond de deuxième guerre mondiale lue rapidement .

Le thème central met en avant des enfants envoyés dans un autre pays : une famille d’accueil car leurs propres parents ne pouvaient plus les protéger , dès novembre 1938.

C’est le cas de de Lisa , jeune allemande, dont la mère Marta , juive, le frère Simon aveugle, le père Franz , médecin , dénoncé , parti au chevet d’une patiente , se trouve déjà aux mains de la Gestapo ....



A seulement treize ans, Marta met sa fille dans le train.

Elle fuit l’Allemagne nazie avec d’autres enfants juifs appelés en Angleterre les « expats. » ..

Elle débarque à Londres ,ses maigres affaires entassées dans une petite valise.

Son bien le plus précieux est une photographie de famille, conservée comme une relique.

Elle se retrouve adoptée par oncle Dan et tante Naomi , un couple qui ne peut avoir d’enfants .

Pour elle , courageuse et déterminée , une nouvelle vie commence , sur fond d’incertitude quant à la survie des siens.

A force de patience et d’amour le couple réussit à apprivoiser la fillette, moquée , vilipendée par ses camarades , car Allemande.

Bonheur très bref car le Blitz conditionne la vie et le quotidien des Anglais.



Bombardements, alertes , raids aériens , fuite des habitants dans les abris—- précaires—— bataille dans les airs, immeubles effondrés , décombres, ,personnes ensevelies ou disparues , déclenchement des sirènes, toits et murs envolés , flamboiements d’incendies , ciel rouge, maisons instables , quartiers entiers détruits , blessés , victimes , rythment la vie de chaque jour .

La Luftwaffe sème la désolation: un vacarme constant et assourdissant,, une féroce bataille ....

Ces bombardements imprévisibles vont précipiter le destin de Lisa.



Pompiers et volontaires s’affairent : malgré cela elle est retrouvée blessée, amnésique dans les décombres.

Lorsqu'elle se réveille à l’hôpital elle ne se souvient de rien : «  Qui suis - je?

D’où viens - je ?

C’est devenu son obsession,...Elle parle autant anglais qu’allemand ? Pourquoi ?

Personne ne peut lui apporter de réponse ...

Elle se battra pour se reconstruire une nouvelle identité ...



Une véritable épopée qui retrace les aventures mouvementées de notre héroïne mais aussi celle des autres personnages du livre , tous, très intéressants , Harry , l’ami expat , un peu voyou qui fait de la prison, le pasteur et sa femme, Bill au grand cœur, l’oncle Nikolaus Becker, Miss Edie ( aigrie par la mort de son fiancé en août 1918) furieuse de recevoir Lisa - Charlotte ,une allemande , qui changera très vite d’attitude ...



Une histoire forte, mouvementée ,émouvante , pétrie d’émotions et de rebondissements , fort bien menée , le Blitz y est minutieusement décrit .

Un belle page d’histoire romancée , bien écrite , pleine d’espoir , agréable , à la fin heureuse., qu’on ne lâche pas.

Facile à lire , pour la période des vacances.

P320. J’ai failli arrêter.

Je n’en peux plus. Vous connaissez la formule : « toute la misère du monde sur les pieds de Roger Gicquel », comme disait l’ami Coluche. Et bien cette fois-ci, cette misère s’est déversée sur les pieds de Rita et Rosie, petites orphelines de père et abandonnées par leur mère, envoyées par un institut très charitable (!) londonien vers les terres australiennes où elles sont accueillies tout aussi charitablement (!) Là elles sont séparées et la la plus jeune est adoptée par un couple pédophile...

Au secours ! Après tous les malheurs qu’elles ont supportés, il fallait bien en rajouter encore un peu pour corser leur destin déjà si noir.



Je veux bien qu’on tire sur la corde sensible. Je veux bien croire que des destins soient noirs, difficiles, cruels. Mais cette accumulation de méchancetés gratuites (bien détaillées et appuyées par l’auteure qui ne loupe pas un châtiment) envers des enfants qui ne peuvent se défendre, c’est trop.



Heureusement p321, l’arrivée de la grand-mère et sa détermination à retrouver ses petites-filles vont permettre au lecteur de respirer un peu et tout va s’éclaircir.



Je voulais connaître le destin de ces petites car au départ cette histoire est basée sur des faits réels (envoi des enfants loin de leur terre natale, sans consentement aucun et sans préavis), mais la narration est ici pleine de faits sordides pour bien faire pleurer dans les chaumières et ça en devient lourd et glauque.



Bref, une lecture comme je ne les aime pas, que je vais m’empresser d’oublier et vite me tourner vers une autre plus subtile.

J’ai été happé par ce roman dès les premières pages. J’ai lu beaucoup de roman retraçant cette période de l’histoire mais j’ai été fortement ému par le récit de cette maman courage qui pour sauver ces enfants va traverser toute l’Allemagne et va devoir faire un choix compliqué pour que ses enfants survivent à cette horreur. L’auteure dans ce livre arrive à nous décrire toute la haine et la violence qu’on du subir les juifs pendant la nuit de cristal. On ne ressort pas indemne de cette lecture.

Un roman plein de tristesse mais qui se lit d'un bout à l'autre sans respirer tant on espère que les jours meilleurs arriveront... Ces deux soeurs encore très jeunes, tiraillées entre une mère sous l'emprise d'un homme violent et possessif, une grand-mère aimante et les services de placement dans une Angleterre des années 50, vont connaître le pire. Des personnages très méchants et des petites filles dont le destin est loin d'être rose.

Un roman qui passe du présent au passé, à la recherche de ce soldat inconnu.

J'ai eu un peu de mal avec le début et la fin, le côté romance. Par contre j'ai été happée par toute la partie passée, ces hommes qui se sont battus, ces femmes qui ce sont engagées pour aider.

J'ai beaucoup apprécié que le personnage clé soit celui auquel je ne m'attendais pas.

Très belle écriture, fluide, précise.

Dans les années 50, 2 sœurs de cinq et neuf ans sont abandonnées par leur mère veuve qui se remarie. Ce mari est violent et ne veut pas des petites filles.

C 'est un livre plein de tristesse, de rebondissement, d' amour de la grand mère (je ne dévoile rien de plus).

Comment survivre à ce déracinement, à ces méchancetés gratuites dans les orphelinats.

Très belle saga.

Diney Costeloe, Le soldat oublié - 2019 - ⭐️⭐️⭐️⭐️



Beau roman. Les premiers chapitres nous mettent en présence de beaucoup de personnages d’un village où un mémorial de frênes risque d’être détruit pour laisser place à une construction domiciliaire. Une journaliste enquête pour découvrir qu’elle est liée à ce mémorial par sa grand-mère. On finit par s’y retrouver puisque le roman met ensuite l’éclairage sur Sarah, Molly, Tom et les moments douloureux de la guerre. Malheureusement, on devine les tenants et les aboutissants des situations et cela enlève un peu d’intérêt à l’histoire pourtant bien écrite. Je ne regrette pas ma lecture, mais j’avoue avoir passé rapidement certains chapitres.

Un grosse dose d'Histoire avec des bombardements et un méchant Hitler, une louche d'amitié/d'amour et une pincée de déception et de désespoir …

Voici la bonne recette qui fait de ce livre : un bon livre …

Bon, je vous rassure ce livre ne parle pas cuisine, mais comme le décrit bien le résumé de l'éditeur, c'est l'histoire de Lisa que sa mère fait fuir de l'Allemagne nazie car sa mère est juive … Arrivée à Londres, elle est recueillie par un couple qui va devoir l'apprivoiser et lui apprendre l'anglais.

Alors que lisa est prise dans les bombardements, elle est retrouvée amnésique ….

S'ensuit alors son combat pour retrouver la mémoire, va-t-elle y arriver, va-t-elle pouvoir passer outre les réticences de certains…?

Je peux vous dire en tout cas qu'elle trouvera amitié éternelle et amour malgré de nombreuses difficultés et déceptions

Les enfants de l'exil est un roman émouvant et sans doute sincère, mais faible sur le plan littéraire. Si le trajet de cette mère courage et de ses enfants qui se retrouvent seuls et démunis après le drame du pogrom de Berlin appelé odieusement « La nuit de Cristal » par les nazis repose sur des bases documentaires solides, la psychologie des personnages est peu travaillée.

J'ai suivi avec intérêt le parcours proprement dit de Ruth, celui de son époux dans l'enfer de Dachau, son évasion et sa cavale désespérée, sans pour autant ressentir le traumatisme absolu provoqué par les destructions, les tueries, la barbarie, la diaspora.

Si l'on conçoit la prise de distance des adultes à des évènements incontrôlables pour garder la tête hors de l'eau s'ils veulent ne pas devenir fous et donner toute leurs chances à leurs enfants, si l'on conçoit la dislocation des familles à l'épreuve de situations impensables, si l'on peut concevoir le défaut de solidarité lorsque celle-ci devient un crime, l'écriture est trop fade pour transmettre l'atrocité des faits.

Il y a pourtant des points de départ, notamment avec le personnage de la petite Inge, enfermée dans sa terreur et devenue mutique, celui de Laura, qui grandit trop vite et prend sur ses épaules d'enfant le poids de la responsabilité d'aînée de la fratrie, le portrait des jumeaux enfermés dans leur bulle et qui ne peuvent reconnaître leur père, lorsque la famille se trouve, très brièvement, reconstituée.

Pour ces enfants, pour tous ceux qui ont vécu et vivent encore ces drames nés d'une idéologie fanatique, « Les enfants de l'exil » de Dyney Costeloe prend sa part de contribution honnête en évoquant un épisode moins connu de cette période de l'histoire. La partie non traitée est justement celle du titre du livre, l'exil forcé séparant, pour leur survie, les enfants de leur famille, avec ses conséquences, destins bouleversés, traumatismes, résilience parfois.

Garder sa vigilance et son esprit critique, tel est le legs des générations anciennes.

Un bon livre à lire que j'ai beaucoup apprécié. Il commence en 1939 en Allemagne nazie ou Lisa une enfant juive est envoyé par le dernier train des enfants en Angleterre, on lui trouve des parents adoptifs et elle apprend l'anglais, a une amie Hilda jusqu'au Blitz et là elle va se trouver sous un bombardement et elle perdra la mémoire mais grâce aux gens qui vont bien l'entourer et l'aimer elle va petit à petit retrouver cette mémoire et aussi ses parents adoptifs qui eux sont partis dans la campagne anglaise pour se protéger des bombes. Vous allez me dire que c'est cousu de fil blanc hé bien moi je dis non car il existe toujours de bonnes personnes. C'est un bon livre on ne s'endort pas sur les chapitres. Je vous souhaite autant de plaisir que moi j'ai pris à le lire.

Fille d'un éditeur londonien, Diney Costeloe écrit depuis toujours. Elle a publié de nombreux romans, des histoires de vies difficiles, mais pleines de promesses. Ses livres, notamment Les filles du bout du monde (publié chez City, en 2018), sont d'immenses succès.

La première de couverture promet un roman impossible à lâcher et c’est vrai ! Si vous aimez les histoires qui vous emportent et vous font tout oublier, vous ne pourrez que vous passionner pour ces Filles du bout du monde !

Ces deux fillettes seules au monde, perdues et brutalement séparées sont si attachantes, si courageuses et si déterminées à échapper à leur noir destin, que l’on n’a qu’une hâte : tourner toujours plus de pages pour savoir si leur horizon va enfin s’éclaircir ! Dans le chaos de l’immédiat après-guerre, entre l’Angleterre et la lointaine Australie, Rita et Rosie parviendront-elles à se retrouver ? Ensemble, pourront-elles échapper à la peur, la souffrance et la maltraitance et gagner enfin la liberté à laquelle elles aspirent ?

Avec Les filles du bout du monde, Diney Costeloe fait vibrer la corde sensible des lectrices et s’impose en véritable impératrice du roman d’évasion. Elle signe une saga, émouvante, pleine de suspense et de rebondissements, que les inconditionnelles de Jojo Moyes, Sarah Lark, Tamara McKinley, Kate Morton ou Leah Fleming vont adorer !
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Ce livre nous relate l'histoire de Lisa qui tout juste treize ans doit fuir l'Allemagne avec d'autres enfants juifs. Une fois à Londres avec sa valise et une photographie de famille, elle est adoptée par un couple qui réussi à l'apprivoiser. Sauf que les fameux bombardements commencent frappant la capitale britannique, elle va se retrouver abandonnée, quasi morte et une fois à l'hôpital sans aucuns souvenirs, elle va refaire sa vie sous une nouvelle identité en tentant d'échapper à la guerre.



Énorme coup de cœur pour ce livre, une plume d'auteure si addictive, des personnages si attachants surtout celui de Lisa. 



Vous aimez les romans historiques, la seconde guerre mondiale, ce livre est fait pour vous.
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J'ai apprécié l'histoire de ce roman, cette mère de famille prête à tout faire pour mettre ses enfants à l'abri de l'antisémitisme montant en Allemagne. On frémit à certains passages et on espère du début à la fin pour eux. Je regrette en revanche l'écriture plutôt terne, j'ai trouvé ça très monotone, et surtout la fin qui m'a laissé sur ma faim, après tout ça j'aurais aimé en savoir plus...

Bonjour mes amis

Je viens de terminer Les enfants de Sainte-Croix, de Diney Costeloe, et à ma grande surprise je me suis aperçue que c'était la suite du soldat oublié, lu et chroniqué récemment !

Je retrouve avec plaisir Sarah, jeune femme anglaise, qui lors de la première guerre mondiale, s'était engagée comme infirmière, en France !

Nous la retrouvons, mère supérieure, mère Marie-Pierre, qui se retouve confrontée de nouveaux, à la seconde guerre mondiale, à croire que nous n'apprenons jamais de nos erreurs, et l'Histoire recommence !

Entre temps, Adélaîde, apprend le jour de ses 21 ans, que son père n'est autre que son beau père, et que son vrai père Freddie, mort à la guerre, français, qu'elle parle très facilement, est un choc pour elle !

Adélaïde, décide de se rendre en France, connaitre sa famille française, et la soeur de son père, Sarah !

Les deux femmes, s'entendent à merveille, et un lien se tisse entre elles !

Adélaïde, embauchée par Londres, pour espionner les allemands, avec sa tante vont tout faire et cela malgré les SS, dont le colonel Hoch, glacial et froid, pour sauver les enfants juifs réfugiés au couvent, à leur risques et périls !

Comme toujours en temps de guerre, il y a toujours, des dénonciations, et même parmi les religieuses, la jalousie et une façon non chrétienne, voient le jour ! Elles sont humaines malgré tout, me direz vous !

Mais le courage et vaincre le mal, coûte que coûte, ont permis à des centaines d'enfants juifs, à se sauver de la machinerie allemande !

J'adore cet auteur, sa plume et sa façon de raconter ses romans, d'une façon très humaines, ses personnages sont très attachants.

J'ai lu tous ses livres et jamais déçue,

Je mets 5 étoiles

Votre Martine
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Bonjour mes amis,

Je viens de terminer un super roman historique, Le soldat oublié de Diney Costeloe, auteur que je connais pour avoir lu ses nombreux livres, jamais déçue.

De nos jours, Rachel, jeune journaliste, écoute lors d'une réunion un promoteur qui veut raser un bosquet de frênes, pour construire des villas, au grand dam de Cécily Strong qui explique que c'est un mémorial, que ce bosquet a été planté il y a 80 ans, en 1921, à la mémoire de nos jeunes morts pour le roi, dont un pour sonr frère.

Tout cela se passe dans un petit village en Angleterre, Rachel se fait un point

d'honneur, de préserver ce lieu de mémoire.

En 1921 huit petits arbres sont plantés mais une nuit en secret un neuvième arbre s'est rajouté, qui l'a planté ? Pour quel soldat ?

Ce livre est intense et émouvant qui explore le thème de la guerre, de la camaraderie, de la culpabilité et de la survie

Ces soldats de la grande guerre . qui ceux sont battus dans les tranchées et qui ont vécus les horreurs de la guerre méritent qu'on ne les oublie pas.

Quel roman historique, et quel talent a l'auteur !

Je vous le conseille fortement, vous qui aimez l'histoire.

Je mets 5 étoiles

Votre Martine

Je viens de le finir et je peux vous le dire il est très bien écrit et surtout il décrit bien cette ambiance ou le nazisme faisait la loi. Les juifs étaient les cibles des jeunesses hitlériennes et c'était à celui qui faisait le plus de mal et qui rabaissait le plus les juifs, ceux qui avait le plus de haine, toujours à brimer les gens que ils soient riches ou pauvres sauf que quelquefois les riches pouvaient quitter l'Allemagne. En fait cette histoire nous montre comment les nazis préparaient la solution finale car ils avaient déjà cela dans leur tête mais elle ne sera mise à exécution que à la conférence de Wannsee en 1942 ou l'on passera à l'exécution à grande échelle. N'oublions surtout pas et prions pour que cela ne se reproduise jamais. Jamais oublier !!!

Une étoile 1/2 de justesse parce que le sujet est louable et qu' il est nécessaire de ne pas oublier.

Mais pas à n'importe quel prix. Ici c'est caricatural, comme si l'auteure avait pioché dans une boite et sorti tous les clichés possibles pour remplir les pages.

J'ai été déconcertée par la facilité dont elle se contente pour retracer l'enfer de cette période.

A tel point que j'avais l'impression de lire un exposé d'un lycéen, féru d'histoire sur la seconde guerre mondiale et du sort réservé aux juifs.

Le rythme est lent, fade, laborieux et pas addictif du tout.

Ni captivée, ni tenue en haleine, bien au contraire, beaucoup de détails inutiles et répétitifs.

Je tournais les pages péniblement en espérant qu'un déclic se produise, mais non.

De plus, en l'absence de psychologie fine et développée des personnages, ils ne sont traités ici qu'en surface, aucun n'est attachant.

Que ce récit manque de relief et pourtant comme le prouve l'ultime page 344 sur le kindertransport, il y avait matière à faire un ouvrage de qualité.

Rendez vous totalement manqué pour ma part.

Je venais de terminer (quelle différence!) le remarquable ouvrage de Viola Ardone " le train des enfants" qui est une véritable pépite sur le même sujet et que je recommande vivement et sans la moindre hésitation.

Il y avait un petit moment que je n'avais pas lu de roman sur la seconde guerre mondiale .

Ne vous arrêtez pas à la 4e de couverture qui en dit soit beaucoup trop, soit pas assez.

J'ai trouvé ce résumé peu clair et peut embrouiller le lecteur.

De cette lecture je garde le souvenir d'une aventure forte et aux nombreux rebondissements.

Jeune allemande juive, Lisa va se retrouver seule en Angleterre et sera accueillie par un couple anglais qui ne peut pas avoir d’enfant, ce n'est que la première étape de ses périples.

Une nouvelle vie s'ouvre à elle, loin des siens, loin des nazis, mais avec cette incertitude quant à la survie de ses proches restés en Allemagne.

Elle va vite réaliser que la guerre se rapproche et n’est pas prête de s’arrêter.

Dans ce roman, la seconde guerre mondiale est largement évoquée, vécu cette fois du coté londonien.

J'ai appris ce qu'était le terrible "Blitz", cette période de bombardements allemands qui détruira la majeure partie Est de Londres.

C’est à cette guerre que va être confrontée Lisa, avec des bombardements imprévisibles et l'obligation de se réfugier dans des abris, l'obligation de travailler dans un centre d'accueil pour enfants pour survivre, l'obligation de s'exiler loin de la capitale et ainsi rencontrer d'autres personnes.

Ce livre est une grande épopée, qui relate le quotidien des protagonistes.

J’ai apprécié les aventures, les peurs, les amours de Lisa et ceux des autres personnages.

Je me suis beaucoup attachée à cette petite fille qui en

sortira grandie et deviendra une belle personne ayant échappée au pire.

En refermant cet opus, je sais aujourd'hui que Lisa continuera de m'accompagner longtemps.

"La fille qui n'avait pas de nom" est une lecture forte et intense.



550 pages fortes, mouvementées, pleine d’émotions à travers le "Blitz" ou se mêle la vie pleine de rebondissements de Lisa qui va devoir se réfugier pour survivre.


Lien : https://catbouquinade.wixsit..