Felix Salten

Bambi est un petit faon qui vient de naître, au fil des saisons il découvre la beauté de la nature et la dureté de la vie en forêt. Découvrez le conte original qui a inspiré Disney !



Ce conte est absolument magnifique !

Les illustrations sont à la fois sublimes et adorables, je ne me lassais pas de les regarder et elles accompagnent à merveille le texte. Benjamin Lacombe a joué avec la palette de couleurs et différentes techniques pour marquer le passage des saisons et pour exprimer des sentiments (sensations de peur, de fuite, etc.)



Le texte est poétique (le passage des feuilles qui dissertent), doux (relation de Bambi avec sa mère), dur (la chasse et la mort), mystérieux (Bambi découvre la vie), un peu philosophe (les messages sybillins du cerf). Un texte vraiment complet donc, qui est un très bel hommage à la nature et qui retranscrit parfaitement son mélange de violence et de beauté.



D'ailleurs fait étonnant : à travers les animaux, le texte exprime l'horreur de la chasse. Pourtant Félix Salten, l'auteur, était chasseur.



Aussi j'ai appris que ce texte avait été interdit par les nazis car il était soit disant une métaphore de la situation juive en Europe. J'avoue que si la préface n'en avait pas parlé, jamais je n'y aurais vu cela.



Bref, une très belle decouverte à faire découvrir à tous (d'ailleurs même si c'est un conte le texte sera un peu difficile pour les plus jeunes).

Un des romans les plus crus de la littérature érotique que j’ai pu lire. On est au 1er degré, l’humour vient par la caricature et la pornographie des situations. On peut suivre l’histoire d’une jeune fille qui devient prostituée, de son enfance (très très jeune) à son adolescence.

Tout y passe, de la pédophilie à la partouze, sans aucun jugement moral. Le personnage principal, véritable nymphomane recherche toutes les expériences possible dans une sorte de jubilation orgasmique totale.

Pour public très averti.

J’ai apprécié les graphismes et le choix des couleurs dans chacun des albums. J’ai eu un vrai plaisir à me replonger dans un classique que je connaissais par cœur. Globalement, j’ai passé un bon moment. Trop mignon.

L'apprentissage du monde de Bambi est plutôt pédagogique, j'aime bien.


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Bambi est un jeune faon très proche de sa mère. Curieux et intéressé par le monde qui l’entoure, il pose de nombreuses questions. Lors de ses sorties dans la prairie, il fait des rencontres et discutent avec tout le monde. Que ce soit un lièvre, un papillon, une pie… il a des questions pour tous. Il découvre aussi que parmi les nombreux atouts de la forêt et de ses occupants, le danger reine aussi…



Cette lecture de l’œuvre originale qui a inspiré l’adaptation de Disney, m’a énormément surprise. Comme cela nous est expliqué en préface, je ne m’attendais pas à une double lecture et à un roman engagé politiquement et socialement. L’auteur, Felix Salten, s’inspire dans sa propre vie pour faire passer des messages dans un contexte d’entre-deux-guerres. Autrichien, la persécution des juifs, la montée du nazisme et de l’antisémitisme effraient par sa progression.



Ode à la nature, parcours initiatique et leçons de vie, on plonge dans un univers très riche. La plume de l’auteur est très intéressante, poétique et philosophique à la fois. La narration a su m’émouvoir.



Magnifique livre objet, je dirais tout de même qu’il est fragile à cause de sa couverture ouverte. Un film en plastique transparent aurait peut-être pu aider. Les illustrations de Benjamin Lacombe sont comme toujours sublimes et d’une sacrée finesse. On a même le droit à des successions de doubles pages illustrées qui s’intègrent très bien avec l’histoire. Quel grand artiste, j’admire à nouveau son travail.



En soit, une belle découverte d’un classique écrit il y a 100 ans, une allégorie politique du sort des Juifs d’Europe.
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Tout le monde connait bien sûr le grand classique Disney qu'est ''Bambi'', mais pour ma part j'ignorais jusqu'à il y a peu qu'il s'agissait en fait de l'adaptation d'un roman d'un auteur autrichien sorti en 1923. Mais Bambi n'est pas vraiment un livre pour enfant, c'est un livre qui contient de nombreux passages assez durs à lire (quand on a un minimum de coeur) et qui est avant tout une dénonciation de la montée du nazisme et de la persécution des juifs. Et quand on sait cela (la préface de mon édition (Payot & Rivages) est à la fois courte et complète), les nombreuses analogies nous sautent facilement aux yeux. J'ai beaucoup aimé cette histoire de ces animaux qui vivent dans la forêt, Bambi étant bien évidement au centre de l'histoire, et qui tentent de survivre non seulement au froid et aux autres prédateurs naturels, mais surtout à Lui, être mystérieux et quasi divin capable de tuer à distance grâce à son troisième bras. Bambi est donc un conte assez cruel, mais souvent beau également avec un message d'espoir en fin de livre qui nous fait comprendre pourquoi ce roman a été interdit dès 1936 par le régime nazi.

Superbe cadeau que cet ouvrage illustré par Benjamin Lacombe, proposant le texte d'origine de l'histoire de Bambi, "une vie dans les bois". Véritable ode à la nature et à la protection des animaux!

Une lecture à accompagner pour les plus jeunes car certains passages (chasse) sont violents et sanglants.



Les illustrations sont splendides. Cet ouvrage est un chef d'oeuvre.

Coup de coeur

C'est le travail d'illustration de Benjamin Lacombe qui m'a poussée à lire ce texte méconnu. Je découvre ainsi que l'auteur de "Bambi" est autrichien et que le texte d'origine était en allemand.

La découverte ne s'arrete pas là pour moi: je ne savais que peu de choses de cette histoire, n'ayant vu que des extraits du dessin animé de Disney. Ainsi j'ai été plongée avec surprise et bonheur dans une ode à la nature, parfois douce et merveilleuse, parfois cruelle et violente. Je trouve ce texte très réaliste en dehors du fait que les animaux s'expriment bien sur, mais ils le font chacun selon son propre langage. On sent que l'auteur connait la foret et ses habitants, qu'il a parcouru ces lieux souvent et les aime.

Je ne comprends pas bien pourquoi il a été censuré par les nazis... ormi le fait que l'auteur était juif. Rien de bien réactionnaire dans ce texte (ou alors cela m'a échappé)!

Mais parlons des illustrations! Waouh!!!! Bravo Benjamin Lacombe, je salue ton talent! Cet ouvrage est une splendeur que j'ai hate de partager avec un maximum de personnes, tout age confondu!

Un livre cadeau s'il en est!

Très loin de la version adaptée par Disney destinée aux enfants, Félix Salten utilise l'anthropomorphisme pour dénoncer le nazisme. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle le roman a été interdit par les autorités nazies peu après sa publication en 1923, ces dernières y décelant une "allégorie politique sur le traitement des juifs en Europe".



Il suit les épreuves qui apprennent à Bambi à grandir dans la forêt, au rythme des saisons, expérimentant la mort, le danger, la solitude, la rencontre des humains.



Lorsqu'il est encore jeune, Bambi découvre la nature enchanteresse, les habitants de la forêt mais doit trop vite grandir, à mesure qu'il prend conscience du danger qui rôde. Il n'arrive pas à savoir précisément qui est ce Il ou ce Lui dont toute la forêt parle mais comprend qu'il doit l'éviter et adapte son rythme de vie en conséquence.



Tout dans ce roman rappelle la situation vécue par les juifs face au nazisme. En effet, Bambi, à l'image des réfugiés traqués par une menace, cherche un foyer, ne trouvant aucun endroit totalement sûr jusqu'à trouver la sérénité à l'image de la terre promise.

Certains de ses compatriotes vantent la bonté des hommes qui pourtant traquent les cerfs, mais s'avèrent avoir été eux-mêmes prisonniers à l'image des déportés.



Benjamin Lacombe illustre parfaitement le rythme des saisons (chaque page a des frises correspondant à la saison dans laquelle évolue Bambi au fil des chapitres), la nature tour à tour enchantée, secrète, mystérieuse et dangereuse en utilisant soit un jeu de couleurs vives, soit des couleurs sépia ou sombres, en utilisant les effets de flous et des découpages qui ne laissent qu'entrevoir Bambi à la manière du feuillage des arbres.



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Que voici un bien joli livre qu'on commence le matin et fini le soir...

J'avais adoré le film de Walt Disney, je l'avais même revu quand j'avais une vingtaine d'années au Grand Rex en période de Noël, avec la Féérie des Eaux (ça existe toujours). J'y allais pour voir la réaction des enfants, je n'ai pas été déçue...

Le livre c'est autre chose, plus profond, plus dur, une ode à la nature à laquelle j'ai été sensible, mais la nature n'est pas "gentille", elle n'est pas "bonne". Les animaux se mangent entre eux et les hommes tuent les animaux.

Il y a une profonde poésie, certains passages sont particulièrement délicieux et émouvants et peut-être plus profonds qu'il n'y paraît, comme le dialogue entre les deux petites feuilles à l'approche de l'hiver.

En lisant ce livre, je n'ai pu m'empêcher de penser que le cerf était décidément très machiste (désir, colère, orgueil). Heureusement qu'il n'y a pas de Sandrine Rousseau pour le déconstruire. Tel qu'il est, il est parfait...

Je ne sais pas si le livre a été interdit par les allemands parce qu'ils y voyaient une allégorie au sort des juifs (il a paru en 1923), mais qu'il ait été interdit car écrit par un juif, certainement.

Qui ne connait pas Bambi ? Le petit faon a attendri bien des cœurs grâce au long métrage des studios Disney. Mais saviez-vous qu’il était né de la plume de l’autrichien Felix Salten ? Dans cette sublime édition, Benjamin Lacombe redonne ses lettres de noblesse au roman d’origine. Dans la préface, le philosophe Maxime Rovere revient sur l’histoire de cette œuvre, censurée par le régime nazi car Salten était juif. Bambi a beau être paru en 1923 (soit dix ans avant l’arrivée d’Hitler au pouvoir), on ne peut s’empêcher de voir un parallèle avec la montée de l’antisémitisme en Europe. Les animaux des bois seront chassés par les Hommes, menaces invisibles mais terribles, tout le long du roman.



Oubliez la version de Disney. Si certains scènes clés sont issues du roman, le film a adouci ce dernier. Bambi est récit d’apprentissage, un parcours initiatique au cœur de la forêt. Nous allons suivre le petit faon (ici un chevrillard, petit du chevreuil et non celui du cerf comme son interprétation sur grand écran) de sa naissance à son âge adulte. La mort de sa maman vous a traumatisé lorsque vous étiez enfant ? La version de Salten insiste sur cette part de noirceur. Ici, pas de douce amitié entre Bambi et Panpan. Le lapin, d’ailleurs, n’y apparait pas. Les animaux, bien que doués de paroles, n’ont pas un comportement humain. La cruauté de la nature et la loi du plus fort demeurent. Bien tôt, Bambi sera donc confronté à la mort.



La présence de « Lui », hante ces pages. Lui, l’Homme, le Chasseur, l’Ennemi. Bambi a beau être un ouvrage jeunesse, il s’agit de l’un des antagonistes les plus terrifiants qu’il m’a été donné de lire récemment. C’est une présence, une menace qui frappe toujours où l’on ne s’y attend pas. Les animaux ne comprennent pas cet ennemi à la « troisième main », celle qui provoque le tonnerre assassin. « Lui » est malin, traître, manipulateur. Ceux qui ont lu le roman sauront à quel point la scène avec Gobo, le cousin de Bambi, est cruelle.



A la fois magnifique et touchant, un brin mélancolique, Bambi possède cette double lecture historique dont je vous parlais. C’est aussi une magnifique histoire de transmission. La relation avec les parents, que ce soient le père ou la mère, est au cœur du roman et m’a profondément touchée. La Maman de Bambi le protège jusqu’au jour où elle ne reviendra plus. Son père, plus pudique, prendra la relève. Sa scène finale m’a émue aux larmes. Les illustrations, véritables œuvres d’art, viendront magnifier la beauté déjà existante de l’œuvre. Parfois, elles suffisent à la narration. Le style de Lacombe se marie à la candeur des premiers jours de Bambi et la beauté de la forêt. Mais il sait également incarner la Peur dans toute son horreur. Je pense à ces pages en noir et blanc, pleine de terreur, donnant vie à la fuite pour la survie. Des images qui, je le sais, resteront gravées dans ma mémoire.
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Benjamin Lacombe remet au goût du jour les classiques de la littérature en les illustrant ou en les faisant illustrer dans des albums grands formats. Ici, il s'attaque au "Bambi" de Félix Salten, auteur autrichien de la fin XIXe siècle, début XXe.



J'ai adoré découvrir ce texte. Évidemment, je connaissais le dessin animé édulcoré de Disney, et j'y ai retrouvé des similitudes. Pour autant, le texte est d'une intensité plus forte. Il y a deux sens de lecture : une description fidèle de la vie sauvage et une lecture cachée de la société. C'est profond et souvent sombre. La solitude et la rudesse de la survie priment. Visiblement, l'auteur était un fin observateur de la faune sauvage et des relations humaines.



Cerise sur le gâteau, ce texte est illustré ici par les dessins de Benjamin Lacombe. Ils sont beaux et angoissants à la fois, il y a même parfois un petit côté psychédélique me semble-t-il. C'est un ravissement pour les yeux et le style colle bien avec l'ambiance du roman de Salten.

Benjamin Lacombe vient ici illustrer un conte qui a fait verser plus de larmes qu'aucun autre... Bambi, ce petit faon innocent, naïf, craintif et sans défense... privé de sa mère, victime de la barbarie des hommes, ce conte éveille en nous l'émerveillement, l'optimisme et la bienveillance...

Un livre à offrir… ou à se faire offrir….

Coquin de sort ! Déjà, après avoir lu un Herman Hesse, j'avais envie de relire de la littérature allemande. Je la lis pas en langue originale mais je trouve qu'il y a un certain ton qu'on ne retrouve pas ailleurs, la poésie est différente, les mots s'entrechoquent autrement. J'aime beaucoup. Peut-être bicause je sais pas.



J'avais besoin d'un truc bien hardcore tu vois ? Un roman bien sombre avec du sang qui coule à flots et des mecs un peu abrutis par leur code génétique, à peine foutus de réfléchir et qui font passer l'opresssion pour de la protection.



Tu vois un peu le genre ?



Du coup j'ai pris Bambi. La petite biche dont la mater' s'fait dégom dans le waldisné tu t'souviens ? Oui. Parce que quand t'étais môme on te foutait la K7 en te disant "j'te préviens si t'es pas sage la mère de Bambi meurt". Premier scandale psychologique. J'ai tué une biche de dessin animé (alors que j'avais rien fait, en plus putain).



Le roman est assez différent de la version de Walt Disney (dont je garde malgré tout un super souvenir, que j'avais trouvé belle et pleine de "vie", apportez moi un chamallow je dégouline de sentimentalisme).



Anyways le roman - enfin grâce à la préface de Maxime Rovère (un gars qui a l'air bien bicause j'ai lu sa page wikipédia et tout du coup), t'indique les différents degrés de lecture et le contexte dans lequel Felix Salten a écrit Bambi. À la base ce n'était pas un roman destiné aux enfants, mais plus une allégorie de la montée de l'antisémitisme en Allemagne (Bambi a été écrit en 1923).



C'est un roman dur, juste et beau. Très naturaliste, un peu dans la même veine que Watership Down, Le Vent dans les Saules, ou encore les Animaux du bois de Quat'Sous, dans lesquels chaque animal correspond à des personnalités humaines qu'on a forcément croisé dans notre éducation/culture.



Génial. J'ai pas d'autres mots. En vrai j'ai surkiffé ce roman. Je m'y suis foutu en fin d'aprèm et je viens de le terminer. D'une traite, sans faire de pli ni rien. Le coté old school avec droit de cuissage sur les femelles biches et la dimension princière de Bambi fait un peu grincer des dents, mais la fin philosophique est hyper belle.



J'pense que c'est le genre de bouquins qu'on peut lire à des gosses mais qui fait autant de bien à lire quand on a grandi bicause les plusieurs degrés de lectures permettent que chacun puisse y trouver son compte.



(en plus ça tombe bien bicause si vous venez au Salon du Livre, vu que je serai sur le stand Rivages, au cas où tu serais passé à coté de mon super statut facebook, je pourrai te le conseiller et te le vendre, voilà).



SINON. Tu peux aller le chercher dans ta petite librairie préférée et promis même si ça peut paraitre chelou de dire tout fort "je cherche Bambi svp c'est pas pour offrir c'est pour ma gueule", bah tu t'en fous, kodak ?



Dac.



Allez salut !
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Djibi est une chatte, elle a du caractère et ne se laisse pas intimider ni malmener.

Recueillie par un instituteur et sa femme, elle va vivre une vie assez compliquée au contact d'autres chats et de chiens qui viennent envahir la maison des maitres.

Le voisin de ses maitres est un paysan qui a plusieurs reprises explique qu'il ne comprend pas l'amour porté aux chats ou aux chiens...



Les rapports sont amicaux entre ces deux voisins, ils sont cordiaux et souvent tendus. En effet, leurs idées sont différentes face aux animaux et à la manière de se comporter.



J'ai aimé la lecture de ce beau roman mettant en avant la chatte Djibi, mais pas seulement pour l'histoire de cette chatte. En effet le chien de la maison, Tasso, fait aussi partie de l'histoire, avec son caractère et son intelligence.



On apprend que tous les chats sont différents en caractère, en histoire, en vécu et que comme les hommes il peut y avoir des tentions...

Bambi ne relève donc pas du merveilleux, il dresse au contraire un portrait de la réalité, transposée dans la forêt. Il vaut en tous les cas la peine de (re)découvrir ce texte aux multiples qualités, accompagné qui plus est d’illustrations à tomber.
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Ce livre écrit par Félix Salten en 1923, a été réédité en grand format par Albin Michel et illustré à cette occasion par Benjamin Lacombe. Le résultat est magnifique.

Interdite par les Nazis, leur censure estime que cette oeuvre était une "allégorie politique sur le traitement des Juifs en Europe". Walt Disney l'adapta néanmoins en 1942 ce qui contribua à faire oublier le texte originel et à le classer dans les histoires pour enfants.



Bambi est l'histoire d'un chevreuil, que l'on suit de sa naissance à l'âge adulte. Il est bien désigné comme un chevreuil mais portera pourtant de beaux bois de cerf...

Il fait l'expérience du monde, s'émerveille de tout ce qu'il voit: sauterelle, papillon... Hélas il fera beaucoup d'autres expériences moins heureuses: maladie, danger, solitude, mort...

Ce récit retraçant la vie d'un animal n'est pas vraiment destiné aux enfants.

L'oeuvre de Felix Salten gagné à être connue.

Une très belle histoire remplie d'émotions, où se mêlent la joie et la tristesse... Les illustration sont magnifiques, pleines de détails et de superbes couleurs.

Comme c'est une histoire classique et déjà connue, je n'ai pas eu un immense coups de cœur mais peut être que le livre plaira plus à un enfant qui ne connait pas déjà l'histoire.

On retrace la vie de Bambi et les dangers qui le guettent au sein de la Forêt.

On y suit le Cycle de la vie:la naissance, la vie, la mort.



Aussi bien un hymne à la nature qu'un récit métaphorique retraçant le traitement des juifs lors de la Seconde Guerre Mondiale, on y retrouve la peur d'être tué, le besoin de se cacher pour survivre, l'oppression face aux dangers qui rôdent.



Les illustrations de Benjamin Lacombe dans cet ouvrage offrent un vrai plus à l'histoire, recréant à la fois la douceur qui se dégage de la nature mais aussi le danger qui y règne.



Je ne connaissais pas la véritable histoire de Bambi et j'ai été ravie de le découvrir à travers ce magnifique objet-livre. Loin d'être un récit naïf, Bambi transmet un message fort. Il est ici sublimé par les illustrations de Benjamin Lacombe qui sont un véritable régal pour les yeux

Bambi qui a bercé mon enfance illustré par un illustrateur de talent Benjamin Lacombe ce livre est juste magnifique les illustrations sont somptueuses, chaque trait, chaque couleurs et sans parler des émotions qu’il arrive à dégager à travers ses dessins. Un livre qu’on devrait tous avoir dans sa bibliothèque…

Quel plaisir de découvrir l’histoire originale de Bambi écrit dans les années 20 par Félix Salten.



Ce livre, nous décrit à la perfection, la naissance, la vie, la mort ( le cycle de la vie ). La nature est super bien détaillées ainsi que le cycle des saisons, l'auteur arrive à nous immerger dans le quotidien des animaux de la forêt.



Suite à ma lecture de la préface, j’ai appris que cette histoire a était interdit par le parti nazi et que ce texte était considéré comme une allégorie politique de traitements des juifs en Europe, la persécution des Juifs par les Nazis, représentaient symboliquement et respectivement par les animaux de la foret ( plus particulièrement bambi et les chevreuils ) et les Hommes armées de leurs fusils et de leurs chiens.



Benjamin Lacombe grâce à ses illustrations dans cette ouvrage, a su bien transmettre le côté sombre, sa nous immerge encore plus dans l’histoire, chaque image a une émotion particulière qui donne une autre dimension à cette lecture.



Je ne peux que vous conseiller cette ouvrage qui est un objet livre sublime à avoir dans sa bibliothèque.