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Citations de Edgar Kosma (45)


..., je me laisse glisser toujours plus bas et tends le bras vers un paquet de chips déchiré sur la table basse, sans oublier d’attraper, au passage, la télécommande de la TV, il faut être opportuniste, comme disait mon père, même dans la fainéantise, ajouterais-je, paix à son âme.
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Accompagner Phileas Fogg, Passepartout et Mademoiselle Aouda dans ces contrées inconnues me procurait une sensation de liberté indescriptible. Peu
m'importait le livre, l'auteur, le héros, l'époque ou le lieu. Un jour, j'étais perdu en mer avec un vieil homme et un espadon, le lendemain, voyageant dans un train avec un détective, plus tard, naufragé sur une île avec des indigènes… Avec eux, je me sentais libre. Peut-être plus que je ne l'avais jamais été.
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On ne nous place pas ici pour ça mais personne n'a les moyens de nous empêcher de rêver. C'est notre ultime liberté. Alors, on ferme les yeux. Et on attend que ça vienne.
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Ils se retournent et s'en vont rejoindre leur quotidien : sa vie pour l'une, la mort pour l'autre.
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Mourir, c'est ma dernière liberté...
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Un contact tactile entre une de ses phalanges et le bouton d'alimentation provoque l'illumination de l'écran; du centre vers sa périphérie.
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C'est un instant durant lequel l'éveil laisse peu à peu sa place su sommeil.
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Si - un - on considère un livre comme un ensemble de mots et que - deux - on connaît l'ensemble de ces mots - trois - il n'y a aucune raison valable que nous ne soyons pas capables d'écrire ce même livre. Après, ce n'est qu'une question d'ordre et d'assemblage.
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Entre l'instant où il a éprouvé le besoin de connaître l'heure et celui où il la découvre, la trotteuse a déjà pivoté de quelques millimètres sur le cadran et, lorsqu'il constate qu'il est presque treize heures et trentes minutes, un "Déjà!" sort de ses orifices naso-buccaux.
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Cette durée se mesure, de manière relativement précise, à l'élargissement considérable de l'angle formé par les déjections photoniques du soleil sur le sol.
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Après avoir repoussé un paquet de cigarettes sans y avoir pioché quoi que ce soit, bu deux cafés décaféinés et mangé quatre tranches de pain aux six céréales, il se lève, range la table, s'abaisse, accomplit huit pompes, se relève, respire profondément, effectue seize pas, ouvre la porte qui délimite le territoire de son bureau, et y pénètre.
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Une question n'a nul besoin de réponse pour exister.
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L'intensité de ces brefs effleurements annihilait toute distinction entre le léger et le sérieux, mettait tout entre parenthèses. Même et surtout le temps.
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... la puissance de la banalité triomphait et la banalité menait au silence.
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Car le hasard ne connaît pas le temps et a la prétention, que personne ne lui revendique, de pouvoir frapper quand bon lui semble.
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Imperceptible transversalité des générations : si, d'un point de vue horizontal, chaque être humain fait partie de l'humanité, d'un point de vue vertical, l'humanité fait partie de chaque homme.
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Cela signifie aussi qu'il vit perpétuellement face au choix suivant : se séparer de son existence au moment où il le décide ou attendre que la mort vienne l'en déposséder au moment qu'elle trouvera opportun.
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Mais pourquoi l'autorisé-je à prendre son temps ? Plutôt que de m'en aller, vu mais inconnu, je retire ma veste, m'assois dans le divan et sifflote le premier air qui me passe par la tête. Je fais souvent ça quand je suis mal à l'aise. C'est plus fort que moi.
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« Quelle journée de merde ! », m'exclame-je, à voix haute, comme si un petit être immatériel pouvait m'entendre. S'il existait, encore faudrait-il qu'il soit doté de petites oreilles immatérielles, que ces petites oreilles immatérielles soient en bon état de fonctionnement, qu'il écoute et que ça l'intéresse. Pas gagné, donc.
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J'en suis à me badigeonner les joues de mousse à raser, tout en chantonnant un passage aléatoire du Bal masqué de la Compagnie créole, et tandis que j'en suis presque à « Napoléon », on sonne à la porte. « Merde ! », me dis-je, en lieu et place de « Bécassine ».
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