Elvire Murail

Réunis pour une expérience autour des phénomènes paranormaux, Aurore, Rémi, Mathieu et Tina font connaissance autour de ce projet hors normes.



Sans réel point commun, ils décident pourtant très rapidement de faire équipe afin d'aider Aurore qui pense son appartement hanté.



Voilà qui les mènera à remonter le temps et traverser la France afin de s'intéresser aux événements de la Seconde Guerre Mondiale dans le Vercors.



Des personnalités que tout oppose, de l'humour, des secrets de famille et des rebondissements sont quelques-uns des éléments qui assurent la force et la vivacité du récit. Abordant des moments sombres tus au fil des ans, la lecture reste fluide et plaisante. Pour résumer, sous la plume de Moka, une aventure captivante mêlant Histoire et surnaturel.


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Il s’agit d’une nouvelle série de romans par la même auteure que les Kinra Girls. Le personnage principal est ici Pénélope, 11 ans, une ado à la fois ordinaire avec son fiancé Artus et ses deux supers copines et, en même temps, un peu différente : elle aime se poser des questions sur l’existence, elle adore les livres, les expressions un peu désuètes que ses camarades ne comprennent pas mais aussi les gros dictionnaires ! Parmi les questions qu’elle se pose il y a celle-ci : peut-on changer le monde quand on a 11 ans ? Elle a découvert qu’une collégienne et son petit frère se nourrissent des restes de la cantine dans les poubelles du collège… ça la bouleverse. Elle voudrait faire quelque chose pour les aider mais se sent impuissante. Le personnage de Pénélope est très intéressant et le thème du livre aussi. Si vous cherchez un roman pour une collégienne à la fois léger mais qui fait aussi réfléchir bref un livre intelligent : pas d’hésitation.
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1996… Douze adolescents sont assassinés à Venise. 2012… Et si tout recommençait ? Engagé par le richissime Vianney de la Tour Audelange, le détective Maxime Dancourt rouvre le dossier du massacre de Venise. Quand il découvre que 2012 est une année bissextile à treize lunes comme 1996, la course contre la montre a déjà commencé. Le ciel serait-il la clé du mystère ? Quel étrange lien relie ces crimes au Zodiaque ? Maxime et son fils Lubin vont découvrir que personne n’est innocent…



J’avoue avoir commencé ma lecture du premier tome avec une petite grimace au coin de la bouche. Des crimes liés aux signes du Zodiaque et à la lune, très peu pour moi. Si ce n’est pas bien ficelé, je décroche vite, voire je déteste. Cependant, l’écriture de l’autrice m’a tout de suite embarquée et je me suis donc facilement laissé happer au début. Certes on comprend vite que les meurtres sont liés aux signes du Zodiaque et cela prend une grande importance dans l’enquête du détective privé qu’est Maxime Dancourt. Mais c’est assez bien tenu, on ne part pas dans l’ésotérisme à outrance et Maxime arrive à relier tout cela à des faits beaucoup plus terre à terre, ce qui m’a permis de rester accrochée à l’histoire. De plus, la façon dont est menée l’enquête m’a beaucoup plu.



Il y a aussi la bouille de son fils Lubin qui m’a permis d’aimer la trame du roman. Il est déscolarisé (en revanche j’avoue que ça m’a chiffonnée de ne pas savoir vraiment pourquoi, ça aurait pu donner plus de substance au personnage) et suit des cours à domicile. Cela rend donc totalement crédible qu’il suive de près les enquêtes de son père et qu’il finisse par s’y mêler. D’autant plus que Maxime essaie tout de même de le préserver et de l’empêcher de s’approcher de trop près des horreurs qu’il voie, mais c’est le sale caractère de Lubin qui l’amène à participer à l’enquête. Tout tient donc debout jusque-là.



J’ai tenu un bon moment accroché à ce roman d’ailleurs. On y découvre successivement de nombreux personnages auxquels on peut s’identifier ou que l’on apprend au moins à apprécier. Ils donnent tous de la teneur au récit et nous emmènent plus loin. Parmi le groupe d’adolescents pilier du récit, il y en a à qui on arracherait bien la tête (comme à beaucoup d’ados) et d’autres que l’on prendrait bien sous notre aile. Cela laisse donc la place à beaucoup de diversité et c’est ce qui anime ce roman.



Cependant, à la toute fin, il y a un côté ésotérique et surnaturel qui vient prendre le dessus, alors qu’à mon avis ça n’avait pas lieu d’être et qui, pour moi, gâche tout. Je me suis entièrement détachée de la crédibilité de l’histoire. Pourtant les toutes dernières pages m’ont donné envie de lire la suite. On y voit Maxime et Lubin accepter une nouvelle enquête.



Pour découvrir la suite, rendez-vous sur notre site !
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La rencontre des Kinra est le premier tome de la série jeunesse Kinra Girls.

Les Kinra Girls sont : Kumiko ; Idalina ; Naïma ; Rajani ; Alexa dont les premières lettres de leur prénom donnent KINRA :)

C'est le jour de la rentrée à l'Académie internationale Bergström que ces cinq jeunes filles, venues de cinq pays différents vont se rencontrer et apprendre à s'apprécier :)

Ce premier tome nous présente les cinq jeunes filles. Les jeunes lectrices s'identifieront forcément à l'une d'entre elle étant donné qu'elles viennent d'horizon différent et ont chacune leur caractère.

C'est une bonne idée de mettre en avant cinq jeunes filles d'horizon différent, il faut avouer que ça change des séries que je lisais enfant ou ado où les héroïnes étaient le plus souvent des jeunes filles à la peau blanche. Là, la diversité est sacrément présente :)

Les thèmes abordés sont classiques : l'amitié, les disputes, l'injustice..

Classique mais c'est bien abordé, l'écriture est très agréable, les illustrations sont très réussies et l'ensemble donne un premier tome captivant pour les enfants.. (et leurs parents ;).

Je mets avec plaisir cinq étoiles et je trouve que c'est une très bonne idée de cadeau.

C'est la première semaine des Kinra Girls à l'académie internationale Bergström. Kumiko est japonaise. C'est une peintre talentueuse. Idalina est espagnole. Elle joue de la guitare. Naïma elle, est afro-américaine. Elle adore le cirque. Rajani est indienne. Elle danse et en particulier les danses traditionnelles de son pays.Alexa est australienne. Elle rêve de devenir championne d'équitation. Voilà ce groupe d'amies qui partage ses aventures avec le lecteur.

Rajani aperçoit un chat blanc qui entre dans la bibliothèque de l'Académie. Ce chat est un mystère. Il a un rôle important dans le livre. Alexa va souvent promener le chien du directeur, un labrador noir. le chien veut jouer. Alexa le détache et patatra le chien part au galop.......ils se retrouvent tous les deux, Alexa et le labrador dans les bois. Il pleut, le sol est boueux et il fait sombre. Elle aperçoit Nelson, un cheval échappé du boxe. Que fait le cheval dans ce bois? Que va devenir Alexa? Qui est ce chat mystérieux qui se faufile par les portes entrouvertes? Quel rôle a le labrador qui accompagne Alexa?

Je conseille ce livre aux enfants de 8 à 12 ans qui aiment les histoires d'amitié, qui aiment les animaux. Ils verront que les labradors sont de merveilleux chiens qui aident les personnes en difficulté. J'ai aimé ce livre

Forster cherche.

Comme un enfant qui pousse ceux qu'il aime dans leurs retranchements pour les y trouver.

Le résultat est qu'il se perd peu à peu dans une confusion qui le désarme.



Expert en dialogues effrénés, l'auteur donne un ton théâtral à son roman, qui se noue et se dénoue entre voisins. Leur immeuble devient une unité de lieu centrale. Forster est aussi critique d'art : on le suit dans ses pérégrinations dans une galerie, où il décide soudainement d'encenser l'oeuvre d'un artiste.

Sous des airs acerbes, il cherche l'âme sœur et il devient émouvant quand il se persuade qu'il est le dépositaire des dernières volontés d'une vieille dame solitaire.



On oscille entre déclamations et introspections. De façon assez inattendue, l'auteur nous fait découvrir un personnage complexe qui chemine. Après des errements décrits avec humour, Forster semble prendre la bonne direction : celle qui lui correspond.

[L'avis d'Anaïs, 10 ans]

"Rien ne va plus !" au début du roman (c'est le titre du chapitre 1) : les Kinra girls se disputent ! Pas facile d'être deux par chambre... même quand on est bonnes copines, il y a toujours des histoires ! Heureusement les cinq filles ont compris que le mieux est d'en "discuter sans se fâcher" et de "chercher des solutions dans le calme et la bonne humeur" ! Surtout qu'elles ont une énigme à résoudre ! Mais le plus sympa, ce sont les épisodes avec les chatons : ils sont trop mignons ! Et coquins ! Il y a aussi Ruby la peste qui leur cherche des ennuis... Mais Alexa est une maligne ! Et encore une fois, l'histoire se termine en plein mystère ! A suivre...
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Pendant que Siki-Siki découvre les mystères que recèlent Les Actes de Gravatte, Finn poursuit son chemin en tant que Lampadéphore. Il change les choses en Damalone et Candrelar. Mélipona, quant à elle, échaffaude un plan rondement mené pour se débarasser de son tenace beau-frère.



Les trois écheveaux de l'intrigue se mêlent et s'imbriquent doucement les uns aux autres. Le mystère Miricaï reste entier. Le lecteur perçoit quelques réponses en ayant la totalité des informations recueillies par chaque personnage : les discussions de Finn, les visions de Siki-Siki, les lectures de Mélipona. Efficace et cohérent, l'histoire prend un tournant où les acolytes vont se révéler précieux pour les protagonistes principaux.

𝐊𝐢𝐧𝐫𝐚 𝐠𝐢𝐫𝐥𝐬, 𝐭𝐨𝐦𝐞 𝟏 : 𝐋𝐚 𝐫𝐞𝐧𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐊𝐢𝐧𝐫𝐚



Je ne sais pas pourquoi j'ai emprunté ce livre, pourquoi je l'ai lu, pourquoi l'autrice l'a écrit, pourquoi l'éditeur l'a édité, bref, pourquoi ce livre existe !

Commençons par les premières phrases du roman. D'emblée apparaissent des dizaines de noms propres : Rajani Bergström, Indira, Karisma, Iqbal Shankar, Miss Daisy, Kumiko, et ça en trois pages !



Et puis très vite, on prend conscience que les personnages sont cliché au possible. On a droit, entre autres, à :

- Une Européenne sensible, romantique, fragile et belle qui ne sait pas vivre sans sa "Maman" et qui fait de la guitare et du chant, comme elle est espagnole !

-Une Japonaise artiste, geek, fan de manga et qui organise bien sa chambre, car, c'est connu, c'est ce que font tous les Japonais !

-Une Indienne qui adore danser en joignant les mains, qui fait de la médecine ayurvédique et qui a une grand-mère sage, . Et devinez ce qu'elle porte ! Un sari, bien sûr !

-Une Afro-américaine qui est surexcitée, hyperactive, joyeuse et avenante, et qui vient d'un milieu pauvre.

-Et bien sûr une Australienne moderne, une véritable commandante, courageuse et qui en connait un rayon en coutumes aborigènes.

Coté pestes nous rencontrons Ruby, une jeune blonde au régime, riche et fan de mode, qui, bien évidemment , n'a aucune raison d'être méchante, mais bon, il faut bien un antagoniste !

Les filles dites "belles" sont Occidentales et blondes ou rousses.

Alexa est dans une école d'art mais fait de l'équitation... étrange.

L'intrigue, et bien il n'y en a pas. On est sûr du "Oh une nouvelle amie",

"Oh une nouvelle amie", "Oh une nouvelle amie", "Oh une nouvelle amie"

Le style d'écriture est pauvre , comme le vocabulaire.

Je me suis demandé pourquoi les éditions "PlayBac" avaient édité ce livre, avant de comprendre que Elvire Murail était la sœur de Marie-Aude Murail...

Tout s'explique !!

Enfin voilà. Un livre qui est carrément nul, il n'y a pas d'autre mot !

Sur ce, bonne lecture !

Résumé : Les Kinra Girls ont des idées pour le spectacle de fin d’année, mais elles ont aussi toujours en tête leur quête du trésor. D’ailleurs, la découverte d’indices sur une tombe pourrait les faire progresser.



Mon avis : Cette fois-ci, les Kinra Girls poursuivent une nouvelle piste, avec la découverte d’une mystérieuse tombe, et des indices qui sont gravés dessus. Et en plus, elles pressentent de plus en plus que le fantôme d’un chat pourrait être la clé de l’énigme.



J’aime beaucoup cette série qui mêle amitié, découverte de différentes cultures à travers les origines des héroïnes, et mystère avec la quête d’un trésor caché.



Par ailleurs, j’aime aussi l’idée que chaque personnage possède des talents particuliers, montrant ainsi aux lecteurs que chacun a des possibilités et un talent à découvrir.



A suivre.
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Résumé : Rajani croise un chat blanc dans le couloir menant à la bibliothèque, et entend peu après parler de la légende d’un trésor caché dans le château de l’académie Bergström, et d’un chat gardien de ce trésor. Il n’en faut pas plus aux Kinra girls pour que leur imagination s’enflamme et qu’elles partent en quête du trésor !



Mon avis : J’avais lu le premier tome qui racontait la rencontre des Kinra girls et la naissance de leur amitié. Dans ce tome 2, elles découvrent l’histoire d’un trésor caché et décident de se mettre en quête de ce mystère. Pour cela, elles devront se rendre de nuit dans la bibliothèque.



Et il semblerait que quelqu’un cherche à nuire à l’académie, car Nelson, le cheval fougueux a été libéré de l’écurie, et pourrait mettre des gens en danger.



J’ai bien aimé que la série s’oriente vers le mystère et l’aventure, avec la quête d’un trésor secret. Par moment, la lecture m’a rappelé la série du club des cinq, avec le chien Jazz qui remplace Dagobert. Et il y a toujours les belles valeurs s’amitié et de solidarité.
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Ce roman faisait partie de l'abonnement des max de mon fils en classe de CM2. Je comprends pourquoi il ne l'a pas lu. Bien qu'il adore lire, il déteste avoir peur dans ses lectures. J'aurais pu m'en douter à l'illustration sur la couverture, ce roman est un thriller assez angoissant qui se déroule dans le marais poitevin. L'intrigue est bien menée, les personnages principaux, les deux enfants, sont attachants. Le plus a été pour moi de découvrir ce lieu avec tout le vocabulaire spécifique du coin.

Ah Moka, la petite soeur de Marie-Aude Murail qui a bien fait son trou entre les récits glaçants et les petites séries faciles. En 2022, elle a publié deux romans horrifique à L'Ecole des Loisirs, "Possession" et "Fantôme sur mesure" mais clairement, ils ne sont pas du même niveau. Autant "Possession" était originale dans sa structure et son propos autant "Fantôme sur mesure" est tout à fait classique sur la forme (expérience paranormale) et sur le fond (la Résistance, cher.es auteur.ices français.es prenez exemple sur Jo Witek qui dans son dernier roman ne parle pas de cette période ou de la Révolution!) et aurait pu se passer quelques vilains clichés (l'ado bouffeur de chips, l'allergique chiante).

Alors, le récit est facile tout à fait plaisant et la lecture fluide et plaira aux ados mais ne restera pas dans les annales de la littérature jeunesse.

Victoria aime les jeux de rôles. Mais comparé à ceux qui se déroulent à son collège, elle passe pour une petite débutante avec La Grande Sorcière Rouge... Quand un jour, un collégien meurt d'une balle dans la tête, tout le monde est persuadé qu'il s'agit d'un jeu de rôle.Mais ce n'est pas un simple jeu.

C'est un livre que vous ne lâcherez pas. Sans tabous, il parle de superstition mêlé à une enquête bien réelle.À lire obligatoirement.

1996… Douze adolescents sont assassinés à Venise. 2012… Et si tout recommençait ? Engagé par le richissime Vianney de la Tour Audelange, le détective Maxime Dancourt rouvre le dossier du massacre de Venise. Quand il découvre que 2012 est une année bissextile à treize lunes comme 1996, la course contre la montre a déjà commencé. Le ciel serait-il la clé du mystère ? Quel étrange lien relie ces crimes au Zodiaque ? Maxime et son fils Lubin vont découvrir que personne n’est innocent…



J’avoue avoir commencé ma lecture du premier tome avec une petite grimace au coin de la bouche. Des crimes liés aux signes du Zodiaque et à la lune, très peu pour moi. Si ce n’est pas bien ficelé, je décroche vite, voire je déteste. Cependant, l’écriture de l’autrice m’a tout de suite embarquée et je me suis donc facilement laissé happer au début. Certes on comprend vite que les meurtres sont liés aux signes du Zodiaque et cela prend une grande importance dans l’enquête du détective privé qu’est Maxime Dancourt. Mais c’est assez bien tenu, on ne part pas dans l’ésotérisme à outrance et Maxime arrive à relier tout cela à des faits beaucoup plus terre à terre, ce qui m’a permis de rester accrochée à l’histoire. De plus, la façon dont est menée l’enquête m’a beaucoup plu.



Il y a aussi la bouille de son fils Lubin qui m’a permis d’aimer la trame du roman. Il est déscolarisé (en revanche j’avoue que ça m’a chiffonnée de ne pas savoir vraiment pourquoi, ça aurait pu donner plus de substance au personnage) et suit des cours à domicile. Cela rend donc totalement crédible qu’il suive de près les enquêtes de son père et qu’il finisse par s’y mêler. D’autant plus que Maxime essaie tout de même de le préserver et de l’empêcher de s’approcher de trop près des horreurs qu’il voie, mais c’est le sale caractère de Lubin qui l’amène à participer à l’enquête. Tout tient donc debout jusque-là.



J’ai tenu un bon moment accroché à ce roman d’ailleurs. On y découvre successivement de nombreux personnages auxquels on peut s’identifier ou que l’on apprend au moins à apprécier. Ils donnent tous de la teneur au récit et nous emmènent plus loin. Parmi le groupe d’adolescents pilier du récit, il y en a à qui on arracherait bien la tête (comme à beaucoup d’ados) et d’autres que l’on prendrait bien sous notre aile. Cela laisse donc la place à beaucoup de diversité et c’est ce qui anime ce roman.



Cependant, à la toute fin, il y a un côté ésotérique et surnaturel qui vient prendre le dessus, alors qu’à mon avis ça n’avait pas lieu d’être et qui, pour moi, gâche tout. Je me suis entièrement détachée de la crédibilité de l’histoire. Pourtant les toutes dernières pages m’ont donné envie de lire la suite. On y voit Maxime et Lubin accepter une nouvelle enquête.



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Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux ? est le tome 1 de la série jeunesse Oh Pénélope !

Je viens de passer mon début de journée avec ce roman, et je suis ravie d'avoir découvert la jeune Pénélope.

Elle a onze ans, des parents qui l'aiment, une sœur de 14 ans : Camille, une meilleure amie : Suzanne, une bonne copine et aussi un amoureux : Artus.

Pénélope est une toute jeune fille, elle est en sixième et pour le moment avec son petit copain c'est très chaste. Pas de scènes de sexe ici (heureusement d'ailleurs vu que la cible est les 11 - 14 ans !).

Pénélope a la tête sur les épaules, elle n'a pas la langue dans sa poche et elle n'aime pas l'injustice. Elle prend conscience de pas mal de choses, notamment le problème du gaspillage alimentaire et du fait que certains jeunes de son age ne mangent pas à leur faim. Il y a même un passage où, mine de rien, l'auteure parle du féminisme, du partage des tâches à la maison...

Ce premier tome est très intéressant, car les textes sont très bien écrits. ce n'est pas gnan gnan et on sent que l'auteure veut faire passer des messages.

Pénélope est peut-être trop mure pour une enfant de 11 ans, son discours ressemble plus à celui d'une fille plus âgée, cela surprend au premier abord. Mais quel plaisir de lire une série jeunesse où l'héroïne a la tête sur les épaules et pense à autre chose qu'à être la plus belle du collège ;)

Il y a pas mal d'illustrations, très réussies et qui apportent un réel plus à cet ouvrage.

Alors que je ne suis définitivement plus la cible, j'ai apprécié ma lecture et je ne peux que vous inviter à le lire où à l'offrir à une pré adolescente de votre entourage.

Si j'ai l'occasion, je lirais les tomes suivants avec plaisir :)

Je mets quatre étoiles et demie.

Le titre était prometteur, une chanson traditionnelle remise au goût du jour par Malicorne. Que demander de plus? Comme d'habitude Moka, dont le talent comme écrivain de livres jeunesse n'est plus à démonter, parvient avec succès à planter le décor, plutôt effrayant, soit dit en passant. Un village en plein coeur du Berry, cernée par une sombre forêt et où se dispute deux sorcières. Très vite les malédictions pleuvent et les événements étranges se succèdent...

Cependant la magie ne prend pas. Malgré le talent de l'auteur, il semble manquer quelque chose à l'ambiance noire qui ne se développe jamais tout à fait et le retournement final ne laisse le lecteur froid. Peut-être aussi suis-je trop vieille et ce livre peut-il obtenir son succès auprès de lecteurs plus jeunes et pouvant être effrayés.

C’est les vacances et chaque membre de la famille veut faire uniquement ce qui lui plaît. Pour fanny la fille finir son roman, Jean Loup de frère regarder le sport à la télé, papa veut se reposer quant à la maman elle tente par tous les moyens de faire sortir la maisonnée.

Un roman teinté d’humour qui illustre les petits conflits entre les enfants et les parents dans leur quotidien. Chacun pourra se retrouver au travers des personnages et en rire en famille.

L'ambiance est au mystère, dans ce tome 2 ! Cette fois on entre vraiment dans l'action. Il y a plusieurs événements étranges et chacune des Kinra girls réagit en fonction de sa personnalité. Si Rajani la peureuse n'arrête pas de parler de malédiction, Alexa l'aventurière compte bien mener son enquête ! C'est vrai qu'elle est la première concernée avec l'incident avec Nelson... Chat mystérieux, homme malveillant, passage secret, proverbe obscur : l'histoire est pleine de surprises ! Et elle se termine en plein suspense... Vivement la suite !
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Dans "Jeu mortel", l'intrigue prend une tournure des plus étonnantes. Une tournure un brin cauchemardesque. Moka réussit à nous donner des frissons du début à la fin de son roman. Les scènes nocturnes dans la forêt entourant le pensionnant n'y sont pas étrangères !

J'ai été assez surprise par la noirceur des personnages. L'auteure prend un malin plaisir à nous rappeler que l'apparence est parfois trompeuse et que les filles aux visages d'ange sont parfois de vrais démons...



Le dénouement m'a fait tiquer dans le sens où la "morale" est un peu mise à mal. En plus d'être dérangeant, le final m'a laissé un goût d'inachevé. J'ai trouvé étrange de la part de l'auteure de laisser ainsi l'histoire en suspens. Je n'en dis pas plus, je risquerais de vous spoiler ! A vous de vous forger une opinion...