Eiko Kadono

Une lecture doudou une fois encore avec ce tome où l'on retrouve la jeune Kiki durant sa deuxième à Koriki. Les interrogations sont légion dans ces aventures, sur sa légitimité en tant que sorcière, sur ce qu'est d'être une bonne sorcière. Son balai fait des siennes et Jiji s'émancipe. Elle se sent parfois très seule mais peut toujours compter sur de nombreux compliments et sur le soutien indéfectible de sa famille et ses amis.

Ca se lit toujours aussi bien. Chaque aventure nous fait peu à peu rentrer dans la personnalité de cette jeune sorcière en pleine construction d'elle même. Un tome plus mature que le précédent mais tout aussi frais et enjoué. J'ai hâte de voir la suite pour découvrir la petite Kiki dans l'apprentissage de ses nouveaux talents.

Une série que je conseille aux amateurs de sorcellerie sans baguette ni sorts, tout en douceur et en accord avec la nature.

Avec Kiki la petite sorcière, nous sommes en pleine littérature jeunesse : des phrases simples, une narration linéaire (1 chapitre = 1 aventure et souvent 1 nouvelle rencontre), un vocabulaire peu riche, des thèmes abordés avec douceur et bienveillance, un récit porteur d'une morale. Toutes les “aventures” que traverse Kiki lui apportent quelque chose, il y a toujours une leçon à en tirer.



Notre jeune sorcière est attachante, elle veut bien faire et fait au mieux. Elle se donne d'ailleurs beaucoup de mal pour mener à bien ses missions de livraisons ! Et ce n'est pas toujours évident car les habitants attendent beaucoup d'elle, puisque c'est une sorcière ! Ainsi, elle se lance dans des livraisons quelquefois improbables, invraisemblables… et qui portent à sourire. Mais voilà, Kiki grandit et elle se met à douter, elle se pose des questions. Être une sorcière coursière ne lui suffit plus, savoir voler sur un balai ne lui suffit plus non plus. Est-ce qu'être une sorcière se résume à cela ? Non, Kiki veut être utile, elle souhaite apporter du bonheur et du réconfort autour d'elle. Elle veut avoir ce pouvoir là.



Finalement, ce tome 2 me donne l'envie de continuer à lire les aventures de Kiki et de découvrir la suite de son parcours… C'est une lecture à laquelle on prend goût et que l'on peut qualifier de lecture “doudou”, parfaite pour passer un automne cocooning. le récit est sans prise de tête, on se laisse porter… C'est mignon, tout doux, agréable, drôle et attendrissant à la fois.



Challenge Multi-Défis 2023

Challenge ABC 2023-2024

Parenthèse nostalgie d’une de mes œuvres préférées d’Hayao Miyazaki à travers l'œuvre d’origine!

L’histoire de la petite sorcière Kiki est tout aussi magique et pleine de douceur et de poésie que son héroïne. On est totalement aspiré par l’écriture d’Eiko Kadono au point de parfois être un témoin direct de l’action, comme si, d’un claquement de doigts, un balai allait apparaître pour accompagner la jeune enfant dans ses livraisons en ville.

Le style est très simple sans être trop épuré, laissant encore un peu de place à la créativité tout en la guidant tout de même. Le vocabulaire s’adapte à un très large public et plonge dans une lecture de détente, d’aventure tout en douceur et de bonne humeur.

Le personnage de Kiki, comme le dessin animé, est adorable, plein de courage et de volonté. Un véritable petit exemple du haut de ses 13 ans. Bien sûr, on ne peut qu’apprécier pour le moment Jiji, une boule de poil très semblable à sa maîtresse et Madame Osono, un véritable soutien dès le début à la jeune fille.

L’ensemble est très cohérent, j’ai vraiment apprécié pouvoir faire la comparaison, pour une fois, entre l’oeuvre originale et ce que l’animation en a donné comme image.

J’aspire déjà à lire le tome 2!

J'adore les sorcières. J'adore le studio Ghibli. Et j'avais bien aimé le film éponyme Kiki la petite sorcière, même si la fin ouverte m'avait quelque peu déçue (comme un goût d'inachevé ou de trop peu…).



Du coup, je me suis dis qu'avec les beaux romans édités par Ynnis, c'était là l'occasion de combler ce manque et de retrouver l'univers de cette adorable petite sorcière.



Pas de grande surprise, le film est assez fidèle au livre, du moins en ce qui concerne la première partie : l'on y retrouve les mêmes personnages et, dans les grandes lignes, les mêmes événements. Dans ma représentation, j'ai bien évidemment été largement influencée par l'oeuvre animée et ce sont les personnages d'Hayao Miyazaki qui ont pris vie dans mon esprit. Puis le récit suit son cours. Dans ce 1er tome, nous accompagnons Kiki, et son chat Jiji, durant toute son année d'apprentissage, loin de sa famille. Elle s'installe dans une nouvelle ville, développe son petit service de livraison express et se fait des amis. C'est mignon, c'est doux.



Tout comme la trilogie des Châteaux de Diana Wynne Jones (dont le 1er tome a inspiré le Château ambulant), on est ici plongé en pleine littérature jeunesse. C'est agréable et facile à lire, l'écriture ne s'encombre pas de longues descriptions et l'accent est mis sur l'essentiel. Un récit fluide, sans prise de tête donc.



Ce qui m'a un peu ennuyée, c'est cet aspect trop “nouvelles”. Un chapitre = une aventure. J'ai eu l'impression de lire une suite de petites histoires, sans réels liens entre elles si ce n'est le fil conducteur global…



J'ai le tome 2 qui m'attend sagement, mais je ne sais pas si je lirais tous les tomes de la saga, il y en a tout de même 6 ! A voir, si le prochain me captive plus…



Challenge Multi-Défis 2022

Challenge ABC 2022-2023

Il est temps de retrouver Kiki la sorcière coursière !



Avant dernier tome d'une série littéraire pleine de douceur et d'air frais, "Le pouvoir suspendu" est LE tome du passage à l'âge adulte. Que ce soit pour Kiki, Jiji ou Tombo, c'est un véritable tournant qui de traduit autant dans les péripéties que dans la structure du récit.



Eiko Kadono nous le montre avec subtilité, à travers les lettres de Tombo (à chaque chapitre), la transformation du langage de Jiji pour paraître plus "adulte" ou même les aspirations de Kiki pour l'avenir, les différents personnes qu'elle inspire. Tant de choses qui donne lieu à des rencontres et livraisons toutes plus drôles et rafraîchissantes les unes que les autres.



Un avant-dernier tome riche, beau et revigorant qui, dans son épilogue, nous surprend et amplifi notre impatience à découvrir le prochain et dernier volume de cette formidable série.
Lien : https://www.instagram.com/p/..

L'apprentissage d'une sorcière



J’ai une tendresse toute particulière pour Kiki la petite sorcière. C’est l’un des films d’animation des studios Ghibli que nous regardons souvent à la maison. J’ai donc été ravie de découvrir le roman qui a inspiré Hayao Miyazaki.



Kiki, comme sa mère, est une sorcière. Et comme toutes les sorcières, à l’âge de 13 ans, Kiki doit quitter la maison familiale et faire son apprentissage, seule, dans un nouvel endroit. Kiki enfourche son balai et part à l’aventure, en direction d’une ville qui aurait besoin des services d’une sorcière. Mais sera-t-elle vraiment bien accueillie ? Kiki et son chat Jiji vont devoir se faire une place au milieu d’habitants victimes de leurs préjugés…



Je pense que l’adaptation des studios Ghibli a totalement influencé ma lecture. Tout au long des pages, j’ai imaginé cette petite brune, son gros ruban rouge et son balai. Or, dans le roman, il n’est par exemple jamais question de ruban rouge. Mais j’ai eu l’impression d’en découvrir plus sur cette petite sorcière dans le roman, comme un bonus du film.

Forcément, j’ai adoré !

Kiki est terriblement attachante. Elle fait d’innombrables découvertes durant cette première année, sur elle-même, sur la nature humaine, sur l’amour et l’amitié…

Quant à Jiji... Nous sommes totalement sous le charme à la maison ! Ce chat est craquant à souhait !



Petit roman d'apprentissage, celui d'une sorcière mais qui n'est finalement pas si différente des autres ados de son âge, plein de magie et de tendresse. C'est plein de bons sentiments et ça fait du bien en cette période. C'est doux et chaud comme le chocolat bu sous le plaid.



Kiki la petite sorcière est un adorable roman jeunesse dont j’ai hâte de découvrir la suite.



À découvrir dès 10 ans.
Lien : https://demoisellesdechatill..

C’est un bonheur de voir grandir Kiki la petite sorcière au fil des pages et des tomes de la série. Si elles abordent les thèmes de la magie et du merveilleux, les histoires d’Eiko Kadoko forment avant tout un grand roman d’apprentissage qui brasse les thèmes de l’amitié, de l’amour et de la confiance en soi. L’imagination de l’auteur est fertile et farfelue, mais au service d’un projet.

J’apprécie beaucoup cette écriture tout en dentelle : elle dresse ainsi un portrait très humain de sa petite sorcière ! Kiki a parfois des réactions étonnantes puis l’on comprend qu’elle a peur des mouvements de son cœur. L’auteur tisse savamment des intrigues, en douceur, et nous cueille à la fin du livre après nous avoir fait ressentir avec elle inquiétude, mélancolie, jalousie et espoir.

Dans ce nouveau volume, qui est mon préféré des trois publiés jusqu’à présent, on rencontre une nouvelle venue, l’étrange Kéké, mais on retrouve l’attachant chat noir Jiji, le distrait et timide Tombo, un jeune homme auquel Kiki s’attache de plus en plus !

Empreint de poésie et de fantaisie, ce récit initiatique conduit notre adolescente aux portes de l’âge adulte avec beaucoup de sensibilité, mais sans sensiblerie.

J’espère que les éditions Ynnis ont le projet de traduire la suite de la série ! Leur initiative répare un grand vide dans la littérature jeunesse (même si la série ne s’adresse pas qu’aux enfants) et je trouve les couvertures de toute beauté.

Cela fait désormais 6 ans que Kiki a lancé son service de livraison à Koriko. L'enfant qui venait de quitter son nid devient peu à peu une jeune femme qui a encore du mal à y voir clair dans ces sentiments. Grâce aux rencontres qu'elle va faire sur sa route elle comprendra peu à peu ce qu'elle ressent, elle finira par comprendre ce qu'elle souhaite réellement, trouvera-t-elle le bonheur au bout du chemin? C'est tout ce que je lui souhaite.

Ce tome est tout aussi magique que les autres, c'est encore une fois un plaisir de retrouver ce bel univers.

Il me tarde désormais de découvrir le 6ème et dernier tome qui va se dérouler plusieurs années après celui-ci, Kiki aura alors peut-être appris à être moins impulsive ;)

Roman jeunesse qui me change de mes lectures habituelles et donc "avalé" très vite.

L’été est sur le point de commencer et Kiki ne se réjouit que d’une chose : le retour de Tombo. Pourtant, elle ne tarde pas à recevoir une lettre lui annonçant qu’il ne viendrait pas, trop occupé à escalader la montagne Parapluie. Pire, la jeune sorcière se retrouve à devoir garder Yaa, le frère turbulent d’une amie. Alors qu’elle l’observe s’amuser avec d’autres enfants, il disparaît soudain sous ses yeux, transporté dans un « étrange pays », où les adultes doivent se rendre seuls…

Tombée sur ce livre par hasard, j'ai donc commencé par ce Tome 4, mais je me procurerai les autres pour divertir les enfants qui m'entourent.

Le texte est aéré, l'écriture très plaisante et bien entendu, l'humour est au rendez-vous. Cette petite Kiki est adorable, on tombe vite sous le charme.

Après le bien-être ressenti en lisant le 1er tome, je n'ai pu m'empêcher de dévorer sa suite. Enchaînant direct avec la fin, on retrouve Kiki et Jiji sur leur balais, de retour à Koriko pour de nouvelles livraisons.



Toujours aussi enchanteur, "Les racines de la magie" nous montre une Kiki plus volontaire et compétante. Les livraisons s'enchaînent avec simplicité et offrent toujours des moments d'évasions bienvenus.



Jiji est toujours aussi drôle, vaniteux, et ses échanges avec Kiki sont un délice. On explore plus le monde des sorcières, à l'image de Kiki qui se découvre une ambition et curiosité accrue.



Cette maturité croissante donne de plus en plus de charme à ce monde et c'est avec enthousiasme que je vais me jeter sur le prochain tome !
Lien : https://www.instagram.com/p/..

Tradition oblige, afin de passer un bon réveillon et célébrer les fêtes dans la bonne humeur, parlons d'un conte qui nous donnera le sourire.



Dernier tome des aventures de la sorcière coursière, "Le Grand Départ" marque la fin d'une histoire mais surtout la fin d'un cycle. Kiki n'est plus une femme en devenir mais bel et bien une adulte, une mère. Elle est confrontée aux angoisses qu'à connu la sienne mais aussi aux choix de ses enfants, désireux ou non de suivre ses traces.



C'est également le roman de la fougueuse Nini et du rêveur Toto. Plus que celui de leur mère, cet ultime tome est celui des enfants, de son héritage et de la nouvelle génération pleine rêve, d'aspiration et parfois déception. C'est une belle passation de relais, un aperçu de l'avenir toujours si beau et bienveillant.



Avec "Kiki la petite sorcière : le grand départ", Yoko Kadono clôture parfaitement ce cycle réjouissant et revigorant ! Une belle lecture, à l'image toute cette saga.
Lien : https://www.instagram.com/p/..

Livre proposé pour le défi babelio junior 20212022. C'est l'histoire touchante d'une petite sorcière qui a atteint l'âge fatidique de 13 ans, pour les sorcières, cet âge signifie qu'il est temps de "voler de ses propres ailes". Notre petite Kiki rêve de s'installer dans une grande ville accompagné de son petit chat, et c'est alors qu'elle va installer ses quartiers dans une grande ville. Elle doit pouvoir vivre et survivre en proposant ses services aux humains... Quel pouvoir mettre au service de tous ? Kiki est douée pour voler sur son balais, elle va devenir coursière. Et elle va vivre des aventures rocambolesques. Les humains vont-ils lui faire confiance ? Et vous ? Feriez vous confiance à une si jeune sorcière ?

Kiki la petite sorcière

Eiko KADONO



J’ai beaucoup aimé ce livre racontant le quotidien d’une petite sorcière.

Je l’ai aimé car, à chaque aventure que vivait Kiki, il y avait quelque chose à retenir.

Même si quelques accidents lui barraient la route pour ses livraisons, elle trouvait toujours des solutions tout aussi farfelus les unes que les autres.

Diane

Ce livre est un véritable déferlement de mignonnerie ! On craque pour l’histoire toute simple et très humaine dans ses aspects fantastiques, de cette petite sorcière qui doit partir de chez ses parents pour construire sa vie dans une autre ville ou village, en compagnie de son compagnon-chat avec qui elle a grandi. Ses petites aventures dans sa nouvelle ville non loin de la mer sont savoureuses dans leur simplicité, pleines de réalités quotidiennes traitées avec délicatesse et trouvant toujours une solution, et de petits bonheurs qui en résultent. Le synopsis prête d’ailleurs à confusion, car le point central n’est certainement pas le « voyage d’apprentissage », mais la découverte et la mise en place de sa nouvelle vie de sorcière d’une ville qui n’en avait pas encore, et qui découvre peu à peu de nouvelles amitiés, transformant au fil des jours la méfiance spontanée qu’elle peut susciter, en véritable acceptation de cette petite fille pas tout à fait ordinaire.



Ce qui me pose un peu question, c’est l’âge – autant celui de la petite sorcière, que celui auquel s’adresse ce livre tout mignon. Treize ans, c’est quand même très jeune pour partir vivre sa vie loin de ses parents, mais soit : c’est ainsi dans ce monde où vivent des sorcières, certes de plus en plus rares, alors on l’accepte. Sauf que, pour moi, Kiki ne « fait » pas (du tout) ses 13 ans, ou alors les petites Japonaises ne sont pas aussi délurées que nos jeunes filles Européennes. C’est que, malgré le fait précité de prendre son indépendance à cet âge (ce qui est évidemment très improbable dans notre société normale), Kiki est encore très enfantine, avec une bonne dose d’innocence et de candeur, notamment quand elle doit transmettre le cadeau et la missive d’une jeune fille de son âge à un garçon… Ici, ma fille faisait déjà des petits cadeaux et les yeux doux à un gamin de sa classe à 10-11 ans, le temps d’une Saint-Valentin et c’était aussi en toute innocence, mais il n’y avait pas tout ce questionnement un peu naïf tout autour ! Et ce n'est qu'un exemple, le plus frappant. Dès lors, je pense que ce livre ne s’adresse pas à de jeunes ados, alors qu’on serait spontanément tenté (en tout cas je l’étais) de faire coïncider l’âge de l’héroïne à celui de ses lecteurs. De façon évidente, il est destiné à des plus jeunes… qui commencent peut-être à se poser ce type de questions (ou pas, en fait), mais sans avoir les « clés » que croit avoir un pré-ado, et qui pour leur part trouveront normal qu’un enfant de 13 ans s’envole vivre sa vie puisque « c’est vieux » de toute façon, dans les yeux d’un 6-ans par exemple !



Mais alors surgit un autre problème, à mes yeux, sauf que ce dernier ne concerne pas l’histoire en tant que telle, mais la présentation qu’en a faite l’éditeur. D’abord, la couverture est tout mignonne, avec cette petite sorcière qui surgit au clair de lune sur un fond bleu nuit sombre-mais-pas-trop… hélas elle n’est pas fidèle, il manque la fameuse petite radio rouge, qui a quand même son importance ! Mais surtout, il n’y a absolument aucune illustration à l’intérieur des pages : pas de dessins qui illustreraient tel ou tel chapitre (pourtant l’histoire s’y prête à 200% !), même pas une mini-sorcière avec son mini-chat voletant de page en page. Pour un livre jeunesse destiné à de jeunes / nouveaux lecteurs (vu ce que j’écrivais précédemment, je dirais 6-10 ans), proposer une briquette de plus de 200 pages sans le moindre dessin quel qu’il soit, c’est tout bonnement ahurissant… et très certainement rédhibitoire pour mon fils de 8 ans par exemple : c’est la première chose qu’il « vérifie » quand je lui propose l’un ou l’autre livre d’une certaine épaisseur, ou d’un autre format qu’une BD. Dommage, car ce défaut d’édition risque bien d’éloigner la cible réelle de cette si jolie histoire et, pour ma part, ça joue aussi sur la note un peu basse que je donne, car quoi qu’on en dise, « l’emballage » de l’histoire a son importance aussi dans le produit fini qu’est un livre.

Kiki, fille d'une sorcière et d'un humain, a choisi de suivre la voie de sa mère et devenir elle aussi une sorcière. Pour cela elle doit quitter sa famille et trouver l'endroit où elle pourra se rendre utile. Si Kiki a envie de grande ville, de mer pour changer de l'endroit où elle a grandi, elle va vite se rendre compte que ce n'est pas forcément facile de s'intégrer. Surtout quand on est une sorcière, accompagnée d'un chat noir, et qui se déplace en balais !

J'ouvrais le roman à reculons, et au final c'est une très belle surprise. La succession de chapitres, d'aventures de Kiki, nous emmènent dans son univers et on s'y pelotonne. Je suis sûre qu'il plaira à nos élèves, à mi-chemin entre l'aventure et le conte.

Le quatrième volume de la série "Kiki la petite sorcière", qui a inspiré Hayao Miyazaki pour son célèbre chef d'oeuvre d'animation, est une merveille de poésie et d'humanité.

Avec subtilité, Eiko Kadono parle du sentiment de magie, de la beauté de la nature, mais surtout de cette période d'apprentissage qu'est l'adolescence.

Cerise sur le gâteau, les couvertures sont de toute beauté !

S'il y un film d'animation japonais qui me met toujours de bonne humeur et du baume au coeur, c'est bien "Kiki la petite sorcière". du coup, je n'ai pu résister à l'envie de découvrir les romans dont il est adapté !



Et quel plaisir j'ai eu à lire se livre ! le tome 1 couvre la première année de Kiki en tant que sorcière de Koriko. On s'attache tellement vite à la petite sorcière et Jiji. Ce duo est juste touchant et tellement drôle.



La structure est vraiment simple, avec grosso modo une livraison par chapitre, mais pourtant il y a quelque chose de magique dans chacun d'eux, dans chaques rencontres et événements. L'écriture de Eiko Kadono est fluide, enchanteresse, à l'image de son héroïne.



"Kiki la petite sorcière" est un livre qui fait du bien, une lecture rapide que l'on dévore le sourire aux lèvres.
Lien : https://www.instagram.com/p/..

Kiki a bien grandi et du haut de ses 16 ans, elle apprend encore plein de choses dont de nouveau sentiment.

J’ai trouvé que ce tome montrait un côté un peu plus sombre et colérique de Kiki comme s' il voulait exprimer une crise d’adolescence sans rentrer dans les clichés. Le récit est pourtant une belle continuité dans la série et apporte pas mal d’éléments, mine de rien, pour le tome 4.

Niveau texte, rien ne change, le vocabulaire est toujours aussi riche et adapté à un jeune public. La traduction est toujours d’aussi bonne qualité et les tournures de phrases sont bien équilibrées.

Niveau personnage, j’ai trouvé que Kiki gagnait beaucoup avec l'arrivée de cet étrange personnage quasi au centre de ces préoccupations niveau personnalité et psychologie. Pour les autres, pas de grands changements malheureusement mais le personnage mystère qui fait son entrée compense largement celà.

J’ai vraiment hâte de voir à quel sujet s’attaquera le tome 4 surtout vu la fin de ce tome-ci.

Tout le monde connait Kiki, la petite sorcière grâce au film d’animation japonaise de grand Hayao Miyazaki… Oui je voue un culte à Miyazaki et je l’assume 😀 Donc, le film date de 1989 mais a connu une sortie ultra tardive en France puisqu’il est sorti qu’en 2004, après le gros carton du Voyage de Chihiro et avant celui du Château Ambulant (j’y reviendrai sur celui-ci mais plus tard). Et donc, le film est adapté du roman jeunesse de Eiko Kadono qui se titre *roulement de tambour* Kiki la Petite Sorcière, inédit en France jusqu’à l’année dernière. La maison d’édition Ynnis propose enfin cette série composée de 6 livres, actuellement 3 sont sortis. Je tiens aussi à préciser que l’autrice a reçu, en 2018, le prix Hans-Christian-Andersen pour sa contribution durable à la littérature pour enfants 🙂



En tant que grande admiratrice de Hayao Miyazaki et des studio Ghibli, j’ai été absolument ravie de voir arriver dans nos contrées le roman Kiki la Petite Sorcière. J’aime beaucoup le film, même s’il ne fait pas partie de mon top 3 😛 En général, je n’aime pas trop lire les livres après avoir vu l’adaptation, j’ai du mal à me détacher des choix scénaristiques et graphiques du réalisateur. Mais bon, les probabilités d’avoir pu lire Kiki la Petite Sorcière avant de voir le film était proche du néant, puisque le roman est sortie en 1985 au Japon et que la littérature enfant et jeunesse dans les années 80 en France, ben, je ne peux pas dire que cela m’ait laissé un souvenir impérissable 😆



Tout le monde connaît l’histoire de Kiki qui comme toutes les sorcières âgées de 13 ans doit quitter le domicile familiale pour s’installer et s’émanciper. Le film est très fidèle au roman, il est évident que le livre va plus loin, il y a eu des coupes scénaristiques et c’était prévisible. Le passage de l’enfance à l’âge adulte est mieux développé dans le livre et j’ai appris des choses sur Jiji qui n’étaient absolument pas évoqué dans le film et je trouve ça un peu dommage car lui aussi fait parti à part entière de l’émancipation de Kiki.



Kiki est une personnage attachant, hésitante au début, elle cherche sa voix et au fil des pages, elle s’affirme tout doucement pour mon plus grand plaisir. Le livre couvre l’année de son apprentissage, de son départ jusqu’à son retour chez ses parents et en 1 an, les aventures et les rencontres ont été nombreuses, ce qui lui a permis de grandir. J’ai pris grand plaisir à suivre son évolution.



Comme j’avais déjà vu le film, pas de surprises au niveau de l’histoire mais l’histoire reste plaisante à lire, et la traduction est plutôt fluide.



Un chouette livre jeunesse et le tome 2 attend sagement dans ma PAL 🙂
Lien : https://missbiblioaddict.wor..

Il est superbe!!!!

Kiki la petite sorcière est un livre qui raconte l'histoire de Kiki qui doit partir de la maison. Elle va vert la mer mais elle n'est pas très bien accueillis ,sauf une boulangère qui lui propose de vivre au dessus de la boulangerie. Elle trouve une métier pour gagner de l'argent, unique pour une petite sorcière.

J'aime beaucoup se livre car Kiki a beaucoup de problème mais cela se finie bien.

Margot D.B