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Critiques de François Cheng (461)
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L'éternité n'est pas de trop

J'ai eu la chance de relire ce livre sur une petite île des Maldives en parallèle avec le recueil La Poésie à Vivre - Paroles de poètes dans une édition de Jean Pierre Siméon et La Lumière du Monde de Christian Bobin. Loin, bien loin des ambiguïtés et des tergiversations qui fracturent le Printemps des Poètes, manifestation que j'apprécie par ailleurs.

Dès le début ce récit défie le temps, puisqu'il a déjà plus de vingt ans et évoque un récit que François Cheng a découvert trente ans auparavant. L'écriture se justifie pour retrouver ce récit qui ne lui était plus accessible malgré ses recherches. de mon côté, je retrouve des pages que j'ai cornées et je perçois combien les idées remarquées alors, sont toujours d'actualité pour moi, presqu'une vingtaine d'années plus tard : intériorisation de la beauté, résonance, poésie narrative et narration poétique...

Dao Cheng, le personnage principal, devin et médecin, raconte sa vie et ses réflexions sur l'existence; c'est son point de vue, réflexif et expérimenté qui est privilégié. C'est aussi et surtout, les connaissances et savoirs de l'expérience de François Cheng et le souvenir d'une lecture, qui construisent ce personnage, tout en retenu, calme et douceur.

Un personnage qui cherche "à la racine" ce que peut être l'amour - pour Lang-Ying qu'il a aperçue plus de trente ans auparavant et dont la vue a changé le cours de la vie. de nouveau auprès d'elle, quelques brefs moments par jour, il poursuit sa quête de la vie simple en prodiguant son savoir pour guérir et guider. Et en vivant dans le périmètre de celle qu'il aime. Et en dialoguant avec un jésuite qu'il parvient à guérir, il poursuit ses réflexions sur l'amour, en l'élargissant à l'amour de Dieu, des hommes...

Il croise les informations et parvient à l'idée que le jésuite tout autant que lui sont des fous. Pourtant, tout cela est pour lui une source de sérénité.

L'imagination, la créativité a pris le dessus dans sa vie et il parvient à transformer sa nostalgie, à prendre racines sur un nouveau terreau.

Ce livre est un magnifique parcours de reconstruction psychologique que François Cheng transmet dans une langue infiniment poétique avec des dialogues ciselés où poésie et philosophie sont intimement liés.

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L'éternité n'est pas de trop

C'est bouleversée que je referme ce roman.



Émue par cette histoire magnifique.

Éblouie par l'écriture de François Cheng.

Touchée en plein cœur par sa finesse et sa sensibilité.

Admirative de cet auteur qui n'a appris le français qu'à l'âge adulte.



Ai-je besoin d'en dire plus pour vous donner envie de vous précipiter sur ce livre si vous ne l'avez pas déjà lu ?



Si pour vous, lire, c'est voyager dans l'espace et dans le temps, foncez : François Cheng vous transporte en Chine au XVIIè siècle.

Si pour vous, lire, c'est éprouver des émotions, foncez !

Si pour vous, lire, c'est vous attacher à des personnages, foncez !

Si pour vous, lire, c'est goûter le plaisir d'un style unique, foncez !



Ai-je besoin d'en dire plus ?

Je ne pense pas. Et ne comptez pas sur moi pour vous dévoiler l'histoire : partez à sa découverte !

À la découverte d'un ouvrage que je place très haut dans mon panthéon littéraire. Un de ceux qui me font dire : "Quelle merveille que la littérature !"



Ce livre est un bijou, François Cheng est un orfèvre !
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Oeil ouvert et coeur battant : Comment envi..

C'est une petite, mais profonde réflexion sur la beauté que nous offre François Cheng dans cette ouvrage. Comme à son habitude, il vient éclairer notre pensée occidentale par son regard imprégné de sagesse initiale.

La lecture est un peu exigeante (je sors de Simenon...) mais l'objectif est atteint : c'est un beau livre, avec une belle pensée qui touche en profondeur.

Merci
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Cinq méditations sur la mort

Lu en 2016. En cinq méditations, François Cheng revisite le concept de la mort sous la lumière de la vie et vice versa.

S'appuyant sur la philosophie européenne, le Taoïsme, l'oeuvre des poètes, des écrivains et des artistes, l'auteur confronte les croyances de différentes religions. En résulte une profonde réflexion sur la vie et la mort, des questions existentielles que l'on se fait tous, à des moments différents de notre existence... Une méditation emprunte d'érudition, de philosophie, de spiritualité et de poésie. À lire au calme, à tête reposée.

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De l'âme

Une belle méditation sur l'âme, grande oubliée de notre temps en comparaison du corps et de l'esprit. François Cheng nous invite, à travers cet échange épistolaire de sept lettres, à redécouvrir la beauté de celle, qui en nous, résonne, s'émeut et communie.
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L'éternité n'est pas de trop

Au 17e siècle à la fin de la dynastie Ming dans un monastère de haute montagne un homme qui n'a pas prononcé ses voeux quitte ce havre de paix pour retrouver 30 ans plus tard la seule femme qu'il n'a jamais cessé d'aimer

sentiment d'apaisement sensation de basculer dans une autre dimension. Récit d'une passion, celle de Tristan et Iseult chinois avec ses codes. Beaucoup de poésie. Eloge de la patience et de la spiritualité
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Une longue route pour m'unir au chant français

L'itinéraire d'un Chinois, de la découverte de la langue française et de la France à l'Académie. Un Chinois issu d'un milieu cultivé, dont les parents ne parviennent pas à cerner l'adolescence tourmentée, et qui préfère s'exiler pour tracer sa voie. Le jeune garçon traverse des moments difficiles, mais poursuit un chemin jalonné de mains tendues, de rencontres heureuses qui lui permettent de surmonter ses difficultés personnelles. Surtout, son approche des deux cultures est particulièrement appréciée. L'Académie ouvre les bras à un Chinois : tout un symbole.

Le récit se lit avec aisance, mais certaines pages compilent des écrivains français dans un raccourci pour lycéens de Première. On n'en saura pas beaucoup plus sur les liens entre les deux cultures, qui demeurent éloignées.
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Oeil ouvert et coeur battant : Comment envi..

"Au coeur du mystère du Mal qui traverse notre monde, comment envisager la beauté ?"



La réponse est dans le titre : "Oeil ouvert et coeur battant".



Ce petit opuscule contient deux conférences de François Cheng, académicien d'origine chinoise, que je ne connaissais pas. J'avoue. Mais j'ai été subjuguée. Tellement de choses m'ont parlé.



Merci beaucoup monsieur Cheng.
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Une longue route pour m'unir au chant français

Ma vie se tient toute

Au futur antérieur

Par une longue route à l'unisson

J'aurai été retrouver qui je fus

Qui je serai





Le livre reposait à l'étal

En seconde main

Pressentant l'intime d'un lit d'hôpital

En moins d'une seconde

Je le caressai des miennes





Au clair alunissons

Tes larmes de sérénité

Repu re-paix d'un report ...

Tu n'as pas la plume

Du Dit du non-dit





Au futur intérieur

Ces silences chouettes

Ceux-là mêmes qui me font en Vie

Je le sais effrayent

Alors j'aurai dit vain



-----------------------------------------------------------------------



"La beauté est une rencontre, toute présence

Sera par une autre présence révélée,

D'un même élan regard aimant figure aimée ;

D'un seul tenant vent d'appel feuilles de résonance."

p.166-167

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L'éternité n'est pas de trop

Un très beau texte, pur et sans fioritures. Chaque phrase est un délice pour l'esprit. On sent la maturité, la profondeur de la pensée de François Cheng qui parle comme il écrit (ou l'inverse, au choix) et nous livre des perles de sagesse à déguster avec parcimonie, dans les transports, entre deux réunions, pour conjurer notre destin contemporain.
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Le Dit de Tianyi

Lors d'un voyage en Chine, l'auteur retrouve le peintre Tian-yi, connu autrefois, qui lui remet ses confessions écrites. Tian-yi a vécu l'avant-guerre dans une Chine en plein bouillonnement. Plus tard, dans les années 1950, il est allé en Occident, où il a découvert une autre vision de l'art et de la vie.

De retour dans son pays soumis aux bouleversements de la révolution, il a voulu retrouver deux êtres chers : Yumei, l'amante, et Haolang, l'ami.

Mais une histoire dramatique les a emportés dans des tourmentes où Tian-yi, à son tour, sera pris ...

Poète, traducteur, essayiste, spécialiste des arts de son pays d'origine, François Cheng a su métamorphoser le témoignage vécu en une extraordinaire fresque romanesque, saluée par toute la critique et couronnée par le prix Femina 1998.
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Assise

J'ai emprunté ce recueil en édition de la Loupe,police de caractère taille 20, et comprenant 73 pages.

François Cheng rend hommage à François d'Assise qu'il " rencontre" spirituellement lors d'un séjour à Assise.

Cette rencontre a lieu à un moment de doute,de solitude et de difficultés de l'auteur, réfugié chinois se battant avec la langue française,les difficultés pécuniaires,et c'est une révélation.

En découvrant les différents lieux où le saint a vécu, François Cheng puisera une nouvelle force intérieure et affirmera sa foi chrétienne, celle ci rejoignant à bien des égards la Voie taoïste.

L'écriture de Cheng est ici encore,remarquable,allant droit à l'essentiel mais sensible à la poésie et la force des lieux d'ermitage .

Une belle expérience spirituelle,une naissance nouvelle pour François Cheng.
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Suite orphique



En quatre mouvements, François Cheng , toujours aussi inspiré à quatre-vingt treize ans, nous offre cette suite orphique, composée de quatrains, une forme poétique qu'il affectionne, déjà utilisée par exemple dans le recueil" Enfin le royaume".



La dédicace émouvante à sa mère donne un éclairage particulier à la première partie, intitulée " aux vivants et aux morts", où le mythe d'Orphée est très présent :



" La mort n'efface rien; Orphée persistera

A se retourner, tirant de l'ombre l'aimée"



Dans cette chaîne d'instants que constitue l'oeuvre symphonique créée, mon mouvement préféré est le deuxième, le plus long d'ailleurs, dédié " À la vie d'ici". S'y exalte sa relation profonde à la nature, tout en spiritualité :



" Soudainement s'installe le silence: oiseaux

À flanc de roseaux, abeilles le long des treilles.

L'homme, lui, se tient coi; monte alors du sol

Un chant, tacite entente des âmes en éveil."



Lire François Cheng, c'est vivre un moment unique, à la fois apaisant et vivifiant. Grâce à ses mots, " la vraie vie, en un éclair, dévoile sa splendeur'. Un élan poétique de toute beauté.
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À l'orient de tout

Cette anthologie poétique de François Cheng reflète un peu la vie de l'auteur. On ressent à chaque chapitre un thème différent, de la nostalgie légère de son pays d'origine : la Chine avec ses coutumes, son esprit, sa famille qui se traduise dans des vers à l'essence philosophique et méditative sur les éléments naturels et les êtres. Mélancolique rhétorique poétique où tourner la page d'une époque et de son existence semble parfois un peu douloureux, mais le poète sait vite rebondir en exhalant des réminiscences positives et éphémères, le transportant avec douceur vers un incertain destin, sa nouvelle patrie : la France. Puis l'auteur nous emmène voyager en Toscane, magnifiant ses paysages, au travers de vers sublimes illuminés par la lumière irradiant les collines, là aussi ressort une intemporalité existentielle où le temps paraît s'arrêter paresseusement pour nous laisser apprécier ces moments d'éternité poétique chantant la beauté d'un lieu et la dolce Vita qui en découle. L'amour et ses chemins magiques et tortueux ne sont pas oubliés, l'auteur y consacre un long passage poétique où il fait une analyse des sentiments amoureux, cherchant l'essence même de ce mystère alchimique entre les êtres. Enfin, en bon fils de l'Empire du Milieu, il ne peut clore cette belle anthologie sans donner une aura spirituelle à ces mots empreints d'une majesté impériale, sans évoquer le tao et son yin et yang, sources mystiques de l'univers et de la vie traçant la voie à suivre aux êtres et aux choses.
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Suite orphique

En la compagnie des mots de Cheng, on ressent profondément une ode à la vie, un grand chant d’amour.
Lien : https://www.lefigaro.fr/livr..
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L'éternité n'est pas de trop

J'avais lu les méditations sur la beauté et sur l'âme qui sont exceptionnelles, ici la délicatesse et la poésie de maître Cheng vous offrent des tableaux magnifiques !



Bien sûr, on pensera à "Roméo et Juliette" made in China. Mais c'est au-delà de cette histoire d'amour. C'est la beauté (de la vie, du cycle et des saisons) qui se joue exactement dans l'espace vide et infini entre ces deux êtres . La poésie cueillie dans l'espace laissé.



Roman philosophique où les questions sur l'amour, la mort, notre destinée... sont abordées avec la douceur d'un conteur hors du commun.



Un réel plaisir ! A lire et relire.

Un bijou.
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Qui dira notre nuit

J’aime la profondeur, l’intériorité des textes de François Cheng. Elu à l’Académie Française en 2002, il n’a appris le français qu’à l’âge de vingt ans. Quel parcours !

Né en Chine d’une famille de lettrés, François Cheng arrive en France à l’âge de vingt ans. Son œuvre reflète ses influences, chinoises et occidentales.

A la faveur de l’obscurité de la nuit, François Cheng nous parle et se raconte, car qui mieux que lui-même pour sonder son âme ?



« Qui dire notre nuit

Sinon nous-mêmes ?

Nous qui touchons hors nous le non-voir

Nous portons le non-dire »



Les souvenirs affluent ainsi que les voix des absents, les saisons et les chants de l’enfance. On y trouve une nostalgie où s’engouffre par moment une certaine fureur.



Ce chemin constellé

Tu le prolongeras

Malgré vents et rosées

Enfant de ma mémoire

De ce côté l’automne

A enfoui son secret

En toi le temps s’envole

Fou d’appels d’oies sauvages. »



Faut-il penser à notre fin, lorsque l’oubli sera là ?



« Ceux qui viennent de la nuit

A la nuit retourneront

Vaste est l’obscur

Pur l’oubli. »



Les phrases de François Cheng sont empreintes de spiritualité. Tour à tour, il dit « nous » ou bien invoque une présence supérieure. Ce mysticisme s’exprime dans l’abandon et la franchise.



« Parle nous

Pour que notre voix

Jaillie d’un été trop bref

Fonde enfin le royaume. »



En tournant la dernière page de ce recueil, je suis sortie de cette nuit intérieure sans inquiétude et apaisée.

Une belle écriture qui sait atteindre l’intime.

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Suite orphique

Suite orphique est un ensemble de 99 quatrains, dans lesquels François Cheng exprime sa sagesse et ses sentiments. Dans une forme légère, proche du haïku par ses formules et ses images, l'auteur suit les pas du poète Orphée, affrontant la mort et célébrant l'attente et la patience, écrivant un hymne à la vie.
Lien : https://lemanoirdeslettres.f..
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L'éternité n'est pas de trop

"L'éternité n'est pas de trop" de François Cheng nous plonge au coeur de l'Asie du XVIIème siècle. le vocabulaire utilisé est riche et soutenu. de fait, il est agréable à lire, et je le qualifierais même de poétique !



En effet, au début de chaque nouveau chapitre, l'auteur nous place face à un nouveau paysage, dans une nouvelle pièce, ou encore une nouvelle saison... Et ce, en décrivant les odeurs, les couleurs, en décrivant la nature et ce qui s'y trouve : il nous laisse admirer la scène avant de faire entrer en jeu ses personnages.



Quant au vocabulaire chinois introduit dans le texte, il nous maintient dans cet univers calme et détendu... Ce contexte asiatique, parfaitement maîtrisé par l'auteur, à en lire les références diverses et variées.

Calme et détendu, disais-je, grâce à son écriture ; puisque dans le fond de ces rencontres et de ces sentiments, il ne réside pas toujours une douceur de vivre. Il existe de la souffrance dans les âmes de certains, une quête de sens dans l'esprit des autres et dans les coeurs des deux principaux personnages, à la fois de la douleur et une soumission à l'Espérance divine, parfois difficilement acceptable...



Ils s'aiment, depuis toujours, et bien que la vie les sépara pour des décennies, lorsqu'ils se retrouvent, l'Amour et l'Éternité font leur apparition dans l'intrigue et le déroulé des évènements. Avec eux, une spiritualité nouvelle fait son apparition et vient alléger leur destiné. Sublime roman !
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Une longue route pour m'unir au chant français

Quel superbe voyage dans le monde de la poésie, quel envol vers un horizon mystique, quelle vision ouverte sur l'entièreté de la Vie !



François Cheng, né en Chine et arrivé à Paris à l'âge de dix-neuf ans, nous fascine par son acculturation à la langue française ; il l'habite encore plus profondément que Akira Mizubayashi dans "Une langue venue d'ailleurs" lorsqu'il nous présente les spécificités de notre langue : précision du vocabulaire, rigueur de la structure et souci du style. Il nous explique le charme lié à la musicalité du français en s'appuyant sur un poème de Baudelaire (L'invitation au voyage) et nous dit prendre "beaucoup de mots comme des idéogrammes (...) par leur prononciation qui suscite l'image de la chose désignée".



La contemplation de la voie lactée qui "ignore sa propre existence" le conduit à réaliser que "tout n'est pas là pour rien, car cette splendeur a bouleversé [son] être".



La citation de Paul Valéry "La France est un creuset où l'on devient français" s'applique à merveille à l'académicien venu de l'autre extrémité de l'Eurasie. Ne devrait-elle pas inspirer notre politique d'accueil des étrangers ? Rejoignant en cela Michel Serres, il balaie d'un revers de main la soi-disant menace que l'anglais exercerait sur la langue française : le français "n'a pas vocation à être un simple outil linguistique pour un monde globalisé (...). Une menace pour la langue française ne pourrait venir que des Français eux-mêmes".



Je peine à rendre compte de toute la puissance de ce livre et du plaisir qu'il procure lorsque, devenu poète français lui-même, l'auteur admire ses prédécesseurs, mais je suis heureux d'en partager le message : c'est le verbe qui fonde les sociétés humaines.
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