Citations de Hervé Bourhis (169)
La sieste c’est mieux que la bande dessinée. Si tout le monde avait la possibilité de siester, l’humanité irait mieux. Si j’avais fait plus de siestes auparavant, ça ne serait peut-être pas arrivé.
Si Poutine siestait, il arrêterait probablement d’emmerder le monde. Ce n’est pas garanti, mais franchement, ça se tente.
LE CŒUR DE BORIS VIAN A FiNi PAR LÂCHER, QUELQUES MiNUTES APRES LE DEBUT DE LA PROJECTION DU FILM TIRÉ DE SON LIVRE,"J'IRAI CRACHER SUR VOS TOMBES"
. LE JOUR DE SON ENTERREMENT, AU CIMETIÈRE DE VILLE D'AVRAY, LES POMPES FUNEBRES ÉTAIENT EN GRÈVE. SES AMiS ONT DU METTRE EUX. MÊMES LE CERCUEIL EN TERRE.
1914 - 1918
Ce premier grand suicide de l’humanité est aussi une catastrophe écologique. Plus de cent ans après, on récolte toujours sur les ex-champs de bataille des tonnes de munitions, dont certaines encore dangereuses. Les sols sont empoisonnés, et les nappes phréatiques sont irrémédiablement souillées.
« On nous met tous dans l’avion du nucléaire et la piste d’atterrissage n’est pas construite. »
Ulrich Beck
INTERMÈDE DOCUMENTAIRE
BLOBFISH QUI ES-TU ?
Son vrai nom est Psychrolutes Marcidus ! Il n’est pas visible chez Marine Center. Mais tu sais, ces parcs sont néfastes pour les animaux, boycotte-Les.
1 - Hurler, 2 - Vivre, 3 - Goûter, 4 - Oser, 5 - Jouir, 6 - S'exprimer, 7 - Trier, 8 - Rire, 9 - Tailler, 10 - Se venger, 11 - Pardonner, 12 - S'affranchir, 13 - En finir.
"(...)
- On peut partir très loin. Plus rien ne me raccroche ici.
- Tiens, à ce sujet, j'ai tué ton mari.
- C'est vrai ? Tu es fou, quelle bonne idée !
(...)"
Hervé BOURHIS, Le Teckel, 2014, Casterman (p. 80).
"(...) - Guy, fais-moi l'amour comme Verlaine à Rimbaud. (...)"
Hervé BOURHIS, Le Teckel, 2014, Casterman (p. 56).
"(...)
- Mon idéal, c'est le Concorde en 1976 passant au-dessus du Corcovado sous un soleil de plomb.
- Vous avez le fantasme précis.
(...)"
Hervé BOURHIS, Le Teckel, 2014, Casterman (p. 55).
"(...) Une recette pour chasser les morpions : l'huile de ricin. Ça leur donne la chiasse. Alors, pendant qu'ils vont chier, tu fous le camp. (...)
Christian CAILLEUX & Hervé BOURHIS, Piscine Molitor, 2009, Aire Libre (p. 29).
Cette chanson
Les feuilles mortes
S’efface de mon souvenir
Et ce jour-là
Mes amours mortes
En auront fini de mourir
C’est très bien, mon p’tit gars…
Comment tu vas appeler ça ?
« La chanson de Prévert »…
Tout est dans tout, à moins que ce soit l'inverse.
Et vous Prévert, que faites-vous dans le civil ?
Je travaille avec mon père.
Ah! Entreprise familiale ! Fort bien. Et que fait vote père ?
Il travaille avec moi mon colonel.
M'ferez trois jours !
- Boris, ce pornographe américain, Vernon Sullivan, c'est toi, n'est-ce pas ?
- Pas du tout, Raymond, quelle imagination.
- Ah ah ! Allons, la rumeur court dans tout Saint-Germain. C'est excellent comme pastiche. Bravo !
- Mais puisque je te dis que ce n'est pas moi !!
- Tu ne me la feras pas ! En tout cas, c'est très drôle tout ça. À la tienne.
- Admettons que ce soit moi. Je dis bien admettons... Tu as aimé la façon de traiter le problème noir aux USA ?
- Boris, tu es le seul spécialiste de l'Amérique qui n'y ait jamais mis les pieds.
Cher Monsieur Vian,
Jean Rostand m'a fait parvenir votre manuscrit. J'ai le plaisir de vous annoncer que qu'il m'a plu et que, si vous n'y voyez pas d'inconvénient, je le destine à la nouvelle collection "La plume au vent" que je dirige chez Gallimard. J'aimerais toutefois que vous apportiez quelques remaniement mineurs sur votre texte. Par exemple, "Vercoquin et le plancton, grand roman polisson en quatre parties réunies formant au total un seul roman, par Bison Ravi, chantre spécial du Major" me semble un titre un peu long, quoiqu'amusant. Contactez-Moi vite !
R. Queneau
Le coeur de Boris Vian a fini par lâcher quelques minutes après le début de la projection du film tiré de son livre, "J'irai cracher sur vos tombes". Le jour de son enterrement, au cimetière de Ville-D'array, les pompes funèbres étaient en grève. Ses amis ont dû mettre eux-mêmes le cercueil en terre.
Disons qu'à 35 ans, j'aurais aimé être un homme complètement autonome. Mais "Caramba, encore raté".
Si Lady Gaga se pense dérangeante, elle ferait mieux de prendre des cours chez la souillon afrikaner white-trash-fluo-pédo-anorexique skinhead de Die Ant-Woord
« Je jure comme un charretier de servir le cercle légateux ! »
- La boutique que vous allez acheter, je l'ai ouverte en 1946.
J'y ai vu défiler des quadras fans de jazz et de Britney, des auteurs-compositeurs-interprètes sans talent, des filles qui montent un groupe pour la fête de la musique, des...
- Ah oui ? signez là s'il vous plaît.