François Gravel

Les romans de François Gravel me posent toujours un peu problème : d’un côté cet auteur aborde des sujets intéressants, originaux, qui plaisent aux jeunes (c’est l’enseignant en moi qui ressort) et à un lectorat relativement mature mais, d’un autre côté, son style d’écriture correspond plus à celui de jeunes adolescents. C’est (trop) facile à lire ! Et son roman Hò ne fait pas exception à la règle. Le vocabulaire qu’il emploi est assez simple, ses phrases sont trop peu complexes. S’il réussit à insérer un peu de mystère à son histoire, il finit par le dévoiler lui-même au fur et à mesure. Tout devient clair comme de l’eau de roche, il ne donne pas la chance à ses lecteurs de se servir de leur intelligence, d’avoir à décoder, à interpréter, même à se forger une opinion. Vous connaissez l’expression anglaise «What you see is what you get». Eh bien, ça dit tout. Pas de zones grises. Les motivations des personnages, l’univers, etc. Tout est tracé au gros crayon.



Dans son petit bouquin Hò, il aborde le sujet controversé du dopage et des moyens risqués que prennent certaines dictatures pour présenter au monde des athlètes super-puissants. Mais à quel prix ? Des jeunes privés de leurs parents, de contacts humains significatifs, à qui on n’apprend qu’à obéir et se surpasser. Pour y arriver, il faut renier son enfance/adolescence, endurer des entrainements excessifs et se porter volontaires à des expérimentations (ces breuvages spéciaux constituent-ils des drogues ?) Et même se marier à quinze ans ! Quelles horreurs ! Le pays n’est jamais mentionné mais on peut porter son choix sur les régimes totalitaires de la Corée du Nord ou du Vietnam.



Comme je le disais plus haut, François Gravel aborde des sujets délicats et fascinants. Malheureusement, il ne fait pas confiance à son lectorat, il lui mâche tout. On peut discuter des thèmes mais ça s’arrête là. Il n’y a pas de réflexion possible, à part «C’est dommage ce qu’il se passe là-bas. Heureusement qu’ici nous sommes libres.» J’enseigne à des élèves de 15 ans et, si ces thèmes les intéressront surement, je considère que ce n’est pas un service à leur rendre que de mettre entre leurs mains des romans trop faciles. Sauf peut-être pour quelques jeunes qui ont des difficultés en français ou bien ceux qui cherchent un divertissement léger…

La Cagoule : un livre captivant!



Ce roman, écrit par François Gravel, nous permet de vivre une aventure assez spéciale. L'histoire est mystérieuse et aborde beaucoup le sujet de la drogue.

Arrêté pour trafic de drogue, Max, un adolescent de 16 ans qui n'en a jamais consommé, doit passer tout son été dans un centre expérimental de réadaptation qui se situe au fond des bois. Caché sous sa cagoule, il essaye de comprendre comment ce centre fonctionne tout en respectant les règles demandées. Le seul problème, c'est que ce centre utilise des méthodes un peu spéciales...

Selon moi, ce livre est intéressant et les personnages sont très attachants. C'est captivant du début, jusqu'à la fin. Une histoire très touchante avec un sujet quand même difficile à écrire et je trouve que François Gravel a fait un excellent travail. La seule affaire que j’ai moins aimée du livre est que parfois il y avait des passages qui n’étaient pas très clairs.



Bref, J'ai bien aimé ce livre. L'histoire n'était pas difficile à lire. Ce que j'ai aimé de ce livre c'est que les personnages étaient très spéciaux. J'ai également aimé ce roman parce qu'il y avait toujours du suspense. Il y avait beaucoup de détails dans ce livre et j'ai vraiment aimé cela. L'écriture est soigné et le livre se lisait très facilement, de plus ce n'était pas trop long. La qualité du français convenait au livre et il n'y avait pas de mots compliqués. Je ne changerai pas ce livre parce que l'auteur a très bien écrit ce roman.



Melanie L

Roman jeunesse très mystérieux avec beaucoup de suspense. de plus, cela se déroule dans le domaine de la délinquance juvénile et de la drogue, thème peu exploité en littérature jeunesse québécoise. Tout au long du roman, on se demande dans quel pétrin le personnage principal s'est retrouvé. Pourquoi les surveillants du camp de redressement se montrent-ils si peu rigoureux? Cet étrange personnage qui parle constamment seul est-il vraiment digne de confiance? Qu'est-ce qui se cache vraiment dans ce camp? Pourquoi un juge l'a-t-il envoyé là-bas?



Pistes d'exploration pédagogique



Réfléchir aux liens entre la criminalité, la drogue et le cercle vicieux de la violence en consultant des sources pertinentes d’information.



Dresser le portrait psychologique du personnage principal. Identifier ses stratégies pour survivre dans le monde qui est le sien.

Premier polar pour cet auteur que je découvre. Nous avons ici une enquête bien gentille, bien conventionnelle. Rien de trash. Tout est dans ce petit village tranquille. De beaux personnages avec en particulier cette enquêtrice, toute jeune, fraichement sortie de l'école de police. Elle travaille fort, elle est obnibulée par sa première enquête, elle se questionne, doute et y met tout son coeur. Mais pour que je m'attache réellemment à cette Chloé Perreault, il faudra que l'auteur me mette un peu plus de chair sur cette joggeuse. C'est une personnalité qui reste à découvrir. Toutefois, elle est consciencieuse, elle fait tout ce qu'il faut pour résoudre, comprendre, après la découverte des ossememnts de deux corps, la disparition d'une jeune femme 30 ans plut tôt. Pas de détails superflus, ici, on fait confiance aux lecteurs. Petits bémols pourtant. Tous les clichés rapportés en narration c'est très très lassant et ces petites erreurs chronologiques qui dans un polar et pour les amateurs qui s'attardent sur ces détails sont , disons, pour le moins irritantes. On verra avec une deuxième enquête de Chloé Perreault si l'auteur a peaufiné son style. Pour ce titre, c'est une lecture qui se passe tout simplement.

Tout amoureux de la langue française et un peu curieux, qu’il ait 7 ou 77 ans, aura un plaisir fou à parcourir Cocorico! Tout plein d’histoires qui parlent des langues, le plus récent titre jeunesse de François Gravel, qui écrit autant pour les grands que pour les petits depuis plus d’un quart d’un siècle.



Surtout ludique, ce titre qui nous dévoile quel est le mot le plus long de tous, qui nous explique pourquoi la langue des indiens navajos a été utile lors de conflits armés, qui nous résume la naissance et les conséquences de la tour de Babel et s’intéresse à des détails qui font sourire, est un bijou du genre.



Illustré avec beaucoup d’originalité par Katy Lemay, qui a sûrement pris beaucoup de plaisir à la réalisation de ce livre tant le résultat est jubilatoire, Cocorico! est le livre parfait pour les trajets en voiture, la plage et même les salles d’attente.



Une fois de plus, François Gravel montre à ses lecteurs son grand talent de conteur. Qu’ils aient 7 ou 77 ans. Car il n’y a pas d’âge pour la curiosité et le plaisir.

Petit livre d'horreur, plutôt bien écrit, pour les jeunes de 10-12 ans que j'avais choisi pour son titre. Je ne fais -évidemment- pas partie du public ciblé, mais, à moins d'être claustrophobe, l'histoire ne fait pas trop peur. Par contre, après cette lecture, vous n'aurez plus envie de fréquenter des bibliothécaires ;-)

Récit extrêmement intrigant, une narration fluide, une histoire et un vocabulaire simples tout en n'étant pas "bébé", bref un bon roman (court) pour les adolescents qui disent ne pas aimer lire et qui ne sont pas nécessairement de très habiles lecteurs. Dans la même lignée que La Cagoule ou Ho, ce roman plaira sans doute beaucoup aux jeunes (surtout du 2e cycle) par son histoire mystérieuse et par son accessibilité.

Lisez ma description!

Premièrement, je vais présenter le livre que j’ai lu et il se nomme « La cagoule », ce livre a été écrit par François Gravel et je l’ai adorée. L’histoire, mais en valeur le jeune Maxime « Max » dans un tas de problèmes étrange, malheureusement les problèmes dans lesquels il s’est mis touchent le propos de la drogue. Max va être envoyé dans une sorte de prison pour mineur et il va devoir faire les activités physiques demandées pour éliminer les toxines dans son sang, tous en gardant le silence. Max va avoir des problèmes avec la drogue, car il a un « dealer » de drogue qui lui oblige de vendre de la drogue à ses clients et vu qu’il n’a pas de père et sa mère est une droguer qui se fou de son fils, personne ne va empêcher le « dealer » de profiter de Max (pour le moment).



Finalement, j’ai aimé ce livre, car le vocabulaire n’est pas sorcier et les personnages sont simples, mais efficaces. Je vous le conseille.



By: The Dude

je trouve ce livre amusant et distraillant car il mélange du policier et du science-fiction.



pour ceux qui aime les autos, du suspense et de l'imaginaire je le vous conseille car steve fait de la course automobile, des enquêtes et des autos que l'on ne verait pas dans la vrait vie font partie de l'histoire.

Très bonne lecture, intrigue soutenue, personnage principal attachant.

Je vais parler du livre Hô. Ce livre est un roman de fiction. La personne qui a écrit ce livre est François Gravel, il a écrit plusieurs livres. Il l'a publié en 2012 et ce livre a 232 pages. Ce livre comporte plusieurs personnages, le personnage principal est Ho et le personnage secondaire est Lin. Confiné a un lit d'hôpital, Ho, a 16 ans, champion d’haltérophilie, est en phase terminale sur des petits bouts de papier qu’il cache sous son matelas, il raconte une réalité dans laquelle il a toujours agi de manière à servir son pays, et particulièrement Dao Kha, le leader de leur pays et le soleil de leur vie à tous.



Je recommande ce livre, car ce livre me donne beaucoup de frisson. Alors pour les personnes qui veulent le lire, personnellement j’ai adoré ce livre et c'est un des seuls que j’ai aimé.

Benito est le benjamin d’une famille de 13 enfants. Puisque la famille est très nombreuse, souvent on oublie sa présence. Dès sa jeunesse, Benito apprécie cet anonymat, car il peut observer sans déranger. Il devient un être silencieux mais qui a un don …. Lorsqu'il regarde quelqu’un dans les yeux, cette dernière se met à se confier à lui. Et tous qui se confient, ressortent heureux de cette expérience.



Deuxième lecture de ce livre sans prétention mais qui fait tellement de bien. C’est écrit de façon très imagée et avec beaucoup d’humour. Sourire garanti !

Roman un peu autobiographie, un peu essai, un peu suspense... C'est surtout le récit de ce qui peut se passer dans la tête d'un auteur qui écrit un roman. Récit très court et facile d'accès (comme toujours pour les œuvres de François Gravel, ce qui en fait un auteur de prédilection pour les lecteurs moins habiles). C’est l'écriture d’une histoire que raconte François Gravel au lecteur, tout en se dévoilant en tant qu’auteur et en intrigant le lecteur avec un récit entrecoupé mais passionnant. C'est à la fois instructif quant au métier d'auteur et réellement intéressant. Toutefois, ce ne sont pas tous les jeunes qui sont réceptifs à ce type d'histoire. Parmi mes élèves qui ont choisi ce roman, le quart environ a réellement apprécié sa lecture.

François Gravel nous amène dans un univers surprenant, un univers dont la nature même ne prédispose pas à être le décor d'un roman. Le Vous êtes ici du titre est celui qui se retrouve sur l'affiche à l'entrée du centre commercial. Ce centre commercial, Les Galeries de la Rive-Sud, constituera la toile de fond et les acteurs principaux seront ceux de l'équipe de ses agents de sécurité. Cet univers étant placé, on découvrira le rythme de sa vie. On découvrira les êtres qui l'habitent, les évènements qui le façonnent et les quelques enquêtes et interventions de nos protagonistes.



L'écriture simple et directe de Gravel se prête tout à fait au défi que représentait la mise en fiction de ce monde qu'on croirait sans intérêt. L'auteur de Fillion et frères et de Adieu, Betty Crocker frappe encore et nous émeut avec presque rien...
Lien : http://rivesderives.blogspot..

J'ai aimé ce livre parce qu'il y avait du suspens mais le méchant ce n'était pas un démon.

C'est l'histoire d'une danseuse nue qui se recycle dans le vol de banque, séduit l'inspecteur chargé de l'enquête et blanchit ensuite l'argent volé dans un honorable commerce. C'est un roman plutôt humoristique et sarcastique sur la société actuelle. Ce n'est pas le meilleur roman de Gravel, mais il se lit bien et avec plaisir.

Se roman a beaucoup de suspense et il est dure d'arrêter de le lire avant la fin.



Il est un roman d'aventure et de suspense mais a un bout de l'histoire on ne comprend plus si ses l'histoire de Steve ou ses lui qui la crée sait un peut mélangent.



Steve rêve de conduire une voiture de course et faire des course et dans ses rêve il gagne toujours ses course.



ses un bon livre qui la plupart des ado peuvent le lire.

J'aime bien l'Araignée Sauvage il est interresant parce que steve a beaucoup

émagination. Ont se reconnaient bien dans son personnage. Je trouve drôle mensieur Vinet. Car, il est très minutieux.

Je suis une fan de l’auteur de Benito et du créateur de personnage de Klonk. Je l’avoue. Comme j’avoue avoir lu presque tous les livres qu’il a écrits tant pour les adultes que pour les jeunes de tout âge. Sachant cela, vous ne serez donc pas étonnés si je vous dis que j’attendais impatiemment son nouveau roman. Encore plus si je vous annonce que François Gravel, pour l’occasion, a choisi de se frotter au roman policier pour la première fois de sa vie, non?



Tout ça pour vous dire que je me suis plongée dans À deux pas de chez elle avec ce bonheur qu’on a toujours à lire les auteurs qu’on aime, surtout quand ils savent créer des personnages si « vrais » qu’on a la nette impression de les avoir croisés au moins une fois, et parfois même de les connaître depuis toujours. Tout de suite, j’ai aimé Chloé Perreault, la jeune enquêtrice de la Sûreté du Québec, à qui on confie en juillet 2009 une enquête qui avait été abandonnée depuis des années, faute de nouveaux indices ou de preuves qu’il ne sert à rien de la poursuivre, les disparus ayant refait surface ou ayant démontré hors de tout doute possible qu’ils ne reviendront jamais.



C’est le cas de Marie-Thérèse Laganière, disparue en juin 1976, à l’âge de 21 ans, dont on vient de découvrir le corps, ou plutôt le squelette, à deux pas de chez elle, alors que sa voiture avait été retrouvée à des centaines de kilomètres de là, tout comme tous ses effets personnels. Il ne s’agit donc plus d’une disparition, mais d’un décès et qui plus est, d’un meurtre, puisque les corps de celle-ci et d’un homme qui a été identifié comme l’amoureux de ses 15 ans ont été enterrés près d’un lac il y a plus de 30 ans.



Du coup, Chloé doit lire chacun des compte rendus effectués par les enquêteurs à l’époque et rencontrer chacun des protagonistes encore vivants afin de comprendre comment le corps de Marie-Thérèse a pu se retrouver si loin de l’endroit où on l’a cherchée pendant des années. Cela donne lieu à un assez bon roman et à la description de la vie d’une petite ville inventée pour les besoins de l’enquête, laquelle serait à deux pas de la frontière avec les États-Unis. Autrement dit, on croit à cette histoire et aux personnages avec laquelle nous faisons connaissance en même temps que l’enquêtrice.



Mais. Mais. Car il y a des mais. Des erreurs de dates qui dérangent. Comment une jeune femme née en janvier 1957 peut-elle avoir 18 ans et non 19 ans en juin 1976? Pourquoi un enquêteur aurait-il téléphoné à un autre le 12 juin alors que la disparition n’a été signalée que le 14? Je vous le concède : ce ne sont là que des détails. Mais en ce qui me concerne, et je ne suis pas la seule à penser ainsi, ils relèvent de l’impardonnable en matière de roman policier. Voilà des réviseurs qui n’ont pas fait leur boulot et qui ne se sont intéressés qu’aux coquilles.



Mais. Et c’est là que j’ai été vraiment, mais absolument, totalement et irrémédiablement désappointée : Chloé ne trouve pas le coupable, il vient à elle et avoue tout. Ah. Et dire que François Gravel avait réussi à nous tenir en haleine. Pour ça. Juste ça. Dommage. J’attendais son nouveau livre avec une telle impatience.
Lien : http://lalitoutsimplement.co..

ce livre a l'air tellement bon a lire