Les soeurs Essex, tome 1 : Le destin des quatre soeurs

Les quatre soeurs Essex se retrouvent sans le sou, à devoir partir d'Ecosse pour aller vivre chez leur tuteur, qu'elles ne connaissent pas, à la mort de leur père.
Ce premier tome est centré sur l'aînée de la sororité, Teresa/Tessa, qui va se “sacrifier” en essayant de se marier le plus rapidement possible et ainsi, faire bénéficier de sa position sociale à ses soeurs et leur favoriser leur entrée dans le monde.
En parallèle de cette recherche d'un mari, assez mouvementé, car elle ne manque pas de prétendant, nous avons les frasques des autres soeurs.
Des jeunes femmes belles, avec la tête sur les épaules, mais peu éduquées.
Leur simplicité et leur franc-parler valent le détour, cependant cela les fait passer pour des jeunes filles mal élevées, et nous donne droit à des passages de lecture assez amusants.
La principale passion et occupation de tout ce petit monde sont les chevaux, les paris, et les courses, donc une bonne partie du livre est centrée sur ce passe-temps très dépensier.
L'histoire est assez simple, le début est assez chaste, puis Teresa s'ouvre à son époux, ce qui n'est pas du goût de tout le monde et donne lieu à des situations injustes qui m'énervent.
J'aime beaucoup l'écriture d'Eloisa James, mais cette fois-ci, j'ai trouvé que c'était très brouillon, et qu'il n'y avait pas, par moments, de fil conducteur, ça partait dans tous les sens.
Alors est-ce parce qu'il y a de nombreux personnages et que tout ce petit monde interagit en même temps ? On a l'impression que les pensées de l'auteure ont été posées là, à la va-vite sans faire le tri.
Je lirai peut-être la suite, mais comme je n'ai pas eu d'accroche avec les personnages, j'ai un doute.

Me voici en vacances – mi-juillet – et je reprends tout juste un rythme de lecture régulier. J'avais très envie de me plonger dans une romance historique et mon choix s'est porté vers une auteure que je connaissais déjà au travers de sa saga, très appréciée, de réécriture de conte.

Si toutefois, j'ai retrouvé l'agréable plume de l'auteure malheureusement, je n'ai pas été aussi emballée par cette nouvelle saga.

Mon coeur de grande romantique n'a pas été transporté par cette romance. Et d'ailleurs, comme le dit si bien Eloisa James dans sa note finale, c'est avant tout une histoire d'amitié au sein d'une sororité.

J'ai mis beaucoup de temps avant d'être plongée véritablement dans l'histoire et la première partie du livre m'a paru très laborieuse. Je voulais de la romance, d'une grande histoire qui ferait palpiter mon coeur et pour cela j'ai été déçue.

Eloisa James nous plonge dans l'univers des courses hippiques.

Quatre soeurs débarquent chez un célibataire endurci, après que leur père ait quitté ce monde. Il a pour rôle d'être leur tuteur et sa mission ne sera pas de tout repos. Certaines des soeurs s'avèrent être très sottes et capricieuses, je pense notamment à Immogène!
Ces soeurs orphelines n'ont pour seule dote que des purs sang qui ne peuvent plaire qu'à des fou-furieux du pari hippique. le pari hippique a littéralement détruit leur enfance et leur adolescence et va continuer son chemin destructeur dans leur vie d'adulte : c'est un véritable fil rouge. Je n'aime pas particulièrement les chevaux alors tout ce qui y fait référence est indubitablement ennuyeux pour ma part.

L'auteure nous présente à de nombreux personnages haut en couleur, mais seul les deux caractères principaux ont retenu mon attention : Lucius et Tess.
Tess est la plus censée des soeurs même si en acceptant la demande en mariage du comte, je n'ai pas toujours compris les sentiments qui avaient dicté son choix alors qu'elle repousse l'homme qui l'attire. Son personnage apparait parfois effacé en comparaison avec ses deux idiotes de soeurs, ce qui est un vrai point faible de l'histoire.
Lucius quant à lui est mystérieux et je trouve dommage qu'en refermant le livre on n'en sache pas plus de chose sur lui, alors que c'est l'atout charme de la romance.

Cette romance historique manque d'entrain et certains passages font trainer en longueur l'intrigue. Seule la dernière partie du livre avec cette touche dramatique, nous laisse entrevoir un personnage intéressant pour la suite de la saga.
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Auteur de la série de romance historique et réécriture de contes "Il était une fois", Eloisa James revient avec une nouvelle série qui ne manquera pas de charmer les fans du livre "Orgueil et préjugés" et du livre "Les cinq filles du docteur March".

Dans ce livre, on y suit l'histoire de quatre soeurs: Teresa, Annabelle, Imogène et Joséphine. Devenues récemment orpheline, les filles Essex doivent se rendre en Angleterre chez le duc de Hoolbrook, une vague connaissance de leur défunt père, avec comme unique dot un cheval de course pour chacune d'entre elle. Afin d'éviter de déranger le duc, ces jeunes filles doivent se marier au plus vite.
Le décor est posé et le destin de quatre soeurs nous promet une histoire originale.


Je pense qu'il est nécessaire de préciser que ce livre, avant d'être une romance, est surtout une histoire de famille. On suit ces jeunes filles chez leur nouveau tuteur. Et Tess, l'ainé, se doit de montrer l'exemple et de se marier. Ses responsabilités d'aîné vont être mise à rude épreuve car ces deux cadettes sont pour le moins original. Mais soyons réaliste, Imogène et Annabelle sont complètement perchées comme demoiselles. La première est folle amoureuse de Mr Maint (voisin du comte). Son personnage est presque hystérique. Et la notion de discernement lui est totalement inconnue. Son personnage m'a énormément fait penser à celui de Lydia Bennet dans Orgueil & Préjugés. Tous les lecteurs ont du la détester. La seconde soeur de Tess a décidé de courir après tous les gentlemans riches et titrés du pays. Ici aussi, niveau délicatesse et distinction, on repassera aussi. Tess et Joséphine sont les tempéraments calmes de la famille. Tess est posée et assure avec précaution son rôle d'aîné. Joséphine, la benjamine, a à peine 15 ans et pourtant montre une grande intelligence. C'est une bouffé d'air frais, face à ces deux tornades, qui lui servent de grandes soeurs.

Cependant, au vue des caractères très différents des soeurs, je vous laisse imaginer que l'histoire est haute en couleurs. de nombreuses disputes et bouleversements sont présents au cours de notre lecture. le lecteur ne s'ennuie pas une seconde.

La romance est secondaire. Enfin, elle arrive tardivement pour être exact. J'ai trouvé le couple sympathique, mais cela ne restera pas l'histoire d'amour la plus marquante que j'ai lu. Cependant, j'ai aimé voir évolué ces deux protagonistes, et les voir assumer leur choix l'un envers l'autre. J'ai énormément aimé leur premier baiser par contre. Un bon point à l'histoire pour ce tableau que j'ai trouvé magique.

Le cadre historique est déjà vu, et revu. Et pourtant l'auteur nous apporte de l'originalité! Nous sommes en pleine Angleterre victorienne, avec les mêmes us et coutumes. le thé, les bals, les repas et les balades en calèche sont donc présente dans ce roman. Pourtant Eloisa James aborde un point de cette période sur lequel j'avais très peu lu: le milieu de la course hippique. En effet, les demoiselles du roman évoluent au côté des passionnés, que ce soit leur père (avant) ou leur tuteur actuellement. J'ai énormément aimé cette aspect de la lecture.

La plume de l'auteur est toujours aussi agréable.

En bref,

Le destin de quatre soeur est une jolie romance historique, qui sera trouvé son public. Il raconte plus l'histoire de ces quatre jeunes filles, et ne présente pas une histoire d'amour passionnel. Mais pour ma part, j'ai été convaincu et j'ai passé un bon moment.

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Angleterre, 1816. Drôle de surprise pour le duc de Holbrooke : il vient de devenir le tuteur de 4 jeunes écossaises désargentées, en âge d'être mariées ! Pour le soulager, Tess, l'aînée, accepte d'épouser un ami du duc. Problème : elle est beaucoup plus attirée par le séduisant Lucius Felton.

Premier tome de la série des Soeurs Essex, le Destin des quatre soeurs confirme une nouvelle fois le talent d'Éloisa James, son aptitude à utiliser des personnages détonnants (un duc alcoolique) et des thématiques inattendues (les courses de chevaux) pour créer des histoires passionnantes. Les héros ici, ce sont Tess Essex, la « raisonnable », et Lucius Felton, riche mais pas noble. Mais la belle brochette de personnages secondaires qui les entoure est au moins aussi intéressante. Quant à l'intrigue, plutôt banale, elle est véritablement sublimée par la plume efficace et très drôle d'Éloisa James. le passage obligé de la première rencontre entre les 4 soeurs et leur tuteur, pour ne citer qu'un exemple, devient ainsi une scène très réussie où les surprises et malentendus des personnages s'associent pour provoquer l'hilarité du lecteur.

Au final, une romance vive et pleine de charme, qui donne envie de se jeter sur la suite de la série des Soeurs Essex.

Quand on m'a offert ce livre, je ne savais pas trop a quoi m'attendre mais ma foi c'est une romance qui se lit très bien. Ce n'est pas de la grande littérature mais on passe un bon moment en suivant le destin des quatre soeurs Essex qui se retrouvent orphelines et sans le sou. Leur père, un passionné de courses de chevaux pas très chanceux, confie leur destin au duc de Holbrook que les filles ne connaissent pas. S'en suivent pas mal d'histoires notamment autour du personnage de la soeur aînée Tess qui doit rapidement se marier pour assurer une situation a ses soeurs. C'est plutôt bien écrit avec pas mal de rebondissements, on retrouve un peu d'orgueil et préjugés avec un personnage distant a la Darcy et une jeune femme dynamique n'ayant pas froid aux yeux a la Elizabeth Bennett sauf qu'au lieu de s'arrêter au mariage, l'auteur nous fait vivre la nuit de noces et les mois qui suivent...et le moins qu'on puisse dire c'est que l'auteur se lâche dans les scènes d'amour ( la on est vraiment très loin de Jane Austen!). Une petite romance qui se lit bien. Je vais prochainement me plonger dans le deuxième tome qui se consacre a la deuxième soeur Annabelle.