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Critiques de François Cheng (461)
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À l'orient de tout

Les poèmes de François Chang sont beaux, lisses et ronds comme des galets travaillés par la mer et patinés par le temps. Épurés comme des estampes, allant droit à l'essentiel, ils ne sont cependant pas dépourvus de cette souplesse qui fait du vers une sorte de calligraphie parfaite. J'en ai aimé l'élégance et la simplicité, la volonté d'atteindre le coeur de ce qui est dit à partir de leurs apparences et ce sens du mystère où derrière les mots les plus simples se cache la méditation la plus profonde.
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À l'orient de tout

Difficile de s'émerveiller sur cette poésie qui emprunte beaucoup trop aux autres. Trop de mots sont des lieux surannés de la poésie, combien de fois lit-on : aurore, feuille, sang, ombre, exil, pluie d'étoiles... on a même droit à du Nietzsche avec la citation sans être citée de l'éternel retour. Il nous décrit la nuit avec les animaux les plus communs : l'effraie, la chauve-souris, le hibou et le loup... les arbres ne sont pas épargnés : les saules ont séché leurs pleurs.....

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À l'orient de tout

Voici une compilation de cinq recueils du poète François Cheng. Partagé entre son pays natal la Chine et son pays d'adoption, la France, Cheng revendique cette double appartenance : il dévoue sa pensée et sa plume à ces deux pays allant sans cesse de l'un à l'autre comme suivant la migration des oies sauvages qui traversent ses poèmes.

Les quatre éléments, le minéral, la faune et la flore, le cosmos, l'amour, la vie et la mort ou encore la renaissance sont autant de thèmes que Cheng traite avec talent et sensibilité.

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À l'orient de tout

"A l'heure du soir, à l'orient de tout

Où se lève le vent de l'unique mémoire "



Grâce aérienne, touches presque picturales, élan cosmique et spirituel,lien fusionnel de l'homme à la terre, voilà comment m'apparaît cette oeuvre poétique de François Cheng.



Il est difficile de parler de ces poèmes, tant leur beauté délicate semble à peine un frisson, une caresse.Une beauté gracile mais puissante cependant car touchant à l'essentiel, l'appel du vide , la vie et la mort, l'angoisse existentielle et la permanence de la nature.



Avec des mots simples, épurés, le poète va au coeur des choses et des êtres, avec humilité et aussi émerveillement:



"Instant du fruit mûr

Mué, là ,en offrande

Où ciel terre retrouvent

Leur douce rondeur"



Les influences de la philosophie chinoise sont bien sûr présentes et apportent un souffle singulier, unique à la voix du poète. La voie du Tao se révèle :



" du yin et du yang

Tirer l'élan

Tirer l'éclat"



Un chant s'élève alors, révélateur du fugace et de l'immortel à la fois:



" Et nous traversons

l'aire du hasard

Pour nous poser là

A l'instant précis

de l'éternité "



C'est un recueil empreint de sérénité, de douceur, alliées à une profondeur de réflexion sur nos existences fragiles, à l'art de célébrer l'instant, d'accepter de n'être qu'une légère trace dans l'univers, à l'Occident comme à l'Orient de tout....



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À l'orient de tout

Encore un livre indispensable pour vivre! Une poésie simple et profonde, légère et saisissante: humanisante! François Cheng y décline poétiquement quelques thèmes centraux de l'existence: l'amour, l'abandon, la nuit, la nature, etc. Avec l'art propre au poète, il écrit des poèmes qui, en les lisant, tombent en nous comme s'ils étaient écrits pour nous: ils nous dévoilent à nous-mêmes notre propre mystère!
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À l'orient de tout

Cette anthologie poétique de François Cheng reflète un peu la vie de l'auteur. On ressent à chaque chapitre un thème différent, de la nostalgie légère de son pays d'origine : la Chine avec ses coutumes, son esprit, sa famille qui se traduise dans des vers à l'essence philosophique et méditative sur les éléments naturels et les êtres. Mélancolique rhétorique poétique où tourner la page d'une époque et de son existence semble parfois un peu douloureux, mais le poète sait vite rebondir en exhalant des réminiscences positives et éphémères, le transportant avec douceur vers un incertain destin, sa nouvelle patrie : la France. Puis l'auteur nous emmène voyager en Toscane, magnifiant ses paysages, au travers de vers sublimes illuminés par la lumière irradiant les collines, là aussi ressort une intemporalité existentielle où le temps paraît s'arrêter paresseusement pour nous laisser apprécier ces moments d'éternité poétique chantant la beauté d'un lieu et la dolce Vita qui en découle. L'amour et ses chemins magiques et tortueux ne sont pas oubliés, l'auteur y consacre un long passage poétique où il fait une analyse des sentiments amoureux, cherchant l'essence même de ce mystère alchimique entre les êtres. Enfin, en bon fils de l'Empire du Milieu, il ne peut clore cette belle anthologie sans donner une aura spirituelle à ces mots empreints d'une majesté impériale, sans évoquer le tao et son yin et yang, sources mystiques de l'univers et de la vie traçant la voie à suivre aux êtres et aux choses.
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À l'orient de tout

Cette anthologie poétique rassemble les poèmes de François Cheng. Poésie discrète et pudique qui s'attarde aux mouvements des êtres et son environnement et du temps qui passe. En Asie où les éléments naturels sont reliés de façon symbolique à l'univers et à l'homme comme les décrivent les poèmes de François Cheng.
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À l'orient de tout

L'anthologie A l'Orient de tout de François Cheng, écrivain français d'origine chinoise, est une lecture intéressante. le poète sait jouer avec la langue et les images. Et ça tombe très bien.



Ce qui m'a tout d'abord frappée, c'est l'étonnante souplesse des vers : tout comme les arbres que le poète ne cesse de nommer, les vers prennent la forme de branches. Parfois longs, d'autres fois plus courts, comme s'ils étaient l'oeuvre de nature, ils permettent aux mots de déployer toute leur richesse sémantique.



Parfois, c'est aussi l'inverse. Dans le recueil "Cantos Toscans", François Cheng utilise toujours la même forme : un sizain suivi d'un blanc typographique et d'un monostiche. On a l'impression de lire des fragments d'atmosphère où le paysage devient un élément nostalgique à part entière.

Quoi qu'il en soit, le poète met de côté les rimes et préfère jouer avec la forme, en se focalisant davantage sur la musicalité des mots (qui se font écho) et du rythme dans les vers. "Le Livre du vide médian" laisse place à une poésie de la nature et du corps, où les éléments sont parfois fragmentés (on peut penser à «l'iris », ou aux « reins ») ou bien forment un tout. L'influence asiatique se fait clairement percevoir.



François Cheng se dit solitaire. En lisant ses poèmes, j'ai eu le même sentiment. On se retrouve rapidement seul devant le paysage imaginaire du poète.

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À l'orient de tout

À
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À l'orient de tout

Ce recueil est composé en fait de 5 anciens recueils rassemblés ici. Je ne me lasse pas de cette poésie. J'y retrouve les thèmes qui me sont chers : l'instant présent, notre lien avec la nature, le minéral et le vivant, avec l'univers, l'amour universel… J'ai l'impression de me retrouver dans un paysage de montagnes embrumées d'une peinture chinoise. Ce lien que l'auteur entretien avec le Tao et le bouddhisme se retrouve dans chacune de ces poésies. Comme dans ses romans, François Cheng, grand amoureux de la langue française ne peut se départir de ses ascendances chinoises. C'est le mariage entre ces deux cultures que j'apprécie. Que dire de plus ? Ah si ! La préface de André Velter nous éclaire de manière plus analytique sur cette poésie. La lire augmente notre compréhension de ces textes. Une dernière chose : la citation de Qing-deng sur les 3 montagnes est remarquablement éloquente quant à la perception du monde dans la spiritualité chinoise ancienne. L'important est de ne faire qu'Un avec l'objet, ici la poésie. Communier avec le monde, non le dominer. C'est pourquoi il faut lire cette poésie, entre autre chose, comme si nous ne formions qu'un seul élément, le lecteur et le poème afin de ne plus être dans la dualité. Et cela est valable pour tous ce que nous percevons avec nos sens. La vision du monde qui nous est ainsi offerte en est complètement changée. Je vous laisse essayer.
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À l'orient de tout



Dans l’univers poétique , comme dans celui du roman, il y a, fort heureusement pour nous, lectrices et lecteurs, une extraordinaire diversité.

De Marot ou Villon à Jaccottet ou à Cheng, chaque poète, avec un langage qui lui est propre, nous ouvre son monde magique, toujours unique.

Ainsi en est il de François Cheng, ce poète d’origine chinoise, et membre de notre prestigieuse Académie Française. De lui, j’ai lu et apprécié beaucoup de poèmes issus de différents livres empruntés en Médiathèque. Celui-ci, que j’ai décidé d’acheter, À l’orient de tout, œuvres poétiques, est un de mes compagnons de chevet, comme le sont tant d’autres, de Rimbaud, Baudelaire, Jaccottet, Chedid, etc..Il rassemble plusieurs recueils publiés entre 1999 et 2009: Double chant, Cantos Toscans, Le long d’un amour, Qui dira notre nuit, Le livre du vide médian.



C’est une poésie merveilleuse, toujours calme et d’une grande sérénité

Les poèmes sont souvent construits de façon graphique, la disposition des mots et des phrases donne au poème à la fois le pouvoir d’évocation de l’image, sans être nullement un calligramme comme le fit Apollinaire, et, en même temps, un rythme et une respiration uniques.

Ce qui est si original et si beau, c’est que nombre de ces poèmes nous disent que le monde est un tout, que tout y est lié, objets inanimés et êtres vivants.

Et puis, dans tous ces thèmes communs à toute poésie, et que les poèmes déclinent, la nature, l’amour, la haine, le temps, la vieillesse, la mort, il suffit de quelques mots, de l’arrangement de quelques phrases, pour que le lecteur soit emporté par la musique et les images qu’elles évoquent.

Dans quelques poèmes enfin, surtout ceux du Livre du vide médian, ce sont des aphorismes d’une grande sagesse qui constituent le poème.

J’en mets un exemple dans les citations.



En conclusion, François Cheng, sans doute le plus grand poète de langue française encore vivant, depuis que Philippe Jaccottet nous a quitté il y a quelques mois.
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À l'orient de tout

Magnifique recueil de poésie. Très moderne dans la forme, tout en abordant des thèmes intemporels et qui me parlent beaucoup. La nature est notamment présente dans presque tous les poèmes, et elle est souvent utilisée pour parler de la nature humaine. Les vers semblent couler de la plume légère de l'auteur.

Je recommande ce recueil à tous les amateurs de poésie.
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À Notre-Dame

Tout d'abord je crois qu'il est indispensable de réécouter cette "Grande Librairie" d'avril 2019, celle qui a suivi l'incendie de Notre-Dame et qui avait François Cheng pour invité. Elle est toujours disponible sur le net.

Ce petit recueil reprend l'intervention de François Cheng, pas dans son intégralité mais les phrases clés qui donne une idée de la puissance de coeur de cet homme ce soir-là.

En seconde partie, quelques lettres de personnes, de France,, du Québec, de Bruxelles....

Troisième partie qui laisse parler M. Cheng sur la raison qui lui a fait accepter de venir parler ce soir-là dans l'émission, lui qui est si peu à l'aise en public. La raison première c'est que son coeur a saigné le soir du avril 2019 et il se devait de lui rendre cet hommage. La seconde est qu'entre lui et François Busnuel, une véritable amitié est née et que c'est le seul plateau où il se produit.

François Cheng parle de Notre-Dame et c'est une parole divine qui sort de cet être qui nous parait tellement fragile à sa manière de toujours s'excuser d'ajouter un mot, une phrase.
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À Notre-Dame

Au même titre qu'un orthodoxe se signe quand il croise sur sa route une église, ici avec François Cheng quand il s'exprime, on se tait et on l' écoute dans un silence quasi religieux déclamer sa poésie, il appelle lui-même un grand respect. Une aura se forme. Il est sûr que quand il dit que des saints il y en a partout, des gens qui font don d'eux-mêmes sur cette terre pour le bien d'autrui avec abnégation, je suis très d'accord avec ça, mais le saint ici c'est lui. Cette modestie suprême lui va si bien quand il ne se désigne pas. Quand on lui demande comment faites-vous votre création en quelque sorte, il répond qu'à 90 ans, il est toujours actif et que le repos lui est interdit parce que de sa vie est née une conviction celle du combat incessant, une vigilance de tous les instants, il y a dans les mots qu'il emploie la charge de toute une vie, toutes les souffrances endurées, les humiliations il les convertit dans la magie des mots, dans sa poésie qui lui est si chère ..

(La Grande Librairie, le 29 janvier 2020)





29 octobre 2021

Les plus beaux chênes de France

Bientôt deux ans auront passé. J'ai beaucoup aimé quand François Cheng a dit à 90 ans que la vie était un combat incessant. J'y ai retrouvé la philosophie de Camus. Au travail de titan qui s'engage pour restaurer à l'identique la Cathédrale Notre-Dame de Paris, j'ai lu dans certains articles le nom de toutes les parties prenantes qui concourent à sa deuxième vie, et je dois dire que c'est grâce à cette synergie magnifique qu'on y arrive, ce génie français, mais je perçois aussi à travers les pensées des uns et des autres comme celle de François Cheng par ses mots admirables l'érection de quelque chose de grand au delà des âges, enfin Dieu reconnaîtra les siens..



Les plus beaux chênes de France ont été tronçonnés avec un soin méticuleux comme si on ébarbait de l'or pour servir à reconstruire la charpente et la flèche de Notre Dame, pour la sauvegarde de la grande oeuvre. Oh, bien sûr on regrettera, à commencer par ceux qui leur étaient dédiés, ces vieux bois séculaires en proie aux flammes qui faisaient de la charpente et de la flèche quelque chose d'unique, mais tous les acteurs sont là aussi pour que Notre Dame continue de vivre, et je suis sûr que dans le coeur de chacun d'eux, il y a, il y aura ce sentiment suprême de fierté d'avoir participé à cette belle aventure. Je suis persuadé que Dame Nature a vu pour une fois ses chênes partir pour une bonne cause, autrement que pour la folie et l'inanité des hommes.
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À Notre-Dame

Je ne vais pas ajouter à ce qui a déjà été écrit au sujet de ce livre-témoignage émouvant sur Notre-Dame-de-Paris à qui nous ne pensions guère alors qu'elle était debout, fidèle, intacte, mais dont la destruction partielle nous a si profondément atteints.



Nous l'aimions sans le savoir, comme on aime souvent une mère.
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À Notre-Dame

Si le texte, intervention improvisée de François Cheng à La Grande Librairie, est bouleversant, ce livre est un objet-souvenir plus qu'une ode étayée à Notre-Dame. Ainsi, la force est toujours présente. Cependant, je me suis désolé de la brièveté du texte, qui est complété à coups de pages blanches d'un courrier des lecteurs.
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À Notre-Dame

Une lecture très rapide et extrêmement décevante, ou comment intervenir dans une émission de tv, et ensuite noircir des pages sur cette intervention, pour ne rien dire ou presque...

Comment peut-on aimer cette magnifique cathédrale et prétendre lui rendre hommage sans jamais dénoncer les criminels qui y ont mis le feu ???

Cela aura eu au moins le mérite de me permettre de savoir que cet auteur est à bannir de ma bibliothèque à tout prix...

Quand je vois que cette merde vaut 7€ neuf, je comprends que je bannirai aussi l'éditeur...

Pour écrire quelque chose de positif tout de même : le dessin sur la permière page de couverture est juste magnifique... je l'ai quand même remis dans la boîte à livres où je l'avais trouvé, ça m'aurait fait mal au cul d'avoir payé pour lire ça, merci à celui qui l'y avait déposé...
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À Notre-Dame

Livre minuscule, écrit en gros caractères et plein de pages blanches. Oui, mais livre précieux et remarquable !

Si vous avez vu l'émission "La grande librairie" le 17 avril 2019, vous vous souvenez nécessairement de l'intervention de François Cheng. Pendant une heure, il s'est tu, écoutant les autres participants. Finalement, lorsqu'il a été invité à s'exprimer, il a en fort peu de mots élevé le débat à un degré supérieur. A tel point, que la qualité de l'écoute de ceux qui étaient sur le plateau était perceptible et qu'elle s'est communiquée à la plupart des téléspectateurs : tous vivaient un moment précieux.

Ce sont les paroles prononcée par François Cheng qui sont reproduites ici. Elles occupent quatre pages, mais pourraient tenir en une seule. C'est dire la concision du propos.

Suivent des extraits de lettres adressées à l'auteur après l'émission ; ces lettres soulignent toutes la profondeur de la communion qui s'est établie au-delà du plateau pendant ces quelques minutes de grâce.

Dans la dernière partie du livret, François Cheng explique la lenteur de son débit oral, le décalage permanent entre sa pensée et son expression, et l'inhibition que lui impose une séance de télévision en direct. À l'entendre, on ne peut qu'imaginer la beauté de sa pensée et de ses émotions dont il ne peut, dit-il, que nous transmettre qu'une partie. Ces miettes poétiques nous sont offertes.

Là où on imagine que Chateaubriand, Victor Hugo, Jean d'Ormesson ou Marguerite Yourcenar (et bien d'autres) nous auraient gratifiés de propos solennels, exprimés dans une langue déployant tous ses fastes et flamboyant de mille escarbilles et étincelles, le poète franco-chinois nous offre, par contraste, la pierre précieuse de la simplicité pure.
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À Notre-Dame

Ce livre est une arnaque.

Je respecte au plus haut point François Cheng, je comprends qu'un éditeur ait besoin de vivre, mais attention à ne pas se moquer du monde.

Ce livre ne fait, si l'on compte bien, que quatre pages d'un livre normal. A 7,5 Euros, ça fait cher du mot de François Cheng. D'autant que ces mots sont gratuits et offerts à tous par ce grand homme, il suffit de regarder la vidéo sur les réseaux.



La moitié du papier est gâchée car… blanche

Le reste du papier, quand il est rempli, provient de lettres qu'il a reçues.



Vous pouvez me dire que je n'ai rien compris, que c'est un tout, que l'art est ainsi fait de compositions. Ce n'est pas mon opinion concernant ce livre. Certes Cheng a parlé comme Jésus et sa parole est en or. Oui, il a eu de belles paroles sur Notre-Dame, oui la particularité de cette cathédrale est marquante, l'image de la mère est profonde.



Mais la vidéo est beaucoup mieux.
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Armistice

A l'occasion du centenaire de l'armistice, Gallimard a proposé à différents écrivains un hommage aux poilus. Le résultat est sublime. Trente et un auteurs contemporains se livrent à l'exercice difficile. Daeninckx, Hatzfeld, Jourde, Moï, Rufin, pour n'en citer qu'une poignée ont accepté cette écriture mémoire.

Chaque texte est illustré par une peinture, une gravure, un dessin. C'est ainsi que j'ai découvert l'histoire de vie et les peintures de Rik Wouters.



Cet ouvrage collectif fait écho aux chefs d'œuvre qui ont eu pour sujet la 1ere guerre mondiale: Voyage au bout de nuit, Les sentiers de la gloire, Au revoir là haut, capitaine Conan...



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