AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Harold Cobert (215)


le communisme élève l’humanité en l’arrachant à la nature, à la biologie, aux liens du sang.
Commenter  J’apprécie          10
Rester vivant signifiait tuer. Bataille après bataille, l’âme scarifiée par l’assassinat de ses parents par la main de son propre frère, une soif inextinguible de sang avait gagné ses entrailles.
Commenter  J’apprécie          10
Il constata la poussée des forces politiques extrêmes dans la majorité des pays européens (…), tous fleurissant sur la misère et la rancœur essaimées par la Grande Guerre
Commenter  J’apprécie          00
La crise financière, la misère féconde aux rancœurs extrêmes et aux déchirements sanglants des peuples, en Europe, en Russie et jusqu’ici, aux États-Unis. Plus aucun pays n’était à l’abri de la contagion soviétique ou fasciste. Un monde de guerres, de charniers et de camps où l’homme redevient un loup pour l’homme.
Commenter  J’apprécie          00
Je vois dans le fascisme et le communisme les deux faces d’une même médaille. Chacun d’eux mène un pouvoir dictatorial qui s’exerce contre les peuples et leurs libertés fondamentales.
Commenter  J’apprécie          00
L’idéologie, c’est ce qui pense à votre place.
JF Revel
Commenter  J’apprécie          00
L’attrait pour le système totalitaire, éprouvé inconsciemment par de très nombreux individus, provient d’une certaine peur de la liberté et de la
responsabilité – ce qui explique la popularité de tous les régimes autoritaires.
Tzvetan Todorov
Commenter  J’apprécie          00
 C’est insupportable pour une mère de regarder son fils dépérir sans pouvoir faire quoi que ce soit. Tu ne peux pas continuer comme ça.
Commenter  J’apprécie          11
Cela durera ce que ça durera, mais on pense que ce sera mieux pour lui de se retrouver dans un environnement familial stable. Ce sera mieux pour toi aussi, ça te laissera le temps de te reconstruire pour t’occuper ensuite de lui. 
Commenter  J’apprécie          00
« J’avais besoin de respirer, ça peut se comprendre vu l’ambiance merveilleuse qui règne dans cette baraque, non ? Et vu comment tu portes ma mère dans ton cœur, eh bien oui, je t’ai menti. Fin de l’histoire. »
Commenter  J’apprécie          00
Je crois que ta femme est bêtement dépressive et alcoolique, ou alcoolique et dépressive, je ne sais pas dans quel ordre de causalité ces deux problèmes s’imbriquent.
Commenter  J’apprécie          00
J’ai cette impression désagréable de ne pas avoir tout essayé pour arranger les choses… En tout cas, si la solution existe, je ne l’ai pas trouvée. 
Commenter  J’apprécie          00
« Oui, il faut baiser les femmes comme des putes et les traiter comme des reines. La majorité des hommes font l’inverse, d’où la plupart des échecs et des drames conjugaux. »
Commenter  J’apprécie          00
Tout dépend où l’on place les frontières : tu es fait de ma chair, donc tu es ma chair ; ton fils est fait de ta chair, donc il est la chair de ma chair. 
Commenter  J’apprécie          00
"C’est fou ce que l’être humain est vulnérable en comparaison des autres espèces animales "
Commenter  J’apprécie          00
Je me démène comme un chien pour que notre enfant vienne au monde dans les meilleures conditions possible, je gère des emmerdes dont tu n’as même pas idée, du matin au soir, jusque dans mon sommeil. 
Commenter  J’apprécie          00
Le lait maternel est le meilleur au monde, le seul qui développe des défenses immunitaires aussi fortes. Regarde mon fils, jamais malade depuis qu’il est né !
Commenter  J’apprécie          00
Il voulut l’embrasser. Elle se tourna et éteignit sa lampe de chevet. Il la regarda un instant, partagé entre l’embarras et l’agacement, avant de se tourner lui aussi, dos à elle. Il allait se glisser sous les draps quand il se ravisa.
Commenter  J’apprécie          00
Le corps féminin a besoin d’un certain laps de temps pour retrouver un cycle et une fécondité normale après l’arrêt de ce genre de contraceptif. Je la prends depuis mes quinze ans, mon gynéco m’a conseillé de faire ainsi pour être prête quand on s’y mettrait. Je ne t’ai rien dit parce que je ne pensais pas que ça irait si vite. Encore une fois, je suis la première surprise. »
Commenter  J’apprécie          00
Il avait confiance en ses deux femmes. Sa mère se calmerait dès qu’il lui annoncerait la bonne nouvelle qu’elle exigeait ; son épouse le comprendrait, le soutiendrait et embrasserait sa cause, il n’en doutait pas un instant.
Commenter  J’apprécie          11



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Harold Cobert (811)Voir plus

Quiz Voir plus

quizz - dernier jour d'un condamné -

En quelle année est publié 'le dernier jour d'un condamné' ?

1999
1829
2004
1899

14 questions
993 lecteurs ont répondu
Créer un quiz sur cet auteur

{* *}